Chapitre deux.

- Que fessons-nous de l'enfant, amiral ? demanda un soldat, après un moment de silence.

- Nous avons reçu des ordres du CP0, tuons-le. Que Justice absolu soit faite. s'exclama-il tenant le nourrisson par le pied, le guidon de l'arme poser sur sa tempe.

L'amiral avait depuis toujours un problème de vision, il était à moitié aveugle de l'œil gauche. Alors qu'il tient par d'une main ferme le pied l'enfant et de l'autre, son arme poser sur la tempe du môme. Il s'arrêta de pleurer pour fixer le soldat dans les yeux.

- Qu'est-ce 'ta ? Je vais t'abattre, tu l'sait... parlant de voix hésitante, malgré son cœur de pierre.

Une petite nuée de pétales noiraudes entoura l'enfant. Où le soldat lâcha un cri, se recevant cette nuée directement dans l'œil malade en question. Il lâcha l'enfant plaquant ses paumes de mains brusquement sur ses paupières.

- Aaarh, b-bordel ça brûle ! gémis-il serrant ses dents, pendant qu'un soldat récupère de justesse le bébé tombant.

- Amiral, votre œil ! s'étrangla le soldat qui tiens le nourrisson dans ses bras, voyant qu'il est ensanglanté. Pauvre enfant...

- J-J'ai retrouvé la vue... dit-il totalement choqué, regardant ébahi le bébé. Cet enfant n'est pas ordinaire. Ont pourraient se faire des milliers de Berrys sur sa pomme ! ria salement le marin.

- Nous devons lui apporter des soins d'urgences. Sinon ce nourrisson ne survivra pas au voyage.

Dans la soirée ils avaient repris la mer et appliqués les soins au nourrisson. Ils se sont aperçus que si Mark est rester en vie lors son exécution s'était grâce au lien du pouvoir des pétales de lys de son enfant, involontairement. Lors des soins du bébé, ils avaient découvert des traces fines et net de coupures sur sa peau. Ouvrant à vif le petit bras droit de l'enfant, ils remarquèrent que son sang soit un mélange de pétale de Lys et de globule rouge.

Ils se saisirent de nombreux échantillons, voulant envoyer tout cela à une base de la marine la plus proche. Jusqu'à qu'il commence à cicatriser de lui-même, ses coupures se referma une par une. Une autopsie du corps de ce bébé dura deux jours entiers. Alors... qu'il respire et qu'il s'accroche à la vie de toutes ses forces, sans manger et boire une vraie force de volonté.

Quarante-huit heures, où ce bébé n'arrêta pas d'un seul instant de pleurer de souffrances. Jusqu'en fin de soirée, alors que le navire de la marine navigua sur les flots près de Calm Belt.

- Ce gosse n'arrêtera pas de pleurer. On ne peut pas lui couper les cordes vocales ? bailla un soldat, montant la garde sur le pont.

- Non, l'amiral souhaite vendre ce môme au plus offrant. s'exclame un soldat de voix forte, pour se faire entendre des cris de l'enfant.

- Je vois ! Il n'a aucun risque qu'un Monstre Marin s'en prenne à notre bâtiment hein ? demanda-il inquiet.

- Eh bien... le fond du bateau n'a pas en sa possession de Granit Marin. ria nerveusement le marin. Mais il n'a aucun risque que... Bah Kévin, ta quoi ? voyant son collègue devenir blanc de teint, la mâchoire jusqu'à sol.

Il se tourna vers la direction du regard de son collègue, pour apercevoir dix immenses Monstres Marins sortis des eaux entourant le navire. Il devient livide de teint, ayant lui aussi sa mâchoire jusqu'à sol.

Avant qu'il pu émettre un cri, les monstres marins croquèrent d'un coup de mâchoire le navire de la marine.

Le nourrisson étant déposer à l'intérieur d'un panier en osier ; fu emporter par le courant des vagues de l'océan. Les Monstres Marins interloqués encercla le bébé, dont un qui grogna à quelques centimètres de son visage.

- Riririririririririririri !! ris l'enfant, d'un rire particulier.

Il ria d'une joie de vivre tapant dans ses petites mains, très amusé de la situation.

Ne sachant pour qu'elle raison, ce monstre marin se pris d'affection pour ce petit être humain. Il l'accompagna avec les neufs autres monstres jusqu'à l'entrée de la mer de West Blue, le trajet dura une semaine. Le mardi les monstres trouvèrent un ilot de terre avec un gros bananier sous celui-ci une marre d'eau. Aussi, d'un naufrager âgé d'environ dix-huit ans, ayant une tignasse verte clair bouclé, les yeux gris souris sous le nom de Bobby.

- Qu'est-ce-que ? murmura-il en se redressant, apercevant les dix monstres marins entourés un panier en osier. Le soleil m'a trop tombé sur le crâne ou quoi... ?

Avec prudence il avança, croyant qu'il aura du bon vin dans ce panier. Il aperçut un bébé en piteuse état, tâché de sangs secs et respirant mal. Un des monstres grogna quand il s'approcha de trop. Le monstre trop nerveux, lui offris une blessure du haut du front jusqu'à l'œil droit. Sous les rires du nourrisson, Bobby blesser pu récupérer ses affaires pour monter sur un des monstres, nourrissant le petit avec de la purée de banane et de l'eau.

Le reste de la semaine se passa sous les doux rires de l'enfant, sous le clapotis des vagues et des grognements d'amusements des monstres. Bobby n'avait jamais vu une scène aussi particulière ; c'était comme si le bébé pouvait communiquer avec les bêtes.


Le dimanche matin les monstres arrivèrent vers l'entrée de West Blue. D'un même mouvement, ils plongèrent dans les eaux profonde offrant un réveil violent à Bobby. Aimons Bobby, s'il vous plaît.

- Q-Quoi ?! Quand ?! Comment ?! Pourquoi ?! cria-il ayant bu la tasse.

- Riririririri ! 

- Ouais... fiche toi d'moi toi ! s'exclama-il les dents en pointes, allant jusqu'au panier. Bon, tu n'as rien d'important. 

Il commença à regarder autour de lui, heureusement que Bobby était un bon nageur. Il prit dans ce panier sa longue vue, regardant avec cela l'horizon.

Jusqu'à apercevoir une tâche sombre entourée de nuages vert en formes de clé de Sol. Il sourit de ténacité, nageant jusqu'à ce point.

- Faite que cette île soit habitée... pensa-il en nageant la brasse.

Une fois arrivé à cette tâche sombre, il s'aperçu que c'était un début d'une crique de sable rose et de palmiers violet. Soufflant et tremblant de ses efforts, il se remis debout après avoir bu la fin de sa bouteille d'eau grossièrement. 

- O-Ok ! Maintenant tu trouve un putain d'village Bobby. Parla-il à lui-même récupérant le panier en osier.

Plus il avança dans la crique, plus il remarqua que cette île était habitée. De grands hamacs jaune étaient attacher un peu partout sur les palmiers. Il trouva une forêt de palmiers rouge et violet touchant presque ciel. 

- J'vais faire une overdose de couleurs vives... déglutissant légèrement.

- Halte qui êtes-vous ! cria une voix très enfantine sortie de nul part.

- Comment ? C'est quoi encore ce merdier... soupira-il. Ecoute la voix, j'ai un bébé avec moi ! Ont à besoin d'un abri le plus rapidement possible !

- Parlez plus fort, je n'entends pas ! cria la voix sans pour autant se montrer.

- Riririririri ! ria l'enfant de la situation.

- J'ai besoin d'un habitat pour le petit et moi-même ! hurla-il à perdre voix, regardant les différents palmiers.

- Je ne comprends pas ! Parlez plus fort !

- Merde, active ta race et montre toi ! hurla le naufrager les dents en pointes.

- P-Pas la peine d'être agressif... dit la voix tremblante.

Suite de cette douce et agréable conversation, un homme âgé d'environ quatre-vingt-deux ans descendis agilement d'un palmier violet. Cet homme portait une contrebasse verte sur son dos vouté, il était petit mesurant un mètre soixante-deux, des pupilles brunes pour des restant de cheveux bruns sur le crâne. Portant des habits en soie assez usé mais très beau de musicien.

- Un vieillard musicien ? dit-il surpris. Eh l'ancien, tu es assez costaud pour porter cet instrument ?

- B-Bien sûr que oui ! J-Je me nomme Paul ! parla-il d'une voix très enfantine, ressemblante à celle d'une fillette. Que nous voulez-vous ?! utilisant sa contrebasse comme d'une arme.

- Eh calmos. Je ne viens pas ici pour de mauvaises intentions. Je suis un naufrager qui a trouvé trois monstres marins entourant un panier. Cela m'a conduit jusqu'à votre île. 

Il dû se recevoir des violents coups de contrebasse donner par le vieillard. Pourtant c'était la simple vérité, non ? 

- C'est quoi ton problème vieux con ?! hurla Bobby, les dents en pointes.

- R-Racontez moi la réalité ! s'exclama l'ancien d'une voix faible.

- C'est la réalité... Hey !

Bobby récupéra de justesse l'ancien qui venait de faire un malaise. La contrebasse touchant sol, il souffla d'énervement.

- Ce genre de situations m'arrive en permanence ces temps-ci. Bordel j'vais faire quoi d'lui ? l'installant sur son dos, récupérant la contrebasse au passage.

- Riririririri ! ria le bébé amusé.

- Ah ouais ça t'amuse toi ? ayant une veine d'énervement sur le front.

Charger comme un bœuf, il avança dans cette forêt de grands palmiers. En fin de soirée, il fu devant une ville totalement unique. Une synthèse d'éléments de couleurs flashy, ses pavillons copiés-collés de rouge, de rose, de violet et de blanc.

- Tout est très coloré ici... dit-il en ayant un fard de dégoût.

- Grand-père ! cria une voix.

- Hum, qu'est-ce-qui se passe encore ? pensa-il, voyant une fille rondelette courir vers lui. Y'a du monde au balcon...

- Que lui est -il arrivé ? Je m'appelle Lyssandra Wren. Je suis l'adjointe et petite-fille du maire. 

- Je me nomme Bobby Léonard. Je suis musicien d'un équipage pirate étant anciennement œnologue (un grand goûteur de vin). Ton grand-père à fait un malaise dans la forêt des palmiers.

- Ah, sérieux ?! s'offusqua la ronde. Venez, allons jusqu'à la mairie pour qu'il se repose.

Disant cela, elle ne lui laissa pas le temps de répondre. Elle était déjà partie en courant vers la mairie. Bobby du courir à sa suite pour ne pas la perdre de vue. Une fois devant l'établissement, il remarqua que la peinture était fraiche, mais surtout rose bonbon. Il n'est vraiment pas habitué à autant de couleurs vives.

- Voilà sa chambre est au premier ! cria-elle, redescendant de nombreux escaliers jusqu'à tomber en avant, faisant une pirouette pour se retrouver sur ses deux jambes. 

- Eu... d'accord, je te suis. Ayant une goutte derrière la tête.

Il monta à l'étage voyant accrocher aux murs des cadres photos illustrant la famille et amis du vieux. La chambre était composée d'une armoire à vêtements, d'un bureau et d'un grand lit deux places. Il posa l'ancêtre sur son lit, un lit en acier bleu clair. Lyssandra posa la contrebasse sur ce bureau de la même couleur.

- Je peu te demander la cause de son épuisement ? demanda-il sortant de la chambre.

- Il a cela trois semaines, la vie au village est devenue compliquée. Un beau matin, un grand nombre de bandits de la plaine ont attaquer notre île. dit-elle en s'assoient sur une marche de l'escalier. Grand-père en fu grièvement blesser, perdant son fils et sa jambe droite lors de la bataille. En ayant marre de n'avoir reçu aucunes aides de la marine ; il construit de lui-même une tour-prison. Avec l'aide des hommes et garçons de l'île, il enferma une grande partie des hors-la-loi qui attaquèrent notre île.

- Hum, je vois, venant s'asseoir à côté d'elle. Lors d'une tempête mon navire ainsi que mon équipage coula au fond de la mer. Je nageai jusqu'à un îlot de terre, il a de ça une semaine. Jusqu'à apercevoir un groupe de monstres marins qui entourés cet enfant. s'exclama-il en pointant du doigt, le panier en osier poser entre les deux adolescents.

- Ah, sérieux ? s'offusqua-elle de nouveau. Que faisait un nourrisson entouré de monstres marins, en pleine océan ?

- Je n'en est pas la moindre idée. souria-il tournant sa tête vers le panier. Mais ce petit m'a sauvé à la vie. C'était comme s'il communiqué avec eux.

- L'Océan nous dévoile ses mystères de jour en jour. ria-elle lentement, se redressant. J'habite avec mon grand-père, le temps que vous vous retrouvez une embarcation coucher donc ici.

- Entendu, merci à toi.



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