[three] ta/sa déclaration (part ii)
Ursula :
Alors que vous observiez la petite sirène Ariel faire des siennes, récupérer des objets des simples humains qui peuplaient la terre, Ursula s'était approché de toi.
Elle était heureuse d'avoir de la compagnie, oh oui, cela lui faisait plaisir de t'avoir avec elle, de son côté.
La sorcière des mers n'avaient jamais reçu autant d'attention que la tienne, tu étais la seule à ne pas l'avoir banni.
"Ariel, il faut que l'on l'observe d'autant plus, elle semble intéressante et pourrait être la fille de Triton qui le mènerai à sa perte, la jeune sirène est tellement inconsciente et si passionné dans ce qu'elle fait que très bientôt, je te le promet, elle viendra nous voir et te demandera service. " dit tu en regardant dans les yeux de la sorcière.
Celle-ci te fixa et hocha la tête, trouvant que tu avais des idées pationnantes.
"Ça fait tellement de bien d'être en compagnie de quelqu'un qui pense comme moi. Elle est tellement influençable que l'amour marcherait sur elle, il suffit qu'elle s'attache à un humain, qu'elle en tombe amoureuse et elle serait capable de venir ici si son père ne veut pas l'aider et bien sûre, Triton n'accepterais jamais de transformer sa préférée, sa précieuse en humaine chose qu'il éxecre par dessus tout. " fit-elle en riant.
Elle te regardait, grand sourire aux lèvres et tu le lui rendit. Seulement tu pouvais décerner quelques choses dans son regard qui n'allait pas forcément.
"Qu'est-ce qu'il y a ? T'a mangé tes tentacules aujourd'hui ? " demanda tu étonné de voir son sourire disparaître pour devenir un sourire plus triste.
"Humm...C'est rien du tout, ma belle. Continuons d'observer la petite niaise de dernière fille du rois Triton, sa petite Ariel. " dit-elle.
Cependant tu savais qu'il y avait quelque chose et que ça n'avait aucun rapport avec cette jeune sirène du nom d'Ariel.
Il y avait autre chose, enfin certainement.
"Je suis sûre qu'il y a autre chose, "ma belle". " dit tu en refaisant l'air qu'il y avait dans sa voix lorsqu'elle avait dit cela.
Elle ricana à ton imitation qui n'était pas totalement mal faite et te considéra d'un léger soupire triste et légèrement râleur.
"Si tu veux tout savoir, j'ai quelque chose à te dire et cela te concerne aux plus haut point. " dit-elle toujours de son regard triste.
Tu attendais qu'elle parle et qu'elle te dise ce qui la tourmentait.
"Je suis amoureuse de toi. C'est pour ça que je te surnomme ma Belle et que je te regarde fougueusement et toujours avec tant d'intensité. " fit Ursula.
Capitaine Crochet :
Depuis cinq mois, Crochet te logeais en classe privilégié, tu avais ta propre loge comparé à ses pirates ridicules qui dormaient sur le plancher du bateaux, à vent pluvieux.
Tu n'était pas à plaindre et puis Capitaine Crochet te traitait très bien et d'ailleurs tu l'aimais beaucoup, son petit caractère peureux te plaisait et tu avais appris à le connaître mieux que d'autres.
Tu l'aimais plus que beaucoup, ton cœur grondait dès qu'il apparaissait devant toi. Dès qu'il venait te voir.
D'ailleurs aujourd'hui tu lui avait proposé un rendez-vous à l'extérieur du bateaux et il avait accepté, un rendez-vous où vous traquerez les sirènes.
"James, nous allons enfin vous venger, vous le méritez. " déclara tu alors qu'il venait d'entrer dans ta loge.
Il te pris par la main et vous partez ordonner aux petits pirates de lever l'encre vers la terre.
Ils le firent alors et vous descendiez sur la terre, la main dans la main et le sourire aux lèvres.
Tu allais vivre une journée incroyable avec l'homme que tu aimais...bon bien entendu, il ne le savait absolument pas.
Tu espérais qu'il ressentait la même chose que toi, qu'il t'aimais comme tu le faisais mais tu n'oserais jamais le lui dire.
"Alors par où se cache vos idiotes de sirène ? " demanda-t-il.
Tu le guidait vers le repère des sirènes, tu avais hâte de les malmenée comme elle t'avais malmenée.
"Par ici, mon grand. " fit tu en ricanant.
Il te souria, son crochet dans ta main, il te faisait confiance et tu le faisais confiance, absolument..
Le menant jusqu'au repère des sirènes, tu lui chantait une chanson qui parlait de haine, d'amour, de peur et d'ambition, beaucoup de choses qui vous correspondaient tout deux.
Arrivant devant le repère, il sortit un filet de pêche et en captura deux, elles se débattaient au sein du filet.
"Vous allez voir, Peter Pan va nous sauver ! Il va nous sauver ! " disaient-elles toutes deux tandis que le capitaine et toi rentraient dans le bateaux avec votre prise.
Crochet et toi ricanaient, qu'il vienne ce Peter, il verra ce qu'il se passera lorsqu'il devra combattre deux personnes aux lieux d'une.
"Qu'il vienne se battre alors ! Qu'il vienne..." fit Crochet.
Après être remonter sur le bateaux, Capitaine Crochet ricana malheureusement deux secondes après son ennemi juré, Peter Pan arriva.
"Ne t'en prends pas à plus faible que toi ! " fit le rouquin.
Tu te sentis offensé(e) étant toi-même une sirène, quel gredin, quel idiots.
"Tu dis n'importe quoi, Pan. Une sirène n'est pas forcément plus faible qu'un jeune garçon comme toi ou qu'un grand homme comme ce capitaine. Si tu ne te souviens pas de moi, je me nomme Y/N...Je suis la sirène que toutes les autres détestaient car je vous détestait. Mon cher, il est l'heure que je prenne ma revanche ! Et accompagnée de ce cher Crochet. " dit tu en ouvrant ta main et en y dévoilant de l'eau que tu avais passé des heures à empoisonné.
Crochet parut énormément glorifier par ta réplique et son sourire devint fière.
Il sortit son épée et commença un duel fatidique avec Peter Pan, bien sûr aidé par toi, vous étiez deux fois plus fort et il était difficile pour Pan de gagner.
Cependant il allait certainement réussir comme à chaque fois qu'un affrontements débutait entre lui et Crochet.
Tu pris peur pour Crochet et envoila l'eau en pleine face de Peter Pan, cela n'allait pas le tuer juste l'éloigner.
"Pourquoi ? J'avais la main dessus, Y/N. " fit-il faussement énervée que tu intervienne pendant son combat.
"Je...J'avais peur pour toi, Crochet. Crochet, je t'aime et cela depuis quelques temps. " dit tu.
Gaston :
Tu marchais tranquillement au sein du village lorsque tu tomba nez à nez sur Gaston, depuis que Belle l'avait repousser devant tous le monde lors du mariage qu'il avait organisé, il avait l'air tout penaud et depuis deux ou trois jours, sa belle n'était plus là.
Il t'observais de loin comme de près voulant te connaître comme tu voulais l'éviter une fois encore pour le faire possiblement souffrir et lui faire comprendre ce qui était le monde, un éternel désespoirs.
Désespoirs. Mots qui sonnait bien pour toi et pour ta vie, tu en avait vécu beaucoup et il devait en avoir vécu beaucoup.
Seule ces jeunes filles toujours à côté de lui, toujours voulant de lui et toujours voulant être aimé par lui seulement Gaston préférait avoir les femmes qu'ils ne pouvaient avoir.
"Bonjour, Y/N. Comment te portes tu en cette belle journée ? " te demanda-t-il.
Tu le regarda étonné, il te parlait encore ? Alors que tu lui avais bien fait comprendre que ta réponse restait non.
Toujours non. Et non. Puis non.
Il fallait qu'il comprenne qu'une femme ou un homme avait le droit d'exprimer son avis et de dire non.
Qu'une femme ou qu'un homme avait bien le droit de ne pas vouloir d'un homme/d'une femme précis, elles/ils avaient le droit et si cet(te) homme(femme) ne comprenait pas, il(elle) devrait finir malheureux toute la vie.
"Gaston, arrête. Je ne suis pas intéressé. Quand est-ce que tu comprendra cela ? Quand est-ce que tu verras cela ? Je ne t'aime pas. Je ne suis pas amoureuse de toi. " dis-tu avant de lui jeter un regard noir.
Il ricana, il le faisait toujours lorsque tu lui répondais cela, il riait de sa voix roque lorsque tu lui disais cela, il ne comprendrais donc jamais et cela t'amusais car tu aimais bien le rembarrer.
"Je sais que tu me vois comme le coureur de jupon du village mais...
"Ce n'est pas vrai alors ? T'es pas un coureur de jupon ? " demanda tu en l'interrompant promptement.
Il eut l'air renfrogner de lorsqu'il ne réussissait pas à avoir quelque chose et tu imaginais que c'était toi qu'il voulait avoir.
"Je...Ce n'est pas pareil. Tu es différente des autres personnes du village, tu es toi. Un(e) gars(fille) parfaite que j'aimerais mieux connaître. " fit-il en te lançant un regard de chien abbatu, tu ne savais pas qu'il était capable d'agir comme cela et se faire ce genre de regard.
Tu partit le laissant seul, tout seul. Tu ricanais encore de sa tête fantastique, cette tête de petit chiot battu, ce chiots qui était mignon.
Des semaines passèrent, il restait concentré sur toi, ne te lâchant pas d'une semelle et te suivant partout.
Quelques mois passèrent et tu décida de lui laisser une chance, peut-être qu'il pouvait être fidèle après tout et puis...Avoir un homme qui serais la fierté du village se serait pas si mal.
Il y avait encore une chose que tu avais pris en compte, c'était les bâtements de ton corps lorsque Gaston s'approchait de toi, te collait contre un mur pour t'aborder comme il l'avait fait pour Belle, certainement.
Tu devais ne pas le nier : tu ressentait quelque chose pour lui.
"Gaston, j'ai bien réfléchi à ton offre...enfin à tes dragues et je me suis dis que je voulais bien essayer. " dit tu.
Il te fixa et éclata de rire, il allait certainement faire une réplique qui allait te décevoir avec tout le machisme que contenait son corps.
Au lieu de le laisser le temps de dire sa phrase, tu plaqua ta main contre sa bouche.
"Je t'aime, Gaston. " fit tu finalement.
Méchante Reine :
Tu ne savais pas pourquoi mais donner le café ou le thé à ta reine te faisait te sentir bien et utile, tu aimais tenir compagnie à ta car ça l'aidait à aller mieux.
Elle te souriait avec ce même sourire qu'elle faisait avant la mort de son mari, ce sourire qui te rassurait tellement.
Aujourd'hui, cela faisait deux ans que chaque jour, tu venais pour la faire sourire et pour inverser sa tristesse qui arrivait lorsque son miroir lui racontait des choses.
"Allez-vous mieux lorsque je suis ici, avec vous, pour veiller à vos côtés ? " demanda tu voulant savoir si ce que tu faisais la rassurait ou non.
Elle te souria de son regard poli avant de te faire un sourire tout aussi poli. Elle toucha le haut de son crâne et enleva sa coiffe, ses cheveux étaient magnifiques, tu ne les avaient jamais vu étant donné qu'elle préférait porter une coiffe noir pour y mettre sa couronne.
"Y/N, savez vous que je me sens plus que mieux lorsque vous êtes là. Je me sens revivre par moi-même et non par ce miroir. " dit-elle.
Tu la regarda, souriant comme à chaque fois qu'elle te disait quelque chose, ce n'était pas que par politesse que tu ricanais.
Elle s'imaginait que tu riait ou souriait par politesse étant donné que tu te devais de la servir cependant elle t'aimais beaucoup.
"Madame, qu'y a-t-il ? Votre thé n'est pas assez chaud ou l'est trop ? Vous voulez que j'aille chercher un autre thé ? " demanda tu affolé(e) son regard qui devenait triste.
Elle était très étonnée que tu sois aussi alarmé(e) que cela et que tu ai tant peur pour elle, tu n'était que son(sa) servant(e).
"Inutile d'aller faire cela, ma chère. Je réfléchis. " t'informa-t-elle.
Tu hocha la tête bien que tu voyais qu'elle allait mal, elle avait l'air très triste, bien trop triste.
"Qu'est-ce qu'il y a alors ? " demanda tu, toujours si affolé.
Elle te regarda alors en se forçant à sourire, seulement tu le savais bien qu'elle n'allait pas bien.
"Je suis amoureuse de toi. " dit-elle.
Scar :
Tu t'étais réveillé sur son dos alors que tu dormais longuement à ses côtés, tu avais dû te placer sur lui lorsque tu dormais.
Cela te faisait étrange, que faisait tu comme cela ? Qu'est-ce que tu faisais donc alors ? Il fallait bien une explication.
Tu décida de descendre de son dos pour le laisser seul, tu allais marcher quelques heures et réfléchir à ce que ton inconscients avait accomplie.
"Reste, Y/N, reste. " t'ordonna-t-il alors que tu te défaisait de lui, sans grande facilité.
Tu ne comprenait pas son propos, il voulait que tu reste ? Il voulait que tu reste sur lui ? Mais jusqu'à quand et pourquoi ? Tu ne voulais impérativement pas le déranger, tu n'aimait pas ça du tout.
Il fallait qu'il soit tranquille, peut-être seul ou pas...Mais il fallait qu'il soit tranquille et être avachi sur son corps, ce n'était pas le laisser tranquille.
"Aller, s'il te plaît, on fera le plan plus tard, viens te recoucher à mes côtés. " te dit-il en battant de la queue.
Tu voulais le laisser tranquille mais voyant qu'il tenait vraiment à ce que tu reste près de lui, tu accepta de le faire volontiers.
Au bout de quelques minutes tu enroula tes pattes sur les côtes de Scar, il adorait quand tu le faisais, ça lui faisait beaucoup de bien et il aimait bien quand tu t'occupais de lui.
Il ronronnait alors que tu lui chatouillait le ventre avec l'une de tes mains, c'était tellement délicieux pour lui.
"Je t'apprécie, tu sais Y/N. " commença le frère du roi lion.
Tu le savais déjà que vous vous entendiez bien alors pourquoi disait-il ce genre de chose ?
"Oui, je sais qu'on s'apprécie bien. " répliqua tu.
Il te souria, étonné que tu ne comprenne pas ce qu'il voulait dire "je t'apprécie". Il t'appréciais plus que tu ne le pensais.
"Je...Je veux dire plus qu'en amitié, Y/N. " dit-il.
Que voulait dire plus qu'en amitié ?
"Je t'aime en amour, Y/N, c'est pour ça que j'apprécie ta présence. " fit-il.
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