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- Sans ? 

Je fixais le Papyrus de cet univers s'inquiéter pour son Sans, un regard interrogateur se posant une fraction de seconde sur moi.

-  Heya Pap, j'ai pu trouver qu'une poule désolé.

- Ce n'est pas grave, tu as fais de ton mieux.

- Mais devine ce que la poule nous a pondu.

- Sans... Râla Papyrus en roulant des pupilles.

- Un invité! 

Je fixais Papyrus qui m'évalua du regard avant de demander.

- Sans ? Pourquoi l'invité est couvert de ketchup ?

- J'en sais rien. Je l'ai trouvé comme ça.

Papyrus s'approcha de moi avant de me regarder avec sérieux et détermination.

- Ecoute bien invité! Tu ne peux pas te balader couvert de ketchup! Moi, le grand Papyrus, te permet d'utiliser la douche.

- La flemme. Grommelais je avant de fixer Sans qui était aller s'allonger dans un tracteur rouge. 

Papyrus, lui, quand mon regard, se porta sur lui à nouveau, semblait avoir été changé en statut de sel.  Il semblerait que lui aussi n'aime pas que je me salisse en mangeant mes victimes.

- Non ! Moi, le grand Papyrus, vais prendre soin de...Sans! Comment s'appelle l'invité ? 

- Horror, Pap.

- Oh! Eh bien, invité Horror, moi, le grand Papyrus, te ferait découvrir la douche!

-...

Papyrus me poussa donc ainsi vers la salle d'eau et me cria de bien me laver avant de s'en aller en claquant la porte.J'aime bien les habitants de cette maison. Ils ont un accent bizarre qui sonne presque comme une perpétuelle chanson. 

He bien, je suppose que je n'ai pas d'autres choix que de me doucher. Tandis que je m'exécutais, je repensais à comment j'en suis arrivé ici. Nightmare était encore en colère contre nousparceque Killer a laissé s'échapper Dream par accident. Quel idiot celui là, comment on peut laisser s'échapper quelqu'un par accident? Je me souvient que Nightmare était si en colère qu'il cassait lui meme ce qu'il ordonnait de ne pas casser habituellement et que Killer a fini contre un mur plus d'une vingtaine de fois. Je pensais meme qu'il allait mourir ou finir avec un bout de crane en moins comme moi; mais le maitre des cauchemars ne s'est pas contenté du coupable.

Il nous a tous puni d'une manière ou d'une autre. Dust fut, séparer de son Pap il semblerait. Va savoir comment, puisqu'il n'en a pas. Red fut expédier dans un univers plus sombre que le sien d'après le boss, moi, je me suis retrouvé condamné à avoir plus faim que lorsque j'étais dans mon univers. Et j'y ai vraiment cru quand je suis tombé dans ce monde ou il n'y avait que de l'herbe. Ensuite, j'ai marché des jours et des jours, et la première habitation que j'ai vu, c'était ici. Et...voilà ou j'en suis.

Je me demande si le boss s'est trompé d'univers ou si j'ai eu de la chance de marcher des jours durant jusqu'à trouver cet endroit. D'ailleurs, on ne dirait pas que nous sommes dans l'underground. Sommes nous à la surface ? La gamine aurait fait une pacifiste ici ?

Je terminais de me doucher et pris des vêtements qui étaient posés à coté. Sans doute Pap qui les a mis là. Je descendis ensuite au salon ou Oira!Sans semblait sur le point de parti.

- Oh! Tu as déjà fini on dirait.Je t'ai laissé un plat à la cuisine puisque tu avais dit avoir faim. Si tu me cherche, je suis au champ, et Pap au poulailler pour le moment.

Je hochais la tête et allais à la cuisine tandis que Oira s'en allais de son coté. En effet, il y avait de la soupe sur la table ainsi que quelques biscuits au formes grossières. Comme s'il les avait fait aussi. Bah, tant que cela se mange, je ne ferais pas le difficile. Je delaissait la cuillere pour me décider à boire tout d'une traite et...c'était vraiment bon. J'en pleurais; tant c'était exquis.

- Il y a quoi dans cette soupe exactement ?

Je fixais ensuite les biscuit qui laissaient échapper une fine odeur farineuse que je n'arrivais pas à identifier. Je me demandais si ils étaient aussi bons que la soupe et les dévoraient tous d'un coup après en avoir goutter un. C'etait chaleureusement bon. On aurait dit que je n'aurais plus jamais de problèmes. J'aurais bien aimé que mon Pap vienne vivre ici, il n'aurait jamais faim et n'aurait pas à appliquer la règle de notre monde. Et surtout, il n'aurait pas à écouter cette stupide femme poisson. En parlant d'elle, je me demande comment est gérer le monde ici...

- Je vais aller voir.

Une fois à l'extérieur, je remarquais Papyrus avec son bandana rouge autour du coup en train de donner des compliments à des volailles. 

- Tu fais quoi ?

Il laissa échapper un cri de peur avant de se retourner vivement et soupirer en me voyant.

- C'est toi Horror, tu m'as fais peur. Enfin, ta voix m'as fait peur un moment. Prends du miel, ce sera déjà plus doux ! J'en suis certain! 

En voyant que je le fixais sans rien dire, il se racla la gorge et repris.

- Oh! Tu voulais savoir ce que je faisait ;c'est ça ? Je  félicite ces poules pour leur bon travail. Et je les rassure aussi, tu leur à fait peur tu sais ? Sans a dit que tu en avait pris une. Mais du coup je ne sais pas ou sont les autres...Cette disparition les a fait très peur. Je dois lkes rassurer pour qu'elles se sentent bien et continuent de faire du bon travail.

Je le fixais un moment et m'approchais de lui pour fixer la poule dans ses mains. Les...rassurer hein? C'est...stupide.

-Tu fais comment pour les rassurer ?

- He bien...des fois lje les caresses, des fois je leur parles. Tu veux essayer ?

Je ne répondis pas mais Pap me mis une poule dans les bras et me fixa avec des yeux pétillants. Je le fixais un moment sans comprendre avant de regarder la poule et de lui ébouriffer les plumes. C'était...bizarre. Donc je recommençais et...encore, puis encore, puis encore et au bout d'un moment Pap me stoppa. 

-Horror, c'est bien que tu t'amuses. Je vois bien que ça te fais sourire, mais si tu en fais trop, elles vont finir par te piquer, et ça fait vraiment mal. Je te conseille de les caresser en suivant la direction des plumes. Un peu comme les doggos. 

Je le fixais un moment Papyrus avant de faire ce qu'il me dit. C'était relaxant en effet. Au bout d'un moment, la poule voulu s'enfuir et je tentais de l'en empercher mais Papyrus m'arrêta.

- Si elle ne veux plus, laisse là. Tu en as toujours d'autres. OU alors, attends. 

Je hochais la tête et fixais les autres poules.

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