Assis seul en haut d'une dune, face à la mer, mes pieds nus jouent dans le sable tandis que mon regard se perd vers l'horizon.

L'étendue d'eau qui s'étale devant moi à perte de vue est calme, uniquement irisée par la bise qui souffle et qui soulève mes mèches. D'une main distraite, j'attrape de petits paquets de sable que je laisse échapper au grès du vent. Le soleil termine doucement sa course et s'apprête à se cacher derrière la ligne d'horizon. Le ciel semble s'être subitement embrasé, se teintant de couleurs éclatantes tirant sur un camaïeu de rose et d'orange mêlés.

Je soupire face à ce spectacle féerique, le cœur lourd. Je ne cesse de penser à Danielle. Je suis persuadé qu'elle aurait adoré cet endroit. Elle qui a toujours aimé la plage, se baigner, bronzer... au début de notre histoire, avant que tout se complique entre nous, ça nous arrivait quelques fois de nous rendre dans la petite maison côtière appartenant à un de mes oncles. On passait notre temps à rire, à nous arroser, à jouer aux raquettes, à faire l'amour et à dévorer des glaces en admirant le coucher de soleil.

Cet endroit, comme tout le reste, n'a plus suffi par la suite.

On n'y est donc plus allé.

Je souffle en essayant d'ignorer la boule d'angoisse qui vient de se loger au fond de ma gorge. Je me frotte d'une main lasse le visage en me morigénant intérieurement. Je me suis promis de ne plus pleurer sur mon sort, d'arrêter de penser à elle, de me secouer et je me retrouve à me morfondre encore et encore parce qu'un simple coucher de soleil me ramène vers elle.

Je prends une grande inspiration pour me calmer et m'allume une cigarette. Je m'en veux d'être aussi faible et d'avoir tant de regrets. Je ne comprends pas pourquoi je ne parviens pas à passer à autre chose. Six mois, c'est long tout de même. Qu'est-ce qui fait que je suis toujours autant attaché à cette histoire ? À cette relation toxique ?

Alors que je rejette ma fumée vers le ciel assombri, l'évidence me frappe.

Au-delà de notre relation de couple catastrophique, Danielle a été avant tout ma meilleure amie et ma confidente. Avant même qu'on soit ensemble, j'avais l'habitude de lui demander conseil et de lui parler de tout et de rien, de certains sujets que je n'osais pas aborder avec Zayn. Il est là le fond du problème. C'est cette relation particulière qui me manque. Je voudrais tellement retrouver cette complicité unique avec quelqu'un. Je suis pourtant conscient que ce n'est pas en ressassant éternellement le passé que je vais y parvenir.

Perdu dans mes pensées, je sens une présence à mes côtés. Je tourne légèrement la tête et découvre Harry, un vague sourire aux lèvres, les yeux plongés vers l'horizon lui aussi. Sans un mot, il me tend une bouteille de bière que j'accepte avec plaisir. Pour le remercier, je la cogne doucement contre la sienne, ce qui accentue son sourire. Ses fossettes refont leur apparition. Elles lui donnent un côté gamin adorable qui pourrait faire fondre n'importe quel cœur de pierre.

J'observe un instant son profil, la ligne carrée de sa mâchoire, la courbure de ses lèvres, ses cils délicats recourbés, son nez bien dessiné, ses traits à la fois fins et virils... c'est un très beau garçon.

Réalisant le cheminement de mes pensées, je détourne le regard, gêné. Je finis ma cigarette et après avoir ôté le bout incandescent qui chute dans le sable, je range le mégot dans ma poche.

Nous restons là un long moment sans échanger un mot. Sa présence m'apaise. Il dégage une force tranquille qui m'enlève tout mon stress. Ça ne m'est jamais arrivé de ressentir ça aussi vite avec quelqu'un. On ne se côtoie pourtant pas beaucoup depuis que je suis arrivé ici. Eleanor passe beaucoup de temps avec moi. Même si je l'apprécie beaucoup, je regrette qu'elle fasse fuir Harry.

C'est épidermique entre ces deux-là.

Dès qu'elle entre dans une pièce, il se tend et fait en sorte d'en sortir le plus rapidement possible et la réciproque est vraie. Leurs amis communs s'en accommodent ou bien ils ont tellement l'habitude de la situation qu'ils ne s'en rendent même plus compte. Pour ma part, j'ai décidé de ne pas m'en mêler. Ça ne me regarde pas. J'ai bien assez de ma vie à gérer pour ne pas m'occuper des problèmes des autres.

Bien que j'apprécie Eleanor, ce n'est pas la même chose qu'avec Harry. Je ne sais pas comment l'expliquer, mais le peu qu'on passe ensemble me fait du bien. Je me sens connecté à lui. Il est à la fois timide et charismatique, un mélange détonnant qui ne me laisse pas indifférent. Il me rassure de façon inexplicable, juste par sa présence. Même si on ne se parle pas énormément, nos regards se cherchent souvent. Il suffit qu'il entre dans une pièce pour que je sache qu'il est là. C'est irrépressible, il m'attire comme un aimant. C'est déstabilisant.

Pour l'instant, je n'essaie pas d'analyser ce qu'il se passe. Tout ce que je sais, c'est que lorsqu'il est avec moi, la douleur au fond de ma poitrine s'estompe un peu et ça fait du bien.

— Tu as l'air triste, constate-t-il, me sortant de mes pensées.

— C'est vrai, j'admets en faisant des formes abstraites dans le sable avec mes doigts. Désolé...

— Tu n'as pas à l'être. Tu es libre de ressentir ce que tu veux, remarque-t-il en avalant une gorgée de sa bière.

— Je n'ai pas envie non plus à vous gâcher vos vacances avec ma morosité, j'objecte en soupirant.

— Ce n'est pas le cas, me rassure-t-il avec un léger sourire. À part Zayn qui te connaît par cœur, je pense qu'il n'y a que moi qui m'en suis aperçu.

— Comment ça se fait ?

— L'intuition ? propose-t-il en portant son attention sur moi, une lueur espiègle au fond des yeux.

— Ou l'expérience... je réplique sans réfléchir.

Je regrette aussitôt mes mots quand je vois son expression changer. Je ne sais pas si je l'ai surpris ou déstabilisé, mais l'ombre qui passe sur ses traits me serre le cœur.

— Désolé, je m'empresse de m'excuser, les joues rouges. C'était idiot et totalement déplacé.

— Surtout très perspicace, lâche-t-il après quelques minutes pendant lesquelles j'ai envie de m'enterrer vivant.

Malgré ma curiosité qui vient d'être piquée au vif, je préfère avaler une gorgée de ma bière plutôt que de dire n'importe quoi qui pourrait le blesser de nouveau. Comme il constate que je ne le relance pas, il se détend et détourne son regard vers l'océan. Après un nouveau silence qui s'étire pendant que le soleil termine sa course derrière la ligne d'horizon, il reprend la parole d'une voix douce.

— Tu sais, je suis un bon confident, si tu en ressens le besoin.

Il continue de boire à sa bouteille en feignant l'indifférence, ce qui m'aide à accepter ses mots sans malaise. J'hésite. Je ne sais pas si j'ai envie de m'ouvrir à lui alors qu'on se connaît à peine. A peine quelques jours et ce n'est pas évident d'étaler sa vie à un presque inconnu. D'un autre côté, me confier à une personne neutre avec une vision nouvelle est assez tentant. Zayn n'est pas le plus objectif dans cette situation. Il n'a jamais aimé Danielle et même s'il regrette que je sois malheureux, il est aussi soulagé pour moi par cette rupture.

Harry me laisse le temps qu'il me faut. Il reste silencieux et termine sa bouteille de bière tranquillement. Il attend patiemment que je me décide à lui parler ou non et je suis certain si je ne le fais pas, il ne m'en voudra pas.

Je ferme les yeux et inspire lentement pour m'aider à rassembler le courage nécessaire de me lancer. J'ai besoin de parler et je sais que son oreille sera attentive et sans jugement. Je sais aussi qu'il n'ira pas répéter aux autres mes confidences. Toutes ces raisons me poussent à lui parler.

— Je... je vis une rupture difficile, je lâche, la gorge nouée. C'était inévitable, mais c'est dur à digérer malgré tout.

Il fait désormais nuit, la plage n'est plus éclairée que par la pleine lune et par les lampadaires qui bordent la promenade un peu plus loin. Le silence règne, seulement brisé par les vagues qui s'échouent sur la grève.

— Inévitable ? répète Harry dans un murmure, m'encourageant à poursuivre.

— Oui, ça l'était, je confirme. C'était la meilleure décision à prendre, même si elle ne venait pas de moi. On ne pouvait pas continuer ainsi, on était bien trop différents. Je n'étais pas celui qui lui fallait.

— Pourquoi as-tu tant de mal à passer à autre chose dans ce cas ?

— Parce qu'on ne tire pas un trait si facilement sur cinq ans d'une relation même chaotique, j'explique en jouant avec une algue sèche que j'ai trouvée dans le sable. J'ai perdu ma meilleure amie, ma confidente et tout un pan de ma vie... je dois faire mon deuil et c'est difficile.

— Tu crains de ne plus retrouver ce type de lien ? s'enquiert-il en se penchant vers mon oreille, me faisant frissonner au passage.

— Oui, je pense que c'est ça. Le côté complice surtout, je souffle en baissant la tête. Je ne sais pas, c'est compliqué. Si on me demandait de retourner avec elle, je refuserais tout net. Je ne veux plus de la vie qu'on avait, je n'étais pas heureux et elle non plus, mais on s'est connu jeunes et j'ai évolué avec elle. Même si nos routes ont pris une direction différente, elle a été mon amie pendant longtemps.

— Tu as Zayn, remarque-t-il en relevant mon visage d'un geste doux pour plonger ses yeux dans les miens. Lorsque tu trouveras la personne qu'il te faut, tu retrouveras cette relation unique qui t'unissait à ton ex, mais avec une vraie histoire d'amour en prime qui te rendra heureux.

— Je... je ne sais pas... je réussis à répondre, malgré le trouble qui m'habite désormais.

Harry me relâche et rit doucement.

— Toi, tu ne le sais peut-être pas, mais moi, je le sais pour toi. Tu finiras par être heureux, Louis, il n'y a pas de raison.

— Espérons...

— J'en suis persuadé, ajoute-t-il en se relevant et en me tendant une main pour que je puisse m'y accrocher.

Je l'attrape en ignorant le frisson qui me parcourt une nouvelle fois lorsque nos peaux se rencontrent. Je le relâche à regret pour récupérer mes Vans posées au sol et me dirige avec lui vers la promenade qui longe les plages. Je me sens mieux, plus léger. Le silence règne de nouveau entre nous, mais c'est agréable, apaisant. Une fois rechaussé, je le rejoins tandis qu'il m'attend un peu plus loin. Ses mains dans les poches, ses boucles en désordres, je le trouve vraiment beau.

— Allons-y, les autres ne vont pas tarder à débuter le barbecue, remarque-t-il en souriant.

— Merci, Harry... je souffle en le retenant par le bras.

Il se retourne, les sourcils froncés, ne semblant pas comprendre ce que je lui dis.

— Merci, je répète sans le quitter des yeux.

Poussé par une impulsion, je le serre contre moi. Je le sens se raidir à mon contact avant de finalement se détendre et de me rendre maladroitement mon étreinte. Lorsque je le relâche, je constate que ses joues sont colorées. Il se contente de hausser les épaules avec un doux sourire aux lèvres puis il reprend sa marche en silence.

*

Il est trois heures du matin, mais je n'arrive pas à dormir.

Les paroles d'Harry tournent en boucle dans ma tête, ainsi que le regard inquiet que m'a adressé Zayn lorsqu'on est rentré. Il ne dit rien, mais je me rends bien compte que mon état le travaille. Je ne sais pas quoi faire pour aller mieux. Je n'ai pas envie de le décevoir ou de lui faire de la peine. Je sais qu'il n'attend qu'une chose, que je souris de nouveau à la vie, en profitant de chaque instant. Il a raison, car c'est sans doute ce que fait Danielle, sans se soucier le moins du monde de moi.

Mais ce n'est pas si simple.

Ses mots me reviennent en permanence. Ils pèsent sur mes épaules, enserrent mon cœur, plombent mon moral et sapent ma confiance.

« Tu n'es pas à la hauteur »

« Tu dois grandir »

« Tu dois devenir un homme »

« Tu ne seras jamais capable de rendre heureux qui que ce soit »

« Tu es mou, sans consistance »

« Tu n'es pas "assez" »

Je ferme les yeux en me prenant la tête entre les mains. Les phrases assassinent résonnent dans mon crâne, elles tournent en boucle et me font mal comme au premier jour. J'ai l'impression que ma tête va exploser. Je déteste quand mes démons me hantent de cette façon, qu'ils s'agrippent à moi et s'acharnent à me mettre à terre.

Je secoue la tête pour les chasser de mon esprit et me lève pour prendre une douche. L'eau tiède me fait du bien, elle me remet les idées en place. Une fois séché et habillé, je sors de ma chambre en silence. Je descends sur la pointe des pieds pour ne pas réveiller le reste de la maison.

Une fois en bas, j'attrape ma veste de survêtement et l'enfile puis sors pour fumer une cigarette. Je m'assois sur les marches du perron. J'inhale une bouffée de nicotine, ce qui m'aide à me détendre.

J'observe la lune et les étoiles quand j'entends du bruit derrière moi. C'est Liam qui vient s'installer à mes côtés. Par réflexe, je lui propose une cigarette qu'il accepte. Je relève un sourcil surpris. Jusqu'ici, je ne l'ai encore jamais vu fumer.

— C'est rare, explique-t-il avec un sourire contrit.

Je hausse les épaules avec un clin d'œil complice puis reporte mon attention sur le ciel constellé.

— Zayn s'inquiète pour toi, m'avoue Liam en tirant sur sa cigarette.

— Je sais et il ne devrait pas, je murmure, le cœur un peu plus lourd. Je vais m'en sortir. Il me faut du temps, c'est tout.

— Tu comptes beaucoup pour lui.

— Lui aussi compte beaucoup pour moi, je remarque en tournant un peu la tête vers lui. C'est mon frère. Il a toujours été là pour moi et inversement.

Il acquiesce et fume de nouveau.

— Harry t'apprécie également beaucoup, reprend-il.

— Ça te pose un problème ? je m'enquiers en observant sa réaction. Je sais que c'est ton ami, je n'ai pas l'intention de me mettre entre vous.

— Je n'en doute pas une seconde, me rassure-t-il en levant les mains face à lui. Zayn m'a beaucoup parlé de toi te même si on ne se connaît pas depuis longtemps, je pense que j'ai saisi l'essentiel.

J'acquiesce en souriant.

— Je ne m'impose pas en général et Harry et toi, vous avez un lien unique, ça se voit. En revanche, je ne comprends pas pourquoi tu as souligné le fait qu'on s'entende bien.

Liam passe une main dans ses cheveux courts en souriant. Il finit sa cigarette qu'il écrase dans le cendrier et se tourne vers moi.

— Tu ne connais pas encore bien Harry, mais il est... comment dire ? Très introverti. Il parle peu et avec peu de monde. Si tu regardes bien, il discute principalement avec Niall et moi. Il fait un effort avec Zayn principalement parce que c'est mon copain, mais ça reste limité. Donc, je suis agréablement surpris de le voir se rapprocher de toi. Je suis toujours soulagé que ça se passe bien avec les gens, car ce n'est pas toujours le cas.

Je fronce les sourcils.

— Pourtant, c'est quelqu'un de bien, je constate en refermant le zippe de ma veste. Il ne parle pas beaucoup, mais quand il le fait, c'est intéressant. Il est calme, intelligent, instruit...

Liam hoche la tête.

— Oui, c'est un gars en or, vraiment. Le problème ne vient pas des autres, mais de lui. Il n'aime pas les gens en général, il s'en méfie. Ils le pensent souvent bizarre ou mystérieux et surtout désagréable et renfermé. J'essaie de le convaincre de se détendre avec les autres, mais il est têtu parfois.

Je cherche mes mots quelques secondes en me mordillant la lèvre inférieure.

— Je ne sais pas comment l'expliquer, mais j'ai l'impression qu'il a une espèce d'aura qui me fait sentir en confiance quand il est là. En tout cas, je l'apprécie beaucoup et je ne compte pas lui faire du mal si ça peut te rassurer.

Le brun me regarde quelques secondes avec intensité puis pose une main amicale sur mon épaule.

— Zayn a raison, tu es quelqu'un de bien, souffle-t-il, touché.

Je ris nerveusement.

— Zayn exagère souvent me concernant !

— Pas sur ce coup-là dans ce cas !

Je rougis légèrement et le remercie.

— Tu sais, parfois j'ai l'impression qu'Harry cache de nombreuses souffrances, ce qui pourrait expliquer son malaise avec les autres. Mais ça ne fait pas de lui quelqu'un de bizarre. Peut-être qu'il est plus renfermé pour masquer sa fragilité.

Liam lâche un rire léger.

— Nan, Zayn n'a pas exagéré, mec !

Je secoue la tête avec un sourire gêné.

— Je le comprends, parce que je suis comme lui, Liam. Je réagis différemment et nos causes sont sans doute différentes, mais dans le fond, ça ne change rien. La douleur est là, tapie en nous, prête à nous saisir dès qu'on s'y attend le moins.

Il hoche de la tête me faisant ainsi qu'il a compris ce que j'essaie de lui expliquer.

— Tu es quelqu'un de bien, remarque-t-il en balançant son épaule contre la mienne dans un geste amical.

— Je n'en suis pas certain... j'ai ma part d'ombre, comme tout le monde. Je me dis que si j'étais si bien que ça, je ne serais pas seul à l'heure actuelle, je réponds, le cœur serré.

Il ouvre la bouche pour répliquer, mais je le coupe dans son élan en me relevant, résolu à ne pas m'étaler là-dessus.

— Je vais tenter de dormir. Tu devrais faire pareil si demain tu veux essayer le surf sans te noyer, je lance en bâillant. Bonne nuit beau brun !

— Bonne nuit ! répond-il en me saluant de la main.

Je m'arrête dans l'entrebâillement de la porte et me retourne.

— Inutile de préciser que si tu fais souffrir le grand imbécile qui me sert de meilleur ami, je te coupe les couilles ! je le préviens en lui faisant un petit clin d'œil complice.

Son rire m'accompagne jusqu'en haut des marches,ce qui me donne le sourire et me détend suffisamment pour me permettre d'enfin trouverle sommeil.

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Bonjour à tous ! 😊

Un nouveau chapitre dans lequel Harry et Louis se rapprochent doucement, mais sûrement. 🤗 Ils se comprennent sans beaucoup se connaître, c'est déjà une bonne chose. 👍

Louis a dû mal à tourner la page Danielle, mais ça vient. Il est lucide sur son ancienne histoire et a du mal à faire le tri dans ses ressentis. C'est normal, quand on a partagé 5 ans de sa vie avec quelqu'un.😊Un petit instant Lilo aussi. Sont choux ces deux-là ! ^^ 🤗

J'espère que ça vous plaît toujours, moi je l'aime bien ce chapitre 😂

N'hésitez pas à laisser vos avis et vos remarques !😘

A bientôt mes anges 😘 

💙💚