chapitre 16

Voilà enfin cette porte s'ouvre et je vois Owald qui me tend la main pour me relever. Bien évidemment je ne la prend pas, je me relève toute seule. Après avoir attendu, je sait combien de minutes voir heures. Mon étourdissements, tout comme mon mal de tête a disparue.

- Ça va ? Pas trop dégoûtée, effrayée ?

- Non. J'ai hâte d'être à demain pour retourner dans Horoz.

Je vis la tête de Owald s'étirer d'étonnement, puis vite revenir à la normal avec un grand sourire. Ils me posa plusieurs questions diverses, plus ou moins simple. Ils me demanda mon nom, prénom, âge, sexe… Pourquoi me demande t'il si je suis une femme ou un homme ?… Se pourrait il que des joueurs soit homme dans la vrai vie et femme dans Horoz ?

Owald me toucha l'épaule pour que je revienne de mes pensé et m'avoua que certains joueurs n'avais pas le même sexe dans Horoz et la réalité. Il a lu dans mes pensées c'est pas possible. Il continua ses questions. Après avoir répondu à toutes ses questions, il me demanda de le suivre et nous sortons du bâtiment, qu'il ferma a clé derrière lui. Je le suivit jusqu'à l'entrée du château où je vis un joueur avec sa valise rentrée dans une voiture et partir de la demeure. J'entre dans le château, je suis toujours Owald qui m'invita a entrer dans le grand salon spacieux remplie de diverses tableau et fauteuils au milieu une grande table de salon avec des verres, des bouteilles de champagne et de jus de fruits, ainsi que quelques amuse gueule. Tout les joueurs, enfin presque tous était la. Il manquait 4 joueurs.

- Bien a partir d'aujourd'hui vous êtes plus que 12. Quatre joueurs on abandonner. Ils sont mort dans le jeux et on pas vraiment apprécié l'expérience. Dit Owald.

- Et alors ils sont pas mort… Dit Zing.

- Je vous préviens encore a nouveau. Dans Horoz on peut ressentir tout se que l'on ressent dans la vrais vie.

- La souffrance aussi ?

- Oui mais pas autant que dans la vrai vie. Lorsque vous mourrez par exemple un sabot de cerf qui vous transperce le ventre, vous ressenterait une crampe a l'endroit même où il vous a transpercé….

Oh oui j'ai senti cette crampe. Par contre je n'ai pas vue de mes propre yeux qu'il m'avait transpercé le ventre… C'est qu'il vois tout ?
Owald continua sont explications, les étourdissements lorsqu'on n'est mort, la voix qui nous dit qu'on n'est mort et qu'ont va ressuscité au bout de 3 seconde, et quand on ressuscite l'étourdissement et toujours présent et disparaît au bout d'une minute.
Après cela il demanda si certains voulait abandonner. Personne ne répondit. Ils doivent avoir tous une vie de merde comme moi pour vouloir rester et continuer à jouer a Horoz. C'est bien la première fois que je me sent moin seule. La première fois que je pense ne pas être la seule a voir le monde réel comme un enfer.

- Bien on continue tous alors. Santé. Dit Zing en levant sont verre de champagne.

Ils sont peut être pas tous comme moi. Mais c'est peut être tous des malade mental ou des personnes qui aime souffrir. En tout cas se Zing ne peut pas détester la vie comme moi. Il a toujours le sourire et cet joie de vivre se sent fortement. Mais pourquoi il est là ?

Tout le monde, tout comme Owald levèrent leurs verre et disent tous "A Horoz", sauf moi et Simon qui lui et sourd et muet, ne levèrent pas nos verres et ne dirent rien. Je fini même pas mon verre. Je commence déjà en avoir mare de cette réalité pourri, de ses sourires, de ses rires, de ses conversations inintéressantes. Je sort du salon et me lance a la poursuite de ma chambre.

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