[three] ta/sa déclaration (part i)
Maléfique :
Cela faisait déjà quelques années qu'elle te gardait dans cette prison, venant te voir de temps en temps pour narguer l'être sot que tu étais.
"Alors cette fois, quelles sont tes excuses pour ne pas savoir à qui tu t'adressais et d'avoir crus que j'étais morte. À l'évidence c'est la pensée de tous au village, n'est-ce pas ? Eux au moins ne sont pas venue m'importuner dans ma propre demeure. " fit-elle en te regardant avec la même rage que le premier jour qu'elle t'avais mis en prison, dans sa prison.
Cette fois-ci sa rage était partagée. Enfaîte il y avait bien plus que de la rage. En ces quelques années à essayer de te faire pleurer comme chaque autre humain qu'elle avait enfermer, elle avait découvert que tu étais bien différent(e), tu ne réagissais aux pics que lorsque tu voyais que sa rage n'était pas la rage qu'elle avait le jour de votre rencontre.
Ce jour...Tu l'avais retrouvé, tu y avais repensé et tu étais persuadé(e) que Maléfique, cette huitième fée, l'avait fait aussi.
Tu avais développé des sentiments légèrement étrange vis-à-vis de cette fée/sorcière à la peau verte.
Elle t'avais surprise, elle n'était pas ce que tu croyais qu'elle était, elle était bien plus que cette femme que personne n'aimait et qui n'était plus vraiment une fée mais plutôt une sorcière.
"Je devrais vous dire quoi cette fois-ci, madame ? Je devrais faire le pitre pour que vos espèces de larbins ricanent dans tous les couloirs du château. Oh, je sais ! Je devrais peut-être avouer un secret qui me lance des coups à chaque fois que j'y pense..." dis-tu en imaginant sa réaction à ce que tu allais possiblement lui dire.
Celle-ci t'observais, te détaillant, regardant ton état physique, regardant tes vêtements qui se dégradait au fil du temps, on pouvait presque y voir ta peau.
"Dites toujours...Nous allons voir quels genres de secrets cache tu au seins de ton ventre. " ricana Maléfique en te fixant légèrement prise aux dépourvues.
Tu haussa les épaules avant de sourire bizarrement, tout était bizarre aujourd'hui. Tu t'apprêtais à dire tout tes secrets ou plutôt ton seul grand à la personne, la seule personne qui faisait partie du secret. La personne que tu aimais et d'ailleurs tu ne sais pas comment tu as commencé à l'aimer...Ce qui, je t'assure, est bizarre.
"Alors vous allez rire mais je suis attendue quelque part, très très loin, je ne pourrais donc pas vous dire mon secret, bye. " dit tu en essayant de bouger avant de te rappeler que tu ne peux sortir, étant enchaîner.
Elle te regarda d'un visage qui s'annonçait mauvais, tout dans son corps voulait savoir ton secret qu'elle ne voulait s'amuser à deviner au combien cela devait être simple.
"J'imagine...Humm...que vous n'êtes pas vraiment indisposé(e) car je vois bien que vous n'avez rien à faire à l'extérieur, de plus vous êtes retenu(e) ici. J'attendrais le temps qu'il faudrait mais je saurais votre secret. " dit la sorcière en te fixant avec insistance.
Tu la regarda avec le même regard qu'elle, essayant de ne pas lâcher le jeux de regard, tu n'étais pas prêt(e) à répondre à sa question, pas du tout.
"Je...C'est étrange à vous expliquer comme cela car ça vous concerne. Je vous aimes Maléfique. Je vous aimes et je ne sais même pas comment, vous devez avoir un truc que j'aime particulièrement et dont je n'ai aucune idée peut-être votre patience ou la beauté de votre visage que je n'avais jamais vu avant ou bien tout en même temps. En tout cas...Je vous aimes et je ne sais même pas pourquoi je vous le dis. Vous êtes une magnifique personne avec un caractère très fort mais qui sait rester calme. " expliqua tu, tête baissée.
Hades :
Le dieu des Enfers t'avais convoqué(e) dans son bureaux, pour la première fois depuis des jours et des jours. Pourquoi t'avait-il évité(e), tu étais bien à son service, n'avait-il pas des gens à tuer pendant tout ces jours, tout ces mois ?
Avait-il envoyé Peine et Panique à ta place ? Ou bien quoi ? T'avait-il remplacé(e) et rompu votre contrat pour tu ne sais quoi ?
Tu t'étais habitué à l'univers morbide des Enfers et tu l'aimais beaucoup maintenant, mais tu l'aimais seulement lorsque tu étais "vivante", c'est-à-dire lorsque tu faisais ce qu'il voulait que tu fasse.
"Vous pouvez entrer, ma(mon) jolie tueuse(eur) ! " fit-il d'humeur joyeuse.
Tu entra donc et te posta là où il avait l'habitude de te donner des ordres, c'est à dire debout en face de lui.
"Assis toi, petit(e) ! " te dit-il.
Il ne t'avais jamais demandé cela avant et cela te fit étrange de devoir t'asseoir, seulement tu décida de le faire.
"Tu va pas me virer, hein ? Tu va pas le faire ? Hein ? J'ai pas envie de perdre la vie puis je...je veux que l'identité humaine que j'identifie comme mon fils reste protégé...Je veux pas qu'on arrête le contrat, Hades. " dit tu, tu avais pris l'habitude de le tutoyer après plusieurs années et mois de service.
Tu ne comprenait pas ce qui se passait, Hades s'énervait, ses cheveux devenaient rouges, sa peau aussi. Il prenait feux et bien plus que d'habitude.
Tu détestais le voir en colère, ça te faisait tellement de mal et tu avais peur qu'un jour les flammes lui brûlent le visage et que cette fois-ci ce ne soit pas réparable, bien sûre, c'était une peur idiote car il ne pouvait mourir c'était un dieu mais tu t'inquiètais quand même pour lui, tu l'aimais bien au final, ton patron.
"Je ne t'es pas fait venir ici pour envisager de te virer ! Tu es mon meilleur élément. " répliqua-t-il en essayant de garder son calme malgré son physique qui disait que sa rage était énorme.
Tu souffla, contente d'apprendre que ce n'était pas de sa qu'il voulait parler.
"Tu veux parler de quoi alors, Hades ? D'une mission, de quoi ? " demanda tu sans essayer de rechercher de quoi il voulait parler.
Il s'énerva une fois de plus et tu voulu avancer pour le calmer, tu le fis d'ailleurs, t'approchant de lui jusqu'à pouvoir le prendre dans les bras avec l'espoir de réussir à le calmer tu lui disais des choses rassurantes.
Une fois calmé, tu le lâcha et repartie t'asseoir là où il t'avais demandé.
"C'est justement de ça que j'aimerais parler. De sentiments, je...DEPUIS QUELQUES TEMPS JE PENSE À TOI PLUS QUE COMME UN(E) SIMPLE SERVANT(E)...Tu es plus pour moi. Je suis très légèrement amoureux de toi" dit le grand Hades en te regardant.
Un silence se fit entendre, un silence de quelques secondes voir peut-être d'une minute.
"Et c'est pour ça que je t'évite, jolie tueur(euse) ! " reprit-il en ricanant légèrement.
Mère Gothel :
Cela faisait un mois que tu avais rejoint Mère Gothel et sa fille, d'ailleurs tu ne savait pas pourquoi elle préférait qu'on l'appelle Mère Gothel à la place de Gothel...
Quoiqu'il en soit, cette femme si glamour t'envoutais, elle était tellement magnifique, son regard, son corps qui avait l'air si jeune, sa façon de parler...À en croire que tu étais tombé(e) amoureux(se) d'elle
D'ailleurs c'était ce que tu te disais, ton cœur plaçait tout son estime en cette demoiselle, en cette madame si belle qui portait des vêtements qui la mettait en valeur accompagnée de sa peau qui avait l'air si jeune.
"Humm...Gothel, y a des choses que j'aimerais te dire. Enfin une plus précisément mais voilà. " fit tu en l'approchant par derrière tandis qu'elle était entrain de bosser les cheveux de Raiponce et d'entendre celle-ci fredonner.
Celle-ci avait été très étonné de t'entendre par ici, que faisait tu donc ? Pourquoi l'interrompait tu ?
Se levant de sa chaise, tu avais remarqué qu'elle était encore plus jeune que quelques jours avant, que faisait-elle donc pour avoir une peau si belle et le reste du corps si...alléchant.
"Oui, Y/N, dis moi. " dit-elle en se tenant le visage devant son miroir pour regarder l'étendue de sa jeunesse.
Tu avais remarqué que Mère Gothel aimait bien s'observer dans les miroirs et tu imaginais que c'était pour se recoiffer ou alors pour vérifier si elle avait l'air fatiguée.
"C'est assez dure à dire mais..."
"Si c'est pour te laisser sortir de cette tour, c'est non. Il y a des choses bien trop dangereuse à l'extérieur. " t'interrompit alors Gothel.
Tu fut étonné que Gothel s'imagine que tu voulais sortir dehors, tu t'en fichais de sortir ou non et puis...tu étais légèrement rechercher par le rois et la reine vis-à-vis d'une histoire qui ne te concernait même pas alors sortir et toi ne rimait pas ensemble.
"Ce n'est pas pour sortir, Gothel. Ce n'est absolument pas pour cela..."
"Alors que veux-tu donc me dire ou m'avouer, je t'écoute. " fit la brunette aux corps parfait qui était devant toi.
Elle te fixait tandis que tu réfléchissait à ce que tu devais dire et à comment tu devais le dire. Voulait tu vraiment avouer que tu étais tombé sous son charme ? Vraiment ?
Ton sourire avait fait place à un sourire triste, allais tu dévoiler ton secret ou bien n'en aurais-tu pas le courage ?
La décevrait tu si tu avouait l'aimer ? Serait-elle gênée ou triste ?
"Non, c'est rien. " finit tu par répondre.
Bien sûre, tu mentais et cela ne te faisait pas plaisir mais à près tout, tu ne pouvais pas lui dire la vérité.
"Ne me mens pas. " dit-elle.
"Je vous aimes...." déclara tu.
Jafar :
Tu étais tranquillement assise à ta place, à table, à côté du sultan qui te demandais ce qu'il se passait dans ta ville et comment faisait-ils pour gouverner, il s'intéressait vraiment aux coutume égyptienne.
Cependant au lieu de continuer votre discussion, tu décida de parler avec le conseiller du sultan, Jafar.
"Comment allez-vous en ce jour ? " demanda tu en lui souriant tandis qu'il te regardait depuis un petit moment déjà.
Il te souria, il paraissait très content que tu préfère discuter avec lui que de continuer ta discussion avec le sultan, il trouvait que cela voulait tout dire, tu lui était favorable.
Cependant il y avait une autre raison à ce sourire qui explosait de joie. Il y en avait une toute autre.
"Très bien et vous, futur(e) pharaon(e) ? " demanda le conseiller si mystérieux du sultan.
Tu répondis par un simple sourire, un sourire qui voulait tout dire.
"Y/N, j'aimerais vous parler en privé de quelques choses, après le dîner, j'aimerais que vous me rejoignez pour discuter. commença l'homme. Rendez-vous dans mes quartiers. "
Son sourire avait l'air d'avoir augmenté, comme si le faite que tu lui réponde par un sourire lui faisait un tel bien.
Après avoir dit cette réplique, le conseiller décida de se lever de table et de partir avec tout son charisme, d'ailleurs c'était un homme à entrée et sortie charismatique, tu l'avais bien remarqué.
Après avoir finit de manger tu te leva de table et partit vers les quartiers de Jafar où tu vis Iago, son perroquet te regarder avec un léger sourire, ce qui lui arrivait encore moins que Jafar.
Jafar t'accueilli et te laissa s'installer près de lui.
"Ce dont je voulais te parler tout à l'heure quand on étais à table, ce dont je voulais que l'on parle ici, c'est que je voulais te dire que j'étais tombé amoureux de toi. Que je t'aime. " dit-il en te regardant.
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