Chapitre six.

Sur les rires de mes parents adoptifs, j'ouvris les yeux de nouveau dans cet endroit glauque. Je vous préviens la suite de mon monologue est très dur à raconter.

Je me sentais mieux mais je rester très vaseuse. Voyant moins flou, entendant à mon réveil des gémissements et orgasmes autour de moi.

- Aah, ma poule aux œufs d'or est réveillée ? demanda une voix que je connais.

- Va foutre quelqu'un d'autre, gars constipé, dis-je d'une voix à peine audible.

Je referme les yeux lentement, étant toujours sur cette paille. Où je l'ai réouvre de nouveau, quand un déclenchement d'arme se fit suivi d'un cri. Je me redresse d'un bon de mon lit de paille, voyant une jeune femme morte à ma gauche.

- M-Monstre ! articule-je en le regardant mal.

- Humm, ouais. Tu peux te mettre debout malgré ton état ? remarque-il surpris. Bravo, rie-il salement alors qu'il est entrain se faire sucer par une enfant.

- Où suis-je ?! Répond fichu gars constipé ! cris-je d'énervement, regardant autour de moi, voyant de nombreux hommes présents faire leurs affaires.

- Tu te situes dans la cale de mon navire marchand, souriant de démence. Vous êtes mes belles marchandises ! caressant la tête de l'enfant, jusqu'à éjaculer dans le fond de sa gorge, la regardant. Avale et continue.

Cette enfant était totalement shootée à la drogue. Elle avale en continuant de plus belle, je l'aurais décrit d'au moins neuf ans. Je me mets à fixer mes mains et mes mollets. J'étais solidement attachée à une chaine qui trainé au sol.

- Et maintenant c'est l'heure de ton dressage... sourie-il d'envie, ramassant la chaine la tirant d'un coup sec, me tirant à lui.

- N-Non tête de bite, hurle-je à perdre voix, essayant de freiner en plantant la plante de mes pieds dans le bois. Je préfère mourir je te l'ai déjà dit !

- Humm, mais notre accord consiste bien que tu deviennes ma chienne ; en échange de la liberté de ton île ?

- N'importe quoi tu m'as battu lors de notre combat, c'est tout ! dis-je de voix enragée, devenant tremblante de rage. Je ne serais jamais ta catin !

- Tu n'as pas vraiment le choix, parlant de voix neutre. Aller approche ma poule, tirant sur ma chaine d'un coup sec.

Je vole presque de cause de l'impulsion, je me retrouvai dans ses bras. Il me lécha le cou sensuellement, sentant mon odeur. Je tremblai de dégoût, il me tenait fermement les fesses de ses grandes mains.

- Tu seras ma catin personnelle, crois moi petite fleur... murmure-il en éjaculant à sa guise dans la bouche de l'enfant. Je vais t'enlever ce tissu grossier...

- Tu es h-horrible comme ê-être.. h-humain ! articule-je de hargne, ayant un regard de terreur.

- Je le sais, tu n'as rien vu encore des mers. dit-il en se léchant les lèvres, déchirant d'un coup sec mon sarouel noir. Tourne-toi ou je te force.

Tremblante je me retourne, faissant claquer mes menottes entres elles. Il posa ses mains sur mes fesses, les malaxant.

- Quel cul, il est bien mieux sans vêtement... me donnant une grosse claque dessus, où je sursautai de douleurs. Reste sur tes deux pieds et bouge-moi tout ça, m'ordonna-il de voix ferme.

Avec un dégoût sans nom, vraiment tremblante je fis ce qu'il me dit. Il posa ses mains sur mes hanches, me guidant dans les mouvements. De peur et d'humiliation, je me pissai une nouvelle fois dessus. Il rit d'amusement, caressant mes fesses, posant une main sur l'entrée de mon vagin.

- Eh bien, si tu mouille déjà ; tu seras une merveilleuse fontaine... dit-il en me mordant brusquement la fesse droite.

- A-Aah aie, grimace-je alors que je reçois une claque sur l'autre fesse.

- Autre chose, le client voudra une chaudasse pas une peureuse. Penche-toi en avant en écartant les cuisses.

- J-Jamais, m-monsieur constipé... tremblante, écartant les cuisses.

- T'es futurs clients, tu l'ai appellera monsieur ou maitre. Me suis-je bien fait comprendre... ? commençant à bouger sa main rapidement, contre mon vagin.

- V-Va crever m-monsieur ! articule-je me penchant, pissant sous son geste.

- Une vraie pucelle, humm... allant plus vite dans son mouvement. T'aimes ça ma poule aux œufs d'or ? me claquant les fesses.

- O-Oui Aaaah... tremblante, ayant chaud peu à peu.

- Bien, reste debout. Tu peux gémir à ta guise, continuant son mouvement allant plus vite.

- Haaan... haaan... o-oui !! en demande-je plus, sous son rire malsain.

- C'est que tu commences à aimer, dit-il en se redressant me plantant une seringue dans le cou.

- A-Aie... qu'est-ce que c'est ?... me sentant devenir lourde, tremblante, sourie-je étrangement.

- C'est une substance qui va te rendre accro au sexe. A la fin de la journée, tu sauteras sur mon sexe, me claquant la fesse droite.

- Haan... j-je vois... Riririririri ! sourie-je vaseuse, alors qu'il se frotte à moi.

- T'aime ça hein... me murmure cela aux creux des lèvres, posant ses mains sur mon pull.

- O-Oui... m-monsieur... soupire-je me sentant bouillante d'un seul coup.

- Très bien petite... que la fête commence... susurrant mon lobe d'oreille, m'arrachant mon haut.

- Haan... soupire-je quand il me caresse ma poitrine, me collant à lui. A-Attend m-monsieur...

- Ouais ma catin ? continuant de se frotter, passant son membre entre mes cuisses.

-  T-Tu accepte que je te mord à sang... ? J-Je veux te tuer m-maître... haan...

Suite à mes mots il me retourna brusquement, prenant mon visage en coupelle. Le rouge me monte aux joues, tellement que j'en avais envie. Il fronce les sourcils, pensif, avant de me prendre en sac à patate sur son épaule, me portant jusqu'à un endroit de la cale où est installer des canapés et divers lits. Il me posa sans la moindre délicatesse sur un lit de plumes d'oiseau.

- Bien, compte sur moi pour te dresser comme la chienne que tu es. Approche jusqu'à moi à quatre pattes, dit-il en s'astiquant au bord du lit.

- O-Oui... me m'étant en position, avançant lentement le dévorant du regard.

- Intéressant, soit plus sensuelle dans ta démarche... continuant à s'astiquer, ayant en main une laisse et un collier.

J'écoute et me cambre me dandinant pendant que je me rends jusqu'à lui. Il me crache au visage, où j'avala son cracha avec un gémissement d'écœurement. Il me prit par les cheveux, me tirant à lui me m'étant à genoux.

- Avec ce collier de chienne, tu seras la meilleure de toute. me le m'étant, accrochant la laisse en cuir dessus.

- J-Jamais maître... en tirant la langue, voulant lui mordre le torse.

- Non salope ! cris-il prenant une grosse poigne de mes cheveux, me donnant un coup de poing dans le nez. Tu fais ce que je t'ordonne, rien de plus ! souriant de démence, me caressant le visage. Prend la...

Je regarde son membre gonflé et chaud devant mon visage. Alors que j'entrouvre ma bouche, hésitante, il me la mit bien profonde en bougent ma tête.

- Pas bouger salope, parlant de voix ferme. Tu vas me pomper jusqu'à ne plus avoir de salive. Aller commence, me claquant les seins entre eux.

Le regardant, je referme ma mâchoire sur son membre lui mordant à sang, ne le lâchant pas. Il hurla à la mort ce jour-là. Après une bonne dose de substance me faissant perdre la raison et de coups, je commence à faire de longs vas et viens en utilisant ma langue. Il lâche des insultes d'excitation, pissant dans ma bouche. Je continue plus rapidement en aspirant l'urine coulant le fond de ma gorge.

- Humm, Aah ... B-bonne fille... t-tu as un gros potentiel... t'arrête pas.

Le fixant, j'allai au même rythme continuant d'aspiré le foutre qu'il relâche. Avec ma salive et ma langue ma pipe se fait de plus en plus baveuse. A un moment il me prit la tête fermement, bougent de lui-même ma tête à une vitesse folle.

- Aaaah... b-bonne catin que tu es ! m'enfonçant son membre bien profond dans la bouche.

Il me laisse comme cela, jusqu'à se vider grandement. Du sperme sort de mes narines, ne pouvant respirée, je commençai à tourner de l'œil. Il me fit lâcher son membre dans un grand filet de bave. Reprenant ma respiration, il tire sur ma laisse me trainant parterre.

- A quatre pattes, le cul en l'air. m'ordonne-il en s'assoient sur le lit.

Suite à ça il me pénétra sans la moindre douceur. Prenant mes hanches de mains fermes, il me lima par tous les trous. Je gémis à en pleurer, j'avais horriblement mal ; il passa son plaisir personnel m'utilisant comme son vide couille.

- Aaaaaaaaah, ma meilleure boîte à sperme ! me donnant des derniers coups de reins violents, avant d'éjaculer à l'intérieur de mon anus.

- M... maît.. t-tre, e-encore... dis-je tremblante, trempée de sperme.

- Viens me nettoyer, s'exclame-il se retirant de mes fesses, debout derrière moi.

- O... o-oui, murmure-je très fatiguée, allant vers lui à quatre pattes.

- Bonne chienne, en tirant d'un coup sec sur ma laisse me ramenant à lui. Tu me rapporteras de nombreux Berrys avec ton cul...

- O-Oui maître... Riririririri !!! ris-je dans un état second, prenant en bouche son membre rempli d'excrément.

- O-Ohhh putain... frissone-il sous mes mouvements. Ça oui, tu vas me rendre riche sale chienne.

Après l'avoir nettoyé, il me tira d'un coup sec sur ma laisse, m'ordonnant de monter sur le lit. Je montai dessus comme un animal, d'une impulsion sur mes jambes. Il prit mes chaines pour la nuit, les attachant solidement aux barreaux de celui-ci.

- Ecoute petite catin. Dans la nuit il aura sûrement mes hommes qui viendront se vider. Je te fais confiance pour les accueillir dignement, dit-il en me claquant les fesses.

- Oui monsieur constipé ! ris-je étrangement, le voyant prendre une seringue de drogue, avant de me la planter dans la fesse gauche.

- Que t'ai bonne putain... installant une perfusion à mon bras droit. Pas toucher, ok ? s'exclame-il ironiquement.

- O-Oui monsieur ! Riririririririri !! M'allongent sur le ventre nue, ayant peu à peu la substance qui fait effet dans mes veines.

Je finis par succomber à ma fatigue. Plus tard dans la nuit, sur le pont les subalternes du gars constipé sont pour la plupart ivre. Dansant et chantant autour de nombreux barils d'alcools. Le constipé était en pleine conversation avec son second.

- Capitaine, cette donzelle est si particulière que ça ?

- Ouais elle a un cul splendide, avec de l'expertise. Elle est sauvage malgré qu'elle soit peureuse.

- Te connaissant Franck, tu vas la dresser comme une bonne chienne.

- Exacte. J'ai trouvé une idiote aussi bête qu'une poule, rie-il salement.

Ils rirent trinquant à leurs vies d'hors-la-loi. Alors qu'une longue fête sur le pont commence, ils se rappelèrent des aventures passées sur ce navire marchand. Peu à peu des membres de l'équipage titubant se rends jusqu'à la cale, pour se vider les bourses.


De mon côté je dormais profondément, pendant qu'une fille de mon âge s'approche de mon lit. Elle avait de court cheveux blond cendré accompagné de trois yeux noirs de jais. Portant simplement des sous-vêtements en dentelle de cette même couleur.

Elle posa une main sur mon épaule, la secouant légèrement, ce contact suffi pour me faire ouvrir les yeux. Une conversation sourde commença entre nous, jusqu'à qu'elle me tend sa main.

Me redressant je pris ce qu'elle me tendait. C'était mon escargophone et mes cartes de vie. Elle me sourit de toutes ses dents sous mon regard surpris.

- Merci, juste... comment ? demande-je à voix faible.

Alors qu'elle allait répondre elle se fit descendre sous mes yeux. Elle tomba sur le côté, cognant contre le rebord du lit, où une giclée de sang sortie de son crâne.

- A-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !! cris-je de terreur, voulant me rendre vers elle, mais je fu bloquer par mes chaines. N-Non, non non non !! tremble-je.

- Ahahahahahahaaaa que c'est amusant, dit un homme avançant jusqu'à nous.

- Toi ! Tu l'as tué ! cris-je d'une rage folle, ayant le regard mauvais.

- En effet, tu as l'œil petite chiennasse, sourie-il d'ivresse. Franck a raison tu es un bonheur pour les yeux.

Alors qu'il me caresser des yeux, il s'arrêta sur ma poitrine. Autour de son cou avait été accrocher des clés. Après l'avoir observé je remarquai qu'il ait armé et sportif surtout.

- Approche et je te la bouffe à sang ! dis-je d'une voix froide, ayant caché mes affaires dans mon dos.

- Mais c'est qu'elle mordrait... ? sourie-il d'amusement, s'approchant du lit.

- Absolument mon cher, dis-je en écartant les cuisses. Venez vous tenter à l'impossible ? sourie-je de malice.

- L'impossible n'est pas pirate, mademoiselle... sourie-il s'approchant, glissant ses mains sous mes cuisses, me tirant à lui.

- M'enfin, approchez j'ai envie d'apercevoir de plus près ce visage de mauvais garçon... tirant sur mes chaines aux poignets, me léchant les lèvres le fixant.

Il lâcha son dernier rire. Quand il approcha son visage près du mien, j'ouvris docilement la bouche et lui offris ma langue. Aussitôt sortie, il s'empressa de l'emmêler avec la sienne en un baiser passionné et sauvage. En oubliant de respiré, je continuai cette salade de langues devenant de plus en plus baveuse. Il glissa le guidon de son revolver dans mon vagin, relâchant mes lèvres dans un filet de bave.

- Putain qu'elle chienne... se murmure-il à lui-même, hypnotiser par mes pupilles blanches.

- Libére-moi par pitié... monsieur, dis-je en couinant tirant sur mes chaines.


Le fixant dans le fond des yeux, alors qu'il caresse lentement mon appareil reproductif, de son autre main attrapent son trousseau de clé. Le cœur battant de la situation, il me détacha.

- Prend soin d'moi petite salope... me mordant le cou fortement.

- Aaaah... retenais-je un cri étant libre des mains, me collant à lui.

Dans le mouvement il s'allonge retirant son arme de mon vagin. Posant ses mains derrière sa tête me fixant avec un sourire en coin. Je le regarde hésitante avant de fuir d'un bon. Il fu plus rapide et m'attrapa me plaquant contre le lit, un bras dans le dos.

- Alors peureuse, mademoiselle ? posant un genou sur ma tête, appuyant fermement.

- J-Je... tremble-je de rage, serrant les dents. V-Vous êtes en pleine mer ?

- C'est exact. Tu ne pourras pas vraiment t'enfuir, de plus avec ton corps de mouche...

- Je... je ne souhaite pas être ici ! cris-je essayant de me dégager.

- Ah ouais ? Ton destin est injuste, pauvre peti-

- M-mais la ferme ! hurle-je à perdre voix. Mon r-rêve c'est d'être libre !! Tu peux me comprendre non ?! UN JOUR JE SERAI LIBRE ET MEME SI JE DOIS EN MOURIR POUR CELA !!

Je l'avais à un point hurlé que toute la cale me regarda. Un silence régner, j'étais plus qu'énerver sous cet homme en tenue d'Eve.

- V-Vous avez votre navire pouvant aller où b-bon... vous semble. J-Je n'ai p-pas la force pour me défendre, hurle-je réalisant ma situation. Je... suis... je suis... dis-je faiblement, ayant les paupières lourdes.

- J'aurais dû faire ça plus rapidement. plantant une dose de substance dans ma hanche. Tu casse les couilles à tout le monde, sale pute mal dresser...

- J-Je... partirai... d.... i-ici... murmure-je, jusqu'à partir vers les songes.


Malgré mes diverses tentatives de fuites, je restai sur ce bâtiment.  J'avais même réussi à prendre un jour un revolver et d'abattre trois marins, je fu battu à sang, remis sur ce fichu lit. Avec une force de vivre, j'essayé à chaque instant de sortir de celui-ci. Et à chaque fois j'avais reçu une bonne raclée.

Je n'avais pas quitté ce lit d'merde de mes seize ans jusqu'à mes dix-huit ans. Je fu sa poule aux œufs d'or, comme il m'appelai. Son navire marchand navigua fièrement dans une grande partie des cinq zones maritimes de ce monde ; j'en avais vu passer des queues.

Jusqu'à un matin âgée de dix-huit ans. Un pur miracle se produit.

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