Y'a t'il quelqu'un?
Je me sent seule.
Personne ne veut me tenir la main ?
Je suis du seule.
Aucun de vous ne me parle,
Aucun de vous m'apprécie.
Je ne sais pas comment le prendre,
Laisser couler ou s'obstiner.
Pourquoi me détestez-vous, qu'ai-je fais de mal ?
J'essaie d'être heureuse, mais vous êtes toujours là.
Là pour m'insulter, me rabaisser, me frapper, me faire tomber.
Par vôtres fautes j'ai resombrer.
Le destin me laissera t'il un jour de répit ?
Un jour pour enfin dormir sans avoir l'esprit tourmenté par ces innombrables questions sans réponses.
Elles se bouscules encore et encore dans ma tête, créant un assourdissant vacarme que seule moi peut entendre.
Un vacarme bruyamment silencieux.
Et c'est vois alors, d'où viennent-elle?
Sont-elles le fruit de mon imaginaire, de ma sombre folie?
Tout ça, c'est de votre fautes.
Si vous ne seriez jamais apparu dans ma vie, je ne serais pas là à me poser cette question fatale.
"Ai-je le droit de vivre ? En ai-je simplement l'envie ?"
Sans vous, je ne souffrirai pas mentalement.
Sans vous, je ne me ferais pas souffrir physiquement.
Sans vous, toutes ces questions ne me tourmenteraient pas à longueur de journée.
Je suis fatiguée, lassé.
Il a fallu que vous apparaissez dans ma vie à un moment où j'avais besoin de compagnie.
Je vous avais ouverts mon cœur.
Vous l'aviez comme deuxième maison, comme havre de paix.
Vous l'avez détruit et en avait emporté les cendres avec vous.
Un trou béant dans la poitrine, je continue de vivre.
Pourquoi êtes vous entré dans ma vie, dans mon cœur, dans mon esprit ?
Pourquoi m'avez vous utilisé puis brisé ?
Mon malheur fais il votre bonheur ?
Est-ce que je devrais partir ?
Vous laissez ?
Impossible.
Vous êtes entré dans mon existence, y avez foutu un bordel monstre puis êtes reparti sans un regard, sans une excuse.
Malgré ça, je ne peut pas vous abandonné comme vous me l'avez si bien fais.
Car vous êtes pour moi ma famille.
Pour je suis votre jouet, votre objet.
Vous m'avez bien utilisé , usé.
Puis vous m'avez jeté.
Parfois je me dis que j'aurais préféré être un objet.
On m'aurais utilisé, use puis jeté.
Mais je n'en aurais jamais souffert.
Mon cœur n'aurais jamais été brisé.

(désolé pour les fautes)