PO s t E ( Spécial )
« Bon, aujourd'hui je vais réagir à une fanfiction, je crois que c'est comme ça que ça s'appelle que j'ai trouvé sur le net. Elle est écrite sur mon couple avec Sougo, je la découvre en même temps que vous. Et putain, j'suis certaine que je vais me marrer. »
Il pleuvait depuis plusieurs jours sur la grande ville d'Edo et Kagura observait l'eau tomber sur ciel à partir de leur balcon. Cette température l'ennuyait au plus haut point ; elle qui aurait bien aimé aller courir dehors avec Sadaharu, son chien venant de l'espace, elle était confinée à rester à l'intérieur. Et qui plus est, ils n'avaient pas reçus de travail depuis fort longtemps. L'affiche semblait même devenir de plus en plus morne tandis que les jours passaient, les uns après les autres.
Jusque là, tout va bien, rien de bizzare et c'est d'ailleurs assez véridique 🤭
Ils étaient des freelanceurs, des hommes à tout faire, qui acceptaient n'importe quel travail en échange d'argent.
D'accoooooord.
Mais l'économie de la grande ville en arrachait, tellement que ceux-ci n'arrivaient point à payer leur logement et à se nourrir correctement.
C'est la hess.
Heureusement pour eux, Otose-san, la propriétaire de leur petit immeuble à deux étages, dont le rez-de-chaussé était le Bar Otose-san, était généreuse et leur permettait quand même de vivre dans le petit logis sans payer pendant des mois. Malgré les nombreuses disputes entre Gin-san et Otose-san, elle leur permettait de rester sous un toit.
En conclusion, on est des gratteurs de logement. Cool, vraiment. Noté l'ironie.
Soupir.
Depuis combien de temps n'était-elle pas allée se promener ? Elle était en manque de sukonbu, une algue marinée dans le vinaigre et particulièrement aigre. Elle désirait s'en acheter et revira ses poches, n'y trouvant que du vide.
Nouveau soupir.
Mais, je suis pas aussi pauvre que ça ! Même si c'est qu'une histoire, c'est blessant.
Quand la pluie allait-elle enfin cessée ? Kagura se laissa tomber sur le dos, les mains derrières la tête. Dans son champ de vision, elle voyait le toit de leur balcon et si elle penchait un peu plus la tête vers l'arrière, Ichiro entrait dans son champ de vision, lisant le Jump, comme à son habitude. L'homme aux cheveux blancs leva après un certain moment ses yeux de poisson mort sur elle...
Il t'a pas respecté Ichi, jpp.
..puis il retourna à sa captivante lecture. La fillette aux cheveux roux poussa un autre soupir, espérant attirer au moins sa sympathie. Elle se leva finalement et s'approcha dangereusement du démon-blanc, qui ne lui adressa même pas un regard. Elle se plaça derrière lui et posa sa tête sur son épaule. Elle resta ainsi pendant plusieurs minutes, jusqu'à ce que celui-ci baisse son magazine et sortit en soupirant quelques pièces de ses minces réserves, qu'il donna à la jeune fille. Kagura se dépêcha d'enfiler ses chaussures et sortit en courant.
Trop gentil, mon nuage :p
- Tu n'oublies pas quelque chose ?, lança Ichi-san avant de replonger dans sa lecture.
La jeune fille revint sur ses pas, prit son parapluie et ressortit, toujours avec le même empressement, sautillant presque de joie. Un grand sourire vint illuminer son visage pour la première fois en plus grand jour. Les passants s'écartaient vivement de son passage alors qu'elle dansait sous la pluie, heureuse.
Oué , c'est ça, dégagez de mon chemin bande de petits gens.
Sukonbu, sukonbu ... Ce mot magique se répétait sans cesse dans sa tête, tandis qu'elle arriva enfin à la petite épicerie. Les portes automatiques s'ouvrirent d'elles-mêmes, alors qu'elle rabaissait son parapluie en pénétrant à l'intérieur. Le propriétaire du magasin la salua et elle lui répondit chaleureusement. Alors qu'elle se promenait entre les étagères pour simplement passer le temps, elle tomba malheureusement sur celui qui aurait aussitôt fait de lui retirer toute trace de bonheur ⤵
Un homme déguisait en père Noël.
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Okita Sougo détourna son regard du pot de mayonnaise qu'il tenait - oui, il faisait les courses à Hijikata, non sans déconné, il prévoyait un mauvais coup avec ce pot de mayo - et posa ses prunelles sombres sur la jeune fille qui s'était immobilisée. Un sourire arrogant s'étira sur ses lèvres, alors qu'il reposait le pot de mayonnaise ; embêter Kagura était bien plus intéressante que de prévoir un coup à Hijikata, puisque c'était gratuit et facile. Il remarqua à ses côtés la dernière boire de sukonbu, qu'il prit entre dans sa main, la faisant tournoyer agilement.
- Alors la Chinoise, tu viens chercher tes algues ?
...
Il arrêta de faire tourner entre ses doigts et releva sa tête, fixant la jeune fille bouillante de rage qui menaçait d'exploser à tout instant. Cela ne fit qu'augmenter son plaisir.
Trop prévoyante ; elle sauta sur lui, comme un animal en furie et il ne fit qu'un déplacement latéral sur le côté.
BUTE LEEE, BUTE LE, BUTE LEEEEEEE !
Elle rencontra le contoir de produits réfrigérés et se tourna vers le jeune homme, brandissant ses poings armés d'une force herculéenne sur lui. Il les évita, sans même se déplacer.
Sale nulee.
- Rends-moi cette boîte de sukonbu, connard !, cria-t-elle, attirant l'attention des quelques clients présents.
Bien dit !
- Doucement, petite Chinoise. Cette boîte, tu dois la mériter, répondit-il dans son calme habituel, sa voix légèrement amusée.
Ta gueule, salope ! Donne lui sa putain de boite.
Elle s'arrêta, épuisée. Que voulait-il entendre par là ? Elle serra les poings. Elle allait lui défoncer sa tronche. Elle tenta en vint de reprendre la boîte. Il s'avança finalement vers elle, son visage seulement à quelques centimètres de la jeune fille aux cheveux roux, remontés en deux chignons. Sa peau, habituellement aussi pâle qu'une poupée de porcelaine, passa rapidement au cramoisi.
De colère-
- À quoi tu joues, sale bâtard ?, murmura-t-elle.
- À un jeu auquel je pensais depuis un bon moment.
J'ai une gueule à vouloir jouer avec la bouffe ?
Il recula vivement et s'élança d'un pas rapide vers la caisse, suivit de près par Kagura, qui tentait en vint de le retenir par son habit du Shinsengumi, la force policière de la ville d'Edo. Il paya la boîte de sukonbu et sortit du magasin en ouvrant son parapluie. Comme toujours, la jeune fille le suivait, sans se soucier d'où ce salop d'Okita se dirigeait. Elle ne voulait que sa boîte de sukonbu, convoitée depuis tant de jours.
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x X x
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Ils arrivèrent finalement dans une ruelle reculée, où le jeune homme rabaissa son parapluie, marchant jusqu'au fond de la ruelle. Une porte, entrouverte, donnait sur un immeuble abandonné. Sougo y entra, suivit sans hésitation de Kagura. La pièce était poussiéreuse et plongée dans une pénombre inquiétante. Mais pas même cet endroit ferait reculer la jeune fille de son unique but.
Récupérer la nourriture si vous aviez oublié-
Il referma la porte derrière eux et seul le silence leur tenait compagnie en se moment, étouffée légèrement par le clapotis de l'eau à l'extérieur. Il ouvrit la boîte de sukonbu et en mit un dans sa bouche, nargant la fillette.
MOI :
Il s'approcha d'elle, légèrement menaçant, tandis qu'elle reculait. Elle se bloqua bientôt à un mur et le plus grand plaça ses deux bras de chaque côté de la jeune fille rousse. Il avança son visage près de celui de Kagura, le regard rempli de défi. Elle rougit de nouveau,ses yeux louchant légèrement sur le morceau d'algue que tenait Okita entre ses dents.
Il s'amuse trop avec moi, ce malade. Je vais lui sauter dessus comme une folle.
Elle approcha légèrement ses lèvres, dans l'unique but d'y prendre le sukonbu, mais tout ne se passa pas comme elle l'avait prévu ; le plus grand s'avança encore et rompi la distance qui les séparaient et introduisit sa langue et l'algue en même temps à l'intérieur de la bouche de Kagura. Après quelques secondes, il permit à la jeune fille de se remettre de ses émotions. Aussi, trop boulversée pour réagir, elle ne fit que mâcher le sukonbu, sans broncher.
C'est vraiment ultra dégueulasse. Même pour moi.
Comme si ses muscles refusaient de bouger. Elle pouvait facilement le repousser, mais une boule se forma au creux de son bas-ventre.
WTF- Je suis pas une grenouille enceinte.
Elle ne bougeait pas parce qu'elle voulait voir la suite, elle voulait encore plus qu'un simple baiser.
MOI :
En réponse à son désir caché, le plus grand s'empara de nouveau de sa bouche, tout en la serrant dans ses bras, la transportant en deux enjambées dans la pièce adjacente, où un vieux lit trônait, poussiéreux.
...
Il avait déjà visité cet endroit à maintes reprises, mais à chaque fois pour des occasions différentes. Il la déposa assez délicatement sur le matelas grinçant, contrairement à ses habitudes de barbard. Il la voulait tout entière, il la désirait depuis leur première rencontre. Elle avait fait de nombreuses fois partie de ses fantasmes, violents ou doux. Sadomasochiste de nature, il préférait cependant garder ce jouet-ci intacte.
MOI :
Elle ferma les yeux, se plongeant dans une obscurité bienfaisante, tandis qu'elle laissait le jeune homme la caresser toute entière, gémissant parfois de plaisir. Elle ne se reconnaissait plus en cet instant ; est-ce que Gin-san s'inquiète de son retardement ? L'épicerie n'était pas bien loin de chez-eux. Peut-être croierait-il qu'elle était partie se balader ? De nouveau, un élan de plaisir l'empêcha de penser.
...
Il retira son haut, dévoilant ses pectauraux et son corps bien bâti.
Il l'a trop idéalisé -
La jeune fille ouvrit les yeux et le détailla et risqua d'y passer doucement ses doigts pour s'assurer qu'il était bien réel en cet instant.
Et là, c'est un dessin 😭
Elle le sentit frissonner sous ce doux contact. La main de la jeune fille remonta jusqu'aux cheveux du plus grand, l'attirant vers elle, ne contrôlant plus son désir. Elle entoura le jeune homme de ses jambes et s'approcha, se frottant légèrement contre sa partie sensible. Okita ne pouvait plus se tenir encore bien longtemps, sentant déjà la bosse formée par son plaisir personnel.
Il dévêtit la jeune fille, tandis qu'elle défaisait agilement la boucle de ceinture du jeune homme. Ils se retrouvèrent tous deux en sous-vêtements, alors qu'il défit le soutient-gorge de sa partenaire. Puis, il lui retira sa petite culotte, tandis qu'elle rougissait comme jamais. Il lui offrit un sourire, qui se voulait bien rassurant, mais qui cachait bien d'autres faces de sa personnalité. Il descendit sa main et toucha habilement la petite fleur de la jeune fille qui poussa un petit cri de surprise. Elle n'avait jamais connu un si grand plaisir. Il fit rouler la petite bille qui gonfla sous l'emprise du plaisir. Puis, il baissa un peu plus ses doigts, caressant ses petites lèvres et il trouva finalement son entrée. Il la savait encore vierge, c'est pourquoi il y mit son majeur, vérifiant l'état de la jeune fille. Celle-ci avait légèrement gémi, mais elle ne semblait pas avoir mal. Le deuxième doigt passa cependant moins facilement, mais peu à peu, la légère douleur qu'éprouvait la jeune fille s'estompa.
MOI :
Il descendit son sous-vêtement, libérant finalement son membre de l'inconfort qu'il avait éprouvé, coincé dans les tissus de son sous-vêtement. Il sortit finalement un condom de sa poche - il en portait toujours un sur lui, ce coquin - et le mit avec agilité. Le jeune homme n'en était pas à sa première fois avec une fille, malgré son âge. Il s'enligna finalement, mettant simplement son glan à l'entrée de Kagura, s'assurant qu'elle était prête. Elle hocha doucement de la tête, puis il entra à l'intérieur d'elle. Elle poussa un long gémissement de plaisir, tandis qu'il commença une série de vas-et-viens en elle, parfois doucement, puis plus rapidement, alternant entre les deux. Avec l'une de ses mains, il alla intamplifier le désir de sa partenaire sexuelle en caressant son clitos. Elle se cambra sous cette surdose de plaisir. Il accéléra finalement ses mouvements de bassins, toujours plus profonds et plus forts. Elle ne pensait pas accéder un jour à autant de plaisir ressentit. Il prit ses cuisses entre ses larges mains, l'attirant encore plus à elle, poussant de rauques gémissements à chacun de ses mouvements, sa respiration et son rythme cardiaque augmentant également. Elle ne pu retenir ses gémissements de plaisir, offrant à Okita ce qu'il désirait depuis fort longtemps. Elle lui avait offert son être, son corps. Et elle y prenait aussi plaisir. Sentant l'orgasme venir, le plus grand redoubla de vitesse, alors que la jeune fille avait cru qu'il en était à son maximum. Elle sentit également la jouissance arrivée et décida d'aider le jeune homme en se cabrant, pour le ressentir complètement en elle. L'odeur qui régnait dans les airs, la sueur qui recouvrait leur corps, le bruit sec de leur corps claquant l'un contre l'autre. Leurs sens étaient à leur capacité maximale et ce fut dans un long gémissement que les deux atteignirent l'orgasme simultanément.
MOI :
Okita retomba sur la jeune fille, restant encore quelques minutes à l'intérieur d'elle, soupirant d'extase. Il pouvait sentir le vagin de sa partenaire serrer son membre sous la force du plaisir que leur avait prodigué leur union. Puis, lorsqu'ils reprirent leur respiration, il se laissa tomber sur le côté, enleva le condom, fit un noeud et le jeta plus loin. Il ne se souvenait pas d'avoir déjà vécu une telle jouissance. Il soupira, alors qu'il se décala sur le côté pour regarder la jeune fille, qui avait gardé les yeux clos. Puis, elle tourna la tête vers lui et d'un air sérieux, lui demanda :
- Je peux l'avoir maintenant, ma boîte de sukonbu ?
Vous me croyez si je vois dis que j'ai presque rien compris de la fin ?
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