Chapitre cinq.

- Hey toi ! cris-je en sautant sur le dos d'un homme. Où se trouve le gars constipé ? 

- Aaaah t'es qui toi ?! ne m'ayant pas vu arrivé, ayant des sueurs froides.

- Moi ? Je me nomme Julia D. Swann, enchantée ! dis-je avec un grand sourire.

D'une impulsion de mes jambes, je fu en haut d'un toit évitant de justesse des tirs de balles.

- Va chier il faut que je réfléchisse à un plan d'action, le gars constipé m'a dit dix minutes, dis-je en pensant fortement, jusqu'à me masser le crâne. Aah je n'ai rien trouvé. Tant pis, il faut que mes proches restent en vie.

- Capturez-moi cette fille ! crie un homme habillé tout en noir.

- Pas la peine, j'me rends. dis-je de voix lasse, sautant du toit les mains derrière la tête.

- Quoi ?! crie-il toujours, m'ayant en joue de son arme.

- T'es sourd en plus ? demande-je désespérément. Je me rends, conduis-moi jusqu'à ton chef.

- Quoi ?! hurle-il plus fort, tendant l'oreille.

- Et bien il a eu une belle vie lui.

- Attachez-la solidement vous autres ! crie-il toujours à perdre voix.

D'un geste brusque je fu plaqué au sol. Deux types me mis les bras derrière le dos, me mettant aux poignets et aux mollets des chaines relier avec des menottes.

- Bah en route ? dis-je en bayant de voix lasse, me relevant.

- Ferme-la ! Avance jusqu'à notre boss ! crie-il, sûrement l'adjoint de l'opération.

- Amen... dis-je désespérément, ce qui me valut trois bosses sur le crâne.

- FERME-LA !! crie-il en me prenant par le collet.

- Ah, je n'en ai pas envie... Tu pue de la gueule. Tu veux un chewing-gum ? dis-je de voix lasse, en devenant blanchâtre de teint.

- Oh, je pu d'la bouche ? crie-il toujours, mais cette fois de surprise.

- Bah ouais, dis-je en étant toujours soulever du sol par l'homme.

- Merci j'en ve-... Ferme-la et avance ! crie-il en me relâchant. Aller avance !

- Je n'en ai pas envie. Je te l'ai déjà dit pourtant ! Riririririririri !

- Ferme-la, ferme-la ! crie-il en perdant patience.

- Non je t'ai dit, Riririririri ! ris-je sous ses coups.

Sous les regards choqués ou amusés de ses collègues ont avança dans la ville des notes. Plus je découvre au sol des habitants très blesser, cette attaque est vraiment horrible. Mes pensées se tournaient essentiellement sur les trois adultes de mon enfance.

- Nous sommes arrivés, aller rentre. crie-il me poussant dans une grande maison de la taille d'un palace.

- Hum, où on est encore ? me prenant des coups supplémentaires de la part de l'homme.

- J'ai dit de te taire ! crie-il, jusqu'à en avoir marre. Oh fait ce que tu veux... murmure-il en partant loin de cette maison.

- Hey ? Mais reviens ! Je vais me taire t'inquiètes pas ! Bah il est parti. Riririririri !! ris-je de la situation.

- Tiens, tu es donc arrivé jusqu'à moi de façon particulière. rie salement, une voix dans l'ombre de l'habitat.

- Humm, mais cette voix ? Le gars constipé ! hurle-je ayant un regard mauvais. Montre-toi, sale lâche !

- Tu ressembles vraiment à ta mère... une beauté, continuant de rire de l'ombre.

- Laquelle ? Ma mère adoptive ou celle qui m'a mis au monde ? demande-je d'une voix lasse. Montre-toi à la fin.

- Enfin celle qui t'a mis au monde... t'es conne ou quoi ? dit la voix s'arrêtant de rire.

- Oh fait gaffe ! cris-je d'énervement, les dents en pointes. Viens ici que je te démonte !

- Que de vocabulaire dans la bouche d'une femme...


Sous un rire mauvais, une tornade de feuilles se matérialise devant moi. Cette dernière se forme, jusqu'à voir un homme d'environ cinquante ans de taille moyenne les yeux rouges, chauve et gras. Il me fixe de la tête aux pieds ayant de la bave qui coule le long de ses lèvres.

- Branle-toi aussi ? demande-je de stupeur, le voyant se touché me matant.

- Si tu me le permets... j'aimerais t'avoir pour une nuit ! sortant son membre de son bas, s'astiquant.

- Et bien les mystères des mers sont particuliers. pense-je en ayant une goutte derrière la tête. Peux-tu m'indiqué où se situe mes parents et mon grand-père ? parle-je de voix calme.

- En l'échange de ton corps... lâchant un râle, s'astiquant plus rapidement.

- Tant pis je vais voir par mes propres moyens ! dis-je en courant vers une direction. PAPY, BOBBY, LYSSANDRA VOUS ETES LA ?! hurle-je à perdre voix, poursuivi de cet homme qui s'astique.

Je couru à grande vitesse prenant impulsion sur mes jambes faissant une crevasse au sol, allant dans toutes les pièces supérieures de cette maison-palace. Il avait arrêté de se toucher pour me rattraper plus rapidement.

- Mais c'est la maison de Léo, il avait quel métier sur l'île encore ? l'évitant, donnant un coup de pied dans le grand frigo de la cuisine sur lui.

- Aaah... petite. Les formes que tu as, quand tu deviendras ma catin... ayant le nez qui saigne, se redressant lentement poussant le frigo d'une main.

- Dans la salle d'eau sûrement, il était plombier ! dis-je à moi-même ouvrant des portes d'un coup de pied. PAPY, BOBBY, LYSSANDRA VOUS ETES LA ?!! hurle-je en montant les nombreux escaliers.

- Reviens ici ma poule aux œufs d'or ! rie-il en me suivant de près. Tu vas dans un endroit clos ma petite...

- M-Merde ils n'sont pas là ! parle-je en reprenant ma respiration, en face d'un miroir nous renvoyant notre reflet. Le gars constipé je l'avais oublié aussi ! pense-je me retournant, le fixant avec froideur.

- Tu seras bien plus essoufflé après, murmure-il avançant vers moi, me plaquant contre le miroir qui se brisa sous l'impacte.

- Je préfère encore mourir de tes mains que de devenir une fille de joie ! cris-je de hargne lui donnant un coup de pied dans le ventre, où son ventre s'ouvre en feuilles. Je te tuerais avant que tu m'emmène avec toi sur les mers ! lui crache-je au visage, envoyant mon second pied en pleine tête qui celui-ci passa dans son corps de la même manière.

- Ah oui, quel courage. rie-il salement, refermant son ventre et sa tête autour de mes tibias. Pourquoi tes jambes tremblent alors ? se lécha les lèvres d'amusement. Une pauvre petite proie sans défense...

- Va te f-faire foutre, articule-je avec du mal et surtout de rage, n'arrivant pas à me dégager.

- Humm, non. J'aimerais te foutre par contre... m'embrassant de force, où je lui mords à sang sa lèvre inférieur. Arrh, saleté ! se tenant la bouche me donnant un gros coup de poing dans le pif.

- A-Aie !! cris-je en lançant mon pied libre en plein cœur, me libérant. J'irai me faire f-foutre moi-même ! hurle-je en brisant les chaines de mes poignés, lui donnant une droite mémorable, le faissant voler jusqu'à l'intérieur de la baignoire. Tue-moi maintenant ou j'avale ma propre langue ! cris-je de hargne tremblante comme jamais.

Tremblante de rage ne pouvant fuir sortant mon arme de ma ceinture le visant. Je ne lâchai pas d'un instant le gars constipé des yeux. Il me regarda longuement m'analysant, se redressant jusqu'à sortir de sa ceinture son arme.

- Très bien, je vais exaucer ta requête, me visant de son fusil.

- Ok je ne te louperai pas, sourie-je de ténacité.

Quand il enleva la sécurité de l'arme j'inspire un grand coup me concentrant, pour ne pas rater ma cible. 

- Non, dit-il blaser tirant en l'air. Ma poule aux œufs d'or restera en vie.


Dans un élan de courage je lui tirai une balle entre les yeux. Alors que je cru que son corps aller tomber raide mort me permettant de rechercher mes proches, il se transforme en tornade de feuille. Pour se reformer d'un instant devant moi m'empêchant de bouger, me plaquant au sol. Devant mon regard choqué il rit salement.

- Tu me croyais véritablement idiot ? J'ai mangé un fruit du démon de type Logia, les balles normales ne me font rien... me bloquant au sol avec des lianes de feuilles.

- S-Sale monstre, dis-je difficilement ayant une liane qui s'enroule autour de mon cou.

- Tu resteras une faible fille. Mes collègues et moi-même, nous allons bien nous amusés avec toi. rie-il salement, serrant sur sa prise.

Je commençai à voir flou, ne pouvant bouger de la moindre articulation. Il sorti une dague de sa ceinture l'approchant de mes pupilles.

- A-Attends qu-u'est ce que t-tu fiche ?! dis-je d'une voix étranglée ; la liane continuant de resserrer mon cou.

- Je vérifie une théorie sur le clan D. Swann, souriant de démence plantant sa lame dans mon œil droit.

- A-AAaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !! A-Arrête ! hurle-je de souffrance, alors qu'il me retire le globe oculaire droit, l'arrachant de mon crâne.

- Aaaah ma si jolie petite proie... se léchant ses lèvres d'excitation, s'attaquant à l'autre réalisant le même procéder.

Les orbites trempées de sangs respirant faiblement, tremblante de souffrance respirant faiblement par la bouche. Mon pouvoir des pétales de Lys s'activa en urgence, des pétales de fleurs noirs et violettes sorties de mes orbites vides. Pour reconstruire des pupilles neuves ; grâce à mon pouvoir.

- Aaaah ma poule aux œufs d'or est bien comme sa charmante mère ! chante-il en ayant de la bave qui coule me fixant.

- J-Je n'abandonnerais pas tête de bite ! grimace-je en ayant la liane qui commence à me rendre le cou violacer.

- Tête de bite ?! crie-il les dents en pointes.

- T.. t.. t'es so..o-urd .. ? parle-je difficilement, n'arrivant plus à respirer à cause de cette liane. J'ai plus d'air, putain mon corps ne veut pas bouger... c'est la fin ?! pense-je.

Me voyant perdre peu à peu connaissance, je sourie de toutes mes dents sous son air soucieux. J'allai peut-être vivre un début d'aventure sur les mers.

Perdant totalement connaissance, il rit salement se relevant me prenant par le cou comme une vulgaire poupée. Il me relâcha sans la moindre attention une fois devant ses hommes. Mon corps tombe au sol n'émettant plus le moindre geste. Le chef s'habille convenablement, toussant avant de se tourner vers ses hommes.

- Libérez les otages et cassons-nous d'ici.

- M'enfin boss vous n'êtes pas sérieux ? Nous allons enfin avoir un quartier général, s'exclame un subalterne.

- Nous avons l'enfant, le reste m'importe peu.


Je me réveillai dans un endroit humide et peu éclairé. Je ne savais pas où je me situai. Regardant autour de moi, je pouvais apercevoir de solides chaines autour de mes poignés et pieds.

- Ne fait pas de bruits gamine, tout ira bien, murmure une voix faible à ma gauche.

- Q-Quoi ? O-Où suis-je... ? demande-je avec une voix à peine audible.

- Dort un peu tout ira bien. Ils nous ont injectés une drogue dans le sang, tu ne peu rien faire, murmure une seconde voix de femme.

Malgré de nombreux efforts mes paupières se fis très lourde. Je pars dans un long sommeil ; allongée la tête contre de la paille, je crois. Pendant que je dormais un souvenir me reviens en tête, il a de ça une semaine.


J'en profitai au maximum des week-ends pour rendre visite à Bobby dans son chalet près de la montage ouest de l'île. Il m'aida à faire des exercices, surtout de mathématique, puis me proposer toujours une partie de jeu de cartes ou d'un jeu d'échecs avec lui.

- Echec et mat ! Riririririri !! ris-je sous son regard choqué, alors que j'ai son roi dans les mains.

- E-En cinq coups ?! se frottant sa tignasse verte bouclé brusquement. U-Une revanche sale gosse !

- Oh, je n'ai pas envie... ça va faire la dixième partie, dis-je de voix lasser levant les yeux au ciel.

- Ah déjà ?

- Bah oui, dis-je en soupirant.

- Hm, dit moi sale gosse ? dit-il alors que Lyssandra s'assois à sa gauche, posant avec elle du thé chaud.

- Merci maman ! sourie-je de toutes mes dents, en prenant ma tasse de thé. Oui Bobby ? Tu vas perdre encore, ne me demande pas un concours de dessins ou bien de musique hein ! m'exclame-je rapidement, buvant mon breuvage.

- Ah, je voulais t'annoncer que tu vas avoir un petit-frère.

- Quoiiiiiiiiiiiii ?! cris-je recrachant ma boisson sous l'effet de la surprise.

Le couple rie face à ma réaction avant de se regarder avec une grande tendresse, s'embrassent avec tout l'amour qu'ils avaient l'un pour l'autres.

- Vous êtes moche là, arrêtés vos trucs ! crie-je totalement dégoûter.

- Nos trucs s'appellent l'amour Julia, s'exclame Bobby avec un clin d'œil. Au fait, c'est bientôt ton anniversaire non ?

- Mon... anniversaire ? Je ne sais pas, la date où je suis venue au monde. rie-je tristement, me réservant du thé.

- Et bien en tout cas, voici ton cadeau sale gosse. sourie de gentillesse, tendant un petit paquet.

- Merci... ? en regardant plus que surprise, le paquet.

A l'intérieur se trouver un escargophone violet. Il me sourit, heureux de me rencontrer. Je lui rends avec joie. Aussi, de quatre grands papiers blancs. Redressant la tête vers mes parents adoptifs, ne comprenant pas.

- Voici ta carte de vie, ainsi que les nôtres et celle d'Oyaji. Ce morceau de papier est à l'épreuve de l'eau et du feu. Nous avons déjà pris un morceau de la tienne, expliqua Lyssandra, dans les bras de son homme.

- Oh mais... j'ai déjà lu un livre qui expliqué l'utilité de ce truc. C'est normal de trouver une carte de vie sur Grand Line ? demande-je interloquée.

- Tu es très rusée sale gosse. Non, un membre de mon ancien équipage originaire du Nouveau Monde, m'en avait fait cadeau.

- C'est trop bien merci ! Dit comment sont les eaux du Nouveau Monde ?! crie-je ayant les yeux qui pétilles. Et comment m'avez-vous pris un ongle de pieds ?!  hurle-je les dents en pointes.


Ma réaction fit rire de nouveau le couple, sous mes cris de mécontentement face à leurs moqueries.

Sur les rires de mes parents adoptifs, j'ouvris les yeux de nouveau dans cet endroit glauque. 

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