L'homme habillé principalement de noir termina sa cigarette avant de l'éteindre dans le cendrier de sa voiture. Il était dépasser minuit et il c'était garer loin des réverbères. Personne ne pourrait identifier le véhicule. Personne ne pouvait le voir. Il sortit de la voiture et marcha d'un pas assurer vers la maison de banlieue plus loin. Arriver devant l'entrée, il s'assura que son arme était bien charger et le silencieux en position, puis il crocheta la serrure pour entrer avec une facilité déconcertante dans la maison. Il tappa le code du système d'alarme qu'on lui avait fournit et il s'éteignit tel que prévu.

C'était si simple. Trop simple. Il prêta attention au bruit de la maison avant de ce diriger vers la chambre des maitres indiquer sur le plan qu'il avait étudiez dans son minuscule appartement. La porte était déjà ouverte et l'homme se faufila à l'intérieur à pas de souris. Une femme dormait profondément, mais le mari ni était pas. Il pointa son fusil sur la femme avant de tirer. De toute façon, on l'avait payer pour éliminer le couple. Le bruit de la détonation fut assourdit par le silencieux. La femme mourra sur le coup, sans jamais se réveiller.

Où l'homme se trouvait maintenant? Il savait qu'il y avait une deuxième chambre dans la maison. On ne l'avait pas informer que le couple faisait chambre à part pourtant. Il s'y dirigea malgré tout silencieusement, mais plus il approchait de la porte, plus il entendait des bruits provenant de derrière.

"Please. Stop. That's hurt."

La porte n'était pas assez ouverte pour qu'il s'y faufile et il craingnait qu'elle grince en l'ouvrant, mais d'une autre manière, il tuerait tout ceux dans la pièce sans hésiter. Il était tueur gage après tout. Il poussa doucement le battant qui ne fit presqu'aucun bruit avant d'observer l'intérieur de la pièce. Sa cible était bien dans le lit, par dessus un jeune homme qui semblait pleurer et supplier. Il ne prit pas la peine d'analyser plus, il visa le mari et tira une balle dans sa tête. L'homme s'affaisa immédiatement et le garçon sous lui sembla se débattre pour se déprendre de lui. Le jeune se replia sur lui à l'opposé du lit en observant le corps. Dans la noirceur, il ne devait pas encore c'être rendu compte de sa mort. Il ne devait même pas avoir entendu le bruit du silencieux sous ses lamentations.

Le tueur à gage vient donc se placer derrière lui et d'une main couvrir sa bouche pour l'empêcher de crier et plaqua le canon de l'arme sur sa tempe. On ne l'avait pas payer pour un troisième corps. On ne l'avait pas prévenu qu'il allait y avoir une troisième personnes. Il prit une grande respiration et sentit les mains du garçon s'accrocher à ses bras et les larmes mouillé la main qui recouvrait son visage. Peut-être que ce jeune homme n'aurait pas du être là. Il approcha sa bouche de son oreille pour lui murmurer.

"Don't scream. Don't cry. Don't talk. Just answer my question. Did he kidnap you?"

Il entendit le garçon renifler et sa tête bougea en signe de négation. Tiens, il aurait pourtant cru, sinon comment expliquer que ses sources n'avait pas prévu sa présence. Il observa le jeune homme, puis le plus vieux qu'il venait d'abattre. Le garçon qu'il tenait en joute ne portait qu'un simple t-shirt ample. Il était persuader qu'il devait être nu en dessous, quant à ça cible, il n'avait pas lui non plus de pantalon.

"Did he rape you?"

Cette fois-ci ce fut un hochement positive que le garçon fit. Il apprécia cette nouvelle. Il avait des principes quand même et tuer des mauvais personnes lui rappelait qu'il n'en était pas totalement une. Son karma serait bon d'avoir sauver une victime d'un viol.

"You're going to live. I don't have a contract on your head. Just don't scream. Don't do anything but live. Survive and live."

Il retira l'arme de la tempe du jeune homme, puis doucement, tout doucement, il retira sa main libérant la bouche de son otage. Le garçon ne criait pas. Sa respiration était lourde et bruyante. Le tueur savait qu'il devait partir. Son contrat était accompli, mais il resta un moment supplémentaire. La jeune victime tourna donc sa tête doucement vers lui et dans l'obscurité presque total, leur regard se rencontra. Le tueur à gage rangea son arme et quitta la pièce se maudissant d'avoir laisser le garçon voir son visage. Il quitta la maison sans refermer derrière lui et marcha d'un bon train vers sa voiture. C'était la première fois qu'il laissait un témoin sur la scène de crime. Devrait-il y retourner et terminer le travail?

Il entra dans sa voiture et la démarra avant de s'allumer une nouvelle cigarette et reprendre la route. Il ne fit pourtant pas 10 mètres qu'une personne ce mit debout devant ses phares. Il freina sec et observa le jeune garçon nu pied et uniquement vêtu de ce qui semblait être une tunique blanche tâcher du sang de la personne qu'il venait de tuer. Leur regard se croisa de nouveau et l'envie de démarrer et le renverser lui traversa l'esprit. Il devait s'éloigner de la scène de crime le plus vite possible.

Le jeune homme se mit soudain à marcher vers la voiture pour bifurger sur le côté pour atteindre la portière du côté passager. Le tueur à gage l'observa muet s'installer sur le siège à côté de lui et boucler sa ceinture. Il faisait encore noir et mise à part les lumière de ses phares, ont n'y voyait rien, mais il distinguait que le garçon fixait devant lui comme prit dans une sorte de transe. Que devait-il faire? Lui dire de quitter? L'assassiner? À la place tout aussi en transe que lui, il reporta son attention sur la route et reprit son chemin. Il roula pendant prêt d'une heure avant que son passager s'endorme au côté. Puis une heure de plus pour bien brouiller les pistes si on le suivait. Une fois fait il prit le chemin de son appartement.

Arriver à destination, il sortit de la voiture et regarda le jeune garçon toujours endormis a côté. Il soupira en ouvrant la portière, le détachant et le prit dans ses bras tel une princesse. Il entra dans le bloc et grimpa les marches se retenant de geindre face à ses muscles sollicité par tend de poid. À mi-chemin, il déposa l'homme au sol pour souffler. Il était maigre et peu grand, mais il restait lourd et un poid mort. Tant pis, il voulait seulement rentrer, se laver et se coucher. D'une petite tappe sur la joue, il réveilla le garçon qui maintenant qu'il se trouvait à la lumière devait avoir 15 ou 16 ans.

"Lève-toi et marche." Lui dit-il avant de reprendre son chemin.

Perdu et confus le garçon regarda un moment autour de lui avant de se lever et de suivre le tueur à gage jusqu'à son appartement. Une fois la porte refermer derrière eux, l'homme déposa son arme à feu sur la table du salon avant de se retourner vers la victime qui l'observait avec de grand yeux et la bouche légèrement ouverte. Il observa ses vêtements sale un moment et constata qu'effectivement, c'était le seul vêtement qu'il portait.

"Va te laver." Dit-il en pointant la salle de bain. "Je vais te trouver quelques choses à mettre."

Le garçon sembla obeir et traversa dans la seconde pièce. Pour sa part, le tueur ouvrit le divan lit de son 1 et demi et fouilla la table de salon juste à côté dans lequel il gardait ses vêtements. Il n'avait pas grand chose et vivait le plus simplement, mais ça lui plaisait ainsi. Ça et si la police décidait de débarquer chez lui, il aurait peu à amener ou n'éprouverait aucun problème à tout abandonner sur place. Il se sélectionna des vêtements avant de prendre un grand chandail qui ne lui faisait plus depuis qu'il avait perdu de la masse musculaire. C'est qu'il avait commencer à ce relâcher et négliger son entraînement. La vie lui paraissait si insipide depuis quelques temps.

Il entra ensuite dans la salle de bain pour apercevoir le jeune garçon nu sous la douche. Son corps était recouvert de bleu, suçon et marque de morsure. Il l'observa un moment et le garçon ne prit même pas la peine de cacher son corps.

"Mon tour." lui dit -il en lui offrant le chandail qu'il lui avait sélectionner. "Combien d'année as-tu passé là-bas?"

"Je ne sais pas." Répondit sa toute petite voix.

"Depuis combien d'année es-tu aggressé de la sorte?"

"Dix ans." Dit le garçon tout doucement.

"Quel âge as-tu?"

"J'ai 20 ans."

L'enfer pendant 10 ans. Il aurait du le tuer. Le pauvre, il aurait pu oublier.

"Mon tour." Répéta-t-il pendant que le garçon dans la vingtaine sortie de sous le jet pour s'essuyer et enfila le chandail.

Le tueur attendit qu'il eut quitter la pièce avant de se dévêtir et se laver à son tour. Puis il déposa la chemise plein de sang du garçon dans le lavabo et y mit le feu jusqu'à ce que toute trace disparaisse. Vêtu d'un simple caleçon et un pantalon se voulant confortable, il alla rejoindre le garçon dans la seul autre pièce de l'endroit. Il ne lui avait pas demander son nom et la chose ne l'intéressait pas, mais le voilà qui était déjà emmitouflé sous les couvertures du divan lit endormi. Le tueur à gage se glissa à ses côtés vérifiant que son arme à feu était toujours en place et ferma les lumières avant de tenter de s'endormir. Peut-être ce serait lui qui le tuerait avant.

Pourtant au matin, il constata qu'il était encore en vie. Son arme n'avait pas bouger et le jeune garçon dix ans plus jeune que lui dormait toujours profondément. Il s'étira avant de se lever et de s'allumer une cigarette. En quittant le lit, le garçon sortie de son sommeil pour l'observer en cliquant des yeux.

"Que veux-tu déjeuner."

"Des oeufs, s'il te plait."

Soufflant sa fumer dans l'auvent du four, il prépara des oeufs et des patates. Il entendit derrière lui la télévision s'ouvrir et lorsqu'il se tourna il vit le jeune garçon assis dans le lit à fixer l'écran la bouche ouverte. La victime tourna la tête et leur regard se croisa de nouveau.

"Quel es ton nom?" Demanda le vingtenaire.

"You don't need to know my name. And I don't want to know yours." Répondit simplement le tueur à gage avant de retourner à sa préparation de déjeuner.

Il termina les assiettes avant d'aller rejoindre le garçon sur le lit et lui tendre la sienne. Le garçon lui offrit un sourire comme remerciement et commença à manger en écoutant les nouvelles. Le tueur fit pareil, surtout qu'on parlait justement des meurtres du politicien et de sa femme. La police allait mener une enquête, mais tout laisse porter à croire qu'une autre personne se trouvait sur les lieux du crime et que le meurtrier devait connaitre les victimes. C'était faux évidemment, mais ceux qui l'avait engager, oui. Ils n'ont juste pas voulut se salir les mains en le payant lui pour le faire. Il avait une bonne vie. Il demandais généralement 2000$ par meurtre. Plus si ça semblait compliqué et moins si la raison était bonne. Par exemple, il devait tuer les deux adultes et il avait charger 3000$ offrant un rabais de 1000$ pour la deuxième, mais admettons qu'il aurait été contacter par son nouvel ami assit au côté de lui, il aurait demander seulement 1000$ pour les deux. Lui avait une bonne raison de vouloir les voir mort. Qui plus ai, il n'était pas un grand dépensier et vivait dans un appartemenr une pièce, alors vivre de ça était facile.

Il sentit la tête du garçon ce déposer sur son épaule et il tourna son regard vers lui. Leur regard se croisait tout le temps visiblement et ça ne déplasait pas au tueur qui commençait a apprécié cela. Des coups à la porte retentit. Le tueur déposa son assiette sur le lit et il se redressa aussitôt pour allez ouvrir après vérifier que ce n'était pas des policiers. L'homme derrière la porte lui tendit une enveloppe contenant le reste de son salaire pour le travail de cette nuit. Sans s'échanger de mot, il prit l'enveloppe et l'inconnu glissa son regard sur le jeune garçon à moitié vêtu dans le lit qui l'observait. Un sourire amusé apparut sur le visage de l'homme qui dévisagea le tueur qu'il avait engager.

"Maintenant je sais ce que tu fais avec cette argent." Dit l'homme amusé persuader que le garçon dans le lit était une escorte que le tueur c'était payé. ''Le patron veut te voir.''

''Il n'ai pas mon patron.''

''Il est ton plus fidèle client pourtant, Miguel. Je t'attend dans la voiture.''

L'homme quitta le laissant sur place. Le tueur serra les poings avant de refermer la porte derrière lui. Il observa le garçon dans son lit qui l'observait n'ayant visiblement rien compris à l'échange. Il prit le fusil sur la table et enleva le silencieux. Il ouvrit ensuite l'enveloppe et prit 500$ pour le tendre à la victime.

''Prend ça. Achète toi des vêtements et si tu pouvais jeter le silencieux dans une rivière pour moi, ce serait apprécier. J'aurais du le faire après le meurtre, mais tu m'as prit par surprise.''

Le garçon hocha la tête avec entrain avant de prendre l'argent. Miguel se déshabilla et enfila un jean et un chandail simple avant de ranger son fusil et prendre son portefeuille et ses clés.

''Et n'oublie pas de barrer la porte en quittant.''

''Je le ferais.''

Miguel observa le garçon un moment. Ce n'était surement pas une bonne idée de le laisser seul dans son appartement. Il pourrait appeler la police et révéler son lieu d'habitation, mais cette réalité lui faisait ni chaud ni froid. Il referma derrière lui et descendit rejoindre l'homme dans sa voiture.

Donc à la base j'avais écrit ce chapitre pour mon recueil de Oneshot Traffic humain, mais j'aimais trop la possibilité qu'il y avait ici, alors j'ai décider dans faire une histoire 😄

À l'origine, tout les dialogue avec le jeune garçon était en anglais, mais à un moment je me suis dit que mes followers francophone vous alliez rien capter, alors par moment, quand je jugerais que c'est facile à traduire, je le garderais en anglais, mais d'autre fois je mettrais en français italique pour vous signalez que la discussion est en anglais. Faut vous pratiquez quand même 😝

Je n'ai pas prévu de poster sur une base régulière, alors ne penser pas automatiquement que d'ici une semaine vous aurez la suite, ça l'iras avec mon inspiration et ma motivation. Je me suis assez donner pour tout mes autres histoires, celle-là je veux la prendre relaxe 😁

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