" Le problème avec les gens qui te connaissent bien, c'est qu'ils savent quoi dire pour que ça fasse mal. "

Mon regard plongé dans le paysage, derrière la fenêtre, me fessais une sensation de bien-être. Les feuille au mille couleur de l'automne qui tombés des arbres et qui venais se posais délicatement par terre me donner une sensation de liberté. La liberté est un concept qui désigne la possibilité d'action ou de mouvement. Dans le monde dans lequel je vis, la liberté sous tous les thermes à étais anéanti. La ville ou je réside a étais divisé en deux partis. Chaque une d'elle est dominé par un gang. Les hommes au carrure les plus forts ont étais recruter pour faire respecter les lois imposé par les grands chefs tandis que les plus honnêtes, ceux qui sont juste et droit on étaient tués sur les places public.

Je senti une main venir se poser délicatement sur mon épaule c'était celle de Lydia. Lydia est ma meilleure amies, cela fait maintenant plusieurs années que nous habitons ensemble, depuis la mort de nos parents. Nos pères étaient policier, ils sont mort avec honneur en se battant contre l'arrivée des gangs. Après leurs mord la mère de Lydia est tombé dans une forte dépression et la mienne est tombé gravement malade. Elles ce sont donner la mort ensemble. La seule chose qui nous reste est notre vie banale, cette vie minable avec l'espoir qu'un jour on pourra quitter cette endroit.

Nous devons partir, ça fait 5min que la cour est terminer. Me dit mon amie.

Avec un simple mouvement de tête comme réponse, je range mes affaires puis me mis en routes Lydia à mes coter. Nous sortons de l'établissement scolaire à destination de la ville. La ville a étais diviser en deux partie celle du nord est dirigée par Samuel, un grand brun aux yeux océan. Il est horrible monstrueux et n'a aucune pitié même pour des enfants. Je ne le connais pas plus que ça car moi et Lydia vivons dans la deuxième partie de la ville, celle dirigé par Edouard. Notre coter étais plus structuré que l'autre, au moins ici nous avions la chance d'avoir une vie. Nous avons le droit à un logement et à une institution. Edouard n'étais pas un sain mais n'étais pas un monstre il pouvait se montrer juste, le pire étais son fils Harry Styles

Entre tué et violé, je ne saurai pas vous dire ce qu'il fait le plus. Il est toujours accompagné de quatre garçons et avec eux ils terrorisent tout le monde et deviner qui a la chance d'être dans le même lycée qu'eux ? C'est moi Anna. Bien sûr ils ne vont pas en cours, sont père l'obligent lui et les autres à aller faire acte de présence au premier cours de la journée et après ça ils étaient libres de faire de que bon leurs semble.

Après quelque minute de marche nous arrivons enfin au Sarrebruck, ce ne fut pas long car le lycée ce trouve en plein centre-ville. Nous entrons et partons prendre places ou se trouve Dylan le copain de Lydia. Lydia étais une très belle femme, elle avait des cheveux brun au reflet bordeaux et des yeux couleur chocolat. Tout le contraire de moi. Je pris place devant eux pour laisser la place près du jeune homme à Lydia. Celui-ci le dévorer des yeux.

Je suis heureux, que nous quittions a la même heure aujourd'hui, ça me permet de passer plus de temps avec toi. Dit Dylan, sa ce vois à des kilomètres qu'il lui fais les yeux doux.  

Moi aussi lui répondit la belle brune.

Est voilà c'est repartie en roulage de pelle et des bisous partout, on ce croirai dans le monde des bisounours et je déteste ça. Après quelque minute je remarque qu'ils m'ont complètement oublié, je décide donc de sortir prendre l'aire. Je poussa la porte et senti l'air froid de la capital venir se blottir contre moi. Celui-ci avait réussi à m'apaiser jusqu'à ce que j'entende deux hommes parler.  

Tu connais le châtiment! 

 BAMM. Mes cheveux blond que j'avais soigneusement coiffée ce matin sont maintenant recouvert de sens. C'est la Bande à Styles, oui je les appelle comme ça je trouve que ces plus rapide et plus juste que " Force de l'ordre". Ils contrôlaient les papiers des personnes en ville, le malheureux qu'ils venaient d'abattre ne devais pas les avoirs sur lui ou alors il devait faire partie de l'autre coter de la ville celle diriger pas Samuel. Les deux partie n'ont pas le droit de ce mélanger. Puis je sentis une forte pression sur mon avant-bras.  

 T'es papier! Me dit l'homme qui viens me contrôler. 

Les deux gangs qui dirige chaque un, une des partie la ville ne ce supporte pas. c'est pour ça que de nombreux contrôles sont organiser par les gardes afin de ne pas mélanger les deux populations qui y vivent. Evidemment j'ai laissé mon sac a l'intérieure avec Lydia. " Félicitation Anna" chut stupide conscience ce n'est pas le moment. Je reconnue cette homme directement c'était l'un des garçons qui traîner toujours avec euh... Harry! Il s'appelait Louis.

Ta pas entendu ce que je viens de te dire salope

Euh... C'est mon amie qui les as ils sont dans mon sac je peux aller les chercher

Me prendrai-tu pour un imbécile ? 

Non je le jure! Laisser moi juste aller les chercher s'il vous plais.

Les papiers doivent être sur vous il est trop tard maintenant. Il commença à pointer son arme sur moi.

Non s'il vous plaît

Il baissa son arme, qu'il tenant de la main droit et mis ça mais gauche sur ma joue. Il fit balader ses yeux sur mon corps ce qui a eu le don de me faire rougir. Je déteste ça!

Est bien jolie cœur, j'ai trouvé une solution pour que tu gardes la vie sauve

Sans un mot de plus de sentie une forte pression, celui de son corps venir sur moi et me plaquée violemment contre le mur du Sarrebruck. Je commençai à paniquer lorsque je sentie ses mains passer sous mon t-shirt.

Lâche-la. Dit une voix que je n'avais encore jamais entendu. 

Louis ce retourna et me lâcha immédiatement à la vue de l'homme qui venais de parler. Mon cœur rata un battement lorsque je vis de qui il s'agit.

Tu préfères t'en occuper toi-même Harry? Dit l'homme qui m'avais touché quelque seconde au pars avant.

Sans que je me rende compte de rien un tissus fut presser sur mon vissage et mon corps au fil des secondes tomba dans les bras de Morphée.