*Chapitre 5*
Ils sont à moins de 2 mètres de moi, près à bondir. Je ferme les yeux, je ne veux pas voir quand ils vont sauter sur moi pour me man... Je ne préfère ne pas y penser. Même mes pensées son diriger vers celle-là.
Un, deux, trois, quatre, cinq...
Je sais je suis bizarre, mais ça me changer les idées, j'en ai grandement besoin en ce moment.
J'approuve t'es bizarre!
Huit, neuf, dix, onze, mais attendez! Pourquoi ils n'ont pas encore sauté sur moi? Pourtant, ils ont eu le temps.
Peut-être parce qu'ils ont finalement ouverts les yeux et vu que tu n'es pas jolie jolie et que tu n'as pas beaucoup de forme.
C'est quoi le rapport?
Le rapport est qu'ils ne t'ont pas encore sauté...
OMG tu me désespère! Tu croyais qu'ils voulaient me violer!
J'essayer de détendre l'atmosphère, clame toi!
Le bruit effrayé d'un loup suite à un bruit de quelques choses qui percute un arbre me fait ouvrir brusquement les yeux pour voir ce qui se passe.
Mathéo, demandez moi pas ce qu'il fait ici j'en aie aucune idée. Bref il vient d'envoyer un loup contre un arbre.
Je le regarde perplexe, il me lance un furtif regard avant de prendre une branche massive au sol et de la lance sur l'animal poilu en face de lui. Par la suite il court vers les autres loups pour les mettre hors d'états de nuire. Je ne vais pas vous le cacher je suis stupéfaite, il doit me prendre pour une folle, je jurerai que j'ai la bouche grande ouverte.
-Mais qu'est-ce tu fais au milieu de cette foret non de dieu, s'exclame-t-il en se tournant vers moi.
Je réponds rien, je ne sais pas quoi lui dire. Je ne peux quand même pas lui dire que je courrais comme une dégénérée et que je me suis retrouvé ici. Je suis certaine qu'il ne manquerait pas l'occasion de se moquer de moi.
-j'ai compris tu ne me le diras pas, aller on y va je ne veux pas gâcher mon aprèm avec toi dans cette foret, lâche-t-il.
-ça tombe bien moi non plus.
-très bien nous sommes d'accord maintenant dégageons d'ici avant que d'autre loup viennent. Je parie que tu ne sais pas comment sortir de la foret, me dit-il sur un ton de défi.
-je sais très bien comment sortir, je grogne.
-dans ce cas au revoir! Il tourne les talons et part.
Je reste là quelques secondes avant de réaliser qu'il va me laisser la comme une vieille chaussette. Si je le suis-je serais oublier d'avouer que je ne sais pas comment sortir de cette foret. Mon ego va en prendra un coup, mais si je ne le suis pas je vais rester coincer ici...
Pauvre choue!
Je grogne en l'ignorant avant de courir vers lui, pour le suivre. Il me regarde avec son sourire moqueur avant de me dire :
-avoue que tu ne sais pas par où aller.
-je n'avouerais jamais.
-tu n'as pas contredis donc tu me suis.
- je ne t'ai pas dit que je te suivais non plus.
-c'est vrai, donc si tu connais le chemin pourquoi me suis tu? Me demande-t-il sournoisement.
-j'aime pas marcher seul, et je voulais m'assurer que tu prenais le bon chemin, réplique-je maladroitement ce qui le fait rire.
-bien sûr, bien sûr miss non-orientation.
-pourquoi non orientation? Rétorque-je, qu'est-ce qui te dit que je ne sais pas m'orienter?
-rien, mais je crois. Alors Miss non-orientation si tu sais t'orienter ou est le nord, me questionne-t-il en arrêtant.
-arrête de m'appeler comme ça!
-seulement si tu as la bonne réponse!
-...
-c'est bien ce que je disais, Miss non-orientation, il se remit à marcher.
- je sais ou le nord est, il est dans cette direction, je pointe ma droite sous son regard moqueur.
Pitié que j'ai bon, pitié que j'ai bon!
Pitié que t'ai pas bon!
-Messieurs et Madames, s'écrit-il comme si les arbres nous écoutent, aujourd'hui nous sommes réuni pour féliciter Miss non-orientation pour avoir reçu son diplôme de non-orientation!
Il partit à rire sous mon regard tueur. Putin j'y ai trop cru.
Hahaha!
Nous continuâmes notre chemin jusqu'à la route que j'avais entendu plutôt. On monte dans son pick-up noir et se mit en route vers chez moi en silence.
-comment a tu su que j'avais besoin d'aide? Je demande curieusement.
-...
- comment a tu su que j'avais besoin d'aide? Je redemande croyant qu'il m'a pas comprise.
-La ferme je conduis, crie-t-il.
-ok..
***
Arriver devant l'aller de chez moi, mieux vaut qu'il me débarque la que devant ma maison et que mon père me refais une de ses scènes.
Je tends ma main droite pour ouvrir la portière mais je gémis de douleur.
-tu t'es faite mal? Les loups t'ont touché? Il me bombarde des plusieurs autres questions avant que je le coupe.
-non, ils ne m'ont pas faite mal c mon bras, je grogne en le collant contre ma poitrine car la douleur devient insupportable cause de mon effort pour ouvrit la portière.
-je t'amène a l'hôpital il est surement cassé.
-quoi? Non! Je déteste les hôpitaux et puis je n'ai pas l'argent de payer les frais!
-t'inquiète je vais les payer.
-depuis quand tu t'inquiètes pour moi, je lui demande sournoisement en s=le regardant de biais.
-je ne m'inquiète pas pour toi, je n'ai pas pour habitude de laisser une fille blessé sans rien faire pour elle.
-ok.
Ça fait mal au cœur ça! Et puis pourquoi ça me touche je le déteste tout comme lui il me déteste!
Je crois plutôt que ton ego est gravement toucher ma chère!
Ho la ferme tu veux!
Comme tu es rabajoie.!
Arrivé à l'hôpital il vient m'ouvrir la portière tel un gentleman sauf qu'il ne l'ai pas.
Dans l'hôpital Mathéo demande à voir un certain Kevin à la réceptionniste qui ne fait que le relooker.
Quelques instants plutard je me retrouve dans une pièce entièrement blanche avec le docteur Kevin qui me fait un plâtre. Il est plutôt petit pour un garcons, environ 1m 70, il a les cheveux semi-longs blonds et les yeux vert foncé.
-votre bras devras être guérit dans environ 2 semaines reviens me voir dans 3 semaines par précaution pour que je vérifie s'il est complètement guérie. Si oui je vais te l'enlever.
-d'accord merci! Je le remercie avant de rejoindre Mathéo dans le corridor.
-bon content, on y va?
-ouais on y va.
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Coucou!
j'aimerais avoir vos avis sur le début de mon histoire!
-ce que vous aimer
-ce que vous n'aimer pas
-ce que je devrait rajouter ou auter
- ma manière décrire
-autres
bye, bye!
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