Le directeur Alaric Saltzman attend patiemment que ses deux filles daigne venir dans son bureau.

Il est en colère. Non, pire, il est furieux.

Comment ses propres filles sont-elles devenues aussi irresponsables ? (Surtout Josie, car avec Lizzie il s'attend à tout et n'importe quoi)

Alaric passe entre en mode papa déçus: il soupire, se sert un verre de Bourbon, il regarde droit dans les yeux de ses filles. (sans oublier de faire une petite grimace un peu étrange)

"Je suis très déçu de vous deux, les filles." il commence un de ses fameux discours dont on ne vois jamais la fin. "Vous avez quasiment vidé ma carte bancaire en vêtement et vous avez commencer une bagarre avec Alyssa Changs." il explique dramatiquement.

Lizzie roule des yeux "On se bat littéralement tous les jours avec Alyssa Changs"

"Vous avez fait un combat de sorcière en plein centre commercial devant une centaines d'humains. Savez-vous combien de temps il a fallut au vampire pour effacer la mémoire de tout le monde !?" Bien sûre qu'elle ne savait pas à en juger par leurs silence, même lui il ne le savait pas. Il est parti après que le dixièmes humains se soit fait hypnotiser.

"On est désolé" dit Josie avec un air coupable, elle se sent coupable pour avoir ennuyer les vampires mais certainement pas pour avoir brûler l'écharpe de l'autre sorcière.

"Oui on l'est vraiment." se moque Lizzie en roulant des yeux, ce qui agaça d'autant plus Alaric.

"Puisque vous vous sentez affreusement coupable, vous ne voyez pas d'inconvénient a ce que je vous supprime vôtres argents de poche, pendant... 3 mois." dit Alaric en affichant un faux sourire.

"QUOI ! C'est une blague !?" crie Lizzie "On ne se sent pas coupable à ce point, je veux dire." essaye- t-elle de se rattraper en faisant un sourire aussi que celui de son père.

"Les filles... Juste évité les ennuies et ayez de bonne note, je songerais peut-être à désalourdir la peine." soupire le directeur avant de montrer la porte "sortez maintenant, avant de dire d'autres âneries.

Lizzie lance un regard noir à son père. Josie soupire simplement, elle savait que sa soeur ne va pas arrêter de se plaindre de leur père pendant toute la journée.