28. Petit prince.

SCÈNE DE SMUT PRÉSENTE ! JE DÉCONSEILLE POUR LES ÂMES SENSIBLE.








HEESEUNG.




C'est un ange, c'est ce que je me dis parfois.



Quand je me perds dans les lignes séductrices de son visage. Ses lèvres pulpeuses quémandeuses gonflées et rougies qui exhalent un souffle chaud, instable. Son corps semble en fusion, traversé de soubresauts dès que je le touche.



Une odeur sucrée émane de lui, si douce et si addictive qui annonce la présence de ses chaleurs.



Je ne peux pas dire avec exactitude à quel moment je suis tombé amoureux de lui. Je l'ai reniflé et je suis devenu obsédé par l'humidité de la pluie. Lui et sa manie d'être au centre de sa vie. Un rayon qui éblouie et s'étend en maître, éclipsant tout sur son passage.



Une vive sensation s'éprend de mon cœur, il palpite si vite quand je le regarde. C'est comme si je mettais mon existence en arrêt, obnubilé par la sienne. Aura-t-il conscience un jour d'à quel point mon monde tourne autour du sien ?



Il t'as fais confiance Heeseung.



Et c'est bien la seule chose qui m'empêche de libérer mon alpha en me laissant aller aux pensées les plus dépravées. Pourquoi est-ce qu'il me fait ça ? J'ai peur de son imprévisibilité, qu'il m'en veuille au lendemain.



Pourtant, je meurs d'envie de l'embrasser à nouveau. Un baiser, c'est si intime, c'est le plus significatif. Et après avoir unit nos lèvres, les miennes en gardent encore les saveurs sucrées, espère les goûter à nouveau.



Je range une de ses mèches, nouvellement rousses, sur le côté. Il est si beau mon petit renard à moi. Rien de ce qu'il fait ne me laisse indifférent. Je suis confus quant-à son envie soudaine de revenir sur sa décision.



Sunoo se tortille en dessous. Il a revêtu mon vêtement exprès, juste pour me faire comprendre ses intentions. Au fond, ça me fait sourire. Parce qu'il est mignon lorsqu'il essait de me séduire.



Il n'en a pas besoin car il fait n'importe quoi, que je suis sous son emprise. Mais je note l'effort, son souhait de m'attirer en semant des indices subtils à sa manière, à l'image de sa personnalité.



Encore maintenant, il est désireux, incapable de se tenir en place après le baiser que nous venons d'échanger. Je me retiens de me jetter sur lui. Pas tout de suite. Le voir s'impatienter est tout aussi distrayant.



Je touche son poing qui s'est formé, déposant de fluets baisers sur ce dernier. Il m'offre son attention. Un faible éclat de surprise fait écho dans ses yeux.



Je me penche vers l'avant et embrasse son front où la sueur perle. Ses frissons ne tardent pas à se dévoiler, mordant son échine. Je descends, laissant mes lippes baisoter le haut de son nez. Le bout est arrondi, d'une taille moyenne, le rendant adorable.



Le sang afflue sous son épiderme, colore ce dernier à la hauteur d'une écrevisse. Je recule en lenteur, entame un contact visuel dans le but de le sonder. Ses pupilles vitreuses sont remplis de luxure.



Une petite lueur craintive y vit cependant.



— Touche moi, s'il-te-plaît, me demande-t-il.



Il articule difficilement, l'impression que les bouffées de chaleurs le prennent à la gorge. Je n'ai aucune idée de ce qui se trame dans sa petite tête.



— Tu es sûr de toi ?



Sa réponse est immédiate.



— Oui, oui et encore oui. Combien il t'en faut ? S'il-te-plait, Heeseung...



Me suppliant du regard, il capture mes doigts dans sa petite paume, et les pose sur son visage, de telle sorte que mon pouce soit contre sa lèvre. Son corps s'échauffe, le mien est dans le même état.



Nos phéromones s'embrassent à leurs tour. L'essence d'orange et celle si sucrée qui devient de plus en plus puissante font gronder mon alpha à l'intérieur.



Agité, il grogne son envie de posséder Sunoo et le faire sien pour toujours. Pour lui, il nous appartient. De ce fait, il veut le marquer un peu partout. S'il n'en tenait qu'à moi, on serait déjà liés pour la vie.



— ...je sais que tu ne me fera pas de mal, complète-t-il.



Sunoo s'est de plus en plus mis à moins me craindre, au point où je pouvais sentir ses muscles détendus en ma présence. Rien ne semblait plus l'effrayer et parfois, j'avais l'impression qu'il en jouait.



C'est l'image de sa renarde après tout. Le jeu, l'esquive, la fuite, la séduction, l'égo. Tout ce qui fait que mes sens sont titillés et je n'ai qu'une envie, le poursuivre jusqu'au bout du monde pour le capturer dans mes griffes.



Un sourire tout sauf rassurant écarte mes lèvres. Je me penche contre son oreille, déposant un bref baiser contre sa tempe. Comment peut-on sentir aussi bon ? Je suis drogué à son odeur.



— Ça dépend d'où, et de comment, lui susurré-je.



Je remonte ma main qui se faufile sous mon hoodie qu'il porte, passant par sa taille plus fine qu'elle ne le laisse paraître sous ses vêtements larges. Elle glisse aisément contre sa peau douce et humide, descendant dangereusement dans le bas de son dos.



Ma paume épouse à merveille la courbure de sa fesse gauche. Par un simple geste, je lui fais comprendre le message muet. Et il n'a pas tardé à le saisir, lorsqu'un hoquet accompagne son tressaillement. 



Je redresse mon regard, dans l'envie de capturer dans mon esprit l'expression qui tord sa mine. La dépravation esquisse les angles de sa face qui rougit. Si beau, mon petit renard excité rien que pour moi.



Je me demande si après ma réponse, il a toujours envie de me faire confiance. Bien que troublé et gêné par ma main, Sunoo se pince les lèvres et tente d'apaiser sa respiration. Il rassemble des morceaux de courage.



— D'accord.



D'accord, le genre de response qui font doubler de volume mon sexe niché dans mon pantalon. Si d'abord la surprise me gagne, elle est très vite remplacée par mon hilarité. Je suis pris de rires incontrôlables.



Je rejette un moment la tête en arrière, puis plaque mes cheveux dans le même sens. Je le fixe de nouveau en me posant de sérieuses questions. Enfin, j'essaie.



Mon crâne est bourré d'images de moi lui faisant l'amour.



Je caresse doucement ses joues. Il est dans un état de confusion similaire à la mienne. Un doux sourire fend mes lèvres. Je l'aime si fort que ce n'est pas mesurable.



Il est là comme mon plus précieux trésor. Mon cœur gonfle de bonheur juste parce que je le détaille et que je me noie dans ses yeux si délicats, à la forme exquise.



— Je t'aime tellement, petit prince.



D'une façon que je ne peux pas contrôler. Il fous en désordre mon monde. Un petit être avec tant de pouvoirs que je souhaite revendiquer tous les soirs.



Ses lèvres entrouvertes, il a du mal à trouver ses mots. Et je sais pourquoi. Mon amour n'est pas réciproque. Pour l'instant.



Mes sentiments sont à des années lumières des siennes. J'ai donc conscience qu'il ne saura pas me répondre. Pour lui éviter cela, je me penche vers l'avant.



Nos bouches s'unissent une seconde fois.



C'est toujours aussi enivrant. Ses lèvres sont moelleuses et paraissent se fondre contre les miennes. Elles ont un goût propre à elle dont je ne pense plus me lasser.



Je les capture entre mes dents et tire doucement dessus. La réaction de Sunoo est immédiate. J'enregistre son petit cri. Je veux l'entendre de nouveau. Alors je mord sa lippe. Il gémit de douleur.



J'en profite pour retrouver la chaleur de sa langue, l'emmène en balade, dans une danse endiablée. Réagissant sous réflexe, mes doigts se crispent contre sa fesse, la serrant donc. Il couine et j'avale son gémissement aussitôt.



Je me retire, un filet de salive nous séparant. Nos souffles sont bruyants, d'un rythme effréné. Je m'approche et lèche le coin de ses lèvres. Il rougit de plus belle, me faisant sourire intérieurement.



Mais s'il pense que ça sera aussi simple.



Après avoir obtenu mon second baiser, je recule. Voyant que je ne bouge plus, les sourcils de Sunoo se creusent.



— Pour—Pourquoi tu t'arrêtes ? Balbutie le roux.



— Je ne sais pas ce que tu veux de moi.



Que tu me touche, oui ça je l'avais compris. Ensuite ? Que sommes nous censé faire ? Je m'amuse à espionner mon petit renard dans la difficulté à trouver ses mots.



— Je veux bien briser ma promesse. Mais à la condition que tu m'exprime clairement tes envies. 



— Tu sais très bien ce que je veux, grommèle-t-il tout bas en jouant avec les pans de ma chemise.



Je feins l'ignorance.



— Je ne suis pas télépathe.



— Heeseung ! Se plaint-il, exposant sa frustration au grand jour.



Je me retiens de rire, mordant ma langue et tuant le sourire qui force à s'étaler sur mes lèvres. Je revêt un sérieux sans faille, demeurant implacable.



Oui prince ?



Le souffle de Sunoo se coupe. Je remercie les divinités de pouvoir me permettre d'apprécier cette expression à la beauté inégalée. Je grave chaque contour dans ma mémoire.



Sa gêne le rend irrésistible. Je peux entendre ses battements cardiaques qui s'affolent, ses doigts qui se resserrent contre ma chemise. Doucement, mon petit renard se remet de son nouveau surnom.



Il sait que je me joue de lui. Depuis tout à l'heure, je ne cesse d'être ravagé par les senteurs fruités qui se dégagent de lui, du fluide qui coule de ses cuisses humides.



Je les ignore. Je veux qu'il me le demande à voix haute.



Dès qu'il ressort de son état transi, Sunoo balance ses poings contre mon torse. Je hausse le sourcil, me demandant ce qu'il a voulut faire. Je ne sens que de faibles chatouillis tout au plus.



Il continue de me marteler de coups, les yeux clos. Je soupire et me saisit de ses poignets. J'exerce une pression dessus, l'empêchant de s'en servir. Et d'une voix ferme sans être trop froid, je poursuis.



— Regarde-moi. 



Il rouvre les yeux aussitôt. Ses deux billes sont si intenses. Ce soir, elles ne me cachent rien. Même pas ses intentions les plus intimes. J'embrasse son poignet, puis le dos de sa main.



Mon pouce s'introduit entre chacun de ses doigts et les caresse. Il se détend à la seconde comme à son habitude. Je descend alors vers sa paume, formant de mini cercles imaginaires.



Mes lèvres se posent contre sa joue, atterrissent au dessus de ses yeux et y laissent une trace humide. Je fais de même un peu partout sur son doux visage. Mon petit trésor à moi.



Mes oreilles animales se dressent et frétillent. Ma possession m'enveloppe de tout part. Je me détache de lui, finissant par lui murmurer.



— Retire ton haut prince.



Sunoo cligne des yeux, comme s'il prenait son temps pour assimiler mon ordre. Terré dans son mutisme, il doute de longues secondes et finit par se redresser. Je suis son mouvement en laissant un espace entre nous.



Ainsi, il étend facilement ses bras pour se débarrasser du hoodie. Il se saisit du bord, le redresse en prenant son temps. Pas pour nous frustrer. Ses gestes sont juste hésitants.



Il croise mon regard. Je l'encourage en silence. Au même moment, mes yeux s'illuminent d'une intensité plus élevée, harponnés au bout de peau qui se dévoile au fur et à mesure qu'il remonte.



Dès qu'il abandonne le pull sur le côté, je peux admirer dans son ensemble son buste nu. Sa musculature est finement dessinée. Chaque proportion me paraît si parfait. Le bout de ses tétons pointe vers l'avant. 



Intéressant. Je descend ensuite vers les marques sur son abdomen qui disparaissent elles aussi. C'est normal vu leur durée. Elles auraient même du s'estomper plus tôt.



Je les effleure. Il se cambre aussitôt et frissonne légèrement. La réaction n'est pas aussi folle que cette nuit sur la terrasse. Je souhaite le marquer à nouveau, partout sur son corps.



Ancrer mon odeur si profondément que plus personne n'osera se tenir auprès de lui sans être agressé par mes phéromones. Je caresse la zone au niveau de son bas ventre et ne rate pas son short mouillé.



Ses yeux s'écarquillent.



— Ce—ce n'est pas ce que tu crois, je...



Il est à croquer avec son air affolé.



— Hey, respire.



Son teint ne cesse de rougir. Mes pores laissent échapper des effluves juste pour le calmer. Il peine à soutenir mon regard, un comportement à l'extrême de sa personnalité.



Mon attention se dirige vers son entrejambe. Je me disais bien qu'une odeur aussi fruité ne pouvais provenir que de ça. La raison pour laquelle il est aussi timide.



Mon corps poussé vers l'avant, mes doigts retombent entre ses cuisses et appuient sur son sexe. Il halète, les yeux globuleux et ses mains s'agrippent dès lors à mon bras dans le but de m'arrêter.



Le souffle court, il me fixe, le cœur battant. Il paraît tiraillé par les sensations exquises que lui ont provoqué ma friction et la peur sourde qui s'infiltre en lui.



— Je ne te savais pas si prude—



— Ce n'est pas vrai ! S'exclame-t-il pour se défendre.



Pourtant, le fait qu'il m'arrête en dit assez. Il remarque son propre geste mais hésite à me lâcher. Petit à petit, il finit par desserrer sa prise, m'encourageant à poursuivre.



C'est si addictif de le voir perdre ses moyens que j'ai de nouveau envie de le taquiner. Je caresse son sexe, prenant plaisir à chaque fois qu'ils se tord sous ses tremblements.



— Tu peux me le dire...



Ma voix provocatrice voyage jusqu'à ses oreilles. J'ai l'impression d'être un démon lui murmurant des obscénités à l'oreille. Il se cambre un peu plus, me fixant de ses yeux larmoyants.



— Hors de question...



Je mime des mouvements de va-et-vient tout en étant bloqué par le tissu de son short. Il s'agrippe à mes épaules, se tend de plus en plus, abattu par les sensations électrisantes qui le foudroient.



Vicieux, je lèche le coin de ses lèvres.



— Tu veux la langue de ton alpha dans ta chatte hum ? Lui glissé-je à son oreille.



Il gémit en réponse. Je ressens son effet au plus profond de moi, jusqu'à la plus petite organe, les ravages qui s'étendent à travers ma verge.



Je trouve ça si bête de ne pas avoir remarqué plus tôt ce qui se dissimulait sous ses larges vêtements. Une jolie fente humide qui me rappelle que sa forme profonde est une femelle.



Le tissu fin se plie sous mes doigts, me permettant d'atteindre ses lèvres externes. Ils sont aussitôt trempés du fluide qui s'écoule et les humidifie.



Les gémissements de mon renard ne tardent par à pleuvoir. Il est frustré, tout comme moi, agacé des obstacles qui m'empêchent de le toucher peau contre peau.



— Dis-le prince, continué-je d'insister.



Je me perds dans son cou, le couvrant de baisers, mordillant et suçant chaque zone qui m'est offerte. Je fais plier mon pouce et le frotte contre son clitoris.



— A-Ah ! Entendé-je de ses lèvres.



Un miaulement, plus aiguë que j'avais entendu jusque là, me transperce la poitrine. Il est si têtu. Je suis à la fois agacé et hilare. Un rictus sadique déforme mes lèvres.



Je grogne et mord sa tempe, je veux entendre sa voix me le demander. Mais il résiste et ne flanche même pas sous mes baisers brûlants et mes dents qui torturent sa peau.



Ça ne fait que me stimuler moi et mon loup.



— N-non... arrive à formuler mon petit renard entre deux soupirs d'aise.



Je réprime le mien, le cœur fou de lui, bondissant un peu partout. Ses couinements me provoquent d'agréables frissons le long de mon échine. Je m'arrête d'un coup.



Bien...



Sunoo ne tarde pas à me montrer sa frustration. Il marmonne tout bas, tirant sur ma chemise. Voyant que je ne fais rien, il bouge son bassin vers l'avant, demandant plus de contact.


Je l'arrête du regard et il se calme aussitôt. Je retire ma chemise par les restes de bouton, le posant quelque part. Il ne tarde pas à dévorer chaque centimètre de mon corps sans même s'en cacher. Le coin de mes lèvres se rehaussent d'amusement.



Sans le prévenir, je lui retire son bas d'un geste précipité. Il tente de m'arrêter. Je l'ignore, concentré sur ma tâche. Ses jambes cèdent et me permettent de jetter ce foutu short loin.



Je lui adresse une oeillade. Il en fait de même, sans flancher, gardant ses lèvres scellées. Une de mes griffes s'allonge. Je m'en sert pour déchirer son boxer. La texture cède et dévoile sa partie intime.



Je pourrais le regarder ainsi toute ma vie, lui en entier qui se dévoile à moi.



Je fais glisser ma main contre sa mâchoire. Sa bouille rougit et suant fais la moue. Adorable. Être ainsi exposé le rend moins sûr de lui d'un coup.



Mon pouce et l'index creusent ses joues en les maintenant avec rudesse. Je manipule sa tête à ma guise, les tournant dans tous les sens selon mes souhaits.



— Répète après moi : je veux ta langue dans ma chatte, alpha.



Je le sens trembler de plaisir, le souffle bruyant et l'embarras envahissante qu'il tente de cacher à tout prix.



— C'est pas drôle—



Je gifle les lèvres gonflées de désir de son sexe. Il lâche un cri de surprise, ses jambes tremblotants. Il me lorgne, l'air de ne pas me croire capable de ça.



— Ce n'est pas ce que j'ai dis bébé. Recommence.



Le désespoir avale Sunoo, qui ne sait plus comment le tenir tête. Il a beau me supplier du regard, je suis imperméable à toute tentative.



Il finit par ouvrir la bouche, faiblement, exhale un léger soupir. Il hésite plusieurs fois, frottant sa jambe contre la mienne inconsciemment. Ça m'allume, nourrit la flamme qui jaillit de mes iris.



Mon roux favoris essaie une dernière fois de me faire changer d'avis. Je l'intime en silence à céder. Il finit par souffler, n'ayant pas le choix.



— Je veux, dit-il en premier avant de déglutir et s'arrêter en chemin.



Je caresse l'intérieur de sa jambe tout en évitant avec soin l'entrée de son vagin, titillant son impatience. Je relâche ses joues pour lui permettre de s'exprimer avec clarté, tenant plutôt son menton.



— Je veux ta langue... dans ma—dans ma c-chatte.



Je m'arrête, le regard sombre, attendant. Le silence s'étire. Ses derniers espoirs s'envolent, il abandonne et complète.



— ...Alpha.



La satisfaire m'envahit. J'embrasse les siennes dans un élan fougueux avant de reculer.



— Bon garçon. Alpha va s'occuper de ta chatte, comme tu le mérite.













Si on m'avait dit qu'un humain pouvait être doté de tels attributs.



La courbure de ses hanches est plus définie. Un bassin légèrement plus large avec l'accouchement chez les hommes, d'après ce que je sais auprès des omégas de ma meute.



Si celui de Sunoo est quand même moins élargit, il reste d'une telle finesse qu'on compare à ceux des femmes. Sa peau est moins brunis autour de ses hanches et ses jambes.



Sans doute à force de cacher ces parties sous des vêtements épais et larges. Je me sers de mes mains pour garder ses jambes écartées.



Placées en dessous de ses fesses, j'ai une excellente vue de son sexe aux effluves florales et fruitées. Le fluide presque transparent s'étale un peu partout.



J'en recueille un peu de mes doigts et le laisse goûter sur ma langue. Ébahi, Sunoo secoue les bras, tente de se redresser et refermer ses jambes mais j'appuie sur sa taille pour qu'il se tienne tranquille.



— Ne fais pas— ne bois pas ! Dit-il, scandalisée.



J'avale le liquide à l'arrière goût particulier, quelque chose entre le âcre et le sucré ? Difficile d'expliquer. Dans tous les cas, j'aime tout ce qui vient de lui.



D'un sourire satisfait, je lui jette un coup d'œil. Il rougit furieusement avant de se cacher le visage derrière ses mains. Je souris et laisse mon souffle heurter sa chatte.



Une vive couleur rose, les grandes lèvres ouvertes qui s'enflent et de rétractent, donnant l'impression qu'elles respirent, signalent l'impatience qui le dévore.



J'en suis fasciné. Je déglutis, le désir grondant dans mes reins. Je me sens tellement serré dans mon boxer. Je dépose un bisou au dessus des plus humides, restant longtemps dans cette position.



Sunoo pleurniche, sursautant à chaque caresse. Le froissement incessant du sofa peuple la pièce. Sa respiration laborieuse et ses tentatives de bouger son bassin me donnent l'impression que ses entrailles le brûlent.



— Fais quelques chose... s'il-te-plait.



Un premier coup de langue et il gémit sans retenu. Ma langue farouche lape en continue les parois et glissent aisément en lui, le fluide servant de lubrifiant naturel.



L'odeur de sexe emplis mes narines. Sunoo se tord dans tous les sens, ne pouvant plus s'arrêter de lâcher de jolies sons agréables à mes oreilles. Il se cambre en rejetant la tête en arrière.



Mon pouce s'amuse avec son clitoris que je stimule en même temps, pressant mon doigt contre, l'écrasant presque et effectuant de légers mouvements de cercles.



C'est si chaud à l'intérieur, si doux, mon visage s'enfonce de plus en plus entre ses jambes, ma face barbouillée du liquide sirupeux. Il coule en abondance.



Ma bouche en absorbe au même moment où je pousse ma langue contre ses parois qui palpitent. Son sexe semble s'ouvrir face à mon passage déchaîné, avide de plus, beaucoup plus.



— Heeseung— d-doucement... !



Au contraire, j'accélère, maltraitant son clitoris et remontant de temps en temps l'aspirer entre mes lèvres. La pièce sature de ses gémissements. J'en suis friands. Je le taquine de ma langue, le sentant perdre la tête.



Ses doigts finissent par s'agripper à mes cheveux, appuyant contre ma nuque, le plaisir guidant ses gestes. Je m'enfouis de plus en plus loin, le bas de mon visage trempé à cause de lui.



Les jambes de Sunoo zont pris de violents spasmes. Ses cris s'élèvent, saturent l'atmosphère. Il finit par lâcher mes mèches, allant recouvrir sa bouche.



Ne plus l'entendre m'agace. Je recule alors, coupant court à son plaisir. Il me lance une oeillade timide, tiraillé entre la frustration et la gêne.



Je passe ma langue tout autour de mes lèvres pour recueillir le fluide luisant, le taquinant, le regard diabolique. J'observe le carnage entre ses cuisses. Mon renard est si beau ainsi.



Si jolie... juste pour moi, à moi.



Les larmes emplissent ses yeux. Il souffre du plaisir qui s'accumule dans ses reins. Je ne peux pas m'empêcher de le trouver magnifique comme ça.



Une œuvre d'art. La mienne. Je veux tellement le marquer de partout. Que son corps crie partout où il passera qu'il m'appartient.



— Heeseeeeeeung, se plaint mon bébé.



Je souris. Je me suis tant perdu dans ma contemplation ; comment ne pas être obnubilé par lui, après ? Je me penche et efface les larmes qui coulent.



— Je suis là prince.



J'introduis un doigt en lui dès lors, le sentant tellement serré que je me demande s'il est vierge ou pas. Une douce chaleur m'accueille. Il est un peu crispé, rendant mon ascension compliqué.



Je force presque de légers va-et-vient tout en restant attentifs à ses changements d'expression, essayant de le détendre. Il grimace, l'inconfort peignant sa figure.



— Détends-toi, soufflé-je à voix basse.



Entre deux soupirs mêlant douleur et début de plaisir, il hoche doucement la tête. J'ajoute un second doigt et perçoit d'emblée une résistance de sa part.



Il a du mal à retrouver son souffle. Je bouge à peine qu'un troisième doigt rejoint les autres. Il laisse échapper un cri de douleur. Il est si serré. Ma mâchoire se crispe, stimule ses parois bourrées de nerfs hypersensibles.



Je me sers de ma main libre, caressant sa taille et passant autour de son nombril, retraçant les lignes des marques qui s'effacent. Je l'embrasse partout sur son visage.



Je le couvre de flatteries pour le détendre. Tu es parfait, mon beau renard, si magnifique. Quoique tout ce que je dis est vrai. À chaque rentrée, je vais plus loin, creusant peu à peu mon passage.



— Ça va... hm... m-mieux... c'est bizarre...



Pour une première fois, je comprends.



— Ça te fait du bien ?

Il hoche frénétiquement la tête, l'extase commençant à s'ouvrir comme une fleur sur son faciès.



— Oui... c'est bon...



Ses paupières de rétractent et se ferment, battent lourdement, les mirettes luisantes et ensevelies sous la luxure.



— C'est comment Sunoo ? Répondé-je d'une voix mesquine, dans l'envie qu'il répète.



— Très b— H-HA Heeseung !



Il ne sait pas à quel point ça me rend faible lorsqu'il prononce mon prénom. Ça me pousse à farfouiller plus loin en lui, les bruits humides obscènes rebondissant contre les murs.



La faible lueur provoquée par les guirlandes rend le moment plus intime, plus secret, plus sensuel. Peu à peu, les gémissements de Sunoo reprennent, me signalent que le plaisir prend l'ascendant sur la douleur.



D'un coup, j'ai l'impression que mes doigts perforent un obstacle. Ça ne dure qu'un instant avant qu'ils ne se fassent aspirer par un passage étroit.



Une sorte de tunnel qui se resserre à chaque mouvement. Mon renard est déchaîné, les larmes ruisselant contre ses joues.



Ne sachant plus où donner la tête, il tourne dans tous les sens, expulsant des phrases incompréhensibles. Mes coups de mains deviennent plus effrénés. Je me presse, continuant de m'enfoncer en lui.



— O-Oui... ! C'est bon— là !



Je suis tenté de mordiller son cou — comme si je ne l'avais pas assez marqué — mais cela voudrait dire rater les sublimes émotions qui se fixent sur son visage. 



Je jure tout bas en voyant toute ma main disparaître en lui. On descends dans les abysses de l'extase. Plus rien ne m'arrête, je veux juste lui faire le plus de bien possible.



Le voir succomber, dévasté.



Il se tend d'un coup, si fortement, la voix brisée, avant de se relâcher, retombant sur le sofa. Un liquide bouillant explose au fond de son vagin, coulant sur mon bras.



Je me retire doucement alors que Sunoo s'effondre sous l'orgasme qui le ravage. Son corps entier tressaille, la fatigue abattant ses membres. Ses jambes sont trempées.



Je m'arrête, essoufflé, inscrivant l'image que j'ai de lui dans ma tête. Il a l'air de planer quelque part, loin de toute réalité. Ses paupières s'affaissent durant les secondes qui suivent.



Il ne lutte pas, se laissant emporter par le sommeil. Tout redevient calme, comme si nous n'avions jamais rien. Et ça aurait pu l'être si la forte senteur de sexe n'était pas toujours présente.



Une faible respiration remonte jusqu'à moi. Il dort paisiblement. Merde, il dort. Je ferme les yeux un moment pour me reprendre mais rien n'y fait, mon excitation est un summum.



Je me penche vers lui, arrange ses mèches chaotiques et embrasse son front.



— Repose-toi bien.



Je me lève ensuite et me dirige vers la salle de bain. Ce n'est qu'en me mettant sous le robinet que je remarque les traces de sang autour de mes ongles.



Mes pupilles brillent, l'exaltation sillonnant mes veines. Je le savais. Il est vierge. Je suis sa première fois. Pas que ne pas l'être m'aurait dérangé.



Le fait est que ça repousse quelques craintes que j'avais sur l'école abandonnée. Je reste un petit moment devant le miroir face à mes yeux flamboyants.



Je finis de me nettoyer en me déplaçant difficilement. Qu'est-ce que je ne ferai pas pour toi Sunoo ? Je redescends et le nettoie. Il est vidé de toute énergie.



Je le déplace délicatement et l'habille de ma chemise. Je lui remet un sous vêtement propre et le porte jusqu'à ma chambre. L'allongeant sur le matelas, je le couvre et caresse son front.



Et dire que nous étions censés prendre nos distances durant ses chaleurs. On démarre mal. Je ne peux pas dormir avec lui. Je serre les dents et retourne au salon.



Je balance ses autres vêtements au lavage et décide de prendre une douche froide pour calmer mon érection. Au final, j'ai finis par me satisfaire avec les images de lui dans mon esprit.



Ce n'est qu'après ça que je descend pour de bon. Je m'allonge sur le même sofa où je l'ai doigté. Des traces de nos odeurs y sont encore. C'est réconfortant.



Mon cœur ne cesse de bondir de plaisir. J'ai l'impression que lui et moi sommes déjà mariés et sur le point de pondre une armée de gosse. C'est un futur qui me plaît bien.



Mon renard à moi, qu'est-ce que je l'aime. Sur cette pensée, mes paupières se ferment pour de bon.



***



Il y a un son de radiateur en fond. Perdu entre l'imaginaire et le monde réel, quelque chose de duveteux me recouvre.



Ça sent bon et c'est confortable. Une main effleure mon front, rassemble ma toison vers l'arrière. Je ne dois pas rêver, un visage est proche du mien. Je peux sentir son souffle.



Cependant, je suis trop loin pour me lever. Des vêtements se frottent entre elles. Bientôt, une nouvelle source de lumière jaillit. Mes paupières sont légèrement ouvertes.



Je m'efforce de les ouvrir plus. Graduellement, une silhouette se dessine en se détachant de la pénombre, accroupie près du canapé.



Un peu plus d'effort. Ma vision s'éclaircit à force de me tirer des limbes du sommeil. Je crois reconnaître Sunoo et son téléphone. La lumière pâle éclaire son visage brouillé par les ombres.



J'ai une vue directe sur ce qu'il fait. Ça ressemble à l'interface d'une conversation, ponctué de longues conversations. Jake ? Peu importe, je ne cherche pas à deviner.



C'est juste le message qu'il envoie et que j'arrive à lire. Et le nom du destinataire ne s'affiche que de moitié.



Je crois que j'ai trouvé quelqu'un



La suite m'échappe. Il a trouvé ? Qui ? Mon esprit est trop brouillon pour réfléchir. Il attend patiemment une réponse. Je m'attarde sur l'icône. On dirait un signe, un logo.



J'ai déjà vu ça quelque part mais où ?



Soudain, son smartphone vibre, signalant l'arrivée d'une réponse. Malheureusement pour moi, il change de position de telle sorte que je ne puisse plus rien voir.



Le sommeil m'emporte malgré moi.



***



Quelle heure est-il ? Mon regard se perds sur le plafond.



Lentement, je soulève la couverture qui me recouvre. Je ne me rappelle pas en avoir pris en venant. Ou si ? Je ne cherche pas à fouiller dans mes souvenirs. Les tintements de verres m'interpellent.



Je me redresse, curieux. Une ombre bouge dans la cuisine. Elle porte une délicieuse odeur. Je baille et et pousse le tissu sur le côté. J'enfile mes chaussons et traverse le salon.



Devant moi, se déroule une scène que j'aimerais voir tous les matins en me levant. Sunoo manipule des verres et du jus de fruit, toujours habillé de ma chemise.



Je cherche l'horloge des yeux non loin des escaliers qui affiche une heure du matin. Je reviens à lui, passant mes bras autour de sa taille et mordant sa nuque. Il a du me sentir arriver puisqu'il halète sans pour autant sursauter de peur.



Je resserre mes bras contre son ventre, sentant son corps contre le mien. Sa paume caresse mes doigts et remontent. C'est nouveau ça. Il ne cesse de me surprendre.



— Je t'ai réveillé ? Me demande-t-il.



Je prends une bouffée d'air, humant son odeur ensorcelante avant de reculer. Il se retourne. Je secoue la tête, un doux sourire aux lèvres. Après quoi, je le soulève par la taille, le faisant assoir sur l'îlot.



Je prends son visage en coupe, ne cessant de l'admirer, de voyager dans ses yeux. Les lèvres de Sunoo s'étendent doucement, il n'a pas l'air très à l'aise dans les démonstrations d'affection.



Mais sa tentative de sourire le rend encore plus adorable. J'embrasse le petit bout de son nez. On ne se dit rien. A-t-on besoin de parler ? Je peux passer le reste de la nuit à le cajoler.



Les conversations silencieuses aux échanges visuels sont les meilleurs après tout. Quelque chose n'aurait pas changé en lui ? Il n'y a plus de tumulte indomptable dans son regard.



On dirait qu'il flotte dans un ciel, en toute légèreté sans se soucier de rien. Dans mon cas, je me sens toujours comme ça quand je suis avec lui.



Il finit par me quitter des yeux, descendant sur le haut de mon corps. Je suis en simple jogging. Je dors sans haut. Il s'attarde au niveau de mon épaule, et je sais ce qu'il doit y trouver.



Il s'agit d'un tatouage culturel. Ça fait parti des rites de la meute. Un cerceau noir entoure mon biceps gauche. Il avance ses doigts et le touche.



Je frissonne et sent mon alpha agité. C'est parce que cette tache d'encre couvre une cicatrice. De forme oblique, marqué par un poignard gravement enfoncé dans ma patte avant.



Elle est restée même lorsque j'ai retrouvé forme humaine.



— Qu'est-ce que c'est ?



Je me saisit de son poignet que je caresse avec douceur.



— Une cicatrice, répondé-je, une lueur amusée tapis sous mes iris.



Une moue refaçonne son visage. Il ne se retient pas de rouler des yeux, presque agacé.



— Merci, j'avais des yeux.



Un petit rire m'échappe. J'approche mes lèvres à son poignet où je dépose un baiser.



— Je l'ai eus une nuit dans les bois.



— Tu faisais quoi si tard dans une forêt ?



— Je peux te poser la même question.



Je n'aurais pas dû en parler. Parce qu'il se braque aussitôt. Je me demande, est-ce qu'il a eut d'autres souvenirs entre temps ?



Il a beau m'assurer que pas grand chose ne s'était produit, je n'arrive pas à me débarrasser de la boule d'angoisse à l'idée que cette soirée cache bien plus qu'elle ne le laisse paraitre.



Et la vérité est que j'en ai peur. Je sens que je perdrai le contrôle si on lui avait fait quelque chose. Mais, il était vierge. Alors, personne ne l'a touché. Personne n'est-ce pas ?



— Heeseung ?



Sa voix me sort de ma transe. Tête baissée, je remarque mes griffes qui s'allongent dangereusement dans la pénombre.



À travers le plan de travail en quartz noir, mes crocs allongés se font voir, les pupilles profondément rouges. Je dois me calmer. Pense à la candeur dans la voix de ton renard quand il prononce ton prénom.



C'est suffisant pour réprimer ma transformation partielle. Un moyen instantané qui m'étonne. Quoique, j'étais conscient de son pouvoir sur moi.



Ce n'est qu'après que je soulève la tête, lui prêtant attention, lâchant un faible Hm en l'intimant à poursuivre. Sunoo n'a pas l'air d'avoir remarqué les griffes et autres. Tant mieux.



— Je veux te parler de quelque chose.



Mes sourcils se creusent aussitôt. Je resserre ses doigts entre les miennes, l'inquiétude grandissante. Il a l'air de rassembler ses mots. Ses pupilles claires reflètent l'importance de ce qu'il s'apprête à m'annoncer.



— Vas-y.



Il regarde sur le côté avant de revenir à moi.



— Le soir où tu m'as retrouvé, tu sais, quand je me suis transformé.



— Oui.



Je suis en suspend, le cœur tapant avec violence. Est-il arrivé quelque chose de grave ? Il se rappelle un détail ? Suis-je prêt à entendre ce qu'il aura à confesser ?



— Jake et moi cherchions de l'aide à la base, parce que sa voiture est tombée en panne.



En panne ? Il n'en a pas parlé une seule fois pourtant. Si je me remémore les évènements, le véhicule est resté stationné près des nôtres tout au long de leur séjour.



Personne n'a mentionné de panne.



—  J'ai entendu de la musique alors nous sommes allés voir. Il y avait une fête, à côté de l'école abandonnée. Ou peut-être dedans. Je ne souviens plus trop.



Je suis plongé dans un mutisme profond. Les petites ampoules lumineuses des guirlandes se mettent à clignoter. Sunoo ne remarque pas mon état, plongé dans son récit.



Et moi, j'en viens à me poser de sérieuses questions. Parce qu'il n'y a jamais eut de soirée dans cette zone. Dans le cas contraire, nous l'aurions su.



L'école abandonnée porte les souvenirs douloureux d'une époque sanglante; un endroit où plusieurs dépouilles de loup ont été retrouvés. Presque personne ne s'y rend et on y interdit l'accès.



Pour certaines familles qui ont perdus leurs membres et qui en font une sorte de cimetière à souvenirs, se disant que les âmes des défunts allaient errer toute leur vie là.



Encore une fois, s'il y avait eut une fête, on l'aurait su. C'est impossible de la rater.



— Et, j'ai reconnu l'endroit. Je voulais partir. Sauf qu'en revenant, la voiture de Jake avait disparue.



Non... ça ne voudrait pas dire...



— Je ne sais pas mais depuis, j'ai l'impression que tout ce qui s'est passé cette nuit là n'était pas un hasard.












____________

Tadam ? FIN DE L'ARC II.

Vos impressions ??

👁️👄👁️ Je ne dirais rien sur la scène de smut ok.
AVOUEZ VOUS L'ATTENDIEZ TOUS BANDE DE COQUINS.
Si j'ai brisé l'innocence de quelqu'un, j'avais prévenu au début. 🙂

Heeseung a grave gechan hein 🤨 il nous a montré un autre visage, le vrai visage il a caché ça (#lameufquiveutpaslacherlesreftiktok)

Anyway, la théorie de Sunoo... Il n'y aurait pas eut de fête ?? Une voiture disparue ??? Tant de mystères...

J'espère que vous avez aimé cette fin ! J'annonce un troisième arc qui viendra prochainement.

Mais avant de partir, je vais répondre aux quelques questions qu'on m'a posé !

Si je ferai un yunki un jour ? Absolument ! Le jakehoonki étant mon saint trio, j'en écrirai, que ce soit en os où en histoire complète.

Et oui, ils sont grave sibling vibe in Real life 😭

Vous aimez lire quels ships vous ? Perso à part Heesun (wow quelle surprise) jakehoon hoonki yunki jaywon jakewon sungwon sunsun sunwon— en fait je vais juste dire ce que j'arrive pas à lire, on va plus vite 😂 jaynoo (ça c'est parce que le ship m'a trauma dans un livre depuis...) Heewon aussi

In Real life vous avez une friendship préféré dans Enhypen ? Jsp vous mais moi j'arrive pas à ne pas aimer leurs duos peu importe les membres qui les composent. Je les aime trop mes fils 🤩 mais j'avoue que mes pref c'est Heejake Yunki Sunki Heesun et sunwon. L'un est drôle, le second aussi, les deux suivants sont HYPER CUTES et le dernier c'est Twins vibe 😔

J'écris depuis quand ? Depuis que je sais écrire 😅
Je ne me rappelle pas le moment exact mais je sais que dès que j'ai appris à former des phrases, je déversais toute mon imagination sur papier. Je l'ai fais dans toutes les classes du collège au lycée en écrivant des romans, des chroniques, du fantastique, des thrillers avec plagiat pro max sur mes séries/films préférés à la télé et livres de la bibliothèque de mon père.

Je me casse maintenant. 👹


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