Lizzie : C'est incroyable comme tu mens super bien Josette...

Hope et Lizzie jètent un regard noir a Josie. Elles étaient toutes assises sur des chaises dans le bureau du directeur en attendant Alaric Saltzman.

Josie : Je sais, mais les adultes ici sont incroyablement plus perspicace que mon oncle.

Alaric entra dans la pièce, deux fille sur trois se lèvent.

Alaric : Josie.

Josie : Ouais m'sieur.

Alaric : Debout s'il te plaît.

Josie : Ah oui j'avais oublié.

Alaric : Bien, vous pouvez vous asseoir.

Josie : Mais ! Vous...

Josie s'arrête quand la main de Hope lui fait signe de renoncer à se disputer sur ce sujet.

Alaric : Donc vous deux vous êtes ici car vous avez séché les cours et toi parce-que tu as menti et tenté de mettre le feu a un professeur.

Josie : Hé ! J'ai réussi a le mettre feu.

Hope toussa très fort et faussement au même moment.

Alaric : Comme je le disais, vous serez collé Samedi, et toi Josie pendant deux heures ce soir en plus.

Lizzie : Quoi ! Papa tu peux pas nous faire ça !

Alaric : Euh... si .

Lizzie : Mais d'abord, pourquoi vous croyez pas Josie, elle dit la vérité !

Alaric : Je suppose que tu ne sais pas ce qu'elle a dit.

Le directeur sort un livre où on pouvait lire : "Conneries d'hiver 2020", c'était un rituel chaque saison lui et ses collègues mettait a l'intérieur les stupidités ou les bêtises des élèves et a la fin de l'année ils le mettent a la bibliothèque. Cela marche plutôt bien au grand bonheur de la bibliothèquaire qui voit plus de visage.

Quand Lizzie remarqua le livre elle a compris a quel point elles étaient foutues, tandis qu'Hope espéraitqu'elle n'avait pas vu le livre.

Alaric : Pour l'instant tout nos professeurs sont d'accord sauf celui que vous avez presque brûlé, c'est la meilleure excuses de tous les temps.

Josie : Bah tu vois Lizzie je m'en sors plutôt bien.

Alaric : Ce n'était pas un compliment.

Josie : Oh ... Que vous êtes étrange dans cette école ...

Alaric : Donc je cite " Monsieur, je vous jure sur la tête d'un artichauts que c'est vrai''

Lizzie : Oh ça commence bien...

Lizzie était devenu la définition du mot désespérée.

Alaric : " On a était attaquée par une armée d'artichaut, qui nous a forcé a regarder un match de football américain, heureusement j'ai réussi a m'échapper... Mais pas Lizzie et Hope, donc là elle sont absente mais se n'est pas de leurs faute." Sérieusement, tu t'attendais vraiment a ce que nous te croyons ?

Josie : Mon oncle m'aurait crût, ici vous êtes...

Alaric : Je te conseille de ne pas terminé cette phrase.

Josie : Je vais écouter ce conseil.

Alaric : Bien. Plus de questions ?

Un silence de malaise en guise de réponse.

Alaric : Vous pouvez partir.

En sortant du bureau d'Alaric, les deux meilleures amies se tourne vers la nouvelle élève, avec un regard furieux. Enfin, surtout Lizzie.

Lizzie : Parker tu as un sérieux problème avec les artichauts !

Josie : Désolé... J'ai pas l'habitude de voir d'autres personnes qui ne soit ni mon oncle ni des personnes hypnotisés. Je crois qu'ils m'ont pas vraiment cru.

A ces mots il faut tout la détermination de Lizzie pour ne pas faire une remarque sarcastique.

Hope : Je pense qu'à l'avenir, évite de parler de légumes dans tes mensonges.

Josie : D'accord je ne raconterai plus de... Salade.

A cette blague Hope rigole, Lizzie les regarde avec horreur et décide de partir, ni vu ni connu.

C'est a se moment qu'elle regrette d'avoir accepté que la Parker soit sa colocataire de chambre.