Chapitre 1.ii

 Suis-je morte ? Ai-je atterris au paradis ? Je voulu me pincer pour voir si je ne rêvais pas mais impossible de bouger la moindre cellule. Dire qu'il est beau serais injuste et cette personne devrais écoper d'une peine de mort. Je pense que je viens d'atterrir dans le royaume des dieux de l'olympe et que je suis qu'une toute petite souris devant l'un des dieux qui se tient devant moi. 

   Cet Adonis ou Apollon quel que soit son nom. « Pas mal pour une malchanceuse, high five. »  Pour une fois que nous sommes d'accord. Je baissai mes yeux vers son torse bien ciselé et ses bras herculéens «Il doit passer beaucoup de temps en salle de sport ; miam miam délicieux ». J'aimerais bien qu'il m'enlace, pour percevoir la sensation que l'on a blottis dans ses bras, ma tête sur son torse et mes mains se baladant sur celui-ci. Ses yeux d'un gris électrisant m'enjôlent en ce moment. Je m'imagine déjà des scènes peu catholiques et mon cerveau à fait un arrêt au septième ciel, dans des contré ou bonheur et plaisir y règne surement. 

   J'eu un soudain flow excessif d'œstrogène qui suscita ; la mise en garde à vue de mes deux soldats, une chair de poule et des picotements « si je peux décrire ça comme tel » dans mes parties encore endormi il y a peu. Il était divin, son corps étais propre aucune cicatrices ni de tatouages. Le bas de son pyjamas étais bas, tellement bas que je pu voir quelques poils du début de son pubis qui cache l'endroit où se situe l'engin à voyager à ''PLAISIR LAND''. Ma tête se pencha de côté comme par magie, comme si cette action me donnera une vision infrarouge pour l'apercevoir. J'étais toute chose devant lui, mes pieds se sont gélatiné et n'arrivaient plus à porter le poids engendre par la partie supérieur de mon corps.

   « Il y a de quoi manger à la cuisine. » Sa voix enchanteresse tel un chant de sirène, triton plutôt, me délivra de ma trance. Je pouvais l'entendre à merveille cette fois, signe que mon audition c'est amélioré. J'eus une envie soudaine de couvrir son corps de baisers... Stop! Rembobinons ce qui se passe depuis à peu près cinq minutes. 

    Qu'est-ce que je fais ? Encore en train de rêver ? Oh non il va me prendre pour une folle, yeux rond bouche ouverte il manque plus que je me mette a salive comme une chienne à famé « Tu es juste a famé de lui, c'est normal.». Je me ressaisis trop tard, j'ai déjà discrédité ma santé mentale auprès de lui, c'est la deuxième fois que je cogite devant lui. 

   Mon corps de nouveau fonctionnel comme par désenvoûtement. Je cillai les yeux plusieurs fois et je me rendis compte qu'il n'est plus là. Je portai ma main à mes lèvres par reflexe et les nettoya et ma main en sortis parsemer de bave. J'entendis ses pats dans les escaliers, il doit surement aller se rafraichir, « Tu n'as qu'a monté et le rejoindre. »  Après avoir ternis notre rectitude ? Non merci. Je ne pense pas qu'il voudrait de deux folles et la cerise sur le gâteau ; je ressemble à un sac dos. Remballons nos fantaisies dans un sac et laissons au moins notre dignité. 

   Je me dirigeai vers la cuisine pour voir ce qu'il y a comme nourriture. Dire que je suis surprise de voir rien que des plats surgeler serais un mensonge. Un sourire bêta se forma sur mes lèvres sachant qu'il n'y a pas de femme qui vit ici. Je sortis un plat au hasard et le réchauffa au four à micro-onde. Je n'avais pas le temps de regarder autour de moi, j'avais plus assez d'énergie avec les évènements d'aujourd'hui. Il faut que je me raffermisse avec de la pitance et mes médicaments. 

  Le plat ne tarda pas au four, je le sortis et en découvris le contenue. C'était des pâtes alimentaires, communément appeler spaghettis, avec du poulet. Urg un mélange que je n'affectionne pas beaucoup. Du poulet j'en mange rarement et je ne l'aime pas trop, je n'ai pas le choix de toutes les façons. Je n'ai pas assez d'énergie et de temps pour me faire un plat correct et digne de ce nom comme je les aime. Je me jetai dessus à contre cœur et l'engloutis entièrement. 

   Après avoir remplis mon bidon et mes remèdes ignoble assimilé, je sortis de la cuisine. Je vis la lumière du séjour éteint, je me dépêchai de monter dans la chambre. Traversant le couloir d'un pas presser « presser tu l'est, je peux savoir pourquoi ? »  Je ne sais pas râleuse à toi de m'éclairer. J'ouvris la porte avec un peu trop de force et d'enthousiasme qui se transforma vite, ce fut juste déception et vide quand je remarquai que j'étais seule. Le moral à zéro, je me blottis dans les couvertures pour me réchauffer. Je pense que c'est le seul réconfort que je recevrais ce soir, la nuit seras très très longue. 

*****

    Après avoir tourné sur le lit pendant je ne sais combien de temps sans trouver le sommeil, je fus fatigué de le forcer à venir. Il doit être cinq heures si je ne me trompe pas. Résolu d'être insomniaque cette nuit, j'en levai les couvertures et me décida qu'une bonne tasse de lait me ferais du bien. J'ai au moins vu du lait dans son frigo ; avec ces remèdes, mon appétit accroit considérablement. J'ouvris la porte sans trop faire de bruit, sur la pointe des pieds, je me dirigeai vers la cuisine ne voulant pas le réveiller où qu'il se trouve. 

   En épiant l'horloge murale situer à la cuisine, ma mâchoire failli se décrocher de sa cavité et cogne le parquet. Je constat avec stupeur qu'il n'est que minuit trente, juste une petit heure s'est écrouler. Une minuscule petite heure de rien du tout, comment vais-je faire moi pour me rendormir avec cette insomnie ? Sans plus attendre je me fis cette tasse de lait et me dirigea vers le living-room. Normalement, les flammes provenant du brasier ne devrais plus avoir autant d'éclat, du bois a dû être y ajouté. 

   Insouciante je m'approchai de celui-ci, c'est rare de voir d'authentiques cheminées dans une maison moderne. Je voulu m'asseoir mais je vis mon hôte allonger sur un sac de couchage devant celle-ci. Mon cœur loupa un battement ce qui le fis augmenter son rythme pour rattraper le battement perdu. Sa respiration était lente et régulière, la mienne devint saccade et bruyante. J'essayai tant bien que mal de me reprendre, le cœur tambourinant à plus de 72 battements par minutes pour ne pas le réveiller. Je m'assis à coter de lui et je l'observais, ses traits de figure sont plus détendu.              

   La lumière provenant des buches enflammes se reflétais sur ses cheveux et leur donnais un éclat fabuleux qui accentuais sa beauté enfantine : imaginé le plus beau bébé que vous connaissez entrain de dormir et ajoutez-y une pointe de maturité et ça donne cet homme coucher près de moi. Mon rythme cardiaque reprit de plus belle, a cette enjambée il risque de perfore ma cavité thoracique et se briser en mille morceau ; le prix en seras onéreux, il ne faut pas que je tombe ! Surtout ne pas faire cette erreur. « Ressaisis toi ma belle ce n'est qu'un dieu de pacotille » Très encourageante ta remarque, rétorquai-je sarcastiquement. 

      Je fus enjôlé par son corps qui exsudait un mélange de testostérone, charme et d'érotisme. Je guerroyai contre mes impulsions, voulant assouvir cette envie stupide de caresser ses cheveux. Au bout de quelques minutes de torture, je ne pus plus lutter et j'abdiquai. S'aventurer en terre sauvage n'est pas simple ; je m'approchai scrupuleusement de lui d'une main hésitante, je caressai délicatement la peau de son visage, elle était douce comme celle d'un enfant de 2 ans, c'était agréable. Je dégageai les quelques brins de cheveux noirs récalcitrants qui résidaient sur son visage du revers de ma main. Elles prirent le chemin vers l'un des sujets de mes fantaisies ; ses lèvres. A peine eurent-elles effleuré celles-ci, il se réveilla brusquement et m'empoigna. 

    Je paniquai, je ne savais pas quoi dire, il me fixa intensément. Je ne pus distinguer qu'elle nuance de gris prit ses yeux. 

« Je... j... je suis désolé ». Ne pouvant plus trouver mes mots je me sentais honteuse, comme une fillette de cinq ans attraper en fragrant délit de vol de bonbon. Il me fixait toujours de ce regard indéchiffrable, ma respiration se coupa et j'avalai la boule qui se formait dans ma gorge. Je veux qu'il me regarde avec passion comme la femme que je suis et non comme il le fait à cet instant. 

  Ma main avait la grosseur d'une houlette dans sa pomme de main plus grande et robuste, il lâcha ma main toujours sans prononcer un mot. Je me sentis rejeter, ma fierté féminine vient de faire une chute d'un immeuble à cent étages, s'est fait rouler dessus par un fourgon de 2tonnes. C'est injuste, ne suis-je pas belle, n'ai-je pas des for... cette pensée n'est pas applicable en ce moment, cette fichu maladie me rend moche. «Ca va aller ma belle, n'aggrave pas ton cas en pleurant devant lui. Allons retrouver le confort de notre couette». Suivant le conseil de la râleuse, je me levai pour m'en aller. 

  Une main vint entourer ma taille et me projeta avec délicatesse, pendant ces quelques dixième de secondes mon cerveau a fait un arrêt ne pouvant pas assimiler ce qui se passais. Dans cet élan je me retrouvai propulser sur ses genoux nous retrouvant nez à nez. Je me sentie toute rouge et timide a cette instant chance qu'il fait noir, je dois être rouge comme une tomate. Je baissai les yeux et remarquas qu'il était seulement en boxeur. J'eu un halètement de surprise quand je la sentie. Je fus très flatté lorsque je sentie la preuve que je ne le laisse pas indifférente. « Tu vois ? Sèche tes larmes et savoure ton moment de gloire ma belle. » Je lui passai un merci et me reconcentra sur ses yeux. 

  Il les déplaça sur mes lèvres comme pour m'avertir de ce qu'il s'apprête à faire. En ce moment, je su qu'aucun retour en arrière serais impossible. Délicatement, il déposa ses lèvres sur les miennes pour un baisser passionnel et capiteux, le meilleur que j'ai eu de ma vie. Nos lèvres s'unissait à la perfection, on dirait qu'elles étaient destinées l'un à l'autre, nos langues valsaient dans un commun accord et d'un rythme régulier pour aboutir au baiser le plus merveilleux au monde. 

   Imaginez-vous entrain de sucer du chocolat ou du lait (dans mon cas), des bonbons enfin n'importe quel sucrerie que vous affectionne tant. Cette sensation exubérante de plaisir, excitation et joie qui vous envahis quand ce morceau de sucrerie fond dans votre bouche grisant vos papilles et vous délecte. Toutes ses sensations, ce baiser me les a fait ressentir. Que ressentirais-je si j'en ai plus ? « A toi de le découvrir ». 

  Ses lèvres étaient délicates, son baiser très sensuel, ce mélange me montre le chemin vers le bonheur. Je lui rendis son baiser avec ardeur et désire. Mes mains encore inactive se refugia sur son torse que j'eu admiré plus tôt. Je me rendis compte que mon souhait c'est réalisé, je suis dans ses bras, mes lèvres entremêler aux siennes. Je voulais plus, bien plus qu'un simple baiser, et il le comprit, me montrant qu'une alchimie existe entre nous.   

  Ses lippes se détachèrent de miennes tracas le chemin de ma joue à mon cou. S'attardant sur le second, suçotant et mordillant pour y laisser ses marques indélébiles pendant un court laps de temps. Son travail achever, ils les descendirent pour couvrir chaque parcelle de mon corps avec ses baisser électrisant et humide. Son chemin fit obstruer par les vêtements que je portais. Il revint avec ses lèvres sur les miennes, elles m'ont manqué, en une fraction de secondes nous fîmes encore séparer quand il passa ma robe par-dessus ma tête et je me retrouve en soutien-gorge et petite culotte devant lui ; j'eu un moment de panique, j'eu peur qu'il me voit si mince et me rejette. Mon manque de kilo ne le gêna point et j'eu un booste de confiance en moi. 

     Je ne pouvais pas le laisser faire le travail tout seul, je le caressai un peu partout pendant qu'il parsemait mon corps à moitié dénudé de ses baisers. Chaque parti que ses lèvres touchaient émergeât de son état de somnolence et pour faire partie des réjouissances. Il caressait mon corps de ses mains pendant ce temps nos baisers se fit plus désireux. De sa main gauche il dégrafa agilement mon soutient, se lèvres pris d'assaut instantanément mon sein gauche des que le bout de tissu se décolla de moi. Je m'attendais à ce que ce soit brutale et que sa fasse mal mais ce fut doux, chaud et très excitant, 

      Sa main droite câlinais mon sein droit, le désire grandissait en moi en une progression géométrique, je devenais de plus en plus mouiller. Je gémissais de plaisir, personne au monde ne m'avais fait autant de bien, ne m'avais fait me sentir autant désirer et me faire me sentir sexy malgré mes lacune physique a cette instant ; d'autant plus que aucun garçon n'étais allé aussi loin. Je voulais encore plus, encore plus de lui. Je m'agrippais à son dos, je ne voulais pas qu'il s'arrête. Il alterna de sein fessant a l'autre ce qu'il fit au précèdent pour ne pas qu'un se sent délaissé. Je ne pouvais m'empêcher d'emmètre des gémissements de plaisir. 

   De sa main libre il tira sur les fibres fragiles du bas qu'il m'a payé. Je fis de même, descendre son boxeur avec mes mains jusqu'à ses cuisses et continua avec mes pieds, libérant sa verge au passage de cette habitacle qui devenais trop petit pour lui et qu'il se révèle à moi. 

   Il décolla ses lèvres de ma poitrine et je sentis déjà leur absence. Il se mit entre mes jambes, son phallus étais juste devant mon ouverture : j'étais prise de panique, 'va-t-il s'introduire en moi aussi violemment ?' je voulu lui avertir, mais je ne voulais pas parler de peur de gâcher ce merveilleux moment. Mon instant de doute était de courte durée, ses lèvres maintenant sur mon ventre, sa langue chatouillant mon ombilic. 

   Je sentis un doigt me percer, ce qui me fit gémissement. Il effectuait des va et viens avec le dit doigt. Au moment que je m'y suis habitué, il en mit deux autres j'eu un halètement de surprise, « oh, c...con...tinue. Oh S...Seig... ».  J'arrivais plus à former des phrases cohérentes, j'étais en extase, l'excès de phéromones a fait de mon cerveau de la bouillie et j'ai perdu la capacité d'articulé. 

''Je... J'a...j'ar...rive.'' Il prit tous son temps, me torturant de plaisir, il m'embrassa une nouvelle fois. Je ne peux plus supporter depuis le début de notre ébats il n'avait encore rien dis mais émettais juste des petits grognements de plaisir, de sa voix ardu remplis de plaisir. « Pas maintenant. » Ces mots on suffit à retenir ce flow de sentiment qui voulait s'évader. Mon corps étais prêt, prêt à l'accueillir, je le savais je le sentais et je le voulais entièrement, je voulais tous de lui et maintenant. 

  Cette alchimie se mis en œuvre, lui communiquant mes désirs. Il retira ses phalanges pour se repositionner entre mes jambes ouvertes, lui donnant une vue sur ce qui s'y trouve. Je voulais le toucher, le sentir, voir à quel point il me désirait et comment il été garni. Avec un élan de courage impressionnant, je le pris dans mes paumes de main et le caressa. Ses grognements de plaisir m'encourageaient à faire ce que je faisais. Il était bien fouttu... oups désoler pour le langage mon cerveau est pris et je filtre plus. Même de ce côte il n'as rien à envier à quelqu'un, ''n'y a-t-il pas une imperfection sur ce dieux ?''

  « Fuck... » Hissa-t-il, je sentis un manque à sa phrase, peut-être est-ce mon prénom ? Je réalise que nous n'avons pas échangé des formalités, « Raphaëlle... » Susurrai-je de ma voix fébrile dans son oreille, n'était-il pas un tard pour ça? Je pus deviner son sourire et je sais ce qui venais ensuit, à dios carte v et désolé papa je n'ai pas pu attendre le mariage. Je le libera et il me retint par les hanche et se mis entre mes jambes, a l'entrée de la cave au trésor. 

  Il s'insinua en moi pour m'envahir,  je ne pus m'empêcher d'émettre un cri de douleur. J'ouvris grand les yeux, personne ne m'as avertis que douleur et plaisir ne faisais qu'un. J'avais mal en même temps tous mon corps frémissais de plaisir. Mon dos se cambra due à cette euphorie provoquer par son envahissement de mon intimité. « Doucement, ça ira » me rassura-t-il de sa voix si enivrante mixer d'un nuage de sensualité. Ce sont les premiers mots qu'il prononce depuis le début de notre ébat. Non je ne pense pas, ça doit être les quinzièmes ou centièmes je ne sais plus, oh merde je m'en fou. Oubliez les inepties à propos du chocolat et des sucreries, il n'y a rien de comparable à ça. Au Haven take us.

  Nos deux corps firent un sur le coup, plus de barrière ni de préjudice, j'étais a lui et a personne d'autre. Nos lèvres se retrouvèrent de nouveau après une longue absence pour soulager la douleur procuré par cette connexion. Entre ses mains j'étais un œuf susceptible de se casser à n'importe quel instant, par conséquent il y alla mollement me laissant dans l'agonie. Le courage me manquait pour lui dire d'aller plus vite et de le rassurer que j'irais vais bien. Nos corps s'entendais à merveille et dansais en unisson parfaite.

   « Va y, donne-moi tous... » Exigea-t-il, avec moi il n0avaiis pas besoin de se faire prier pour que j'exécute, il n'avait qu'à le dire sur n'importe ton. C'est précisément ce que je fis, je lui donnai tous. En un clin d'œil, comme dans une trance, je me laissai submerger par le plaisir, la douleur longtemps oublier.

    Après cette échange fiévreuse, nous échangeâmes des baisers jusqu'à l'épuisement. Il m'assiégea de ses bras robustes et je me blottis dans ses bras, mon nez fourré dans sa poitrine inhalant son odeur si spéciale. Petit à petit je repris ma respiration et mon rythme cardiaque redevint normale et je me laissai bercer, j'étais déjà aux porte du sommeil paradoxal mais je ne manquai pas ce qu'il me susurra si affectueusement, « Aiden... » Un sourire niais se dessina sur mes lèvres enfler dû aux nombreux baisers. Je m'endormis récitant de nombreuses fois son prénom.

*****

 J'entre ouvrit les yeux les cillant plusieurs fois pour m'habituer à la lumière, j'étais couché sur un sac de couchage devant la cheminé maintenant éteint ; de tous ce bois il ne restait plus que de la cendre. La partie supérieur de mon corps à découvert, étais allonger sur le torse d'Aiden. J'avais presque oublié ce qui c'est passer hier, mais la douleur au niveau de mon entre jambe me le rappela. Je souhaite que le temps s'arrête me laissant le loisir de savourer se moment jusqu'à satiété. Je me sens en sécurité auprès de lui je ne veux pas quitter d'ici. Cependant toutes bonnes choses ayant une fin, je dois partir.

  J'eu des difficultés à me lever, mon corps étais engourdis, mes pieds étaient come de la gelé. Je me mis sur la plante des pieds avec difficulté me dirigeant à l'étage pour prendre mes vêtements de la veille maintenant sec et les remit. « Veinarde ! Il te les a lavé.»  Bonjour à toi aussi. « Merci j'ai bien dormis. Mmm courtoise ce matin ? Depuis quand ? Est-ce serais ce à cause d'eu... Mmm... Je ne sais pas éclaircis moi.»  Je ne pus que sourire face à ce commentaire de la râleuse. D'habitude le matin je suis très ronchon, particulièrement celui-ci je suis plus... eum... comment pourrais-je le mettre? Gaie?. Les sous-vêtements qu'il m'a achetés étaient irrécupérables, il les a abîmé. La robe quand a elle je la fourrai dans mon sac. 

  Je me décidai à partir sans le réveiller, je ne voulais pas voir son regard lourd de regrets et désapprobateur quand il se réveillera. Je déposai un dernier baiser sur ses lèvres et libera son visage des cheveux rebelles qui y tombais ; 

 « Je ne t'oublierais jamais. »  Je m'en allai sans me retourner emportant avec moi le souvenir de cette merveilleuse nuit passé ensemble. J'ai des trucs important à régler ; premièrement, me soigner.

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Bon bon bon,  tadaaaaaaa... voila le chapitre tnt attendu! Je suis desoler mes poupees,  :'( apres les menaces de mort venant de @Schwartz_Angel. ;P j'ai fini. lisez appreciez,  vote! la petite etoile en bas la dois briller!! pleasseeee!!!

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