Chapitre treize.
Hey, bonsoir/bonjour à tous. C'est pour vous avertir que c'est mon dernier chapitre ! Le deuxième tome est déjà en préparation. Salut, bonne lecture.
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Dans une pièce sombre, des bruits de chaines claquèrent entre elles et le sol se fit entendre. Mais aussi un rire particulier, régner sous un silence de mort.
- Alors, pas trop fatigués d'écouter une fille vous racontez son passé depuis une semaine ? Riririririririri. ris-je.
- Lys Noire, continuez votre monologue. réponds une voix grave.
- Oooh, pauvre con ! Cela fait combien de temps que je suis enfermée, aux faites ? sourie-je d'insolence. Néanmoins, je ne sais comment vous avez réussi à me faire parler. M'enfin bref, bande de merde avant que je meure de vos mains... soupire-je dépité. Ouvrez grand vos oreilles, je continue de converser avec vous.
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Ce fu une nuit incroyable, et un réveil tout autant cool. J'avais son odeur dans mes narines, ses deux bras fort autour moi me serrant comme sa prunelle de ses yeux, son plus beau trésor sur les mers.
- Bonjour ma demoiselle, me murmura le fumeur, d'une voix suave. Bien dormis ma Julia-san adorée ? demanda-il en me caressant les cheveux.
- Humpf bon... jour... commence-je à émerger la joue coller à son thorax, frissonnante sous ses caresses crâniennes. Comme un bébé, Riririririririri, ris-je en redressant lentement mon regard vers lui.
On se fixer d'un regard et d'un sourire radieux, je remonté mon visage pour l'embrasser lentement. Il m'accompagna dans l'embrassade, réalisant une roulade, étant de nouveau en dessous de lui. Il caressa mon corps, je fis de même, ont quitta nos bouches par manque de souffle. J'étais rouge tomate, sous son regard luisant, tel une bête. Je vous rassure, on ne part pas sur de la zoophilie, calmez-vos sourires d'abrutis.
- O-Ont devraient sortir du... lit ? demande-je d'une petite voix, sous lui, le fixant rouge.
- Laisse-moi te regarder, une toute dernière fois. répond-il en me dévorant du regard, de la tête aux pieds, avant qu'il s'arrête à me fixer dans les yeux.
- Q-Quoi p-parle... Sanji-kun ? le regardant avec du mal, très gênée fuyant le regard.
- C'est les plus beaux yeux que j'ai vu de toute ma vie, dit-il en prenant des rougeurs.
Du rouge monta à mes joues déjà rosie. C'était tellement sincère, l'ambiance était douce et agréable. On s'enlaça, profitant de l'autre, jusqu'à partir à la douche. Sortant de l'eau, une serviette autour de la taille, je me rendue jusqu'à l'armoire sous ses pas.
- Tu me conseilleras qu'elle tenue mettre, demande-je avant d'être embrassé dans le cou, m'échappent un rire. S-Sanji, s'il te plaît, il faut vraiment que je parte sur les mers.
- Justement ma douce, m'enlaçant la taille d'un bras, humant mon odeur, m'échappent un frisson, où il en fu touché et amusé. Une tenue qui te met à ton avantage, tout à ton aise.
- Oui, ainsi qu'une tenue de combat... réfléchis-je contre lui, sentant ses caresses sur ma taille.
Rouge pivoine, je nous regardé avec le miroir de l'armoire, lui nu, et moi d'une simple serviette bleue. Je me retourné pour l'embrasser de pleine bouche, il me plaqua contre l'armoire, où la serviette tomba. Ses mains sur mon corps, me fis frissonner bien d'avantage. Il me souleva du sol, me tenant les fesses de ses mains. On se lâcha les lèvres, par manque de souffle. Mes bras entourant sa nuque, reprenant ma respiration.
- San... ji... ? le regardant étonnée, voyant son regard être très sérieux.
- Tu es magnifique, la plus belle femme qu'il m-
- T'en prie, tes mots doux ne changeront rien à mon départ.
- ... Je sais. Nous sommes en début d'après-midi, Julia-chérie. me caressant les fesses, me fixant longuement.
- ... Merci pour tout, en glissant mes mains de sa nuque, à ses joues, le regardant désoler.
Il me fixa tendrement, jusqu'à hocher la tête, me déposant au sol, il recula s'allumant une clope.
- Prépare-toi ma douce, puis rejoins moi dehors.
Il partit, refermant la porte derrière lui. M'habillant, j'aperçue qu'une seule tenue restante. Devant le miroir, je ressembler à une rebelle, un look qui ne passé pas partout. J'eu un sourire en coin, comprenant que Sanji m'avait sondé depuis pas mal de temps. Je récupérai mon revolver et les munitions, le mettant dans mon dos, sous un t-shirt noir en dentelle ; à long manches à capuche, où dans le dos était écris ''Freedom exists''.
Mes munitions dans une des poches de mon pantalon bleu foncé mal lavé, et déchiré. J'étais toujours pieds nus, je fis le lit, posant la peluche d'Emma sur ce dernier.
J'avançai rapidement vers dehors, voyant de nombreux clients à l'intérieur. Mon amant d'une nuit était dos à une chaloupe à voile.
- Voici ma belle, un sac rempli de vivre pour une semaine, tout au plus. De nombreux habits du plus chaud au plus légers, s'exclama-il en me tendant le sac à dos.
- Oy, c'est adorable ! sourie-je grandement, le prenant, le mettant sur moi. Riririririri ! ris-je sous ses yeux en cœur.
- Mais de rien Julia-san !!! avant de se calmer, s'allumant une nouvelle clope.
Rentrant dans la chaloupe, il me tend le journal du jour, ainsi qu'un plateau de nourriture, et du thé. Une goutte derrière la tête, je pris tout, commençant à manger ; en faissant la conversation avec lui.
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- Vous commencez à être chiant, que voulez-vous savoir de plus ? soupire-je.
- Vous le savez très bien, Julia, parlant la voix grave. Qu'elle est la position de votre équipage ? Ou de votre navire, peut-être ?
- ... Ririririririririririririiiiiiiii ! éclate-je de rire. Vous m'avez capturé, certes. Sourie-je d'insolence. Mais vous pouvez vous foutre un lampadaire dans l'cul pour savoir cela !
- Donc nous pouvons mettre en place le projet 905, sur une certaine Ekimo Rose ?
- Q-Quoi ?! m'étrangle-je. Laissez-la en dehors de ça !
- Alors répondez à mes questions. Une dernière fois, où se situe votre équipage ?
Le regardant longuement, et durement des pétales de Lys se forme autour de mon corps. Où des parcelles de ma peau, se transforme en ces derniers. Jusqu'à me recevoir un énorme coup d'électricité dans le corps.
- Aaaaaaaaah ! me stoppant dans mon changement floral, au sol, serrant les dents. C-Connard de merde, t'en prendre à... Aaaah !! se recevant une nouvelle décharge.
- Fermez-la, me jetant de l'eau dessus. Tant pis pour votre navigatrice, vous l'avez condamné à sa propre mort.
- A-Arrête, putain ! Aaaah !! me recevant des décharges en continue, essayant de se redresser malgré mes chaines.
- Pelepelepelepelepelepele ~
Alors qu'il laissa les décharges en marche, mais à plus basse tension, pour que mes hurlements se face moins entendant. Il alla répondre à l'appel de son Den Den Mushi.
- Ketcha. Amiral, nous avons un énorme problème ! crie l'escargophone sortant une voix jeune et aiguë.
- Calmez-vous, expliquer moi la situation actuelle ! ordonnant l'amiral de la Marine.
- Oui, mon Amiral. La sorcière des mers à disparu de sa cellule. sortie la voix de façon neutre dans l'escargophone.
Un silence se fit, où sous mes cris moins présents, j'émis un rire d'insolence. Relevant la tête du sol humide, et sous mes coups de jus reçu, je le fixe.
- Tu l'as dans l'cul, Riririririririiiiiiiiiii !!! sourie-je d'insolence, alors que mon corps est parcouru d'électricité.
- Comment ?! Mais qu'est-ce-que vous attendez pour la pourchasser ; au lieu de m'appeler ?! crie l'Amiral hors de lui.
- Riririririri, dans l'cul tu l'as ! ris-je oubliant la douleur, un court instant.
- C-C'est le protocole, si puis-je me le permettre, sans vous manquez de respect...
- Riririririri, dans l'cul... !! ris-je en me prenant d'avantage de coup de volt.
- Fermez-la, pirate, merde ! m'hurlant dessus, perdant patience, augmentant le voltage.
- Aaaaaaaaah, c... cul... gémis-je de douleurs, en position de sécurité au sol.
- Mon Amiral, vos ordres... ? demanda la voix.
- Retrouvez-la, et tuez-la sur le champ ! s'exclama-il en hurlant, raccrochant.
- Ma Tadahiro, soit courageuse... murmure-je avant d'aller vers les songes.
Alors que je dors lentement, sous les coups de jus, l'Amiral se calme dans sa crise de nerfs. Il arrête le voltage, et regarde si je respire toujours.
- Bien, ce coup-ci aurez dû la tuer. Julia D. Swann, quelle force de caractère. parlant à lui-même, me fixant endormis.
Dormant profondément, l'Amiral de la Marine me laisse dormir jusqu'à mon réveil. M'étirant lentement, la tête dans les fesses, et sous le bruit de mes chaines, je me mets assise.
- C'est trop calme, je n'aime pas beaucoup ça... parle-je en regardant un mur, où ont vois de fins barreaux enfoncés sous terre.
- Lys Noire ? m'interpelle l'homme en uniforme.
- Ouais, tu veux quoi ? m'exclame-je en regardant vers le sens de la voix, voyant presque rien dans cette noirceur.
- D'où vous-ai donner l'autorisation de me tutoyez, pirate ? me demande-il d'une voix mauvaise.
- Les ennemis de mes amis sont mes ennemis. Donc mes amis, en levant les épaules.
- Hum je n'ai pas tout compris, mais soit. dit-il avec une goutte derrière la tête. Vous vo-
- De plus, Amiral. C'est bien Amiral, n'est-ce-pas ? demande-je en levant le doigt, souriante.
- C'est exact, pirate, c'est bien mon titre. La cause de votre question stupide ?
- Et bien, tu parle avec l'ennemis, donc l'ami, non ? sourie-je d'insolence.
- Grrr, sale pirate ! hurle-il, mais étrangement amusé.
- Là je te l'accorde, je suis sale, grimace-je ; ça doit faire longtemps que Rimmon ne m'a pas volé des sels pour le bain... soupire-je.
- Rimmon Yasuchi ? me questionne-il.
- Oooh, tu l'connais ? sourie-je d'un grand sourire. Oui, c'est mon second ! Grâce à lui d'ailleurs, ont à pu sauver l'île de Ekimo ! ris-je nostalgique, me grattant la joue gauche.
- ... Expliquez-moi, votre relation avec votre équipage ? demande-il intrigué se laissant peu à peu aller.
- Humm... et bien, on est nakama ! Riririririri, et libre ! ris-je de joie. Nous sommes capables de défendre l'autre sans la moindre hésitation. D'ailleurs quand ta troupe m'a capturé, ont étaient sur le point de fêté l'anniversaire de notre musicien... tu devrais avoir honte ! soupire-je, le regardant très mal, les dents en pointes.
- Pirate, vous n'êtes en position de me parler sur ce ton ! hurle-il dans le même que moi.
- Je n'en ai rien à foutre, Amiral ! Pourquoi je devrais avoir peur de toi, alors que mon équipage va me retrouver, et te botter les fesses ?! hurle-je avec ténacité, vraiment énerver.
Il me regarde surpris, avant d'éclater de rire, d'un rire vrai. Des veines sur la tempe se forme de plus en plus, sur mon front.
- Oy, arrête de te foutre de ma tronche ! Et approche j'suis ta femme ! serrant les dents, le fixant mal, voyant peu à peu mieux.
- J-Je vous pris de m'excus-... Je ne vais pas m'excuser auprès d'un pirate ! crie-il, les dents en pointes. Dites-moi la position de votre navire ?!
- Même pas en rêve, Amiral à deux Berrys ! soupire-je me calment lentement.
- Alors, nous allons continuer les séances de torture, pirate.
- Pas de problèmes, Amiral. sourie-je d'insolence.
Il rallume le voltage, avec ce sol humide, je suis entrain de déguster grave. Les coups de jus augmentent de plus en plus, et m'empêchant d'utiliser mon pouvoir des pétales de Lys. Peu à peu, sous mes cris de souffrances, je commence à divaguer.
Une image d'une adolescente aux cheveux rose bonbon, et aux yeux d'océan, pleurant dans une ruelle, me viens en tête. Je pouvais entendre sa voix me sortir : ''Je ne me battrai plus.''
Cette image, je m'accroche à celle-ci, souriant sous mes cris, alors que la machine de torture redescend en tension.
- Alors, la même question. Où est votre équipage ? Où se trouve votre rafiot flottant ? me demande-il durement.
- Riririririri... ris-je, crachant une gerbe de sangs. Cela fait deux questions, mon cher soldat... sourire-je d'insolence.
- Pirate, vous devez être suicidaire de ne rien répondre... m'approchant, me soulevant par le cou.
- Juste libre, Amiral ! sourie-je de ténacité, un sourire à la D. Tu ne sais pas à quel point, l'envie de liberté peut nous rendre fière, nous, les colombes des mers.
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