Chapter 8 : A Day in Tokyo

Bien heureux de pouvoir aller me promener avec Yuuri aujourd'hui, je devais tout de même attendre le début de l'après midi, heure où nous étions donnés rendez-vous. J'avais donc la matinée entière de libre et trop excité pour notre balade avec Yuuri dans Tokyo, je me réveillais de bonne heure. Décidant de profiter de notre séjour au Japon qui commençais à bien s'écourter, nous partîmes avec Yuri et Yakov visiter l'un des plus célèbres sanctuaires de Tokyo : le sanctuaire Meiji-jingu.

Ce fut bien l'un des lieux le plus magnifique que j'ai pu voir un jour. Isolé dans une sublime forêt boisée en plein cœur de Tokyo, je fus émerveillé par tout ce que mes yeux pouvaient voir et encore plus par l'immensité du portail en cyprès, le Torii, qui s'élevait en plein milieu de l'enceinte. Plus encore, je fus extrêmement surpris du calme qui avait soudainement pris mon jeune ami Yuri. Lui qui avait pesté sur l'inutilité de faire des visites culturelles pendant tout le trajet, il s'était désormais tut et observait le décor avec une sérénité que je ne lui connaissais pas jusqu'alors. Il semblait... en paix. Je souris à cette vue en me demandant ce à quoi il pouvait bien penser. Je vis que Yakov lui aussi avait remarqué l'inhabituel comportement de Yuri en ce lieu et nous nous mîmes d'accord par une promesse muette que la prochaine fois que notre jeune adolescent s'énerverait pour un caprice, nous l'enfermerons pendant une semaine dans un temple. Tous deux souriant de notre accord, nous reprîmes notre marche silencieuse.

Après notre visite et notre longue marche, nos estomacs criaient famine et nous nous arrêtâmes dans le premier restaurant que nous trouvâmes. Et ce fut une fois notre faim rassasiée, que je parti en courant en lançant un semblant de mot d'excuse. J'avais juste tellement hâte de revoir Yuuri. Nous nous étions donné rendez-vous à quelques pâtés de maisons du temple, dans le Shinjuku Gyoen, un immense jardin. A cette époque fraiche de l'année, les très fameux sakuras n'étaient pas encore en fleurs mais mon jeune ami japonais m'avait promis que le jardin valait quand même le détour.

Je courais sous les regards intrigués des promeneurs à travers le parc pour aller jusqu'au point de rendez-vous. Yuuri m'y attendait déjà, accoudé à la rembarde d'un pont. Il semblait perdu dans ses pensées, ses cheveux flottant dans le vent frais de l'après-midi. Souriant face à cette vision paisible, je courais sur les derniers mètres pour le rejoindre et appela son nom lorsque j'étais près de lui. Il se retourna vers moi et me sourit aussi en me faisant un signe de la main.

                -Bonjour Victor ! Comment vas-tu ?

                -Bien merci, Et toi ?

                -Très bien, je dois t'avouer que j'avais hâte de passer cette après-midi avec toi...

Il finit cette phrase en détournant la tête, les pointes de ses oreilles rougissantes. Yuuri était réellement la créature la plus adorable qu'il existait sur Terre.

Je lâchais un petit rire et répondit aussi :

                -Oui. Moi aussi...

L'après-midi fut absolument merveilleuse. Bien que cela faisait 4 ans qu'il travaillait à History, cela faisait presque 5 ans qu'il habitait à Tokyo. Il avait rencontré Phichit 3 mois après son arrivée dans la capitale, lorsqu'il s'était rendu compte qu'il lui serait impossible de tenir un loyer par lui-même. Ce fut une grande histoire d'amitié au premier regard. Autrement, ses journées étaient composées plutôt simplement : trois jours par semaine il donnait des cours de danse dans un petit studio, notamment des leçons de pôle dance, et donnait une à deux représentations par soir à History. Ce petit train de vie semblait lui aller et lui permettait d'avoir beaucoup de temps libre bien qu'il passait la plupart de ce temps à s'entraîner pour ses chorégraphies ; il faisait un peu penser à moi-même. Il me confia aussi qu'il était heureux de passer son après-midi avec quelqu'un pour une fois. Pourtant, en l'entendant parler de la routine de ses journées, il me sembla percevoir autre chose dans sa voix, comme une sorte de nostalgie... Mais cette impression passa bien vite lorsque la véritable visite de Tokyo commença. Nous passâmes tout d'abord un moment dans le très connu quartier de Harajuku. Tout ce quartier me semblait incroyablement fascinant et coloré et la visite de Yuuri n'en étais que meilleure. Nous passâmes aussi rapidement devant la station de métro de Harajuku qui me fit beaucoup plus penser à un chalet Suisse que j'avais pu voir pendant mes visites à la terre natale de Chris. Yuuri me fit passer par plusieurs petites ruelles qui quant à elle me rappelèrent bien plus la culture Japonaise.

Ce fut véritablement un incroyable moment que je pus passer avec Yuuri, un moment où pour la première fois depuis ce qu'il me semblait une éternité, je me sentais détendu. C'était comme si en l'espace d'un après-midi, on m'autorisait à ne plus être LE Grand Victor Nikiforov, mais juste Victor.

Quand vint bientôt l'heure d'aller à notre entrainement de patinage, Yuuri me proposa d'aller prendre un café dans une boutique qu'il connaissait bien. Le café était appelé « Hamster WonderWorld », drôle de nom pour un café... Pendant que Yuuri était rentré pour acheter nos cafés, je restais à l'extérieur pour répondre à un sms de Christophe qui avait fait une escale à Moscou après les 10 premières heures de vol depuis Tokyo. Il lui restait environ encore 2 heures d'attente avant son vol pour rentrer en Suisse et avait décider de faire passer le temps en m'envoyant des messages. Les premiers sms étaient plutôt triviaux lorsqu'il en envoya un qui m'intrigua :

                Au passage, ton danseur a un sacré fessier !

Je fronçais les sourcils sans vraiment comprendre avant qu'une photo suive son message. Je failli d'ailleurs m'étouffer lorsque je la vis.

Il s'agissait de Yuuri, ou plutôt d'Eros. La photo était juste... irrésistible. Le japonais était enlacé autour de la barre de métal, tel un python autour de sa proie. Le corps entièrement reversé, il portait de nouveau son costume mauve et doré, la fine couche de sueur qui trempait ses cheveux noirs en bataille et le rose de ses joues sous l'effort ne le rendait que plus désirable. J'étais certains que si Chris n'était pas aussi talentueux sur la glace, il aurait pu faire carrière dans la photographie. Capturé en plein mouvement, le dos contorsionné dans un rejet en arrière, sa bouche était légèrement entrouverte pouvant presque sentir le souffle d'air traversant ses lèvres et ses yeux brûlant d'envie étaient perdus dans le vague, fixé sur un point légèrement au-dessus de l'objectif. Tout bonnement à couper le souffle. Et il est vrai que ses fesses étaient magnifiques.

Ce n'est lorsque je me rendis compte que j'étais tellement rouge que certains des clients en terrasse me fixait bizarrement. Je me repris donc et entrepris de répondre à mon meilleur ami par un message des plus calmes et raisonnés :

COMMENT AS-TU FAIS POUR AVOIR CETTE PHOTO ?      

                Et bien après que tu sois parti, tu m'avais tellement mis l'eau à la bouche avec ton japonais que je me suis échappé pendant quelques heures hier soir. De premier choix je dois dire !

Mais attend une minute, il en a pensé quoi de ton escapade dans un bar gay ton petit ami ?       

Oh je te rassure je lui ai aussi envoyé des photos ! Il te souhaite bien du bonheur au passage !

Je laissais un gloussement passer mes lèvres face à ce très habituel comportement de mon meilleur ami.

                -Qu'est-ce qui si drôle ?

C'était Yuuri justement qui sortait de la boutique, un café fumant dans chaque main. Je cachais rapidement mon téléphone pour qu'il ne voit pas la conversation et répondit en souriant :

                -Ce n'est rien, juste Christophe étant lui-même.

Il me sourit à son tour et me tendit le café que je pris de bon cœur. Nous décidâmes de nous diriger lentement vers la patinoire qui était à quelques rues du Hamster Wonder World.

                -Dit moi, comment en es-tu venu à ce personnage d'Eros ? demandais-je lorsqu'un trou se fit dans la conversation.

Il finit sa gorgée de café en fronçant les sourcils.

                -Comment ça ?

                -Et bien, je sais que certaines personnes se créent un personnage pour patiner sur la glace, ça les aide à la concentration. Eros a l'air d'être un de ces personnages de scène puisque clairement, tu n'as pas la même attitude sur scène que dans la vie « normale ». Expliquais-je succinctement.

Il sembla réfléchir quelques instants avant de répondre, les yeux perdus dans le vague.

                -C'est bien possible... Tu es drôlement observateur pour quelqu'un qui porte des lunettes de soleil même la nuit, juste pour le style, se moqua-t-il.

                -Ouch, je le prends personnellement. Répondis-je de manière dramatique.

Il gloussa légèrement avant de soupirer.

                -A vrai dire, je ne sais pas... Je crois que Eros s'est imposé naturellement quand j'ai commencé à faire des représentations de pole dance à History... Mais c'est vrai qu'il est rarement présent en dehors du cadre du travail.

                -Il n'empêche que ça pourrait être drôle de te voir en « Eros Mode » dans la vie de tous les jours !

                -Ho non crois moi, ça ne serait pas si drôle ! Enfin ça dépend pour qui... répondit le japonais en baissant la tête.

Je levais un sourcil circonspect avant de réaliser ce qu'il voulait dire :

                -Attend ça t'es déjà arrivé d'être en « Eros Mode » hors de History ?! m'exclamais-je incrédule, attirant le regard de certains passants.

                -Chut ! me pressa Yuuri, embarrassé de la tête aux pieds. Oui ça m'est arrivé, une seule fois.

Il reprit contenance et entama son récit sous mon regard amusé.

                -Je devais avoir dans les 17 ans je crois, c'était lors d'une soirée à la fin de mon avant dernière année de lycée...

                -Alors comme ça, le Jeune Yuuri était un fêtard ? pouffais-je.

                -Pas vraiment, et j'ai beaucoup regretté cette soirée pour être honnête...

                -C'était vraiment si horrible que ça ? demandais-je, sentant une sorte de culpabilité dans le ton du jeune japonais.

                -Je ne sais pas... Je ne m'en souviens même pas.

                -Pardon ?

                -Ce qu'il s'est passé et que comme à tout évènement social : j'étais trop timide pour parler avec qui que ce soit. J'ai donc passé une bonne partie de la soirée, en tout cas celle dont je me souviens, à boire des boissons plus ou moins douteuses. Le reste de la fête, ce sont des amis qui me l'ont raconté. Apparemment, je flirtais avec tout ce qui bougeais et était à ma portée, il lâcha un petit rire en racontant une autre anecdote. Il parait même que j'ai fait un lap dance à un ficus !

Il soupira doucement et son regard se perdit dans la foule :

                -Mais bon sachant que j'ai... Enfin bref le « Eros mode » n'est pas prescrit pour des sorties en société. Et je ne te parle même pas du mal de tête qui suivi cette soirée ! Imagine toi boire 16 coupes de champagne, c'est à peu près ce que j'ai ressenti en me réveillant ce matin-là.

Je ris à gorge déployée à cette dernière comparaison, m'attirant de nouveau le regard attentif des personnes alentour.

Mais étrangement, une petite voix dans ma tête me prévint que Yuuri avait eu l'air de changer de sujet à l'instant. Je préférais la faire taire puisque nous arrivions aux abords de la patinoire.

Nos cafés vidés, les gobelets jetés dans une poubelle de la patinoire, nous allâmes enfiler nos patins. Pendant que Yuuri discutait avec Yuko, j'envoyais un dernier message à Chris pour lui souhaiter un bon vol, ce dernier me prévenant qui allait devoir se diriger vers l'embarquement. Je rangeais mon téléphone et parti sur la glace.

La leçon, comme la précédente, se passa incroyablement bien. Entre nos grands moments de concentration et ceux où la concentration était au contraire totalement absente, j'avais de nouveau cette sensation de bonheur simple, de paix que j'avais à chaque fois que je me trouvais en compagnie de Yuuri. J'étais simplement heureux.

Yuuri était un élève d'exception. Attentif à mes remarques, précis dans chaque mouvement et à l'écoute même pendant qu'il était concentré. Tout le contraire de moi-même en soi, pensais-je en riant. Yakov adorerait Yuuri j'en étais certain.

Je pris aussi quelques vidéos avec mon téléphone pour permettre au Japonais de voir par soi-même les quelques erreurs qu'il faisait. Je vous avouerais aussi que je profitais du fait que je pouvais librement filmer Yuuri sans que cela ait l'air étrange.

Notre séance de patin pris malheureusement fin et planifiâmes la troisième leçon pour le lendemain. Je fus attristé d'apprendre qu'il ne nous serait possible de nous voir qu'en fin d'après-midi, Yuuri travaillant au studio de danse le matin et à History le soir. De plus, il s'agirait de ma dernière journée avec Yuuri étant donné que je repartais pour St Pétersbourg demain soir dans la nuit.

Il ne me restait donc plus que ce soir pour réfléchir à ce que je comptais faire de la situation « Yuuri ».

Nous prîmes donc congé l'un de l'autre et je retournais à l'hôtel où devait normalement se trouver mes deux compatriotes Russes.

Cette fois-ci nous choisîmes de prendre notre diner dans le restaurant de l'hôtel qui je l'affirme, servais de très bons plats. Et pour une fois, Yuri ne râla pas quant au fait qu'il n'arrivait pas à manger avec des baguettes.

                -Victor ? commença Yakov.

Je levais la tête de mon assiette et attendit qu'il me pose sa question.

                -Non pas que je souhaite te suivre à la trace mais où étais-tu cet après-midi ?

Encore heureux que j'eu fini ma bouchée, sinon je me serais probablement étouffé. Essayant de ne pas trop paraître paniqué, je répondis la première chose qui me passa par la tête :

                -Je... m'entrainais ?

Tiens, je n'avais encore jamais vu cette tête surprise chez Yakov, c'est nouveau. Il cligna une ou deux fois les yeux, incrédule.

                -Attends tu es sérieux ?

                -Euh oui ? A la patinoire tenue par les Nishigori, celle du gala.

Je me tournais aussi vers Yuri, qui ne disait rien mais avait une lumière de malice dans les yeux. Il se doutais probablement de quelque chose, après tout c'était un enfant bien intelligent.

                -Et bien j'avoue être agréablement surpris. Je ne pensais pas que tu prendrais ta carrière aussi au sérieux !

Si seulement il savait... pensais-je en riant intérieurement.

Nous retournions assez tôt dans nos chambres. Je me dis une fois installer sur mon lit que Chris était probablement enfin arrivé en Suisse et qu'il serait agréable de prendre de ses nouvelles.

C'est à ce moment que je réalisai que je n'avais plus mon téléphone.

Je me mis le rechercher frénétiquement dans les recoins de notre chambre d'hôtel et je descendis même jusqu'au restaurant de l'hôtel pour le retrouver jusqu'à ce que la solution s'impose : les vidéos de Yuuri.

Mon téléphone se trouvait à la patinoire, j'avais oublié de le récupérer et je pouvais même me souvenir qu'il se trouvait sur un des sièges des gradins.

Je sortis en trombe de la chambre d'hôtel après avoir prévenu que j'avais oublié quelque chose. Je courus jusqu'à ladite patinoire et fut incroyablement soulagé lorsque je vis qu'une lumière était encore allumée au comptoir. Je tambourinais à la porte en verre et failli sauter de joie à la gorge de la personne qui vint m'ouvrir, qui était bien étonné de voir un visiteur si tard le soir.

                -Je suis extrêmement désolé de devoir vous déranger si tard mais j'ai oublié mon téléphone ici !

L'homme japonais à la mâchoire incroyablement carrée parut prendre quelques secondes pour assimiler le fait que je lui parlais en anglais et répondit lui-même avec un fort accent et un fort grand rire :

                -Ho ne vous inquiétez pas trop pour ça, moi aussi je serais paniqué si je perdais le miens ! De toute façon il reste encore un patineur tardif sur la glace.

Je le remerciais vivement et me dirigeais vers la glace et les gradins.

En effet, alors que je me dirigeais vers le sorte de tunnel qui reliait les bâtiments entre eux, je pouvais entendre l'écho familier de raclements de lames sur la glace. C'était un son que j'avais toujours aimé, celui de la solitude et du froid. C'était toujours ainsi que j'avais décrit ce son. Je fus étonné pendant un moment lorsque je reconnus le son caractéristique d'un saut. Impossible à décrire avec des mots mais reconnaissable entre tous. Un compétiteur ? Un jeune élève japonais ?

Entrant enfin dans l'immense salle plongée dans le noir, je ne pouvais voir que la silhouette du patineur dans la lumière bleutée de la lune pénétrant la salle par l'immense baie vitrée. La patinoire étant plus à l'écart du centre-ville, ni les sons des voitures ni la lumière jaunie des lampadaires ne troublait le silence religieux et la concentration du patineur qui ne m'avait toujours pas remarqué. Je devais admettre que la lumière féérique projetée sur la glace coupée par les lignes d'ombres due aux ramures des fenêtres rendait la scène presque irréelle.

J'avais les yeux fixés sur le patineur, en omettant presque la quête pour laquelle j'étais venue. Il avait une aisance digne de grands compétiteurs et la grâce de danseurs de haut niveau. Il se lança pour un nouveau saut. Un triple salchow. Il manqua de beaucoup l'atterrissage et vint s'écraser au sol. Je faillis me lancer à son aide quand bien même je n'avais pas chaussé de patins mais son grognement de rage me stoppa net.

                -Datte nande ?!

Clairement, il était japonais et clairement il était énervé. Il sonnait presque... presque désespéré. Mais surtout je connaissais cette voix.

Figé, incapable de faire le moindre mouvement, le patineur se releva douloureusement et quitta la glace à l'opposé de l'endroit où j'étais.

C'était presque par automatisme que je me dirigeais vers les gradins où je repérais presque immédiatement mon téléphone abandonné sur une des chaises en plastique. Ce n'est qu'en agrippant mon appareil devenu glacial que je me rendis compte que je tremblais. Mon esprit rejouait encore et encore, comme un disque rayé la scène à laquelle je venais d'assister, sans que je ne réussisse à en arriver à une conclusion.

Yuuri. Yuuri faisant un triple salchow. Mon Yuuri qui n'avait pris que quelques cours il y a six ans. Yuuri... Qui était-t-il ?

***

→ Note de traduction : « Datte Nande ? » signifie « Mais pourquoi ? »

PLOT TWIST ! YAAAAAAA !

Bonjour cher lecteurs que j'adore !!
(Oui je suis un peu en retard, je sais ^_^; Merci les examens !)

Quelles sont vos réactions face à ce chapitre ? Nous avons enfin des informations sur le passé un peu plus qu'ombrageux de Yuuri ! Avez-vous des théories mes chers amis ? Si oui laissez-les dans les commentaires et je vous donnerais peut-être quelques indices (^_-)

Voilà un petit sketch rapide de ce que j'avais en tête lorsque je parlais de la photo de "Eros" (bien que l'angle de vue ne sois pas exactement le même) :

Au passage voici quelques photos des lieux qui ont été décrit pendant la petite visite touristique de Victor

Le meiji-jingu :

Le Shinguku Gyoen :

Le quartier d'Harajuku :

La Station de train Harajuku :

Voilà ! Si vous saviez le temps qu'il m'a fallut pour faire des recherches sur ces lieux, pour vraiment vous donner une impression de réel quand bien même je n'y suis jamais allée moi-même, à mon grand désarrois ('∀`*) !

Sur ce, j'espère que ce chapitre vous a plût et je vous donne rendez-vous au prochain chapitre !

-Avyene out-

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