Nostalgie printanière
Je ne sais pas pourquoi mais j'ai des petits élans nostalgiques ce soir... *-*
Je sais pas ce que j'ai avec les sweats mais purée j'en mets partout -.-'...
Comme promis j'ajoute une pitite nouvelle écrite il y a bien un an maintenant '-', mes aïeux je prends un coup de vieux (en rime en plus)
Eh je suis pas une pro en écriture, mais on va dire que je me contente de moi XP
Il tombait... Il savait qu'il ne survivrait pas au choc. Quand on chute d'une falaise de trente mètres, on y survit pas.
Le sol se rapprochait rapidement, ou alors, c'est lui qui se rapprochait.
De toute façon peu lui importait puisqu'il mourrait quand même.
Il se sentait bien maintenant, comme une feuille portée par le vent frais automnal.
Dans son esprit défilait sa vie. Les souvenirs affluaient, bouillonnant, s'entrelaçant et se bousculant.
Il était résigné et attendait paisiblement cette mort qui l'environnait depuis "Le Jour", comme il aimait à l'appeler, ce jour où toute sa vie avait definitivement basculer dans un gouffre duquel il n'avait jamais pu ressortir.
Et soudain, il y eu l'impact, une douleur atroce le gifla de plein fouet telle qu'il n'eut pu la décrire, elle s'immisca dans tout son corps, de la moëlle de ses os. au plus profond de ses entrailles comme une longue lame déchirant tout sur son passage.
Mais cela ne dira qu'une fraction de seconde.
Et ce fut le néant, le vrai néant. Celui dont l'on ne reviens jamais.
Celui même d'où si l'on prête l'oreille, on peut entendre le rire grinçant et sarcastique de la mort...
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