chapitre 6
Pdv Bryan :
On est enfin mercredi et cette après-midi j'aurais ma réponse, celle que j'attends depuis 1 semaine, cette même réponse qui m'a empêché de dormir, de réfléchir, de bosser et m'a hanté pendant toute la semaine. Je n'ai maintenant, plus qu'une matinée à tenir, encore une longue matinée de cours.
Je me suis préparé pour les cours et attends qu'Aaron sonne chez moi pour partir.
Ça sonne, j'ouvre la porte à Aaron et le tchek (nda : check chek tcheck tchek tcheque JE SAIS PLUS MOI)
-Salut Bryan
-Salut 'Ron. On y va ?
-Yass... Et on commence à marcher.
J'espère qu'on va pas les croiser aujourd'hui - tu peux toujours espérer - ta niquer mon espoir - tu sais que la personne ne comprend pas de quoi on parle - bah explique – faut tout faire ici brefff salut je suis la conscience de Bryan, je suis là pour dire tout haut ce que beaucoup pense tout bas - en gros elle me casse les couilles - c'est ça, les personnes que Bryan ici présent ne veux pas sont nos très chers amis les gays et ceux pour 2 raisons tout d'abord parce que eux ils assument et pas lui, ensuite parce qu'il arrive parfois que son regard glisse sur le magnifique postérieur du beau Tho...- TA GUEULE.
- ryan... Bryan... BRYAN
-QUOI ?! Oups je crois que j'ai loupé un truc ça fait combien de fois qu'il dit mon prénom.
-Calm down ! On est arrivé et tu ne réagissais pas, m'explique calmement Aaron.
-Desolé mec, j'étais dans mes pensées.
-Ce n'est rien t'inquiète. Viens, on va voir les autres.
Suite à cette phrase on s'est mis à chercher le reste du groupe pour parler en attendant la sonnerie.
DRIIIIiiiiinnnngggg
Pendant que nous nous dirigions vers la cafétéria, j'aperçois au bout d'un couloir Thomas et son meilleur ami, j'essaye de détourner le regard afin que Ron ne les voit pas et que je ne sois pas obligé de me rabaisser a les frappé malheureusement j'ai dû le faire trop tard car Ron les vois, a un rictus mauvais au coin des lèvres et accélère pour foncer vers eux.
Pdv Aaron
Je marche calmement avec Bryan vers la cafétéria quand je les aperçois, ces 2 déchets de la société (nda : ça m'a fait tellement mal d'écrire ça) si seulement je pouvais ne plus les voir ces mecs qui me répugnent et font remonter de mauvais souvenir.
Des gays, ce n'est vraiment pas naturel, un mec doit aimer une meuf c'est comme ça que ça marche et pas autrement, la preuve avec Adam et Ève.
Une fois que je les ai repérés, j'accélère et les rattrape sans qu'ils ne s'en rendent compte.
Au moment où ils remarquent ma présence ils se retournent et on un mouvement de recul en me reconnaissant. J'affiche un sourire qui ne se veut pas très amical, assène à ce mec qui est totalement gay, Thomas ou Tom je sais plus trop, un énorme coup de poing dans l'estomac suivi d'un coup de genou dans les parties génitales, c'est pas comme s'il en avait besoin.
Suite à ce combo, ma foi magnifique, il s'écroule au sol plié en 2 par la douleur, les larmes coulant à flots sur son visage, son ami, je ne sais plus c'est quoi son nom un truc en rapport avec une fête, le rattrape durant sa chute et est en train de le bercer pour soi-disant oublié la douleur. Cette vue m'horripile, ce sont des mecs, un mec ne pleure pas en public car un vrai mec a sa dignité mais eux ne sont pas des mecs juste des erreurs de la nature.
Lorsque je relève la tête Bryan est derrière moi et une troupe d'élève s'est rassemblée autour de nous.
L'autre bi se lève et me met une gifle monumentale en me traitant de connard, homophobe et d'enculer. Au moment où il ose dire que je suis un enculé j'ai explosé d'un rire forcé avant d'empoigner ses avants bras et de le placarder au mur derrière nous ce qui le fit lâché un léger couinement de douleur. Je me suis approché de lui toujours en tenant ses mains au-dessus de sa tête et lui ai murmuré à l'oreille :
-Tu peux répéter ce que tu viens de dire ?? je n'ai pas très bien entendu. À la fin de ma phrase il me fixe avec des yeux remplis de rage et il s'approche de moi et me dit tout bas
-Lâche-moi où toutes ces personnes qui nous regarde saurons pourquoi tu nous fais subir tout ça... il lance un regard autour de lui pour appuyer c'est dire et rajoute en me souriant, tu vois de quoi je parle espèce d'en.cu.ler.
-que mais je co-comment ? je commence sérieusement à paniquer
-hum disons que mon père connait une personne au courant de beaucoup de chose sur toi. Il me fait un clin d'œil et commence à me repousser.
-espèce d'enfoiré si tu oses en parler je transforme ta misérable vie en enfer. Dis-je la mâchoire serré.
-ma vie est un enfer depuis que je te connais je n'ai plus rien à perdre contrairement à toi, il dit ça avec un sourire sadique, je le lâche et fait demi-tour sous les regards étonnés des autres élèves.
Comment ... ?? Comment il peut être au courant de ça ?? C'est un cauchemar, ce n'est pas possible. Si jamais il le raconte ma vie sera foutue.
Pdv Bryan :
Je ne comprends rien à ce qui s'est passé, Ron et Valentin étaient en train de parler contre le mur quand Aaron l'a brusquement lâché et est parti rapidement.
Valentin, quant à lui s'est approché de Thomas, qui était encore par terre, un sourire calme et rassurant sur le visage.
Je me demande ce qui a bien pu ce passé contre ce mur.
Je viens d'arriver au bar et j'attends que le patron vienne pour me dire si son neveu est d'accord pour le rendez-vous.
Il arrive et s'installe à côtés de moi avec un de ses sourires parfaits qui ferais craquer n'importe qui :
-ALORS !! je m'écris mais quelques regards se tournant vers moi me rappelle que l'on n'est pas seul et je baisse d'un ton, hum... alors il est d'accord !?
-bonjour oui je vais bien et toi petit cœur
-désolé, je baisse la tête et commence à rougir
-ce n'est rien je comprends que tu sois pressé de savoir. Alors oui il est d'accord donc tu viens mercredi il sera là de 14 :00 à 00 :00 mais tu as rendez-vous à 15h.
-Sérieux c'est génial merciiiiii. Je lui saute au cou dans un élan de joie et il me réceptionne tant bien que mal.
-je t'en prie petit ange.
Il a accepté je suis tellement content.
J'ai passé une super soirée avec un des hôtes, oui le patron avait un autre client à voir, et je suis rentré chez moi mais une fois en boxer dans mon lit je me lève en sursaut :
-putain de merde je suis tellement con j'ai encore oublié de demander une photo.
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