[four] votre mise en couple (part ii)
Ursula :
Te regardant, elle s'attendait à ce que tu le prenne mal tandis que tu prenais ton courage à demain pour répondre à sa déclaration.
"Ursul..."
"Quoi ? Tu m'aime pas ? Que se passe-t-il ? " te demanda-t-elle en t'interrompant.
Elle paraissait effrayée par cette possibilité, elle voulait que tu l'aime, un point c'est tout et si tu lui avouait que tu ne l'aimerais pas, elle serait profondément triste et très blessé ce qui pourrait la pousser à faire des choses horribles.
Elle pourrait bien te transformer en une de ses larves qui avaient demandé son aide ou bien alors elle ne te ferait rien.
Tu ne savais absolument pas les choses que pouvait faire Ursula face à une défaite amoureuse, elle avait déjà perdue beaucoup et était prête à tout récupérer.
"Je suis aussi amoureuse de toi, mi amor. Je t'aime, oui. Oui, je t'aime. Je t'ai aimé dès que je t'ai rencontré mais je ne voulait me l'avouer. Je ne pouvais pas me croire amoureuse de toi. " dis-tu.
Elle parut étonné tandis que tu la regardais toujours de ses yeux qui dévoilaient de l'amour.
De ses yeux qui pouvait être de n'importe quelle couleur et de n'importe quelle forme, quoique toujours si aimant.
"Eh bien voilà une bonne nouvelle ! " dit-elle en t'approchant, roulant ses tentacules sur l'entièreté de ton corps.
Elle posa ensuite ses lèvres sur tes lèvres, échangeant un bisous passionné.
Capitaine Crochet :
Ta déclaration avait fait rire certains de ses camarades pirates, ils ne t'avaient jamais aimé, juste supporté.
Le Capitaine te regardait, incrédule. Il ne s'attendait pas à une déclaration de ce genre.
"Y/N, venez dans mon bureau, j'aimerais alors vous parler. " dit-il.
Marchant devant, il n'arrêtait pas de rouspéter et tu avais légèrement peur qu'il soit en colère que tu l'aime...
Et s'il ne t'aimais pas ?
Et s'il faisait semblant d'être sympathique avec toi ?
Et s'il te détestait ?
Ce serait horrible pour toi, vraiment horrible, ce serait la pire des choses. Tu serais dévasté. Tu serais morte intérieurement, n'existant que pour être avec une personne que tu aimais.
Enfin dans son bureau, il te demanda de t'installer le plus près possible de lui.
"Alors ? Que voulez-vous me dire ? C'est à propos de ma déclaration ? " demanda tu.
Il te souria avant de te prendre la main. Que voulait-il faire ? Te la couper ? Te l'embrasser ? Tu avais tellement peur que ton cœur battait à la chamade. Que ton cœur hurlait. Que ton cœur grondait dans ta poitrine.
Sa moustache frétillait, ce qui voulait dire qu'il n'était pas plus heureux que possible alors tu te détendis.
Si sa moustache frétillait cela voulait dire que des bonnes choses, oui que des bonnes choses.
"Y/N...Ah, Y/N. Je suis heureux que tu aies pris l'initiative, je ne sais pas si j'en aurais eu le courage de te le dire. Cependant, tu aurais pu le faire en privé, sans mes idiots de compagnon de mer. Moi aussi je partage tes sentiments. " fit-il tout heureux.
Tandis qu'il disait cela, il te caressait la main, caresse qui partit vers un autre endroit bien différent.
Ses lèvres touchèrent les tiennes, ce fut un échange passionné et très beaux, vous vous aimiez.
"Capitaine ! Capitaine ! " fit Monsieur Mouche.
Cet idiots de Monsieur Mouche vous empêchait de continuer à vous bécoter.
Capitaine Crochet arrêta ses caresses et se leva, arrêtant de même vos baisers, vos bécots.
"Qu'y a-t-il, Monsieur Mouche ? Il faut avoir une bonne raison pour déranger son capitaine lorsqu'il est dans ses quartiers. J'espère que vous en avez une bonne, sinon..."
"Alors que lui avez-vous dit ? " demanda Monsieur Mouche en interrompant son capitaine.
Énervé, ton capitaine frappa du pieds, voulant effrayé le pauvre Mouche.
"Cela ne vous regarde pas, Mouche. La seule chose que vous devez savoir c'est que dès à présent, vous et le reste de l'équipage êtes formellement obligé de respecter Y/N encore plus que d'ordinaire. Celui qui ne le fait pas sera jeté dans l'eau et les crocodiles le bouffera. " fit-il, farouche.
Gaston :
Il ricana alors, heureux d'apprendre que son charme en avait fait des belles, il avait réussi à te séduire et ce n'était pas rien.
C'était tout ce qu'il voulait.
C'était ce qu'il avait toujours voulu depuis qu'il t'avais vu.
"Alors comme cela, tu es toi aussi amoureux(se) de moi ? Eh bien, quelle prouesse ! Dire que t'es pas facile à approché. Alors t'accepte d'être en couple avec moi ? " demanda-t-il.
Sa main sur la tienne, tu souriais une nouvelle fois.
"Oui, Gaston. Seulement...Tu vois ton plan pour les enfants et la maison où je passerais ma vie dedans, eh ben faudrait revoir le plan. " dit tu d'une petite voix.
"Ben je vois pas ce qu'il faudrait changer, c'est très bien comme cela. " dit-il.
Tu le regarda, légèrement sur les nerfs. Bon en même temps faut pas t'étonner c'est un macho de première.
Un grand et fort macho...
"Mais enfin Gaston. Tu vois bien que ça peut pas marcher, je travaille moi à côté, je suis pas un(e) homme(femme) à la maison. Je bosse dans ma propre librairie. Alors pour les gamins, j'peux bien faire un mini effort pour t'en pondre un ou deux ou pour t'en adopter mais pas une demie douzaine par contre pour le ménage, tu va devoir faire des efforts. " commença tu.
Un long moment silencieux s'échappa alors.
"Ben tu vois tes muscles, tu pourras t'en servir pour le ménage, ça muscle ce truc et si tu veux je fais la cuisine. " proposa tu.
Il ricana, étonné de tout ce que tu venais de dire. Alors tu voulais résister ? Tu voulais qu'il fasse la cuisine et que vous n'aviez que deux enfants voir un ? Impossible. Lui il voulait beaucoup d'enfants et principalement des garçons. Il voulait des petits gaillards.
"Chéri(e), on peut arrêter de parler de cela ? " demanda-t-il, légèrement écœuré de tout cela.
Il s'approcha de toi, te plaqua contre le mur, collant son corps au tien, t'embrassant d'une férocité sans pareille, balandant ses mains sur tes hanches puis tes fesses et en te faisant toute ses choses, il te fit légèrement oublier ce que tu voulais et ce que tu ne voulais pas dans votre couple.
D'ailleurs comment tu avais pu tomber amoureux(se) de ce type, de cet homme, de ce forceur ?
Enfin le plus important c'était que vous vous aimiez tous deux, que c'était un consentement, il y aurait simplement quelques disputes pour des choses qui n'auront plus d'importance.
La Méchante reine :
Tu avais été légèrement étonné(e) et beaucoup terroriser par cette nouvelle.
Le pire c'est que c'était partagé seulement un(e) servant(e) en couple avec sa maîtresse ça ne se faisait pas.
Seulement une partie de toi résistait à l'autre partie qui était plus sage, cette autre partie te disait qu'aimer était tout sauf interdit.
Qu'aimer il le fallait et que si tu y résistait c'était que tu n'aimait pas de toutes tes forces.
Cette partie n'était pas raisonnable mais c'était une véritable erreur de ne pas la suivre, de ne pas tomber dans celle-ci.
"Moi aussi, je vous aimes. Je ressens beaucoup pour vous. Je vous aimes voilà tout. " dit tu.
Elle te souria, heureuse d'apprendre que toi aussi tu étais amoureuse. Que cet amour était réciproque.
"Je suis donc extrêmement heureuse de cela, mon(ma) cher(e). " fit-elle en s'approchant de toi, tout sourire.
Elle t'embrassa la main, attendant que tu fasse quelque choses d'autres, lui embrasser la bouche, lèvres contre lèvres.
Ce que tu fit alors après quelques minutes.
Votre relation allait devoir rester confidentiel pour le mieux de tous, enfin pour le tien, la méchante reine ne devrait pas le comprendre mais un(e) servant(e) qui sortait avec son chef, ça ne se faisait absolument pas.
"Je...J'ai juste une chose à te dire : j'aimerais qu'on reste un couple discret. " dit tu alors qu'elle te souriait.
Tu t'attendais à ce que son sourire parte, qu'il disparaisse...Mais non, il était toujours là.
"Je suis d'accord, il faut nous cacher, je ne veux pas que tous le sachent. " dit-elle.
Eh oui, c'était plus simple que tout ce que tu avais fait avant.
Scar :
Incrédule, tu le regardais. Oui, toi aussi tu l'aimais seulement tu pensais qu'il ne t'aimerais pas.
Tu le pensais réellement, tu le savais cruel et s'il avait appris que tu ne l'aimais pas il t'aurais fait pire qu'à son frère Moufassa.
Il aurait fait bien pire et serait bien plus horrible, enfin c'était ce que tu avais pensé, c'était ce que tu avais cru voir lorsqu'il parlait aux hyènes.
"Eh ben je m'attendais pas à ça ! Oh purée ! Toi aussi ? " dit tu.
Il ricana d'un rire étonné et légèrement épuisé, wouah !
"Alors c'est super ! Honnêtement je ne pensais pas que toi aussi. Mais je ne sais pas...tout ça m'a parut étrange. Je pensais que tu m'évitais. " dit-il avant de se rapprocher de toi.
Tu te rapprocha de lui et laissa ton poids sur son poil doux tandis qu'il te faisait des papouilles mais cette fois des papouilles amoureuses.
"Moi j'avais peur que si je te le disais, tu serais en colère. Je croyais même que tu irais peut-être me faire des choses horribles. " dit tu.
Il te fit tourner la tête pour t'embrasser.
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