Chapitre 7
*Point de vue de Camille*
7 jours plus tard...
Dans la chambre à préparer les derniers préparatifs, après le souper, Élisabeth et moi étions de plus en plus fébriles à l'idée de voir nos idoles. Nous avions reçues les passes et les billets VIP par la poste et je ne vous fais pas dire comment nous avions réagi! C'était fou comme ces cinq jeunes hommes possédaient un tel pouvoir sur nous. Comment la relation entre Élisabeth et moi s'était renforcée au fils des jours était hallucinant. J'avais l'étrange impression de connaître cette fille depuis toujours. Je savais qu'une meilleure amie comme elle ne passait pas deux fois dans une vie. Élisabeth avait été extraordinaire avec moi dès le premier jour de notre rencontre et honnêtement, aujourd'hui, sans elle, je n'aurais pas survécu. Chaque jour, elle me donnait la force de rester en vie et c'est ce qui faisait d'elle une personne si merveilleuse à mes yeux.
- Élisabeth: Trois semaines... Trois semaines! Se répétait-elle, un sourire étampé sur les lèvres en train de plier un chandail. Juste à y penser, j'en ai des frissons...
Je ricanai, aussi heureuse qu'elle.
-Moi: Je sais... Moi non plus, je n'arrive pas à y croire. J'ai imprimé le mail de Paul et je pense que je l'ai lu une centaine de fois depuis quelques jours! M'exclamai-je en essayant tant bien que mal de zipper mon sac qui était plein.
-Élisabeth: Besoin d'un coup de main, peut-être? M'interrogea-t-elle en riant.
-Moi: Éli...je ne pourrai jamais tout rentrer dans mon sac. J'ai de la difficulté à le fermer alors que je n'ai même pas mis la moitié de mes affaires!
Élisabeth ricana une fois de plus. Ouais, elle était vraiment de bonne humeur...
-Élisabeth: Veux-tu que je te prête une valise?
-Moi: Tu en as une de trop...? Demandai-je, insécure.
-Élisabeth: Pas moi, mais mes parents, oui. Ils n'en auront pas besoin, donc je vais aller leur en piquer une. Rit-elle.
Sans que je ne puisse placer un mot de plus, ma meilleure amie sortit de la chambre et revint quelques secondes plus tard avec une valise. Elle la posa devant moi, sur le lit.
-Moi: Wow... Merci beaucoup. La remercieai-je.
-Élisabeth: Il n'y a pas de quoi, coccinelle!
-Moi: Haha... Tu sais, j'aime bien quand tu m'appelles coccinelle.
-Élisabeth: Et moi, j'aime quand tu me surnommes papillon.
-Moi: C'est nos petits surnoms qui nous rendent uniques!
Élisabeth me sourit puis, porta soudain son regard sur mes nombreux cahiers.
-Élisabeth: Les emmènes-tu vraiment tous!?
-Moi: Oui! Bien sûr que oui!
-Élisabeth: Pourquoi ne les laisses-tu pas ici? Ça ferait plus de place pour tes autres choses.
Je la regardai, les yeux ronds comme si elle m'avait annoncée la fin du monde.
-Moi: Oh non. Non! Je ne peux pas faire ça... Non. Je vais me sentir vide sans eux.
-Élisabeth: Tu parles de tes cahiers comme s'ils étaient des êtres vivants! Plaisantat-t-elle, tandis que moi, pas du tout.
-Moi: Eh bien...c'est pratiquemment vrai. Avouai-je et Élisabeth me regarda avec un regard inquisiteur. Toute ma vie, toutes mes pensées, tous mes sentiments, toutes mes idées, toute mon imagination sont écrites sur ces pages blaches...
Ma meilleure amie semblait touchée par ma déclaration, car elle en prit un dans ses mains en le regardant attentivement.
-Élisabeth: Il... *raclement de gorge* Il y a réellement TOUT dans ces cahiers? Demanda-t-elle.
-Moi: C'est difficile à croire, n'est-ce pas? Souris-je et elle fit de même. Pourtant, c'est la vérité.
-Élisabeth: Je voudrais juste savoir; combien de temps te libères-tu de cette façon? Je veux dire...en écrivant?
-Moi: Mon premier journal, celui que tu tiens dans tes mains, je l'ai eu à 12 ans, par une des madames de l'orphelinat. Elle m'avait suggérer de m'évader de cette manière, car j'étais quelqu'un d'assez renfermée. Je me sentais seule...donc j'en ai fais de l'écriture et le dessin mes meilleurs alliés. Ensuite, j'ai comencé à écouter de la musique...celle de nos boys. C'est de cette manière que je suis devenue Directioner.
-Élisabeth: Wow... Cam. Dit-elle, émue et repose mon journal intime dans la pile avec les autres.
-Moi: Mais tu vois, celui que j'ai acheté ou plutôt...celui que TU m'as acheté la semaine dernière va être différent. Il va représenter ma nouvelle vie...avec toi. Souris-je, nostalgique et Élisabeth s'essuya une larme qui avait roulée sur sa joue. Ne pleure pas... Ris-je alors que moi aussi, j'avais les larmes aux yeux.
Ma meilleure amie rit de plus belle, toujours en pleurant, ce qui me fit faire de même. Elle s'assit sur le lit et je la rejoignis. Puis, elle m'enlaça amicalement en riant. En fait, NOUS rcomençâmes à rire ensemble. POurquoi? Pour rien. Juste parce que nous nous adorions et que nous étions heureuses d'être réunies.
-Élisabeth: Mon dieu que je t'adore.
-Moi: Hahahaha...moi aussi, je t'adore.
Élisabeth se retira en souriant.
-Élisabeth: On a gagné le concours! S'écria-t-elle une nouvelle fois et je ricanai. AAAAAAAAAH!
-Moi: AAAAAAAAAAH!
-Éliabeth et moi: Hahahahahaha!
*Éclipse de quelques heures*
Dans nos lits respectifs, en train de chanter à tue-tête, Élisabeth et moi nous amusions comme des petites folles. Ouais, nous étions carrément folles...
-Élisabeth et moi: I SAID HEY, IT'S ALRIGHT, DOES IT MAKE YOU FEEL ALIVE? DON'T LOOK BACK, LIVE YOUR LIFE EVEN IF IT'S ONLY FOR TONIGHT! I SAID HEY, IT'S ALRIGHT IF IT MAKES YOU FEEL ALIIIIIIIIIIIVE...
À ce moment, la mère d'Élisabeth entra rapidement en ouvrant sauvagement la porte.
-Elle: Les filles, on veut dormir! Se plaigna-t-elle et aussitôt, je me sentis mal. Je peux croire que vous n'arrivez pas à dormir à cause de demain, mais n'empêchez pas les autres de le faire.
-Moi: On-on est vraiment désolée, madame. Répondis-je d'une voix tremblante.
Je regardai ma meilleure amie de manière instable et à son tour, elle porta son attention sur sa mère.
-Élisabeth: On est désolée, maman... Mais Cam et moi sommes tellement contentes. La chance qu'on a, c'est fou...
Sa mère expira en souriant.
-Elle: Je sais, ma belle. Je sais que vous êtes contentes de cette bonne nouvelle et je le suis aussi pour vous. Vous n'avez pas passer au travers des choses faciles et c'est magnifique de voir que la vie vous récompense à ce point, mais essayez de dormir un peu. Il est 1h00 du matin... Dit-elle doucement.
-Élisabeth: Ouais...
-Elle: Bon, d'accord... Merci les filles. Acquit-elle, souriante et referma la porte.
Je me retournai vers ma meilleure amie et celle-ci me fixait de ses yeux bleus.
-Moi: Quoi?
-Élisabeth: Tu sais que tu peux tutoyer ma mère? Ricana-t-elle.
-Moi: Je la vouvoie par simple politesse. Admis-je.
-Élisabeth: Cam... Tu vas rester encore longtemps ici, donc tu peux te familiariser plus avec ton environnement.
-Moi: Mouais... Peut-être que tu as raison.
-Élisabeth: Non, pas "peut-être", J'AI raison.
-Moi: Hahahaha!
-Élisabeth: Allez, essayons de dormir...
-Moi: D'accord, bonne nuit.
-Élisabeth: Bonne nuit...
Après quelques secondes...
-Moi: ...Bonne nuit.
-Élisabeth: ...Bonne nuit. Ricana-t-elle et je fis de même.
-Moi: On est pathétiques. Ris-je de bon coeur.
-Élisabeth: Tellement! Hahahaha!
-Moi: Mais...mon papillon? Euh... Dis-je en me redressant un peu, le dos accoté sur sa table de nuit.
Ma meilleure amie se redressa à son tour en voyant mon air inquiet et fronça les sourcils.
-Élisabeth: Oui...? Qu'y a-t-il?
Je réfléchis une demie seconde à ce que je voulais dire, mais décidai de rebrousser chemin.
-Moi: Euh...en fait, non, rien. Laisse tomber, haha...
-Élisabeth: Hey, non. Cam, ne me fais pas ça. Dis ce que tu allais dire...
-Moi: C'est complètement stupide...
-Élisabeth: Je suis sûre que non... Me dit-elle gentiment en me donnant un sourire compatissant. Allez, coccinelle, dis-moi ce qui te tracasse...
-Moi: D'accord... En fait, je suis juste insécure par rapport à tout ça.
-Élisabeth: Que veux-tu dire par là?
-Moi: Eh bien... J'ai peur de rencontrer nos boys.
-Élisabeth: Quoi!? Comment ça? S'exclama-t-elle.
-Moi: Si...s'ils sont déçus de nous. Tu sais, parfois, on se fait notre propre image d'une personne, mais lorsqu'on la rencontre, on se rend compte qu'on avait complètement tord. Donc, si nos boys ne croient pas que nous sommes ce que nous sommes?
-Élisabeth: Cam... Murmura-t-elle.
-Moi: J'ai peur de...de ne pas être assez. Peut-être qu'ils s'attendent à ce que nous soyions exceptionnelles, alors que moi, je ne le suis pas du tout... Toi, oui, mais pas moi. Avouai-je finalement, sentant soudainement mes épaules se libérer d'un gros poids lourd.
Élisabeth descendit alors de son lit pour venir à mes côtés.
-Élisabeth: Premièrement, je t'arrête tout de suite, car tu es exceptionnelle, Cam. Même si tu ne t'en rends pas compte, tu l'es, crois-moi. En tout cas, pour moi. N'est-ce pas ça qui compte le plus? Deuxièmement, ON a gagné le concours pour une raison: notre amitié. Il y avait sûrement des miliers d'autres candidats, mais ils nous ont choisi. Tu crois que c'est le hasard? Je ne pense pas... Ils ont lu notre histoire et ils l'ont aimé. Et troisièmement, juste en restant toi-même, tu vas réussir à chavirer leur coeur, fais-moi confiance. Derrière ce magnifique visage se cache une âme pure qui laisse tout le monde émerveillé sur son passage...
Ces mots m'avaient touché d'une manière indescriptible. Des larmes menaçaient à présent de dévaler mes joues et je regardai ma meilleure amie en souriant. Pourquoi cette fille avait-elle toujours les bons mots à dire aux bons moments? Personne auparavant n'avait eu un tel pouvoir sur moi: me rendre tout simplement heureuse d'être en vie.
-Moi: Éli... Réussis-je à prononcer malgré ma boule à la gorge et elle me sourit.
Comment cette fille faisait-elle pour rester aussi forte? Elle possédait cette carapace dont j'enviais tant... Malgré les moments difficiles de sa vie, elle souriait, contribuant au bonheur de tonne de personnes, dont le mien en particulier.
-Moi: Juste... Comment fais-tu pour faire ça?
-Élisabeth: Faire quoi?
-Moi: M'aider comme ça... À prendre confiance en moi.
-Élisabeth: Tu es ma meilleure amie, cocci et je fais tout ce qui est en mon pouvoir pour te rendre heureuse... Tu te rappelles, la promesse qu'on s'était faîte?
-Moi: Ouais... Il me semble que ça fait des années. Dis-je, les larmes aux yeux.
-Élisabeth: Tu restais si toi, je restais...
-Moi: Et on n'a pas brisé le pacte.
-Élisabeth: Jamais on ne le brisera, hein?
-Moi: Non... Tant et aussi longtemps que tu es avec moi.
Élisabeth tendit ensuite les bras et je me ruai dans ceux-ci, émue aux larmes. Celles-ci étaient-elles de joie ou de tristesse? Je crois plutôt de joie...
-Moi: Merci, papillon..
-Élisabeth: Il n'y a pas de quoi, coccinelle.
*Éclipse de quelques heures*
Élisabeth et moi avions à peine réussi à dormir, mais au moins, nous avions dormi quelques heures...ou quelques minutes. Le concert se passait aujourd'hui, ce soir pour être plus précise. Nous arrivions pas à décider ce que nous allions porter.
-Élisabeth: Est-ce que je mets un chandail de One Direction ou...mon chandail mauve? Me questionna-t-elle.
-Moi: Euh...peut-être le chandail mauve. Parce qu'après, ils vont peut-être nous prendre pour des obsédées! Ris-je et elle fit de même.
-Élisabeth: D'accord... Je mets mon chandail mauve dans ce cas.
-Moi: Et moi, le vert pomme.
-Élisabeth: Tu aimes le...vert pomme?
Je la regardai.
-Moi: Oui, j'adore le vert pomme!
-Élisabeth: Ouais...moi aussi, mais j'aime mieux le mauve.
-Moi: Haha...
-Élisabeth: Alors, on shabille et ensuite, on finit nos valises. Et puis...on part! S'écria-t-elle en souriant.
-Moi: Oh mon dieu, je ne peux pas croire!
-Élisabeth: Moi non pluuuuuuuuuuuuus!
-Élisabeth et moi: Hahahahahaha!
*Éclipse de quelques heures*
3 minutes...
Nous attendions depuis une bonne heure déjà que nos idoles rentrent sur scène et nous étions impatientes. La grande soeur d'Élisabeth, Laurianne, avait eu l'aimable gentillesse de nous emmener au concert. Celle-ci était tellement gentille que je regrettais le fait de ne pas posséder de soeur ni de frère. Peut-être qu'être orpheline à deux aurait été moins difficile à vivre... De plus, le "au revoir" d'Élisabeth avec ses parents était très touchant, aussi bien que j'avais du m'obliger à essuyer une larme naissante dans le coin de mon oeil droit.
2 minutes...
Élisabeth commençait à trembler tellement elle avait hâte et je la regardai en souriant, moi aussi presque sous hyperventilation.
-Élisabeth: Tu te rends comptes que nous sommes au premier rang!? Tu te rends comptes qu'on respire le même air qu'eux!? S'excita-t-elle, me faisant pouffer de rire nerveusement.
-Moi: Oui... Oh mon dieu, je ne peux toujours pas y croire! M'y mis-je à mon tour, sautant comme une folle.
-Élisabeth: Tu peux me pincer?
-Moi: Pourquoi?
-Élisabeth: Je veux savoir si je rêve...
-Moi: Non, je ne peux pas faire ça! Je ne vais pas te pincer, voyons!
1 minute...
En effet, nous étions placées au premier rang. En fait, avant le premier rang, juste devant la scène, là où nos sièges étaient assignés VIP. Comme Élisabeth, cela faisait plus d'une fois que je me pinçais pour me convaincre que tout cela n'était pas réel, que ce n'était qu'un rêve merveilleux et que j'allais bientôt me réveiller... Mais à chaque pincement, même si j'utilisais toute ma force, je me faisais mal.
Ça y était. LE moment arrivait enfin. Nous vîmes les musiciens prendre place sur scène et la vidéo d'entrée commença. La foule doublait et même triplait de fois le son engendré par les cris désespérés et d'épanouissement de miliers de filles présentes dans l'immense salle, ainsi que les nôtres. La vidéo se termina enfin après une attente interminable, puis...les voilà. Cinq jeunes hommes firent leur entrée remarquée sur scène, un tenant une guitare électrique. Les battements de mon coeur s'accélérèrent alors anormalement. Nos boys étaient devant nous en chair et en os. Ma vue s'embrouilla naturellement et des frissons ne prirent pas de gêne à s'étendre partout sur mon corps en entendant la première phrase d'Harry dans la chanson Midnight Memories et je crois que c'était la même chose pour Élisabeth, car celle-ci se cachait la bouche de sa main. De plus, je pouvais parfaitement bien constater que ses yeux bleus étaient aussi embrouillés par les larmes que les miens, car ils étaient luisants. Je regardai celle-ci où la forte musique commença à résonner comme un bruit de tonnerre dans nos tympans et sentis de doux filets d'eau chaude tracer un chemin petit à petit le long de mes joues. Non, je ne rêvais pas. Loin de là. Tout ça était bien réel. Je m'avançai vers ma meilleure amie pour la prendre dans mes bras, toutes les deux complètement en larmes. Il y a quelques jours, j'étais prête à me suicider et me voilà avec une fille étant ma meilleure amie au concert de mes idoles dont je n'osais pas révéler la passion que j'avais pour eux. La vie était tellement folle...
Le reste du concert se déroula à merveille. En fait, c'était parfaitement une perfection parfaite comme dirait Élisabeth. Les cinq jeunes hommes chantèrent des chansons toutes aussi merveilleuses les unes que les autres. J'avais même remarqué que les boys nous faisaient parfois des petits sourires en coin et nous regardaient pendant de longues secondes. Ils le savaient sûrement déjà que c'était nous, les gagnantes de leur concours...
Une fois le concert terminé, c'était atroce. Lorsque Louis, Zayn, Liam, Niall et Harry quittèrent la scène sur les dernières notes de Best Song Ever, nous avions l'horrible impression qu'ils nous quittaient, NOUS. Par contre, Élisabeth et moi nous consolidions en nous disant que nous allions les rencontrer. Nous avions hâte...tellement hâte. Nous restâmes sur les bancs, jusqu'à ce que la salle soit complètement vidée et Laurianne vint nous porter nos deux valises ainsi que mon fameux sac avant de nous dire un dernier au revoir.
-Élisabeth: Mes cheveux sont corrects...? Me demanda-t-elle en se regardant dans son petit miroir et je souris.
-Moi: Arrête de stresser, mon papillon... Lui dis-je gentiment. Tu es parfaite, ne t'inquiète pas. Lui avouai-je.
Elle tourna son attention vers moi avant de mes sourire de toutes ses dents.
-Élisabeth: Non... ON est parfaite. Me corrigea-t-elle et je ne pus m'empêcher de sourire comme une débile.
-Moi: Merci de nous avoir inscrites...
-Élisabeth: Ne me remercie pas, on l'a fait ensemble.
-Moi: Mais...si tu ne m'aurais pas convaincu, nous ne serions las là. Avouai-je et je pensais réellement ce que je disais.
Si nous avions participé et gagné ce concours, c'était uniquement grâce à elle. Au moment où ma meilleure amie s'ouvrit la bouche pour placer un mot, une voix nous firent faire le saut.
-??: Élisabeth...et...Camille?
Nous nous retournâmes sur le vif pour apercevoir un grand homme costaud aux cheveux bruns, tenant dans ses mains une feuille. Il n'y avait nul doute dans nos esprits, cet homme était Paul, le gérant de tournée de One Direction.
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Coucou! Et voilà le chapitre 7 posté! Il a été rapide, celui-ci, car j'ai eu énormément d'inspiration. :)
Comme vous vous en doutez, le prochain chapitre sera la fameuse rencontre entre les boys et les filles...
Comment cela va se passer d'après vous? ;)
Bref, Éli et moi, on est plus qu'heureuses de faire cette fanfiction ensemble, donc on travaille fort pour le faire.
Je sais que son styles d'écriture dépasse 10000 fois le mien, mais je fais de mon mieux pour écrire mieux possible. ;)
J'espère que ce chapitre vous a plu!
N'oubliez pas de voter et commenter, c'est très important pour nous.
Merci, on vous adoooooore!
Bisous, Xox -Cam <3
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