J'aime qu'elle transpire en folle chevauchée :

Quand elle est égoïste, et salope, et branlée,

Elle a dans sa furie à l'injure salée

Des instincts agressifs de bonne débauchée.

Quand son corps rebondit, frénétique et hochée,

Elle cherche en son sexe, obsessive, exhalée,

Au mépris de son souffle, à la bite empalée,

La jouissance dernière et qu'elle aura fauchée.

J'ai alors une astuce intrusive et innée,

Quand elle ouvre sur moi, pantelante et lustrée,

Ses deux bras rédempteurs après s'être affaissée :

Je lui prends fort le cul et hâte la pinée,

Et comme elle est soumise en sa force frustrée,

J'achève sa faiblesse en donnant la fessée.

Écrit le 18 juillet 2024. Publié le 12 novembre 2024.