verité



Ma joie est comme l'eau sous le soleil :

S'évapore en nuée vermeilles.

Mes bras sont le refuge de ta peau

Dans l'air du vent chaud.

Et l'avidité n'est que parcelle de nos corps

Qui s'effritent comme le sable d'or.

Et la vanité n'est que sœur

De l'égoïsme du cœur

Que vous cultivez dans l'ivresse

Et le mélange de la paresse.

Au regard des mentaux d'azures,

Vous n'avez pas fière allure,

Ni moi, ni toi, ni nous

Ni vous,

Ne sommes prés pour la désillusion

Du rouge et du fer perfection.

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