complicité

La femme à la chevelure brune tressée s'assit à côté de lui.

- alors raconte moi! Fit Meredith

Amiens leva les yeux au ciel une nouvelle fois constatant que les nuages noir avançait cachant le soleil qui commençait à descendre, depuis combien de temps était-il là ? Même si en hiver le soleil se couchait plus tôt, il avait passé un certain temps sur se banc avec ses chocolat couper du monde tout en étant entouré de citadins qui courait après le temps, cherchaient une motivation pour un petit footing ou essayait s'occuper leur enfants exister de resté enfermé dans une classe ou dans un appartement.

Le lycéen prit délicatement la rose pour ne pas la froisser vis-à-vis de l'inconnu qui la lui avait offerte. Il était toujours très délicate dans ses gestes surtout avec des cadeaux. Il avait remercier en personne une à une chaque fille de leur présent, cela avait été amusant de les voir succomber à son charme en quelques secondes.

- waaah elle est de qui? Tu as été gâté mon chéri

Meredith pris un chocolat dans une sachet ouvert sachant que son fils ne mangerait pas tout tout seul.

- chaque année, l'école vend des roses et des chocolat dans le but de rassembler des fonds pour organisé un voyage humanitaire, il y a d'autres actions aussi.

- c'est super ! Alors c'est qui?

Sa mère adoptive sautillait presque sur place malgré qu'elle était assise sur le banc. Elle voulait savoir, ce genre de chose simple et idiote pour une fête qu'elle n'aimait pas l'intéressait. Elle ne comprenait pas le concept de Saint Valentin parce qu'elle n'était ni attirée par les hommes ni par les femmes. Son dernier compagnon, elle avait 24ans et il la battait jusqu'au jour où il l'a violer parce qu'elle refusait de coucher avec lui, il n'était pas tendre. Du côté des femmes, ça ne l'attirait simplement pas, elle ne se voyait pas avec, faute d'avoir essayé, elle avait tenu deux jours. Tout ce qu'elle voulait c'était un enfants.

- je ne sais pas

- mais qui te l'a donner ?

- un élevé qui fait partie du groupe qui partira en mission humanitaire, il y a un mot avec tu devrais regarder

Avec une curiosité non dissimuler, Meredith ouvrir le papier agrafé au plastique qui entourait la fleur. Elle trépigna de suite d'excitation. Depuis qu'il avait commencer à s'intéresser à sortir, être en couple, elle raffolait de ses aventures parfois qui ne durait que les quelques semaines qu'ils restaient dans un pays étrangers qu'ils explorait. Meredith n'était pas facile à comprendre des fois.

- j'ai l'impression d'être en compagnie du héros d'un de mes films ou livres! S'exclama-t-elle

- tu connaîs la suite de cette histoire au moins?

- j'ai pleins d'idées, quel son tes critères?

- gros film hollywoodien et hétéro ?

- une jeune et belle lycéenne est infiltré dans ton lycée, il s'avère qu'elle est Russe et projet de détruire le monde. Son but est de te séduire pour voler des codes secrets que tu as en ta possession car tu
as malencontreusement pris la mauvais clé USB. Tu vas l'empêcher de détruit l'Amérique et le reste du monde, elle finira par se retourner contre ses employeur car tu es un jeune homme irrésistible

- c'est clichés

- agent secret, russes méchant, fin du monde, d'office l'Amérique qui agi, un peu de romantisme, c'est du classique quoi, du Hollywood

- j'aime pas cette ville

- je sais, une autre ?

- ouais! On va plutôt partir dur du réaliste...

- moi je dirais que c'est un jeune garçon timide, pas sur sue tu sois gay et qui ne s'assume pas

- je pense pareil, mais il se peut sue je ne le sache jamais alors

- je suis sur que des fleurs et chocolat anonymes il y a chaque fois. Mon fils fait fondre tout le monde quoi qu'il arrive

Amiens senti une goûte tombée sur le bout de son nez, très vite d'autres arrivèrent. Il rangea les chocolats au sec dans son sac. Tout le monde courait trouver un abri. Meredith se leva et son téléphone dans une de ses poches laissaient entendre une chanson sympathique qui rythma très vite leur petite danse improvisé soir la pluie. Ils s'amusèrent durant trois chanson avant de rentré a leur petits nouvelle maison. La mère et le fils se devait de rentré s'abriter comme tout le monde car la dernier fois il étaient tout deux tomber malade.

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