Chapitre 2.i
Je sprintai aux cabinets pour éviter de dégurgiter à la cuisine ; après un trajet périlleux et semer d'embûches, j'arrivai enfin à destination, déversant le contenu de mon estomac dans le bidet.
Le liquide blanchâtre coulais dans un flot incessant, chance que mes cheveux étaient retenue en que de cheval par un élastique et je n'avais plus qu'as me concentré sur mo vomit.
Après quelques minutes qui me parurent des heures, j'arrêtai enfin de déglutir à mon plus grand soulagement. J'essayai de me lever pour me rafraichir et brosser mes dents avant de descendre, mais dès que je redressai une volée de fatiguer m'envahie et je me sentis étourdis.
Toute cette régurgitation m'as vidé de mes forces, malgré ça, je réussi à faire mon hygiène dentaire. Mes pieds étant engourdi, j'arrivai difficilement à marcher vers la cuisine.
Avant d'y arriver, je m'empressai de chasser tous traces de malaise et repris ma contenance. Je passai en revue une liste d'excuses susceptible de satisfaire la curiosité du pire inquisiteur existant à ma connaissance. Mon alibi trouver, j'inhalai une grande bouffé d'air fraiche donc mes poumons avais besoin et d'un pas assuré me dirigeas vers mon assaillant méditant secrètement qu'aucune question ne soit poser.
Elle était paisiblement assise sur sa place habituelle du comptoir de la cuisine ou nous prenons habituellement notre petit déjeuner à deux. Étant les deux seul à ne pas se déplacer si souvent, nous avons pour habitude de prendre nos petits déjeuner à deux sur le comptoir au lieu de la salle a manger.
J'étais extrêmement contente que mon père ne soit pas la en ce moment et je remerciai intérieurement le Seigneur pour son absence. Ca aurais été très dure de dissuader ses spéculations de vaciller sur ce trajet après ce que je viens de faire. En plus de ça ma mère viens m'assaille de questions et aborder son sujet favoris.
Dès que je pris place sur mon tabouret, je sentis une paire d'œil perforer mon lobe frontal je levai les yeux et vis ma mère avec un sourire en coin sur son visage et ses irises brillant de malice. L'ensemble disait : «Je ne laisserai pas passer sans être satisfaite. »
Dix secondes... vingt-cinq... trente-deux... une minute. Rien, toujours rien, elle n'a pas énoncé une syllabe depuis, apparemment elle trouvait que tartiner son pain était plus important que gâter sa curiosité.
Je n'en pouvais plus de ce silence, j'aurais dû ne rien dire mais je ne pouvais pas me taire. Je savais bien qu'elle jouait avec mon cerveau mais je n'y peux rien, j'étai mal alaise et c'est pourquoi je balbutiai ça.
« C'est juste une gueule de bois passagère. » dis-je aussi naturellement que je le pus à cette instant. Elle prit une gorge de sa tasse de café et le redéposa.
« Ah bon ? Tu t'es mise à l'alcool ? La dernière fois que J'ai vérifiée tu ne bois pas. » Je grinçai des dents, maudissant la personne qui nous a incité à avoir une relation mère-fille fusionnelle ; qui n'est autre que le psy.
Oui ma mère et moi avions vu un psychologue ensemble sous les ordres de mon père. Nous n'avons pas toujours été aussi proches l'une de l'autre. En fait je suis à seule de ses enfants avec qui elle ne décrochait pas un seul mot ; mais ça ne m'as jamais déranger.
Je suis venu au monde au moment où sa carrière était en pleine éclosion et du coup elle n'avait pas de temps à m'accorder. J'ai grandis auprès des nounous, Thomas et papa ; des fois elle venait à oublier que j'étais née.
Quand je suis entrée au lycée, elle a commencé à rester plus souvent à la maison. Dès lors mon père à suggérer un psychologue qui nous a poussé dans les bras l'une de l'autre. Elle s'est excuser et nous avons commencé à passer du temps ensemble. Prendre le petit déjeuner ensemble fessait partir du traitement et qui est vite devenue une habitude.
« S'il te plait arrêt tes balivernes. Tu peux être plus intelligente que ça et trouver une meilleure excuse. » Reprit-elle avant de mordre sa tartine. Reste zen, soit naturelle, ne craque pas, vends ton excuse. Son ton se voulait neutre et poser mais je pouvais distinguer un soupçon d'amusement dedans. Elle prend son pied à me questionner comme un policier et moi la criminelle pris en fragrant délit de meurtre.
Je ne pouvais pas lui dire, elle va s'affoler et me trainera l'hôpital. Je déteste les hôpitaux avec leurs murs blancs et des odeurs de médicament et détergent. On dirait un endroit de pureté et sérénité mais c'est juste l'odeur de la mort et du désespoir.
Pire encore, les analyses et les examens qu'ils te font pour déterminer ce que tu as. Tu fini en rat de laboratoire si tu te retrouves avec une des maladies graves répertorier dans le dictionnaire médicale.
On te traitera comme un phénomène de foire et les médecins viendront des quatre coins du monde juste pour avoir ton ADN et être l'heureux élu qui trouvera un médicament pour toi. Je lâchais un soupir d'accablement.
« Il y a une première fois à tous tu sais ? Yann et moi sommes partis à une fête hier soir et j'ai voulu essayer et voir ce que ça fait quand on est ivre. Ça te pose un problème ? » hmm ! Oui je sais, il y a quand même une demi vérité dans ce que je viens d'avancer. Je suis effectivement aller à une fête hier soir avec Yann, mais je n'ai pas bu.
En voulant récupérer le beurre qui se trouve devant moi, je la vis ouvrir la bouche pour en demander plus. Je savais que ma réponse ne lui suffirait pas et qu'elle essayerait encore de chercher des réponses et sa curiosité ne peut pas être satisfaite pour si peu ; il faudrait que je trouve une parade.
« Maman ne commence pas s'il te plait, je ne suis pas d'humeur. » Je contrefis une voix vexé pour l'empêcher de fureter. Heureusement pour moi elle saisit le fil et le silence nous envahis.
Soulager, je continuai à déguster mon bol de lait, j'ai besoin de calcium et il me faut en prendre autant que je peux pour éviter de prendre les médicaments comme supplément. Le lait en ai une bonne source et j'adore ça donc ça fais une pierre deux coup (est-ce que c'est comme ça que ça se dit ?).
Je savourais mon lait et m'en allai dans le pays des douceurs sucrés. Rêvant de lait, de chocolat de beurre et de fromage. Et soudain un nuage gris granite vint assombrir le ciel, il déversa son contenu sur mes douceur pour les faire fondre. Je fus ramené à la réalité avec brutalité.
« As-tu déjà eu des rapports sexuelles? » oh My God !! Je m'étouffai avec le lait que j'ingurgitai est descendu par le mauvais conduit. Je me mis à tousser frénétiquement pour évacuer le liquide et regagne mon souffle. Je réalisai que le nuage gris qui a fondue mes douceurs est cette phrase.
Bien joué, une fois de plus elle a réussis à m'assiéger avec son manque de finesse et ses propos tranchant. Qui utilise encore ce langage cru ? Ne pouvait-elle pas trouver une autre manière d'aborder ce sujet? Nous ne sommes plus à l'ère préhistorique. Je l'épiai et je vis qu'elle était en train de savourer sa tartine comme si de rien n'étais et venais pas de lâcher un sujet sensible.
« Si tu veux me tuer pourquoi ne pas utiliser un couteau ou une hache au lieu de pratiquer l'asphyxie qui est plus ardu ? » J'utilisai le chiffon présent sur le comptoir pour effacer les gouttes de mon breuvage qui coulait le long de ma mâchoire. Ordonner
« Arrêt de pinaillé et répond. » exigea-t-elle. J'exhalai un soupir d'exaspération, cette femme est insupportable. Comment papa fait-il pour la supporter ?
«Ok tu as gagné. Tu veux la vérité ? Yann et moi n'avons encore rien fais nous ne sommes pas encore arrivé à ce stade. » Après ce petit aveu, je continuai à déguster mon bol de lait tranquillement la laissant assimilé me propos.
Elle déposa sa tasse et me regarda de son air sceptique qui a le don de me fit frissonner par ce que c'est ce regard qui est à l'auteur de mes nombreuses confessions. Cette fois ci elle a trappé à coter, je ne vacillerai pas !
'Normal que ta conscience ne soit pas tranquille.' S'égosilla-t-elle. Tu es de retour toi ? N'es-tu pas supposer être en hibernation ? J'aimerais bien savoir comment dirons à ta mère que tu as perdu ta virginité à un inconnu. En plus tu ne connais pas son nom, ni où il habite ; le seul truc que tu as gardé est son bermuda.
Tu ne sais rien de lui, que va tu lui dire ? Comme tu prohibe mon mensonge. Il fait peut-être partis des délinquant sexuelles ou des droguer ou encore pire des psychopathes comme dans esprits criminelle.
Imagine, il a implanté une puce en nous pendant la nuit et nous observe de loin mangeant des beignets en nous regardant ; attendant le moment propice pour me sauter dessus et me kidnapper.
Il nous enfermera dans une cave, nous nourrissant d'eau et de pain sec. Occasionnellement me faire une gâterie en me donnant du chocolat ou du riz. Il nous utilisera comme objet sexuel à sa guise, ayant un appétit insatiable jusqu'à ce qu'il se lasse de nous et nous tue.
'Ton imagination est en train d'aller en overdrive, il te faudrait une bonne douche froide. Si je me appel bien c'est toi qui t'ai jeté sur lui alors qu'il t'a accordé ton espace. Conclusion, c'est toi la psychopathe et tu le sais très bien.' Pff traitresse, tu es de quel côté toi ? Je te signale que nous formons un et tu n'as pas le droit de me trahir.
Je n'ai rien fait de mal moi, j'ai juste voulu toucher à ce fruit si mur et si attrayant. Il était à ma portée et j'avais très faim, comment ne pas y succombé ? Surcroit aucune pancarte étais présent à l'entrée du verger indiquant ;
« ATTENTION FRUIT DEFENDU »
Son corps si alléchant et délicieux comme un gâteau crème m'appelais et me narguais m'incitant à le toucher. Comme Eve au jardin d'Eden face au fruit défendu, ce petit serpent en moi m'insufflais des paroles encourageantes et tentatrice 'va y touche.' 'Rien qu'une fois.' 'Il ne mort pas.' 'Si tu ne le fais pas tu auras des remords.' Face à ça mon esprit si faible ne put résister et me laissai leurre comme une débutante en matière de confiseries.
Ne vous méprenez pas je ne regrette rien, ça en valais la peine et je ne suis pas sûr qu'un autre pourra l'égaler. En plus de ca une chose merveilleuse en est survenu et...
Je fus brusquement retirer de mes fabulations par des bruits assourdissant de casseroles qui failli me propulser au sol le dos le premier et une chance de casser ma colonne vertébrale de si haut ; gagnant un allé simple pour l'enfer.
Je levai les yeux et ce que je vis ne me surpris pas du tout. C'est dans sa nature, les dégagements pareils. La folie coule dans ses veines de ma grand-mère à ma mère et déplorablement je pense que j'en ai hérité.
Mes dames et messieurs vous êtes au premières loges pour admirer la grande et sublime Susanna Leigh en plein exploit exhibant la folie légendaire des Hemington. Attends je vous explique pour que vous comprenez mieux :
Vous souvenez vous que nous sommes en plein petit déjeuner ? Et bien, sa tasse de café est déjà froide je suppose du au maque de vapeur émanant de sa tasse. Son toast si exquis arborant ses empreintes dentaires m'affriolai et m'incitai à le mordre ; lui aussi abandonner ne voulant pas finir dans les ordures.
Ton plan à échouer pain mielleux ; je n'ai pas envie d'être étrangler jusqu'à cracher chaque miette de pain assimiler et plus aussi. Très peu pour moi, va voir ailleurs si j'y suis. Son verre de jus de fruits désormais vide repose désormais de tout son long sur le comptoir sans trace d'une goutte de jus présent.
La propriétaire de cet assortiment se tient devant moi, brandissant une casserole en aluminium et une spatule en bois. Elle fit entre choquer le bout de la spatule en bois contre le dos de la casserole pour produit le bruit le plus horrible qui soit ; le tout juste a quelques millimètres de mes lobes si sensibles ; recevant de plein fouet le son produit par l'impact.
Mes oreilles se mirent à osciller comme un diapason à très haute fréquence de quatre cent quarante mégahertz captant toutes les stations radio. Quelle enfant ne rêverait pas d'avoir une mère comme la mienne ? Celle qui a diverse méthode de torture pour faire agoniser sa fille au quotidien.
Mes mains couvrant mes oreilles, j'essayai avec succès de baisser le bourdonnement qui me prit quelques minutes de trop. Mon audition de nouveau retrouver et ma vue plus du tout brouiller, je jetai un coup d'œil vers la meurtrière qui me fais office de génitrice.
Comme si de rien n'étais, elle dégustait son latte froid comme elle l'aime et son toast qui me charmais il y a quelques temps ; heureusement que je ne l'ai pas touché si non elle m'aurait fait bien pire.
« Es-tu sérieuse ? Ça fait deux fois aujourd'hui, deux fois que tu essayes de me tuer.» Je lui lançai un regard haineux qu'elle ignora en me toisant. Je pris trois morceaux de sucre que je lançai en ciblant son visage. Le premier atterris sur son nez, le deuxième au front et le dernier la loupa.
« Il fallait bien que je te ramène tu avais cette aire de rêveuse sur ton visage et tes joue ont pris une tinte rouge. Qu'attends-tu pour me faire des petits enfants ? » Non non non pas ça. Comment fait-elle pour parler aussi vite? Pourquoi m'agace-t-elle autant? La voilà la raison «Les Petits fils». Ces satané petit fils ! Rrrrrrrrrrrrrr j'émis un grognement peu sexy.
Depuis mes vingt-trois ans, ce qui nous fais deux ans maintenant que je supporte ses plaintes. Elle est très maligne Susanna Leigh, choisissant toujours le moment opportun pour le faire. Ce moment proprement dis à une unique et très importante condition qui est Théodore Leigh. Il est à la fois mon sauver quand il est la et mon Pilate quand il s'absente.
Ah, Théodore Leigh l'amour de ma vie, mon cœur ne bat que pour lui. Je ne pense pas que je trouverais un homme aussi beau, séduisant et puissant que lui. Si Dieu m'avais donné quinze ans de plus; je me serais laisser séduire par ses traits physiques si gracieux et plaisant même si ce n'est qu'une seule nuit.
Sa crinière dorée aux boucles grisaillasses se reflète à merveille au soleil donnant un spectacle rarissime et délectable aux yeux. Quand il sourit des fossettes viennent embellir son visage apportant de l'éclat à son regard, avec ses pupilles d'un bleu électrisant qui danse de bonheur.
Mais être sa fille est mieux qu'être une copine, la complicité qui existe entre nous est magnifique, pas besoin de mot entre nous juste le regarde suffit pour tous dire. Etant la deuxième à être née, j'eu passé plus de temps avec lui plus que Thomas le premier et Caroline la dernière. A la place ils ont été chouchoutés par maman. Ce qui nous fait un fils à sa maman, une fille a papa et une autre a maman.
Thomas étant née quand maman débutais sa carrière et avais pleins de temps a lui consacré et en a profiter pour le gâter. Caroline est la dernière, l'enfant de la retraite, elle a eu tous son attention ; en plus de cela, Susanna Leigh réussi à avoir une carrière stable et assez de temps.
Je l'aime tant c'est incommensurable, il est mon tous et mon rien, ma force et mon mentor. Ne vous trompez pas j'aime ma mère mais j'aime plus mon père, je l'aime quand elle n'essaye pas de me tuer.
Comme model de féminité je la copie sans gêne. Plus belle, gracieuse et élégante qu'elle il n'y en a point, à mon avis bien sûr, une autre personne dira autre chose. Contrairement à mon frère et ma sœur qui ont tous hériter de papa, moi je suis le reflet exact de maman ; c'est assez troublant de fois, quand nous sommes ensembles les gens nous prennent comme des sœurs.
De sa longue et sublime chevelure noir ébène aux reflets marron ahurissant, aux longs cils fins couvrant des prunelles de couleur miel. De longues jambes charnue accompagne d'un pare choque plus potelé que la normal. J'eu hérité de tous a l'exception du grain de beauté situer juste à la commissure de ses lèvres. A la place le mien ce situe derrière mon genou gauche.
J'admire chez elle son sens de l'organisation, son sérieux et son côté très professionnelle. Etant une organisatrice d'évènement c'est tout affait normale qu'elle les a ces qualités, elle seule réussi à élever sa boite au niveau où il est.
Sa boite n'est pas internationale mais est très connue et demander au pays, elle à refuser de s'agrandir parce qu'elle voulait avoir du temps pour sa famille.
J'ai appris à l'aimer et je l'aime énormément, surtout nos moments mère-filles passée à trois. Mais en ce moment je sens que je vais la trucider si elle continue à tirer sur le nerf là.
Je pinçai mon nez du bout des doigts pour me calmer et prendre un long souffle avant de répondre. Il ne faut pas que je perde mon calme, inspire, expire. Je fis le processus à mainte reprise telle une femme enceinte s'apprêtant à pousser pour mettre son enfant au monde, mais moi j'essayai de ne pas expulser ce qui veut sortir.
« Pourquoi insistes-tu toujours sur ce point ? Papa a dit que je pouvais prendre tous mon temps et ma priorité c'est mon école. » Lui répondis-je avec la même réplique d'hier, la semaine dernière et le mois dernier, plus les années antécédentes.
« Mais... » Elle ne put finir sa phrase car je l'interrompis.
« Pas de mais, c'est ma dernière année et je dois me concentre pour sortir de là la tête haute, j'ai déjà quelques années de retard. Aussi c'est à cause de toi que je change d'université ce semestre, contente ? »
La tasse de lait devant moi est déjà tiède et vous penserais que ça fais juste quelques minutes que nous sommes assise sur cette table, et bien j'ai omis de vous dire que je suis à mon quatrième bol de lait et ma mère a sa sixième tasse de café.
Bein oui nous sommes de grandes consommatrices au petit déjeuner, en plus de l'apparence nous avons les mêmes manies. Je reprendrais bien une autre tasse après celle-ci.
Deux minutes après ma réponse, plus rien, aucun son ne sort d'aucune bouche, juste le son que produit nos cuillère respective quand nous tournons nos tasses simultanément. Bizarre vous direz, mais vous ai-je déjà dis que nous avons les mêmes manies ?
Amen ! Silence, silence, silence je ne crus plus que ça pouvait se terminer. Connaissant maman je dois rester sur mes gardes, elle me sortira encore une phrase choc entre deux gorgés pour me déconcerté une fois de plus. Je continuai de déguster mon succulent bol en silence.
Cinq minutes plus tard, un bol vidé au trois quart, une tasse de café toujours in touché et toast charmeur engloutis, toujours ri...
« Pense que tu pour..... » Sauver par le gong, je lui dois un gros bisou pour m'avoir sauvé de cette situation merci. Je me levais précipitamment de table et engloutis le reste de ma tasse en une goulée.
« Reportons ca à plus tard, Yann est déjà là. » Bien sûr le plus tard n'auras pas lieu. Je m'empressai de rejoindre ma chambre pour trouver une tenue approprier pour notre sortie laissant derrière moi une maman en suspens.
*****
Ce la fais prêt de dix minutes que je cherche quoi me mettre. J'eu passé mon placard au peigne fin mais sans succès. Excède par cette quête infructueuse, je m'allongeais sur mon lit pour réfléchir. Si je ne me dépêche pas Yann souffrira le martyre dans les griffes de maman.
D'un bon je me levai, une idée judicieuse entête. Je sortis de la chambre et me rendis au magasin qui se trouve au fond du couloir. Le magasin, c'est comme ça que l'on surnomme la chambre inoccupée de cet étage, elle n'est à personne et nous avons décidé d'y fourrer tous ce qui est nécessaire.
Ne vous y tromper pas ce n'est pas un débarra, par contre c'est extrêmement bien ranger, des étagères ont été dispose et aménager pour accommoder les outils de bricolages et d'autres trucs utile ranger par ordre alphabétique.
Les chambres de cette maison étant gigantesques, notre magasin ressemble à un mini super marche. Plus besoin de sortir faire des courses, mais comme moi j'aime faire des courses, j'ai la tache de garnir le magasin et le garde-manger.
En cas d'invasion ou d'attaques ou un cas où nous nous voyons être congédier de force à l'intérieur, les deux : le magasin et garde-manger sont toujours bien garnis et nous pouvons survire pendant un an maxi.
Je sais vous allez vous demander, ça ne pourrie pas ? Non, chaque mois, les parents organisent plusieurs diners d'affaires ici ; ils préfèrent servir un bon dîner fais maison à leur associés qu'un restaurant. C'est toujours maman à l'aide des ménagères et du cuisinier qui s'occupe de ça.
Aussi il y a dix membres du personnelle qui vivent et travaillent ici en plus de nous et tous ce monde se sert dans le garde-manger pour la nourriture et le magasin pour le nécessaire. Vous pouvez même y trouvez des serviettes hygiéniques de secours.
Après avoir dépassé les sections A et B, je me retrouvais devant le rayon de ma convoitise, le C. Je saisis le nombre de cartons nécessaire et rebroussa mon chemin jusqu'à ma chambre.
Je les ouvris et les déposa un à un, me dirigeant vers ma garde-robe, je décrochai toutes mes robes et les jeta de manière ordonner dans un carton. Ce processus fut appliquer à tous; chemise, jupes, pantalons, haut et chaussures.
Tapis tout au fond de mon placard, je tombai sur mon précieux trésor. Son emballage étant dans le même état que je l'avais laissé à l'exception de quelques brin de poussières décorent celui-ci.
Un flot de souvenir m'envahis d'un seul coup et je me rappelai de tout avec exactitude. Même les questions de Sherlock Holmes il y a quelques minutes n'ont pas suffi à me secoue comme ce paquet le fait.
Ses questions m'ont fait me rappeler des bons moments que j'eu passé cette nuit avec lui; la chaleur dégager par son corps, la douce mélodie enchanteresse que produisait ses cordes vocales, le désir que me procurais ses caresses et baisers. Son regard plein de mystère et d'émotions indéchirable.
Le martyr que j'ai vécu en essayant de l'oublier me vint à l'esprit après tant de temps. Le faux sourire que j'étalais alors que je saignai de plus belle, je m'efforçai d'agir le plus naturellement possible avec Yann pour ne rien laisser transparaître.
Je le quittai ce jour avec pleins d'illusions et d'étoiles dans les yeux, je jouissais de cet espoir et ce désir de le revoir, j'allais me soigner et j'irai le retrouver pour commencer une belle histoire avec lui. J'étais vraiment très bête et très naïve de penser ainsi.
Ce la fessai deux semaine que je suis rentrée et j'allais mieux, j'étais en voie de guérison. Je me couchai tous les soirs avec ce vêtement parce qu'il était empreigne de son odeur et me rappelais sa chaleur. Avant de rentrée j'avais discrètement pulvérisé un tout petit peu de son parfum dessus.
«Par un peu tu veux dire la moitié de son contenue?» Démasquer, Rolala de fois je me demande comment me débarrasser de toi. En plus j'ai juste pulvérisé deux fois, c'était à le moitié par ce qu'il l'avait déjà utilisé ça.
«C'est ça, un parfum déjà utiliser est encore dans un carton sceller?» rrrrrr... c'est bon j'avoue ok! Satisfaite ?!
Son bermuda « voler » me permettait de dormir avec de folles idées imaginant notre prochaine rencontre. J'étais tombé amoureuse de lui, ça peut paraître stupide mais c'est vrai et dans m'a tête il l'était.
Un soir, je reçu un gros coup de massue sur la tête. Le coup de massue reçu était tellement lourd qu'il me fit mal et me coûta ma rectitude le temps d'une journée.
J'ai été stupide, pourquoi n'ai-je pas réalisé que je ne connaissais rien de lui, son prénom je l'ai oublié à cause de mon état d'ébriété ; je saoulais d'extase. Je ne me souvenais pas où il vivait non plus, je ne sais pas si il se souvient encore de moi.
Plus je réfléchissais, je me rendis compte que je me berçais d'illusion. Il n'a pas pris la peine de me chercher par ce que je n'étais que la fille d'un soir. Un chat mouillé qu'il a récupéré et qui s'est occupé de ses besoins physique alors que sa compagne est absente.
Je me mis à chialer comme une hystérique, brisant tous dans la chambre, déchirant mes draps, habits, j'ai casé mon lit et tous les miroirs présents dans la chambre et la salle de bain ; j'ai tous balancer.
Il me resta une chose à faire et c'était le plus difficile, il fallait que je me débarrasse de cette robe et de ses sous-vêtements. Je ne pus le faire et je décidai simplement de me débarrasser de son odeur sur ces vêtements en les lavant et les ranger dans leur emballage. Le bermuda je ne pus m'en débarrassé et je le laissai sous mon oreiller.
J'eu de la chance qu'il n'y avait personne ces jours-là sinon je me serais retrouver à l'hôpital psychiatrique. Thomas ne vivant plus avec nous depuis des années, Caroline en voyage avec son copain. Maman et papa en voyage d'affaire.
Je remplaçai tous avant leur arriver pour qu'il ne se doute de rien, et quand ils me posèrent des questions sur ma nouvelle décorations je leurs donnai une réponse toute simple.
«Je voulais changer de décors.» ils apprécièrent juste et lâcha l'affaire.
Des jours passaient et je plongeais dans mes études refoulant ses souvenirs dans un coin de ma tête. Je fis une rechute pas bien grave, par ce que je me négligeais et ne pris pas mes médicaments.
Maintenant me voici, ressassant tout ça et perdre le temps alors que le meilleur petit ami au monde dois être en train de souffrir sous l'inquisition sadique et insatiable de Sherlock.
Il faut que je me ressaisisse, j'essuyai mes yeux embués et déballa le paquet. Dois-je le mettre dans le carton ou le garder? Je le déposai d'abord pour m'en occuper après et réfléchir à son sort.
Je continuai mon emballage, je ne possédai pas grand-chose comparer à ma sœur ; mais j'en ai quand même une bonne quantité. J'eu laissé quelques-uns que je venais d'acheter. Les heureux élus étaient deux robes, trois hauts, deux legging.
Ma tâche terminé, je me rendis compte que je suis encore en sous-vêtements et je n'ai toujours rien à me mettre. Sans y réfléchir mille fois je me précipitai sur le paquet et fit sortir son contenue.
Ce n'est même pas à hésiter, je ne pourrais pas le faire, même si ce n'était que pour une seul nuit, pour moi c'était bien plus : je ne voudrais pas non plus l'oublier.
Je me débarrassai des sous-vêtements que je mis avant et mis ceux dans le paquet. L'ensemble vert glauque en dentelle m'allait à la perfection. Les agrafes étaient au premier niveau puisque je ne pouvais pas les remettre au troisième, le bonnet est la bonne taille, couvrant parfaitement la rondeur de mes seins. Les bretelles sont fermement poser sur mon épaule, plus aucune chance qu'il ne me gêne.
Le bas souligne bien mes rondeurs et plus besoin de le soulever pendant que je marche ; oui malheureusement ce soir-là ca fessait ca et j'étais obliger de l'attacher, j'espère qu'il n'a rien remarqué.
Je fis des tours sur moi-même examinant avec délectation comment cet ensemble me rendait sexy et confiante ; la première fois que je l'ai mise, j'étais dans un piteux état et ce n'étais pas beau à voir. Je sortis la robe à son tour et l'enfila.
Cette fois ci je peux apprécier cette jolie robe foulard aux couleurs vert anglais, noir de jais et marron ocre. Elle était très symétrique et juste à ma taille, embrassant merveilleusement ma silhouette.
Elle possède un col fermé, des manches longues dépassant les coudes de quelques centimètres et m'arrive dix centimètres avant les genoux. Si on m'avait dit quelques mois plutôt que c'est elle qui me sauverait, j'aurai hurlé un grand NON.
Un sourire béat vint orner ma face et je me mis à me demande ce qu'il penserait si il me revoyait avec sa robe ; va-t-il se rappeler de celle-ci ou encore de moi?
Oh non! Avec tous ce brouhaha émotionnelle j'eu oublié l'essentiel. Je donnai un coup de brossé à ma crinière et pris un chichi que je mis comme bracelet au cas où j'en aurais besoin.
Je ramassai mes sandales de couleur coquilles d'œufs et ma sacoche et sprinta pour le salon. Je manquais de me tordre la cheville mais ce n'est pas grave.
Avant d'arriver je m'arrêtai pour reprendre mon souffle et arrêter ma tachycardie avant que je ne m'écroule et soit ramasser en civière.
À l'entrebâille de la porte donnant au salon, j'entendis un brin de discussion entre maman et Yann.
«... tu dois te dépêcher de me donner un petit fils, sinon je penserais que ton (elle se racla la gorge avant de continuer.) Organe reproducteur ne fonctionne pas.»
Il faut que j'intervienne avant qu'il ne meurt. Organe reproducteur ? Au moins elle est gentille avec lui : si c'était moi, elle n'aurait pas hésité à utiliser le mot avec le V.
«On y va.» Je criais et sans l'attendre je me dirigeais vers la sortis, pas besoin de lui dire au revoir sinon ils s'éterniseront.
«Tu sais ta mère a raison il faudrait qu'on s'y mette et le plus vite possible.» me susurrait-il a l'oreille ce qui me chatouillai. Je me tournai brusquement et lui assenai un coup fébrile à l'épaule, auquel il se moquait.
«Moque-toi bien de moi, mais ; je pense que c'est ton organe reproducteur qui a un problème.» le charriai-je à mon tour en imitant ma mère. Nous éclatâmes de rire due à l'hilarité de la situation, nous savons très bien que son ''organe reproducteur'' n'as aucun problème, mais se trouve ailleurs.
Nous parents? Je ne me vois plus finir ma vie avec lui et il n'existe plus rien entre nous deux et je sais que lui aussi le sait. Je pense que nous devons mettre les choses au clair, cette mascarade ne peut plus durer.
Je pris une grande inspiration avant de monter dans la voiture, j'aurais besoin de tout le courage du monde et toute l'aire dont mes poumons aura besoin pour avouer mon infidélité.
« La journée à bien commencer avec deux tentative de meurtre, pourquoi ça ne finirais pas en beauté avec une troisième en surprise ? » Pour une fois nous sommes d'accord, jamais deux sans trois.
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Hello voila le prochain chapitre qui vaut 5105 mots et plusieurs mini paragraphes. oui je sais je suis desoler, très très très désoler de vous avoir fais attendre! j'espère que vous me pardonnerez.
Bah dommage pour les gens qui espèraient lire la rencontre entre Aiden et Raph, mais patience ca arrive, vous devrez attendre un chapitre de plus.
Anyway, je vous aimes tous peace and love
Oh n'oubliez pas partager (si vous aimez et voulez m'encourager ça me ferrais très plaisir), voté (la petite étoile du bas dois briller, c'est fais pour ca non; les étoiles brillent) et commenter (ça c'est très important, j'aimerais bien avoir votre point de vue.)
Mille bisous GW
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