and.

J'ai adoré comme on contemple,
Ton goût vertueux et vanillé,
Tandis que mes lèvres déshabillaient,
Ta pudeur encore ample.

Je me suis envolé sous ton souffle,
Chauffé par des cendres pourpres.
Dans la brise de tes désirs troubles,
Et sur tes joues s'empourprent,

Nos respirations embarrassées,
De deux ridicules âmes amourachées.
La jouissance de nos corps enlacés,
En notre suffisance à oublier le passé.

J'ai longtemps rêvé des tes yeux,
Jusqu'à repousser l'idée des adieux.
Mélodieuse, elle me tourmente encore,
Ta voix aux abords d'or.

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