Four ~ Dispute Père et Fille.

*M.Peyton en média*

PDV : Elisabeth.

Ça fait maintenant une semaine que je partage ma vie avec ces neufs fous. Et je crois que moi aussi je deviens folle à cause d'eux. On se dirige tous dans la chambre de Matthew, Carter et Taylor car c'était notre point de rendez vous après mon travail. Ça va je finis à 17h. On entre dans leur chambre. Je m'assois sur un lit à côté de Jack G.

Je me suis beaucoup rapprochée de lui c'est temps ci, mais c'est purement amicale.

Aaron : Dis Eli', ça fait une semaine que je me demande, t'as bien un accent ?

Moi : Oui, je viens de France.

Taylor : Aaaah ! Je me disais aussi.

Soudain, je vois Carter se pencher et dire un truc dans l'oreille de Matthew mais tout en me regardant.

Okay, là je flippe, surtout quand ça vient de ces deux là.

Je tourne le regard et essaie de ne pas y penser. Je me lève pour aller chercher ma chaussure que Jack G avait prise et balancé à travers la pièce pour me faire chier. Mais quand je me lève, je vois Matthew se lever aussi et me suivre. Je me baisse pour ramasser ma tongue et Matt' se baisse aussi. Euh... What ? Je retourne m'asseoir et celui ci s'assoit juste à côté de moi. Je me gratte la joue et il fait pareil. Ok, j'ai compris Espinosa.

Je lève ma jambe droite et il fait pareil. L'attention de tout le monde est focalisé sur nous. Je me lève et prends ma trousse de maquillage qui reste toujours dans mon sac à main (on ne sait jamais ça peut servir). Je prends un rouge à lèvre tandis que Matthew prend mon deuxième et je commence à me l'appliquer en me regardant dans le miroir de leur chambre. Il fait la même chose.

Les gars, arrêter de jouer avec moi, je gagne toujours.

Je prends ensuite mon mascara et me l'applique, il prend mon deuxième tube et se le fait lui même. J'ai toujours tout en double car si un jour l'un est vide, j'ai l'autre pour me dépanner.

Les autres garçons sont pliés de rire.

Je refait ma queue de cheval. Lui il prend un petit élastique qui traînait et s'en fait une minuscule avec c'est cheveux de devant. On rigole tous. Puis vint le tour de mon arme fatale. Je sors ma pince à épiler ! Que heureusement j'avais aussi en double. Matthew prend la deuxième tout doucement...

Moi : N'oublie pas que je ne cri pas quand je m'épile.

Je commence à m'arracher mes poils de sourcils en trop. Il le fait aussi mais il a du mal.

Je lui prends sa pince des mains et s'en qu'il n'est le temps de s'enfuir, je le cal bien sur le lit et je commence à lui arracher moi même. Au bout de quelques minutes, je vois son visage rouge et que ses yeux sont mouillés, il se retient de pleurer de douleur, je m'arrête et le laisse partir.

Moi : Les garçons... Je vais vous apprendre un truc, ça ne sert à rien de vouloir jouer avec moi car je gagne tout le temps. Même si vous êtes stupides, il faut que ça rentre dans vos têtes que je suis imbattable.

Nash : Eh ! Doucement, moi aussi je sais parler un peu français.

Moi : -souriant- A merde.

Cameron : Ils se racontent quoi là ?

Moi : Rien du tout.

Shawn : Bref ! Moi je suis fatigué, je vais me coucher, Bonne Nuit.

Moi : Ouais moi aussi, bonne nuit les enfants.

Jack G : -en m'envoyant un cousin dans le dos- C'est toi l'enfant.

Je souris et lui envoie à mon tour un oreiller, mais il arrive en plein dans sa face. Je rigole tellement qu'on pourrait m'entendre à l'autre bout de la ville.

Jack G : Cours.

Je ne le fait pas répéter deux fois que je me met à courir dans les longs couloirs de l'étage 13 avec Jack à mes trousses. Putain il cours vite ce blédard !

Jack : -criant- Je vais t'attraper et tu vas me le payer !

Moi : -criant aussi- Arrête de crier ! Il est minuit passé ! Les gens dorment !

Jack : -criant- Bah alors pourquoi tu cris toi ?

Moi : -criant- Pour que tu m'entendes !

Je regarde derrière moi pour voir où il est.

Jack : Eli' ! Attention !

Je n'ai pas le temps de réagir que je me prends un mur en pleine face. Je m'écroule comme une grosse tartine sur le sol. Je me frotte le front, là où ça à cogner. Jack arrive et s'accroupit à côté de moi.

Jack : Ça va ?

Moi : Eum... Je crois...

Jack : Cool.

Puis il commence à me chatouiller.

Moi : Non... Jack... A...Arrête... S'il... S'il te plait !

Il continue.

Jack : La voilà ma vengeance.

Moi : S'il te plait !... J'ai... J'ai compris !

Il s'arrête et me regarde en souriant. Il me tend la main et m'aide à me relever.

Moi : T'es vraiment un emmerdeur !

Jack : T'as dit quoi ? Je parle pas français moi.

Moi : Eum... Rien du tout. -Big smile-

***

Le lendemain matin, mon père me demande de le rejoindre dans les vestiaires du personnel.

Moi : -entrant dans sa chambre- Jack ?

Jack J : Oui ?

Moi : Non pas toi Gugus, l'autre.

Jack G : Oui ?

Moi : Tu viens avec moi ? Mon père m'a demandé de le rejoindre et il avait l'air énervé.

Jack G : J'arrive.

On se dirige tous les deux vers l'ascenseur, en sortant de celui ci, je me met derrière lui et je monte sur son dos. Il commence à courir vers les vestiaires.

Moi : Alalala ! Qu'est ce que je m'ennuierais sans toi et les autres ici.

Mon père : Elisabeth ! Descend tout de suite ! Ce n'ai pas un comportement que doit avoir un membre du personnel envers les client !

Moi : Désolée papa...

Mon père : Aujourd'hui, pleins de clients sont venus se plaindre qu'hier soir, tard dans la nuit, des jeunes foutaient le bordel dans MON hôtel. Et devine quoi ? A l'étage 13 !

Moi : Oh ! C'est dommage ça.

Je vois Jack se retenir de rire.

Mon père : Elisabeth ! Ne te moques pas de moi !

Moi : Oui papa, désolée.

Mon père : Tu sais que je dois te punir maintenant ? C'est mon rôle de père et tu sais que je n'aime pas faire ça.

Moi : -murmurant- C'est vrai, t'as le faire une fois dans ta vie mais tu as horreur de ça...

Mon père : Tu as dit quoi là ?!

Merde ! Je crois que je l'ai énervé.

Moi : Rien rien...

Mon père : Bon ! Plus de télé !

Moi : J'ai pas de télé !

Mon père : Okay ! Plus de téléphone !

Moi : J'en ai besoin pour parler à maman de toute façon...

Mon père : D'accord ! Et bien... Et bien t'es privée de sortie, je t'interdis de sortir de cet hôtel. Et je t'interdis de continuer de fréquenter ce groupe de jeune, tu es la femme de ménage, pas leur amie. Il faut savoir faire la différence entre racaille et vie privée !

Jack et Moi : Quoi ?!

Moi : Tu ne peux pas faire ça !

Mon père : Si ! Voilà ! Tu ne peut plus parler ou fréquenter les Magcons, ni sortir d'ici !

Moi : Tu n'as pas le droit !

Moi aussi je commence à m'énerver.

Mon père : Bien sûr que si j'en ai le droit ! Je suis ton père tout de même !

Moi : Toi ?! T'es mon père ? T'appelle ça un père toi la personne que tu vois tous les trois ans ?!

Mon père : Elisabeth ! Je t'en ai déjà expliqué les raisons !

Moi : Oui ! Le travail ! Tu n'as jamais été la pour moi ! Alors tu n'as pas le droit de me punir ou autre !

Mon père : Je faisait tout mon maximum !

Moi : -les larmes aux yeux- Ah oui ? Tu n'as jamais, jamais été la pour aucun de mes anniversaires ! Et ma remise des diplômes ? Et mes hospitalisations ?! Et toutes les fois où j'avais c'est problèmes ?! Tu n'étais jamais là ! Tu sais, c'est pas un chèque envoyé à mes anniversaires et à mes noëls qui font de toi mon père !

Mon père : Tu ne pense pas ce que tu dis alors arrête !

PDV : Jack.

Wouaw ! C'est monté dans les tons là. Et puis de quelles hospitalisations Eli' parlait tout a l'heure ? Je lui demanderais plus tard.

M.Peyton : Ah oui ?! Je ne suis pas ton père ?! Alors qui est-ce qui t'héberge ?! Te nourris ?! Et te donne du travail pour que tu achète ton appartement ?!

Elisabeth : Oui, c'est toi, mais seulement pendant deux mois et la dernière foi que tu as fait ça j'avais quinze ans !

M.Peyton : Arrête tout de suite Elisabeth ! Et puis si je ne suis pas ton père je suis quoi ? Seulement celui qui t'as conçu ?!

Elisabeth : Non, tu es seulement un homme qui a couché avec ma mère sans protection.

Sur cette phrase, Eli' prends ma main et m'emmène hors de la salle. On arrive vite dans l'ascenseur. Je vois une larme couler de ses yeux.

Moi : Hey... Eli' pleure pas...

Elisabeth : Désolée que tu es du assister à ça...

Moi : -essuyant ses larmes avec ma main- Ne t'inquiète pas.

Elisabeth : Je peux avoir un câlin ?

Moi : Bien sûr !

J'ouvre mes bras et elle plonge dedans. Elle pose sa tête sur mon torse et j'en profite de poser ma tête sur son crâne et frotte doucement son dos.

On sort de l'ascenseur et on va dans ma chambre.

Moi : Eli' ?

Elisabeth : -séchant ses larmes du revers de sa manche- Oui ?

Moi : De quoi tu... Non laisse tomber, on reparlera de ça demain d'accord ?

Elisabeth : Oh... Okay...

Note :

Hi everybody !

La suite mercredi prochain ^^

Mylène, Kiss XX.

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