*Chapitre 2*
ca fait près de 5 minutes, enfin je crois, que j'essaie d'ouvrir les yeux mais je suis à chaque fois aveugler par une lumière blanche. Mais je réussis enfin.
Je m'assis non sans difficulté dans le lit dans lequel on ma déposer. Je regarde autour de moi et remarque que je suis dans une chambre
Quoi!? Tu es dans une chambre! Wow bravo, t'a pas réalisé que normalement quand tu es dans un lit tu es dans une chambre!
Ho tu vas te la fermer à la fin!
Bref, ou j'en étais, ah oui je suis dans une chambre qui m'est inconnue, à ma droite il y a une fenêtre qui éclaire la pièce qui est entièrement blanche avec peu de décoration. A la ikea.
C'est surement la fenêtre qui t'empêchais d'ouvrir les yeux.
Surement, pour une fois je suis du même avis que toi.
Tu vois quand tu veux, tu peux d'accord avec moi.
Tu vas te la boucler!
Houlà! Je crois vraiment que t'es bientôt dans tes règles!
Je l'ignore et quitte le lit doucement mais mon bras me rappelle qu'il est présent. Je lui jette un coup d'œil et je vis qu'il est entouré d'un bandage. En dessous mon bras ne doit pas être joli. Avec la douleur que j'ai il doit surement être cassé. Ma tête, elle, elle tourne un peu. Ma tête, elle, elle tourne un peu. Ce qui me rappelle que je me suis évanouit dans un parc suite à une bataille avec les deux meilleurs coureurs de l'école. Ce qui me rappelle que je me suis évanouit dans un parc suite à une bataille avec les deux meilleurs coureurs de l'école.
Je me dirige vers la fenêtre pour voir ou je suis et remarque que je suis près de la forêt. Ce qui devrait me rassurer, car ma maison est, elle aussi situé près de la forêt. Mais notre ville est entouré d'une forêt, alors ça ne me rassure pas du tout. Je suppose que je suis chez un homme parce que je ne vois pas beaucoup de décoration et le parfum dans la chambre est sans aucun doute celui d'un homme. Je suppose que je suis chez un homme parce que je ne vois pas beaucoup de décorations et le parfum dans la chambre est sans aucun doute celui d'un homme.
sa se trouve je suis chez un pervers, pédophile qui m'aide pour me violer.. Je fais quoi si je suis chez un pervers?
Cette penser je grimace de dégout et m'écarte de la fenêtre pour me diriger vers la porte de la chambre. Fois dehors de la chambre je me retrouve devant un escalier en colimaçons.
Je descends donc l'escalier, qui me mène dans un salon aux murs toujours blancs contrastant avec le divan noir posé devant une télévision à écran plat. A la gauche de la télévision il y a la porte d'entrée. Une envie me prends, de partir par la porte et ne pas remercier la personne qui m'a soigné. Je mis ma main sur la poignée de la porte et je m'apprêtais à l'ouvrir quand j'entends quelqu'un jurer derrière moi. Paniqué je me retourne et j'aperçu un jeune homme jette quelque chose dans une poubelle. Il est beau, il a l'aire de faire partie des gars qui couche avec les filles pour le plaisir. La panique s'empare de moi, il faut que je parte au plus vite d'ici. Je déteste ce genre de gars. J'ouvre la porte avec ma main gauche. Par malheur elle grince, ce qui attire l'attention du gars sur moi.
-aie! Ne pars pas, reste au moins pour manger, tu dois avoir faim.
Au son de sa voix je me retourne vers lui qui parais inquiet.
-merci de l'invitation et de m'avoir, mais je dois rentrer.
- je ne crois pas que tu sois en forme pour parcourir la ville entière. Mon. Je t'aie trouvé dans un parc a l'autre bout de la ville, je suppose que d'habite dans ses environs. Reste au moins à manger et ensuite je vais aller te porter chez toi, j'ai une voiture.
Je soupire et me tourne pour sortir quand il reprit la parole.
-aller reste svp, je fais des crêpes. Me dit-il en me faisant ses yeux de chien battu.
Ne fais pas ça ! Tu dois rentrer!
Je fais ce que je veux c'est ma vie. Et puis J'ai faim, et surtout il fait des crêpes.
Je ferme la porte et lui répond.
-ok, je reste, ta de la chance que j'adore les crêpes.
-yes!! Crit-il en faisant une petite danse de la victoire.
Je rigole devant son attitude enfantine et va m'assoir sur l'ilot en face de la cuisinière ou il fait cuire les crêpe. Qu'il tentait, de faire cuire les crêpe, je dis bien tentait car il les brule toute. Bref, pendant qu'il fait se massacre qui me brise le cœur, je le l'observe. Il a les yeux verts, et les cheveux blonds. Bel homme mais pas mon genre.
-bon laisse- moi les faire cuir, tu fais que du gâchis, dis-je en le voyant mettre une énième crêpe à la poubelle.
-désolé d'habitude c'est mon frère qui les fait. Mais je ne crois pas tu sois en état de les faire cuir avec ton bras.
-ah oui c'est vrai... mais j'ai ma main gauche! Je m'exclame enthousiasme.
Il me regard puis part à rire.
-bon ok, essais mais si elles sont ratés viens pas m'accuser.
Je termine de faire cuire la première crêpe, ce qui fut surprenament facile.
-mechi, elle est parfaitement cuite, essait-il de dire en mangeant sa crêpe roulez en roulo avec du Nutella a l'intérieure.
Je rigole et continue de faire cuire les crêpes. Par la suite nous parlâmes en mangeant nos crêpes. Bien sûr il me coupait les mienne car j'en suis incapable.
Ainsi j'appris qu'il s'appelle Éric, qu'il a 17 ans tout comme moi et qu'il vit avec son frère de 22 ans, et qu'il va a la même école que moi.
-comment tu peux aller à la même école que moi si l'école est à l'autre bout de la ville?
-heu..dit-il embarrassé en se grattant la tête, je t'ai peut-être menti.
-explique, dis-je plus brusquement que prévu.
-je t'ai retrouvé dans le parc a 15 minutes d'ici, je t'ai menti car je voulais que tu restes je voulais de la compagnie mon frère travaille beaucoup.
Ho comme il est chou avec son aire penaud.
J'avoue aller pardonne le pour qu'il se sente pas mal.
Je l'ignore et le réprimande.
-comme tu ais égoïste! Dis-je en faisant semblant d'être en colère.
- je..je.. désoler..je ne voulais p..
-stop je ne veux plus rien entendre je m'en vais. Dis-je en me retenant de ne pas rire, j'avais dit ça d'une sa d'une voix rude.
-non s'il te plait, je suis vraiment désoler... s'excusa-t-il en faisant une face choquer mais trop drôle.
Mais qu'est-ce que tu fais!
Je me retourne pour partir mais n'en pouvant plus je rigole devant lui qui comprenait rien.
-te...faisais...marcher...je...te...pardonne...
Comme tu n'ait pas possible!
Mais si je suis possible, la preuve j'existe.
Non mais...arggg.
Je revois sans cesse le visage d'Éric dans ma tête, je suis donc en ce moment plier en deux de rire. Mon rire pour une fois contagieux l'emporte avec moi.
-bon sang, si tu avais vu ta tête! Et merci d'ailleurs pour m'avoir soigné.
-t'es méchante! Et pour info ce n'est pas moi qui t'a trouvé et soigné. C'est mon frère.
-ok... pourquoi tu me l'as pas dit? Dis-je un peu perdu.
-bas, il voulait que je te fasse croire que c'est moi qui t'ai trouvé.
-pourquoi?
- je ne sais pas, tu lui demanderas, il arrive il vient de se stationner dans le parking.
-ok.. Dis-je un peu perdu, et comment tu sais qu'il vient de se stationner dans le parking?
-je.. heu..dit-il mal à l'aise, il arrive toujours à cette heure-là.
Au même moment, on entend la porte d'entrer s'ouvrir puis se refermer.
Comment il a su, il n'a pas de fenêtre ayant une vue sur le parking, si il en a une on ne la voit pas de la cuisine. Je ne l'ai pas lâché une seconde... il ment, je le sens. Il ment très mal. Je me tourne pour observer son grand frère.
Juste un mot, WOW! Cheveux brun, barbe naissante, yeux bleu... connaissez-vous la définition de canon? He bien moi je l'ai devant mes yeux. Je croise son regard mais je me détourne immédiatement. Je déteste regarder les gens dans les yeux, je ne sais pas pourquoi.
-salut, dis-je timidement.
Il ne me répond même pas. Ce qui crée un malaise. Ce que je déteste. Nous restons dans un malaise pendant ce qui me semble un long moment. Quand, oh non! Je me tourne brusquement vers Éric.
-Éric?
-quoi, me répond-t-il après s'être racler la gorge.
-il est quelle heure?
- 13h00 pourquoi?
-13h00..ok et c'est hier que tu m'a trouvé dans le parc?
-oui, pourquoi?
-putin, je dois y aller.
Merde, merde et merde. Papa doit s'inquiéter. Je vais perde mon job et j'ai raté les cours!
Je me lève de ma chaise à l'ilot de la cuisine et couru jusqu'à l'entré. Non sans sentir les deux paires de yeux me suivant du regard. Je passe à côté du grand frère d'Éric et ouvre la porte.
-ok... mais Élie sa irait mieux si tu prenais tes botes.
Quelle conne je suis!
-oui, j'avoue. Mais elles sont ou?
-dans le garde-robe, me répond une voix un peu roque que je soupçonne d'être celle du grand frère d'Éric. Bon aller dégage!
Wow! Sympas le grand frère, il m'ignore et me dis de dégager. Il aurait peu au moi le dire gentiment comme bon je crois que tu dois y aller bye. Est-ce trop compliquer? Apparemment oui.
J'ouvre donc la garde-robe et enfile mes bottes avec mon bras gauche. Vous riez de moi!? Essayer, je vous jure que ce n'ai pas facile de monter le zippe de mes bottine en cuire.
-merci, et merci pour tout bye!
Je franchis la porte et la referme. je m'avance vers la rues quand je me rends compte que j'ai aucune idée d'où que je suis...
Je fais donc demi-tour et rentre dans la maison.
- Éric, par ou est le parc?
Éric commence à m'expliquer par ou passer mais voyant que je ne comprends rien.
-Faisons sa moins compliquer mon frère va te ramener chez toi.
L'ainé toujours immobile dans l'entré, riposte.
-Et pourquoi tu crois que j'ai que ça à faire?
-Math elle est baissé et connais pas les environ. J'irais bien la reconduire mais je ne sais pas conduire et j'ai encore moins une voiture donc tu y va.
C'est moi ou on dirait que c'est Éric le plus vieux des deux?
Son grand frère grogne et quitte la maison. Je le suivis jusqu'a son auto, et on y embarque. Me voyant galérer a mettre la ceinture de sécurité avec ma main gauche, il l'attache pour moi. Je le remercie timidement.
-merci, heu...
- Mathéo, crache-t-il.
-merci Mathéo, et je m'appelle Éliane.
-t'habite ou? Me coupe-t-il en s'engageant dans la rue.
-214 rue de Lorvina.
Le reste du temps se passe dans le silence, mais pas n'importe quel silence. Vous savez, le silence lourd et malaisant? He bien c'est de ce silence la dont la il en ai question.
Je vais me faire tuer! Par mon père et par mon patron!
Je n'ai plus que sa dans ma tête. Je me répète sa en boucle.
oui, c'est vrai tu es dans la merde mais arrête de me morfondre bon sang.
Je suis dans la merde je suis dans la merde!
-non de dieu mais tu vas arrêter! crie Mathéo.
-heu...quoi? Dis-je perdu en me tournant vers lui.
- arrête de dire que tu es dans la merde et que ton père et ton patron vont te tuer. t'a qu'à leur expliquer qu'est-ce qui c'est arrivé c'est pas compliqué!
-désoler, de t'énerver mais je vais perdre mon job, et si je perds mon job plus d'argent et en ayant plus d'argent je perds ma maison.
Et nous retombons dans un silence plus lourd que celui qui le précédait. Je baisse le cache soleil et vit ma tête dans le miroir. J'ai une blessure sur l'arcade sourcilière gauche et ma lèvre inférieure est légèrement fendue. C'est certain je ne vais pas passer inaperçu devant mon père et a l'école.
Je remonte de part soleil et remarque que nous roulons dans mon allé de maison. Je tourne ma tête pour observer dehors quand Mathéo freine brusquement.
-mais t'a un problème!? Je crie après être violement projeter vers en avant.
-non! Mais t'es cinglé. Premièrement on ne me cri pas dessus et deuxièmement, je n'ai pas eu le choix il a un arbre qui est tombé dans ton allée. Tu vas donc devoir débarquer et continuer à pied.
He merde, il va falloir que j'appelle quelqu'un pour qu'il me débarrasse du tronc. Ça va me couter tous mes économies surement.
Je ne lui réponds pas mais soupire et descend de son auto et j'essaie d'enjamber de gros tronc d'arbre qui a tombé je ne sais pas comment. Mais je ne réussis pas car grimper avec un bras probablement cassé n'est pas très utile.
Je réessaie plusieurs fois. J'allais tomber par en arrière quand je sentis deux main me tenant par a taille. Je tourne la tête et vue Mathéo. Il me repose sur le sol.
-reste là je vais t'aider.
-ok...
Je reste donc immobile à l'observer grimper avec une facilité étonnante sur le tronc d'arbre mort. Je vous dis les filles il doit avoir une tablette de chocolat pas trop mal.
-bon tu restes la a me mater ou tu viens?
Je rougis c qu.il manque pas de remarquer et m'approche tu tronc d'arbre. Il me tendit les mains et m'aide a montée et à descendre le tronc. Une fois du bon côté, je le remercie et marche en direction de chez moi.
-attend je vais t'accompagner, on ne sait pas il aura peut-être d'autre troncs d'arbre.
-ok, dis-je surprise.
Arriver devant ma maison en brique beige avec des plantes grimpante. Je le vis se raidir. Comme si il était aux l'aguet.
-tu veux rentrer boire de l'eau?
Il allait me répondre quand mon père arrive en grognant.
-salut, pa...Léo je te présente Mathéo un ami, je te raconterais tout plus tard.
Mathéo lance un regard méfiant à l'animal à quatre pattes à fourrure brune.
Les yeux a Mathéo prirent un teinte verte ce qui me fit sursauter. Leo se mit donc en position d'attaque prêt à bondir.
Leo, mon père me lança donc un regard en grognant.
Éloigne-toi de lui !
-pourquoi? Chuchotais-je pour que juste lui l'entende mais Mathéo la apparemment attendu lui aussi car il tourne sa tête vers moi.
Tu n'as pas besoin de savoir, éloigne toi de lui tous de suite.
-si je le fait ne lui fait pas de mal, chuchotais-je.
Je regarde Mathéo et je vus dans son regard qu'il me prend pour une folle qui se parle a elle-même.
-merci Mathéo de m'avoir soigné mais tu dois y aller.
Mathéo part donc tranquillement en lançant des regards méfiant à Léo.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top