[two] 1er rencontre (part iii)
Cruella De Vil :
Étant la(e) sœur(frère) de Roger, tu passait quelques jours chez Anita et lui, à peu près chaque samedi, tu venais et tu ricanais discrètement de ton frère quand il faisait quelque chose qui t'énervait et qui était entièrement lui.
Votre relation familiale n'avais pas été ce qu'on pouvait appeler une relation de frère et sœur, il était si peu ordonné et si peu obéissant, étant plus grand(e) que lui, tu étais obligé(e) de lui dire quoi faire tout le temps.
Il était invivable à la longue, à ne s'occuper qu'à ses chansons idiotes et à son chien, tu en avait légèrement marre...
Aujourd'hui, l'amie d'enfance d'Anita devait venir, les deux anciennes amies dineraient ici, avec toi et avec ton ronchon de frère.
D'ailleurs ton frère ne semblait pas beaucoup aimé Cruella De Vil, l'actuelle ancienne amie de sa petite amie.
À la porte, on sonna quatre fois avant que tu aille ouvrir, une femme maigrelette entra, elle avait la peau sur les os et portait un long manteau de fourrure adorable pour une connaisseuse et tu en étais une.
"Belle fourrure, Cruella. Je suis la(e) sœur(frère) de cet incapable de Roger, si vous ne me connaissez pas, c'est normal. Je ne viens que les Samedi pour ne pas le voir lorsqu'il fait son idiot de petit musicien. " murmura tu en faisant entrer l'amie de ta belle sœur.
Elle ricana à ce que tu venais de dire, la femme te regarda de haut en bas avant de remarquer que toi aussi tu avais un manteau en fourrure, il était incroyable, elle en voulait un pareil.
"Darling, ce manteau qui je suppose est à vous, comment l'avez-vous créer ?" demanda Cruella en te regardant avec intérêt.
Tu lui rendit ce regard en observant son corps en entier, elle avait des cheveux bicolores, une robe rouge et bien sur cette fourrure.
Tu n'avais jamais vu quelqu'un d'aussi glamour que cela, elle avait tout pour plaire à quelqu'un qui en savait quelque chose sur la couture, comme toi...par exemple.
"OH...Eh bien je ne révèle pas forcément mes créations mais pour vous, je veux bien faire une exception. Alors c'était il y a déjà cinq semaines, je m'étais dit que renouveler ma gamme de manteau serait la meilleure chose à faire en ce temps froid et j'ai donc décidé de créer ça. Pour créer ce manteau j'ai utilisé pas mal de peau de chien, déjà morts, j'ai bien fais attention à ça, j'avais pris des labradors pour commencer mais cela donne une couleur affreuse aux manteaux alors j'ai fait avec ce que je pouvais, mélangeant les fourrures d'animaux pour créer ce manteau psychédélique. " dis tu en souriant à cette femme qui avait l'air de s'y connaître autant que toi.
Son rire éclata tandis qu'Anita préparait la table et retirait toutes les cochonneries de Roger qui était sur la table.
"Vous êtes un(e) très bon(ne) créateur(trice)...J'imagine que cet idiots de frère ne l'a même pas vu en vous, trop occupé avec sa musique ridicule. " fit-elle en riant.
S'approchant de toi elle te répliqua quelque chose qu'elle avait l'intention de faire, elle voulait les chiots dalmatiens que Perdita, le chien d'Anita avait, elle voulait toutes la portée.
"Humm...C'est vrai que les dalmatiens ont un pelage soyeux. Vous aimerez certainement son confort mais je dois vous prévenir, mon frère s'énerve rapidement lorsqu'on parle de lui voler quelques choses et puis ils seront vivants, faire des manteaux c'est mieux quand on les trouve déjà mort. " déclara tu en parlant de ta glorifiante carrière que ton frère n'avais jamais accepté lorsque tu avais évoqué le fait que ton frère s'énervait rapidement quand on lui volait sa gloire.
D'ailleurs celui-ci était partit composé en haut, évitant Cruella et sa sœur tant qu'il le pouvait. S'il avait entendu ce que tu venais de dire, une dispute familiale aurait débuté.
"Of course, darling. " répliqua Cruella en te regardant.
Tu aurais espérer qu'elle t'aurais demander de l'aide par rapport à ce manteau en dalmatiens, tu adorais créer.
Lady Tremaine :
Tu étais à un bal, tout se passait si bien, tu dansais, tu papotais avec d'autre convives aristocrate jusqu'à ce que tu tombe nez à nez devant Lady Tremaine, une jeune aristocrate mariée à Lord Tremaine, un homme de courage et d'élégance.
"Oh je suis toute ému(e) de vous rencontrer, Lady Tremaine. " dit tu alors que tu détaillais sa robe.
Elle te souria de même, ses cheveux marrons toujours si incroyablement coiffer. Ce devait être la première fois que tu avais réussi à l'approcher, à la rencontrer.
"Moi de même, Lady(Lord) Delenfecia. " dit-elle en te souriant.
Sa robe était...était noire. Noire comme les robes des femmes endeuillées. Viendrait-elle donc de perdre son époux ? Son amour le plus puissant du monde.
"Je vois que vous l'avez remarqué. Oui je porte du noir, mon mari est parti, à quitter notre...notre monde. " expliqua-t-elle les yeux conscient qu'il ne fallait montrer aucune émotion.
Tu avais l'air profondément triste pour elle, pas au point de pleurer mais ça t'affectait alors que tu ne connaissais pas le Lord et que c'était la première fois que tu pouvais parler à Lady Tremaine.
"Toutes mes condoléances, Lady Tremaine...Je m'excuse de ne pas l'avoir compris tout de suite, certainement qu'une personne vous as supplié de venir. " dit tu, triste pour elle.
La femme qui venait de perdre son mari alors que ses deux jeunes filles étaient petites te regarda simplement, sans haine, sans tristesse, elle te regardait voilà tout.
"Vous n'avez pas à vous excusez, ma chère, c'est totalement normal. Un jour, les gens naissent, un autre, ils meurent. Je devrais tourner la page...mais c'est dure quoiqu'il faut tout de même que je retrouve quelqu'un pour mes pauvres filles. Que je me retrouve un époux. " dit-elle en partant, une coupe de vin dans la main.
Tu étais restée là sur place, cette femme était si charmante, si charismatique, tu ne pouvais t'empêcher de la regarder.
Claude Frollo :
Tu marchais dans les rues de Paris jusqu'à ce que tu tombe sur ce que tu voulais voir...Tu souriais tellement qu'il était difficile de te comprendre et de voir ce que tu voulais faire.
Arrivant devant l'église de Notre-Dame, tout sourire, tu monta les marches déjà hautes jusqu'au clocher ce qui te fit à peu près 700 marches mais tu étais courageuse et malgré la fatigue que tes pieds ressentait tu ne t'es pas arrêter.
Tu as découvert quelque chose d'étonnant il y avait un homme sous les cloches de la cathédrale et c'était celui qui les sonnait.
Il était bossu comme pas possible, ses cheveux d'un roux carotte était atrocement mal coiffer et ses vêtements étaient si étrange.
"Pouah...J'aurais peut-être dû ne pas venir ici, ça empeste comme pas possible. Puis quelle idée d'aller voir qui sonne les cloches ? Je suis bien déçue de ma découverte. " dit tu en refermant tes deux mains sur le haut de ta tête pour te calmer.
Soudainement une personne sortit de l'ombre, c'était le juge Claude Frollo, il te regardait de haut en bas, essayant de savoir ce que tu faisais ici, connaissant ton titre il ne te fit aucune reproche sur ta venue dans l'église de Notre-Dame de Paris.
"Voulez-vous que je vous raccompagne en dehors de cet endroit décevant avec ce pauvre idiots ? " te demanda-t-il, souriant d'un sourire effrayant qui te fit des frissons.
Il te prie par le bras, jetant un coup d'œil à ton torse si dévoilé. C'était pour lui un pécher de s'habiller avec de tels vêtements si près du corps et si provocant cependant il ne dis rien et t'emmena dehors.
"Eh bien au plaisir de vous revoir, (ma)mon cher(ère). " fit-il en te laissant partir loin d'ici avant que ses pulsions veuillent reprendre le contrôle de son corps car oui, il t'observais depuis un petit moment et ton corps lui donnait des envies de luxure.
En partant tu te retourna pour le regarder, pour regarder cet homme qui avait l'air si sérieux et sévère.
Yzma :
Tu es un(e) simple poltron(ne) venant souvent te plaindre à l'empereur, la première fois que tu rencontres Yzma, c'est lors de ces fois où celle-ci prends la place de l'empereur.
Il était tard lorsque tu es arrivé(e) devant l'empire, ton courage en main, tu as franchi(e) les escaliers, énervé(e) plus que jamais, tu allais bien lui faire payer à ce Kuzco d'empereur ridicule qu'il ne fallait pas et absolument pas te voler ta maison et enfermer ta jeune fille, Cealia.
"Je viens pour l'audience. " expliqua tu aux gardes avant d'entrer, sans aucune peur aux creux du cœur.
Tu traça jusqu'à la salle où l'empereur était censé recevoir, tu attendrais jusqu'à la fin, jusqu'à ce qu'il réponde.
La porte s'ouvrit en grande et tu tomba devant une femme à la peau violette, une peau clair de la couleur violette.
"Vous êtes ? Pardon, je cherche cet idiots d'empereur pour lui faire payer verbalement ce qu'il m'a fait. " dit tu.
La femme âgée à la peau violette te regarda longuement avant de te dire de rentrer et de refermer la porte après toi.
Tu le fis alors comme elle te l'avais demandé, t'approchant plus encore, tu découvrit que cette femme devait être Yzma, la conseillère de l'empereur.
"Que vous a-t-il fait ? Je peux le savoir ? Il n'est vraiment pas un bon empereur ni un bon employeur j'ai toujours su que ça aurait dû être moi, Yzma, moi, la conseillère devenir empereur. " dit-elle follement enragé.
Tu te demandes bien ce qu'il se passe dans sa tête pour exposer tout cela comme ceci. Est-elle vraiment si horrible que ce que les gens du village raconte ou a-t-elle simplement la haine contre Kuzco, comme tous les habitants du village.
"Il m'a volé ma maison et le pire dans tout cela c'est qu'il m'a enlevé ma fille, je veux dire qu'il l'a fait exécuter alors que ce n'était même pas elle, la voleuse du village. C'était un homme pour vous dire l'entière vérité mais ce monsieur ne nous as pas crus et pour m'enlever plus, il m'a pris ma maison. Ma grande maison. Cet empereur est un pitre si vous voulez savoir mon avis et c'est lui qui devrait être exécuter. " répliqua tu rapidement, sentant ta colère montée à chaque mots prononcé.
C'est à cet instant que la conseillère de Kuzco sourit sadiquement. Elle n'avais jamais vu quelqu'un d'autre détesté autant l'empereur qu'elle le faisait.
Reine de Cœur :
Ta première réelle rencontre avec ta reine était lorsqu'elle t'avais convoqué pour discuter de cette peste d'Alice qui lui avait à ce jour échapper d'un coup sans laisser de trace. Sans rien faire comme si elle avait fermé les yeux et tout imaginé et s'était ensuite réveiller comme cela, d'un coup.
La reine t'avais convoqué, toi, parce que tu étais une grande chasseuse d'élite, tout aussi folle, bien entendu que le chapelier fous car aux pays des merveilles, tous le monde est fous. Même la reine et surtout elle, d'ailleurs.
"Il faut la retrouver et qu'on LUI COUPE LA TÊTE ! Qu'on lui COUPE LA TÊTE ! Elle ne mérite pas d'en avoir une. " répliqua la reine tandis que tu te tenais, assise sur une chaise en face d'elle, sur son bureau.
Tu acquisa, affirma et la regarda, sa tête était incompréhensibles, c'était un mélange de choses étranges et souvent colérique, oui la tête de ta reine t'exprimais la colère mais aussi la prestance, ta reine était une femme qui savait s'imposer contrairement à son mari.
Oui...Son mari, le petit duc là, toujours derrière elle, ayant certainement peur d'elle mais la suivant tout de même.
"Bien entendu, ma reine. Je lui ferais vivre de toute les couleurs et des pas murs ! Mais tout de suite c'est votre jour d'anniversaire, vous n'êtes assurément pas en non-anniversaire. " dit tu en souriant à ta reine.
Elle te souria en réponse, mélangeant la joie et la tristesse de fêter l'anniversaire mais de ne pas avoir la petite chanson de non-anniversaire.
Son mari n'y avait certainement pas pensé c'est pourquoi une bulle de colère l'enferma dans sa tête, comme lorsqu'elle hurlait "qu'on lui COUPE LA TÊTE".
"Ne voudriez-vous pas passer la journée avec moi au lieu de tout de suite partir à la recherche de cette idiote ? Je pourrais vous préparer du thé. " fit-elle.
Tu accepta volontiers et t'installa à ses côtés autour d'une longue table, une table qui te rappelais vaguement celle du chapelier fous, du lièvre de mars et de la...souris ?
C'était comment c'était dérouler ta première rencontre avec la reine, ta reine, la reine de cœur, ta reine de cœur
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