IMPORTANT
Bonjour.
Aujourd'hui je me passe de mes remerciements habituels.
Aujourd'hui, je prends un ton bien plus grave pour vous parler.
Aujourd'hui, je prends la liberté d'attirer votre attention sur ce chapitre.
Parce que ce que je vais écrire aujourd'hui dépasse ma simple personne ou la votre.
J'avais dit que je ne parlerais pas du coronavirus. Je maintiens ma promesse. Car lorsque je l'avais faite, je pensais aux articles qui ne faisaient que paniquer les gens. Je pensais aux vidéos qui montraient les étalages vides. Je pensais aux interview qui montraient des personnes inconscientes, encore dans les rues ou confinés dans leur villa luxueuse. Je pensais à toutes ces choses, et je n'avais pas envie d'en parler. Par peur, par dégoût. Par désintérêt. Je voulais que I don't wanna write reste un lieu de détente où se changer les idées.
Mais aujourd'hui, je voudrais partager quelque chose qui me fait prendre espoir. Quelque chose qui me donne envie de parler du covid19, non plus comme une pandémie, mais comme une chance.
Je ne suis pas devenue folle pendant le confinement, rassurez-vous.
Mais j'aimerais voir ce que le virus amène de positif.
Ce virus a changé nos vies en quelques semaines. Nous sommes devenus craintifs. Nous avons arrêté notre routine. Mais au delà de tout ceci, c'est le système économique et la consommation mondiale qui semble transformés, révélant les faiblesses de ceux-ci. Pour les septiques qui ne croyaient pas encore que nous foncions droit dans un mur, en voici la preuve.
La mondialisation et le libéralisme sont des facteurs aggravants de la crise sanitaire que nous traversons, grâce notamment au trafic aérien. Les pénuries de masques sont dues en partie au fait que nos usines sont délocalisées pour la plupart.
Aujourd'hui nous sommes face à un choix : continuer dans cette voie ou changer radicalement de cap.
Notre économie va s'écrouler en partie. Par exemple, sur le marché aéronautique. Nous aurons alors le choix, de refinancer ces marchés polluants qui nous mène doucement à notre perte pour poursuivre la mondialisation et la pollution atmosphérique. Ou bien, utiliser ce budget pour investir dans des domaines durables et essentiels pour nos vies, tels que la santé, l'alimentation, le transport bas carbone.
La France n'est pas résiliente au niveau de son alimentation. C'est à dire que si Paris n'est plus alimenter, trois jours suffiront à ce que notre capital n'est plus de nourriture.
Nous devons laisser ces entreprises polluantes faire faillite et rediriger leurs employés pour les former aux travaux agricoles qui proposerait un nombre conséquent d'emplois sur le marché du travail, si l'on lui en donnait les moyens. Au delà de l'agriculture, nous pourrions former ces gens pour reconstruire notre système hospitalier qui montre ses limites en ces temps de crises qui nous rappelle à quel point ils nous sont indispensables. Tant de marchés à développer, qui sont plus utiles et intéressants sur le long terme et sur la viabilité de ce qu'ils proposent.
Il ne s'agit pas non plus de se fermer au monde, mais bien de conserver le minimum d'avions indispensables et de bannir les autres. Sans proposer une régression, des moyens de substitutions existent, moins rapide certes, mais nous forçant par conséquent à réduire notre consommation. Il s'agit d'investir dans les moyens de transports bas carbone en ce qui concerne notamment le transport de marchandises. Nous devons apprendre à vivre dans un monde bas carbone qui cherche de réelle solutions viables et qui ne se contente pas de déporter le problème.
Vous l'aurez compris, nous sommes face à un choix. L'un est dans la continuité de notre modèle actuel, l'autre, propose un changement profond, un leadership transformateur. Nous devons nous intéresser à un plan de transition écologique qui ne laisserait personne de côté et transformant durablement notre monde pour le mieux.
Nous pourrions tenter de "sauver" les accords de la cop21. Aujourd'hui, les émissions de CO2 ont chuté. Il ne revient qu'à nous de décider qu'il reste ainsi par delà le confinement en se refusant à faire redémarrer les usines qui polluent notre atmosphère et en leur trouvant des alternatives.
Le coronavirus est une catastrophe économique, mais il nous permet de rattraper notre retard sur les accords de la cop21. Ce virus nous laisse une chance en fonction de notre réaction de sauver le climat.
Il reste beaucoup de chose à construire, mon article est succin, il donne une idée idyllique qui aura du mal à se mettre en place et qui demande des études approfondies pour développer correctement ce "nouveau" modèle économique.
Nous pouvons en être les pionniers. Nous pouvons décider de soutenir les projets qui tendent vers cette utopie. Nous pouvons donner de notre temps pour faire des recherches et réfléchir durant le confinement.
La décision finale n'appartient à personne d'autre qu'à nous.
Alors aujourd'hui, du haut de mes dix sept ans, du haut de mon petit esprit de réflexion, je ne remercie pas égoïstement mes lecteurs. Je remercie les êtres profondément humains qui auront pris le temps de lire et de réfléchir à tout ceci. Je remercie ceux qui se battent pour qu'actuellement le monde ne sombre pas. Je remercie les gens qui veulent croire en cette vision optimiste des choses.
Aujourd'hui je vais faire quelque chose que je n'avais encore jamais fait. Je vais vous demander de mentionner un maximum de personne et de partager un maximum de liens vers des vidéos youtube, des articles ou autre pour que nous puissions réfléchir aujourd'hui ensemble à l'avenir qui nous attend demain.
Parce que je crois en ce demain là.
Merci de votre attention.
Liens vers vidéos :
https://youtu.be/fCQRbPKWvZs
https://youtu.be/vkJDZ9LaK_w
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