[four] votre mise en couple (part iii)

Cruella De Vil :

Tu venais tout juste de dire que tu l'aimais. Tu venais tout juste d'avouer. Tu avais peur de la réaction de cette femme que tu convoitait depuis déjà deux rendez-vous.

Tu savais de quoi elle était capable et tu savais qui elle était. C'était une femme qui pouvait taper des crises interminables, une femme qui voulait absolument un nouveau manteau de fourrure et elle serait capable de tout pour.

Et certainement même de faire semblant d'être l'amie de(du) la(le) sœur(frère) de Roger.

"Pourquoi serais-je en colère de cette nouvelle, darling ? " demanda Cruella.

Tu étais étonné par cette nouvelle, par cette réponse...alors elle n'était pas énervée ni rien d'autre ?

"Humm...Je pensais que tu serais en colère car tu a toujours été une femme très occupée et toujours dans son travail alors je pensais que tu n'aurais pas le temps pour l'amour et que je serais accueilli par des cris énervés. " dit tu très rapidement.

Elle ricana doucement, continuant à rouler très rapidement.

Tu continuait à la regarder d'un regard intense et si espérant, tu espérais qu'elle puisse t'aimer, tu espérais qu'elle ne serait pas méchante et qu'elle t'aimera. Il fallait que vous vous aimiez, il le fallait sinon tu te serais fait humilié par cette jolie femme qui était pareille que toi.

Cette femme qui aimait la mode.

Cette femme qui aimait les manteaux de fourrure.

Cette femme qui détestait Roger, l'amant de son amie d'enfance.

Tout ce qui te représentait, toi. Alors vous vous entendiez très bien et tu étais tombé amoureux(se) de cette femme qui avait la peau sur les os.

"Moh, darling ! J'ai beau être très occupée par mon travail, mon cœur est toujours à prendre et je crois bien que c'est toi qui l'a pris, darling ! " dit-elle en te souriant.

Elle tourna sa tête vers toi, sa tête était éclairé d'un sourire qui faisait du bien à son visage.

Votre échange de regard devient très vite intense et vous n'arrêtiez pas de rapprocher vos deux corps tout en conduisant toujours.

C'était Cruella et c'était comment elle aimait conduire.

Elle t'embrassa tout en gardant les deux mains sur le volant, sa voiture à fond la caisse qui valdinguait de partout sur la route.

"Nous voici arrivés chez ces deux idiots, Horace et Jasper. " dit Cruella en arrêtant de t'embrasser soudainement.

Tes lèvres en voulaient plus.

Tes lèvres voulaient continuer.

Alors sans attendre, tu rapprocha tes lèvres des siennes alors qu'elle sortait de sa voiture d'une façon qui n'était que la sienne.

Après le bisous, elle ricana, cherchant à te prendre dans ses bras frêles.

"Une fois revenue à la maison, Y/N darling, on s'embrassera à perdre la vue. Je t'aime, tu sais ? " te demanda-t-elle en te caressant la joue.

Tu acquisa d'un mouvement de tête en descendant de voiture, les mains moites et le cœur tout chamboulé.

Vous allez passer la soirée à vous embrasser ? Chouette soirée à l'horizon.

Ce serait d'ailleurs votre première soirée de couple ensemble, une grande première pour vous deux.

Seulement pour l'instant...

Tu allais devoir supporter ses idiots de sbires, Horace et Jasper et cela allait durer plus qu'un petit moment.

Bon, ça allait être une épreuve à passer mais ça n'allait pas être la mort, si ?

Lady Tremaine :

Elle t'avais attraper les bras, te faisant un long câlin alors que des larmes coulaient sur ses joues, elle était si heureuse de te revoir qu'elle avait dit le secret qu'elle s'était promis de cacher.

Ce secret, c'était l'amour.

Elle t'aimais et t'aimais.

Comme toi tu l'aimais mais elle ne devait pas le savoir, que toi aussi tu l'aimais.

Elle devait s'imaginer bien autre chose, Lady Tremaine te regardait faussement calme, cherchant une petite chose qui pouvait indiquer comment tu allait, cherchant un petit truc indiquant ce que tu pensais de cette aveux.

"Je...Lady Tremaine, j'ai la même sensation, je vous aimes depuis déjà très longtemps. Depuis les jours où on prenait des cafés ensemble, assis entre personnes de la haute noblesse. Lady Tremaine, je vous aimes tant. " dit tu alors qu'elle cherchais encore une réaction à sa déclaration.

La Lady se leva, ce qui dérangea Lucifer qui était confortablement installé sur les genoux de sa maîtresse.

Elle s'approcha de toi, posa ses mains sur les tiennes avant de t'embrasser sensuellement au rythme d'une musique qui retentit alors quelques minutes après qu'elle ce soit rapproché d'elle.

Une musique que tu n'avais jamais entendu et qui était d'un rythme si beau et si chantant.

C'était un rythme d'amour, un amour qui n'arrêterait pas.

Soudain toi et Lady Tremaine furent déranger par une jolie blonde que tu devina être Cendrillon, elle portait une robe de travailleuse, une robe de boniche.

Elle...Cette sale petite idiote ?! Pourquoi vous interrompait-elle ?

"Cendrillon, je te présente Lady(Lord) Delenfecia, elle(il) sera notre invité pour un long moment, disons..."

"Oh je sais que je resterais longtemps, pas besoin de lui donner une date. " interrompit tu alors que personne n'avait le droit d'interrompre Lady Tremaine.

Sauf toi d'après ce que tu venais de faire et cela étonnait clairement Cendrillon.

"Euh...Très bien. Que devrais-je faire ? " demanda-t-elle en demandant quelle genre de corvée tu allais lui demander de faire.

Tu avais des idées machiavéliques en tête, des idées qui impliquait bien des choses difficiles pour la jeune demoiselle.

Pourquoi ferait tu cela ? Simplement parce que cette idiote de Cendrillon n'était pas une femme supportable, elle avait refuser Lady Tremaine en tant que maman et son père avait menti.

Il ne possédait pas un beau manoir...eh bien non et pourtant Lady Tremaine était tombé dans son piège.

"Eh bien, que des petites corvées, je ne voudrais pas m'imposer. Alors pour commencer tu ferais la vaisselle, tu rangera mes affaires dans une chambre, celle que Lady Tremaine me donnera, tu lavera mon linge, me préparera un bon petit thé ou bien un café, laisse moi réfléchir puis...après tu fera le ménage de toute la maison et ensuite tu préparera mon lit pour que je puisse faire un somme. J'espère que ça ne fait pas trop ? " demanda tu avec un semblant de politesse.

Pour Cendrillon cela faisait beaucoup, elle avait en plus les corvées de Mme Tremaine et de ses filles alors ce que tu lui demandais était beaucoup trop pour elle.

Tandis que la blonde espérais que ce n'était qu'une blague, Lady Tremaine te regardait avec fierté, heureuse de ce que tu venais de faire.

"Oh, excusez-moi, Cendrillon...Je n'avais pas l'habitude de faire mon ménage lorsque j'étais dans mon grand manoir, seulement je préférerais que ce soit vous qui le faisiez. " expliqua tu.

Ce n'était qu'un mensonge. Lady Tremaine le savait très bien, elle savait absolument que tu pouvais faire tout ce que tu avais demandé à Cendrillon, tu voulais simplement donner du travail à cette empotée de Cendrillon.

Lady Tremaine t'en était très reconnaissante.

Claude Frollo :

Il paraissait étonné qu'une personne l'aime, d'ailleurs il rougit de ce que tu venais de dire, tu étais si fougueuse que tu lui avais fait accroître son désir pour toi.

"Je te fais rougir, mon choux ? " demanda tu d'une voix qui se voulait des plus charmante et sensuelle.

Une voix qu'il en avait assez de simplement entendre. Une voix qu'il voulait pour toujours. Une voix merveilleuse.

"Y/N...Oh Y/N. " gémit-il car tu venais de commencer à le toucher, ta main sur sa joue le caressait doucement.

Ta main descendit de plus en plus bas, touchant désormais sa toge. En voulant plus, tu passa ta main dans sa toge pour toucher son torse, le caresser. Il avait l'air gêné, très gêné.

Après tout, vous n'étiez pas encore marié et pour lui faire des papouilles, faire des caresses, faire l'amour avant le mariage n'était pas une option.

Seulement tu lui apportait du plaisir en faisant cela, en le touchant de tout son long.

Il finit par t'embrasser sur la bouche d'un baiser passionné et si incroyable. S'il allait sombrer en enfer au moins il aura eu la chance d'embrasser la personne qu'il aimait.

"Mmmh..." fit tu après qu'il t'ai embrasser en commençant à descendre ta main de plus en plus bas.

Seulement...Ben il se détacha de toi et parut horrifié de ce que tu t'apprêtais à faire.

"Pas avant le mariage ! " fit-il, légèrement énervé que tu es voulu faire ce genre de chose avant le mariage avec lui.

Tu parut déçu, ton désir le voulait plus que tout. Et le voir agir comme cela te faisait sentir mal. Mais bien sûr il ne voulait pas finir en enfer.

"Alors marions nous demain ou dans deux semaines. N'attendons pas alors. " fit tu, tout sourire.

Bien entendu, tu savais ce que voulait dire mariage et le mariage n'était pas quelque chose de facile à organiser.

"Il le faudrait bien, Y/N. Il faudrait bien que l'on se marie. Je...peux peut-être te laisser faire ce que tu as envie de me faire, nous laisser plonger dans le désir profond. " fit l'homme d'église.

Ton sourire était revenu, tu étais heureux(se) qu'il veuille s'adonner aux plaisirs de l'amour.

"Parfait, mon mignon. " fit tu.

Alors tu remis ta main sur son torse, défit sa toge, puis descendit ta main jusqu'à sa proéminence, ce que tu avais voulu toucher tout à l'heure.

Il gémissait tandis que tu continuais de toucher cette chose.

Soudainement un bruit de pas attira ton attention et tu enleva ta main de cet endroit, lui disant de ne plus faire de bruit.

Ce bruit vous avait déranger. Ce bruit était le fruit de votre dérangement. À cause de lui vous ne pouviez même pas continuer à faire ce que vous faisiez, à vous donner du plaisir.

"On reprendra ça plus tard, mon homme. " dit tu en passant ta tête par l'endroit où vous étiez arrivé.

Tu allais repartir et te remettre à ta place, ta place tandis qu'il allait rester là, tout penaud.

Tout seul.

À attendre.

Rouge d'avoir voulu le désir sans être marié. Il avait un vrai problème avec la luxure.

Un gros problème de luxure.

Un énorme.

Yzma :

Tu avais été sonné(e) par le baiser qu'elle t'avais fait, t'embrassant sans ton accord seulement sa déclaration n'avait rien d'énervant, tu n'était pas en colère et tu n'allais pas arrêter d'être son acolytes dans sa tâche qui était la sienne.

Une des choses que tu ne t'étais toujours pas avouer étais que tu en étais amoureuse, de cette femme qui paraissait si vieille, qui paraissait tellement incorrigible...cette femme, avec ses rides, avec ses âges.

Cette femme avec tout.

"Je ne m'y attendais absolument pas...Yzma, moi aussi. Moi aussi, je suis amoureuse. Et c'est de vous dont je suis amoureuse. " dit tu, s'approchant une fois encore d'elle.

Corps mélangé, corps côte à côte, elle posa ses mais sur tes hanches tandis que tu l'embrassais d'un baiser fugace et passionné.

Un baiser magique.

Un baiser magnifique.

Le baiser s'éternisa, se fit long, se fit doux, se fit énergique, se fit incroyable...Tellement d'adjectifs pour décrire un tel et magnifique baisers d'amour.

Soudainement Kronk, qui était alors parti loin d'ici, partit après avoir fait rentrer Y/N, après t'avoir fait rentrer.

Il venais de vous interrompre...

Triste nouvelle, vous ne pourrez pas continuer à vous embrasser continuellement.

Il y aurait Kronk dans les parages...

La reine de cœur :

Ses joues virent aux rouges, heureusement il n'y avait que toi pour la voir comme cela.

"Êtes-vous sûre de cela, Y/N ? "  demanda-t-elle, joue encore entièrement rouge et cœur à chaud.

Tu hocha la tête te penchant vers elle.

Tu voulais l'aimer.

Tu voulais l'embrasser.

Tu voulais l'avoir.

Tu l'aimais tellement cette femme, cette femme qui était ta cheffe. Ta cheffe était merveilleuse et malgré c'est quelques crises de nerfs, elle pouvait te sembler très intéressante.

"Oui, je suis sûre majesté. Vous êtes bien plus qu'un simple personnage inventé. Vous êtes une femme que j'aime et vous êtes ma reine. Qu'importe Alice, ce n'est pas elle qui compte dans ce pays, c'est vous. " fit tu.

Elle afficha une tête bien étonnante c'était la tête qu'elle faisait lorsqu'elle était des plus glorifier.

"Oh, Y/N, vous allez me faire rougir. Néanmoins j'aimerais vous dire que je partage vos sentiments. " dit la reine de cœur.

Elle t'aimais alors ?

Elle t'aimais vraiment ?

Pour de vrai ?

Wouah ! Incroyable. Rassurée, tu rapprocha ta bouche de celle de la reine et vous vous embrassez.

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