Binôme I


Texte écrit par @No1ram96  et une amie non watpadienne

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-Éléonore m'écoutez-vous? S'irrita l'Empereur. Certes il dirigeait la planète la plus influente du système et un des êtres humanoïdes les plus puissants de l'univers mais il avais toujours horreur qu'on ne l'écoute pas.

-Oui bien sûre mon empereur mais pourquoi m'envoyerez-vous sur Terre? Plusieurs autres dragonautes sont disponibles, Sonia à besoin de mains d'oeuvre et il se trouve que j'ai les connaissances scientifiques pour l'aider.

-J'ai en ma position le contact d'un docteur en chimie qui doit reconquérir ma confiance et se racheter auprêt de la nation pour les fautes horribles qu'il a commise contre elle.

Un prisonnier politique, il y en a tellement en ce moment dans les prisons zévelonniènes. Éléonore était terrifiée à l'idée que certains citoyens effrayés par les forces de l'ordre les mettent tous en danger.

-En ce qui concerne la raison pour laquelle je vous ai choisie, vous parmi tous les autres qui exercent votre fonction, c'est le besoin d'un nouveau capitaine.

Éléonore se figea et dévisagea son supérieur, il lui proposait de devenir capitaine, cheffe des dragonautes.

-Donc dépêchez-vous je veux que votre mission soit finie dans un mois.

-Oui majestée.

Au moment où Éléonore sorti du bureau impérial les seules phrases qui se répèttent en boucle dans sa têtes sont : Plus qu'une semaine avant que l'univers explose... J'ai hâte!

Elle entra dans les écuries du palais. Tout au fond, dans la dernière étable s'ennuyait un dragon.

-Ifnirr

La bête l'ignora.

-Nous allons sur Terre.

L'animal ne bougea pas une écaille.

-On m'a dit que c'est là où l'on trouve les meilleurs brochettes poulet poivron qu'il existe.

Il redressa la tête, intéressé.

-Mais il faut que tu mette ce scaphandre.

Il rebaissa la tête, dépité.

-Si tu le fais je te jure tu auras aussi un plat entier de tajine rien que pour toi.

À peine a-t-elle fini sa phrase que le jeune dragon se fut levé et eu étendu ses vingt-huit artères sur deux mètres de long. La femme enjamba sa queue, planta un casque sur leurs deux têtes et se cala sur la selle placé au niveau de l'abdomen de sa monture. Iffnir se rua vers la sortie Éléonore sur le dos et battit régulièrement des ailes jusqu'à ce que l'immense palais de L'Empereur soit qu'une paillette minuscule d'un blanc étincelant. Après un voyage relativement court, la voilà arrivée sur la planète bleue. Finira-t-elle par changer suite à avoir succombé à ses charmes? Succombera t-elle à ses charmes? Seul l'avenir vous le dira mais c'est pas bien parti...

De la grève, de la grève et encore de la grève... Et des gens qui font grève sur la grève! Pesta t-elle intérieurement. Encore heureuse que je vis là pour moins d'un mois, le temps de récupérer les matières premières néssecaires et puis basta. Je n'aurait plus à observer toutes ces pierres, rochers et autres graviers.

On peut lui reprocher pleins de choses à cette petite mais pas de manquer de vocabulaire.

Elle se rendit à l'auberge tandis que son dragonet parti en vadrouille. Elle s'installa dans une des chambres en se demandant où est-ce qu'elle pourrait trouver sufisament de gaz inflammable pour créer une bombe et surtout où pourrai-t-elle se procurer de quoi les compresser sans attirer l'attention. La pièce était confortable malgrès sa pettite taille mais Éléonore ne le remarqua pas focalisée sur le parquet grinçant à chacun de ses pas. Elle parti honorer sa promesse envers son dragon.

Durant la semaine elle visita plusieurs fois les supermarchés disposant de bouteilles de gaz compréssé. Il se trouvait qu'elles prennaient feu étonnament facilement. Elle fit plusieurs allers-retours en prometant au dragonet des mets de plus en plus délicieux et en perdant de plus en plus de cheveux. Sonia fit de nombreux tests grâce aux bouteilles que Éléonore avait amené mais aucun ne la satisfa. Au quatrième test raté, elle dessendit dans la cantine commune. D'habitude elle mangeait dans sa chambre devant une série zeveloniène mais ce soir la solitude eu raison d'elle.

-Bienvenue à Kald alors!


-Merci beaucoup.


Elle se pencha sur sa boisson en bu plusieurs gorgées. À côté d'elle un vieil homme mangeait des salamandres grillées et en partageait avec sa voisine de table qui les passait plus ou moins discrètement sous la table. Le chien qui s'y trouvait lui lécha les doigts en quête de son précieux amphibien. La petite fille surprise lacha ce qu'elle tenait, éclata de rire et cria:

-Arrête Bruno, tu me chatouille!

La nourriture tomba sur le front de Bruno. Le chien louchant sur ce diadème improvisé lui coura après.
Bruno était un gros chien, plus saint-bernard que chiwawa et très poilu.
Il en était à son troisième cercle à tourner la queue en essuie-glace, quand cette dernière se coinça sous une nape. Bruno tira de toutes ses forces obnubilé par la douceur que sa maîtresse avait malencontreusement lâché sur son crâne. Les attaches sautèrent, Bruno continua sa course effrainée emportant avec lui la nape et son contenu.
L'aliment frit fini par glisser de son front et le canidé réjouit n'engloutit non seulement celui-ci mais aussi la demi douzaine qui se trouvaient auparavant sur la nape où se trouvaient également des restes de galettes qui finirent eux aussi dans son système digestif.

Éléonore regarda mal les propriétaires de la tornade. L'homme lui servit un regard tellement désolé que la dragonaute ne pu s'empecher de se baisser pour l'aider à nettoyer les dégats. Simon, le sextagenaire lui a donné son nom, était particulièrement pauvre. Il s'était fait lisensié il y a quelques semaine et incapable de payer il s'était fait confisquer tout ses biens. Maintenant il dormait dans une tente en plein hiver terrien et manger dans des auvergnes pas trop chères. Sa réserve d'argent baissait dangereusement vite. Sans vraiment réfléchir Éléonore lui donna un quart de son salaire. Devant cette ci grande somme le grand- père se figea puis refusa ce don:

- Je ne peux pas accepter!

-Vous êtes grand-père...

-Même, je me débrouillerai sans pour survivre.

- C'est pas pour vous nourir idiot, gronda-t-elle, c'est pour poursuivre en justice votre patron qui vous a laissé sur la paille.

Une lueur de colère brilla dans ses yeux puis, rapidement disparut. L'homme accepta et les deux nouveaux amis discutèrent jusqu'à tard dans la nuit. Quand sa petite fille, Lalie, s'endormi sur ses genoux Simon repartit vers sa tente.

Ce lieu, dans moins de trois jours, n'existera plus. Ces rochers paraissant si solides ne seront plus que poussières. Il n'y aura plus ni plages de gallets arrondis par le roulis des vagues ni les vagues elles mêmes. Cette ville fortifié sera ni fort ni ville. Ses habitants eux aussi n'existerons plus, Lalie, Bruno et Simon auront retrouvé leur.s créateur.s si celui-ci (ou ceux-ci) existera.ont encore. Éléonore doit retourner auprès de son empereur mais le coeur n'y est pas.

— Maudit Ifnirr, veux-tu bien cesser de te débattre ? Pour toute réponse, le dragonet récalcitrant cracha une flammèche bleutée qui passa dangereusement près des cheveux de sa maîtresse. —Je sais que tu n'aimes pas mettre ton scaphandre, mais nous n'avons pas le choix... Cette fois ci, une flamme jaune embrasa une mèche ; à l'aide de sa manique, Éléonore sauva nonchalamment le peu qu'il restait de sa coiffure. — N'as tu pas envie de savourer les délicieuses salamandres grillées qu'on ne trouve que sur Zeveon ? Séduit par la perspective du succulent repas, Ifnirr se montra parfaitement docile. Éléonore désespérait d'avoir pour monture un ventre sur patte, qui se souciait plus de son estomac que de leur mission. Avant le décollage, elle vérifia minutieusement les niveaux d'oxygène et l'étanchéité des tuyaux. Elle grimpa sur la selle de son dragonet et lui intima l'ordre de s'envoler. Alors qu'ils s'élevaient toujours plus haut, la dragonaute eut un pincement au cœur en voyant Kald au loin. Le village semblait si petit, si fragile vu d'en haut. Y retournerait-elle un jour ? Ifnirr ne pouvait pas l'accompagner là-bas ; sinon, il allait découvrir la taverne qui importait des salamandres grillées et plus jamais elle ne pourrait lui enfiler son scaphandre. Le duo volant dépassa bien vite les nuages, et les pompes à oxygène se mirent en route quand la pression fut trop basse. Quittant définitivement le bleu du ciel, ils franchirent l'atmosphère et se retrouvèrent dans l'immensité de l'espace. Droit devant, Zeveon se reflétait dans les visières de leurs casques. Une méduse spatiale flottait non loin; mais vu ce qu'ils transportaient, mieux valait l'éviter... tant pis pour la gelée ! Après une heure dans le froid sidéral, ils arrivèrent. Éléonore avait pour instruction de se rendre directement au palais avec la marchandise, mais elle savait pouvoir dire adieu à ses derniers cheveux si Ifnirr n'obtenait pas rapidement son dû. Elle héla un marchand qui tira sa carriole jusqu'à eux. Il vanta la fraîcheur de ses salamandres, pêchées le matin même dans le lac d'Azur. Il décrivit avec éloquence sa technique de cuisson, hérité de son arrière-grand-mère. Ifnirr se léchait les babines à l'évocation des sels fins utilisés : voyant la bête si affamée, l'opportuniste vendeur ne manqua pas de gonfler ses prix. Éléonore délia péniblement les cordons de sa bourse, qui était bien maigre malgré son généreux salaire de dragonaute ; pourquoi diable avait–elle prêté tant d'argent à Simon ? Le dragonet, une fois rassasié, s'allongea dans l'herbe violette pour faire une sieste. Sa maîtresse soupira, accrocha délicatement les paquets à sa ceinture, et marcha en direction du palais. Les gardes sourirent en la voyant arriver à pieds, et elle leur lança un regard noir qui leur fit bien vite reprendre un air impassible. Elle grimpa au sommet de la tour ouest. — Éléonore, te voilà , enfin ! — Excuse-moi Sonia, Ifnirr n'a pas daigné m'accompagner jusqu'au bout... — Il valait mieux qu'il t'abandonne maintenant plutôt qu'au milieu de l'espace, dit la savante avec un sourire espiègle. — J'espère que cette livraison sera la dernière, je n'ai plus ni la patience ni les cheveux pour lui remettre son scaphandre. — Oui, oui, ne t'inquiète pas, ma machine va marcher cette fois. — Tu dis toujours ça...

- « Sa Majesté impériale. », fit Eléanore tout en faisant sa révérence. L'Empereur hocha la tête puis dit d'un air sombre :

- « Combien de temps nous reste-t-il avant que tout soit prêt ? »

- « Si tout se passe bien, même pas quinze jours, les bombes sont enfin prêtes, Sonia a enfin réussi à les faire exploser, le temps de les mettre en position sur les différentes planètes en envoyant des ambassades et de rapatrier discrètement toutes les armées espionnes, avec nos dragonnautes*, nous réussirons, mon Empereur. »

- « Bien, dépêchez-vous sinon je pense que si je reste une minute de plus à côté de ces horribles gouverneurs arrogants, je vais avoir une allergie sévère. »

- « Oui, Majesté ... ».

Elle se courba puis sortit de la salle imposante, en se disant que bientôt tout ne sera que poussière et qu'une planète unique génèrerait moins de problèmes, de cela elle se contenterait, mais ses doutes ne tarderont pas à refaire surface...

Plus tard, après qu'elle est donné les ordres de l'Empereur à son armée, la jeune adulte devait aller sur la planète Arthesis. Quand elle arriva à la dragonnerie**, Ifnirr rêvait de nourriture comme à son habitude, Eléanore se dépêcha d'essayer de le réveiller :

- « Ifnirr, réveille-toi, si on arrive avant que l'hôtel de Warthène sur Arthesis, ne prenne plus de clients, je te donnerais des sorruhc aux salamandres***. »

Le dragonnet se réveille en sursaut :

- « Quoi ? Où ? Hein ? Manger des salamandres ? ».

Eléanore mit vite fait le scaphandre.

- « En revanche, tu dois aller jusqu'au bout cette fois sinon je ne t'en passerais pas. »

- « Arthesis, Warthène ? D'accord, on y va ... », fit-il en soupirant.

Eléanore se mit en selle puis chevaucha et ne s'arrêta pas malgré les plaintes de son dragonnet :

- « Tu es sûr qu'on ne peut pas faire une petite pause sur Valériane, j'ai entendu que là-bas, il y avait des etiurts au nortic****. »

- « Nan, Ifnirr de toute manière, on est presque arrivé. »

Puis après un moment dans l'espace où toutes sortes de vaisseaux allaient de-ci de-là, apparut une planète violette. Cette planète violette s'appelait Arthesis, Arthesis a trois lunes, Misteris, la lune rose, Istis, la lune émeraude et Ouragis, la lune bleue. Sur les trois seulement Istis est habitable mais les nations des autres planètes n'ont pas le droit d'y aller. L'Empire de Zeveon avait envoyé des espions là-bas, ils ne donnent pas beaucoup de nouvelles. La mission d'Eléanore est de les ramener et de poser les bombes sur ces quatre astres puis de rentrer. Normalement, les espions ont été informés du point de rendez-vous, l'hôtel de Warthène. Cet hôtel a une particularité qui fait que beaucoup de monde veuillent y aller et cette particularité, ce sont les bulles bleues. Les bulles bleues sont des bulles opaques qui permettent que personne ne puissent entendre la conversation des gens qui sont à l'intérieur. Ceci est très pratique lorsque l'on veut parler de choses secrètes à des espions. Ifnirr est tout content d'arriver, il rêve déjà de toutes les bonnes choses qu'il y a sur cette planète. Eléanore, quant à elle, ne peut s'empêcher de penser que ces couleurs sont absolument magnifiques. Toutes ces nuances de violet ! Le dragonnet ne se pose pas loin d'un bosquet d'arbres rose/violet.

- « Eléanore, je peux avoir mes sorruhc***** ? », dit Ifnirr, impatient.

- « Attends qu'on arrive à l'hôtel au moins ! Espèce d'estomac sur pattes ! », s'écria-t-elle d'un ton affectueusement exagéré.

- « Oh... », fit la bête écailleuse, déçu.

- « Ne t'inquiète pas, c'est à seulement deux pas d'ici. », le rassura la jeune femme.

Après quelques minutes de marche, il arrive à l'hôtel. Quand le dragonnet fut bien installé dans la dragonnerie, Eléanore lui donne ses friandises : « Tiens, on repartira demain matin... ». Elle prit une chambre pour elle puis alla au restaurant de l'hôtel. La jeune femme s'installa à la table avec bulles bleues la plus proche. Quelques temps plus tard, un jeune homme s'assoit devant elle :

- « Bonjour, je m'appelle Saïr. Emmi-Sara-Pamela-Iris-Orianne-Nabila******. »

- « Bonjour, je suis Eléanore. Commandante D.*******»

- « Je viens pour vous dire que les deux autres E******** sont morts. »

- « Vous serez donc le seul à être rapatrié. »

- « Non car ma mère est athénienne et je ne veux pas qu'elle meurt. »

- « Alors je la rapatrie aussi. »

- « Non. »

Eléanore fut tellement étonnée à cet instant qu'elle en perdit sa voix.

- « Il y a un autre moyen, il faut juste que vous nous aidiez. », la supplia-t-il.

- « Vous voulez aller à l'encontre des ordres de l'Empereur ! Mais c'est ... »

- « Fou ? Oui mais pas impossible. »

- « Mais c'est trop tard. Dans peu de temps, tous les espions seront rapatriés et toutes les bombes prêtes à exploser. »

- « Si vous rejoignez notre mouvement tout cela pourrait être évité. »

- « ... »

- « Sachez que vous avez des milliards de milliards de vies entre vos mains. »

- « Je ne peux pas aller à l'encontre de l'Empereur... »

- « Réfléchissez-y. Et si vous changez d'avis...revenez ici demain. »

Saïr sort du restaurant en laissant un petit papier plié et une montre sur la table. Eléanore ouvre le petit papier et, surprise, il y a écrit :

« Saïr ABYEN, marchand de gâteaux zeveonien pour vous servir. Choisissez-bien. »

Eléanore, seule dans sa chambre, discute avec elle-même :

« Pourquoi moi ? Et comment est-ce qu'il compte faire ? C'est bizarre avant l'idée que toutes ces planètes explosent me réjouissait et maintenant ... Je ne sais pas, c'est différent... J'ai l'impression que tout se bouscule dans ma tête et dans mon cœur et je ne sais plus si ce que j'ai fait et bien ou mal... ». Elle se couche sur son lit. « ... Peut-être que finalement il n'est pas trop tard... Peut-être que tous ces paysages et ces planètes que j'ai contemplés du haut de ma selle entre les ailes écailleuses des dragons peuvent être sauvés. Peut-être aussi que je ne me réjouissais pas vraiment de l'explosion des planètes mais que j'essayais de m'en réjouir pour ne pas souffrir de leurs pertes. Je devrai y aller, je n'ai pas envie de tout perdre, moi qui dès mon plus jeune âge est dû suivre les ordres d'un Empereur que je n'aimais pas. Je n'ai pas pu avoir une vie normale et si je peux éviter tout cela ! Après je pourrais devenir dresseuse de dragons peut-être, c'est mon plus grand rêve. Mais tant que l'empereur est sur le trône, ce ne sera pas possible... », silence, « Il faut que j'aille voir Saïr demain. ».

Saïr a été clair, il faut qu'elle empêche l'Empereur d'activer les bombes et pour ça, il faut récupérer la télécommande. Saïr lui va contacter Sonia, sa cousine infiltrée, pour qu'elle finisse de fabriquer la bombe capable de faire exploser le château de l'Empereur. Puis, il continuera ce qu'il a fait toute la semaine, fabriquer et envoyer plein de paquets de gâteaux pour que chaque habitant aux alentours du château puissent partir gratuitement faire un tour sur Arthesis. Certains soldats faisant partie du mouvement essayent de voir quel(le)s héritiers/héritières serait le mieux placé(e)s pour succéder à l'empereur, une tache bien dure mais nécessaire si on ne veut pas que la planète sombre dans la pauvreté et le terrorisme. C'est ce qu'Eléanore a expliqué à Ifnirr, lors du trajet de retour afin qu'il comprenne mieux pourquoi on l'a recouvert d'un drap noir (avec des fentes pour les yeux et la bouche) et surtout pourquoi Eléanore a l'air d'être prête à faire un cambriolage. Quand il l'avait vue comme ça une grosse explosion de rire a failli sortir de son museau, même si quelques flammèches réussirent à s'échapper, ce qui fit que la coiffure d'Eléanore était encore pire qu'avant. Arrivée à l'entrée du château, les soldats infiltrés la firent rentrer. Ifnirr, lui, resta près de la porte avec une bonne vingtaine d'etiurts de toutes saveurs que Eléanore avait achetées en prévisions. Quarante minutes plus tard, une des fenêtres de la salle de réception s'ouvrit, Ifnirr entendit alors une voix l'appelant. Il se précipita dans la direction du cri car il avait reconnu la voix de sa maîtresse. Elle avait sauté par la fenêtre en portant un homme sur son dos. Pile quand il l'attrapa le château explosa.

Victor allait souvent se réfugier dans l'arbre le plus haut de la petite forêt située entre le côté est du château et une partie de la ville. Pour lui, c'était un peu comme une échappatoire à la pression constante qui émanait du château de son horrible père, l'Empereur. Ce jour-là, il était au pied de cet arbre. Lorsqu'il vit la grande explosion et le dragonnet lui fonçant dessus, il cria, il était tétanisé. Le dragon s'écrasa juste à deux arbres de lui. Sur son dos, deux personnes, l'une était l'incroyable commandante dragonnaute, l'autre était un vieil homme. La commandante avait dans sa main une télécommande. De sa montre, il s'échappait une petite voix :

- « Eléanore ! Réveille-toi ! Je pense que Sonia a fait une fausse manipulation de la bombe, et je crois que ... qu'elle est ... Alors s'il te plaît, réponds-moi !

- « Saïr... », marmonna la commandante.

- « Mais qui est Saïr ? », dit Victor.

- « Victor, sais-tu si tes frères et sœurs sont vivants ? », s'exclama la voix d'homme qui sortait de la montre.

- « Non ... mais ... »

- « Alors ce sera toi. », le coupa Saïr.

FIN

*Personne chevauchant des dragons

**Endroit où les dragons se reposent, des écuries pour dragons en quelques sortes.

***Churros aux salamandres

****Truites au citron particulièrement acidulée

*****Churros

******Signifie ESPION en code zeveonien

*******D. signifie ici dragonnaute

********E signifie ici espions



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