Chapter 17 : I just wanna be a normal kid

Bonjour Bonsoir les petits roulés à la cannelle, 

Vous allez bien ? 

Alors déjà je tiens remercier les nouveaux et les anciens lecteurs d'être toujours là à suivre mon histoire. J'apprécie toujours autant d'écrire cette histoire. 

Je tiens à vous dire que j'ai fini la trame du chapitre 3 de ma fiction Home. Si jamais vous aimez le couple Stony, je tiens à réécrire tous le MCU en Stony. Donc j'abandonne aucune fiction. 

Bon allez je vous laisse avec le chapitre 17 :) N'hésitez pas à me mettre ce que vous en pensez cela me fait toujours plaisir. 

*****

Chapitre 17 : I just wanna be a normal kid

- Moi, je veux bien, répondit une légère voix.

Tony et Steve se jetèrent un coup d'oeil puis ils posèrent leurs yeux vers la provenance de cette voix. Ils se redressèrent et virent leur fils les yeux ouverts.

- Pete, comment tu te sens ?

Le jeune homme balada ses yeux un peu partout dans la pièce, de sa main il chercha un contacte avec ses parents. Il était perdu, embrouillé par ce réveil et surtout ce qu'il avait rêvé. Il sentit la chaleur des mains d'un de ses pères sur sa paume; voilà quelque chose qu'il connaissait, la chaleur et la sécurité de ses parents.

— On va aller chercher Bruce.

— Pa', je vois plus rien.

Steve et Tony se regardèrent longuement.

Sans réfléchir, Steve courut hors de la chambre pour aller chercher son coéquipier. Il savait que cette opération pouvait engendrer des complications mais égoïstement il espérait que son fils aille mieux sans aucune séquelle.

Bruce entra dans la pièce sous le regard inquiet d'un Tony traduisant « guérit-le »

— Pa', pourquoi je ne vois plus rien ?

— Bruce va arranger ça, t'en fais pas, gamin.

Bruce regarda alors ses constances encore une fois puis il prit sa lumière et examina ses yeux.

— Tu peux suivre mon doigt, Peter.

Il suivit les instructions données. Il suivit l'ombre devant lui. Tout était flou. Peter ne voyait que des ombres très estompées. Il ne savait pas ce qu'il avait et si il allait rester aveugle toute sa vie. Spiderman ne pouvait pas être aveugle, ce n'était pas possible.

— C'est un effet secondaire de l'opération, c'est sûrement passager.

— Sûrement passager ? S'énerva Tony.

— Oui, confirma Bruce. Comment tu te sens Peter ?

— Ça va... Enfin, je crois.

— Vraiment ? Aucun mot de tête ?

— Si, mais on m'a ouvert le crâne, ça doit être normal.

— En effet, sourit Bruce. Serre-moi les mains.

Peter s'exécuta.

Ses mains étaient fébriles, il n'arriva pas à faire le mouvement comme il fallait. Bruce en profita pour vérifier ses réflexes niveau au bas mais Peter ne sentit rien. Le Hulk demanda de bouger les pieds et les jambes et le jeune homme le fit avec de grandes difficultés. Il ne comprenait pas pourquoi son corps ne voulait pas coopérer.

— Bien, Peter, pour ta vision comme je l'ai dit, je ne suis pas alarmé. Tu vas la récupérer petit à petit et ton pouvoir de guérison t'aidera. Pour ta mobilité, la kinésithérapie t'aidera grandement.

— Je peux faire sa rééducation, annonça Steve.

— Je pense qu'un professionnel serait mieux, Steve.

— Mais Papa peut le faire, répliqua Peter cherchant son père par sa voix.

— Bruce a raison. Désolé Cap, mais je pense appeler un des meilleurs du pays.

Steve prit la main de son fils et caressa sa joue. Voyant son fils avec le pansement autour de la tête, il se revoyait quand il était petit et que Peter se faisait mal. Il se remémorait quand il le prenait dans ses bras pour le consoler et qu'il le serrait contre lui. Il avait tellement grandi et il n'était pas sûr qu'il avait besoin de son père comme lorsqu'il était petit mais c'était trop fort pour Steve. C'était même vitale qu'il soit au près de lui aujourd'hui. Son fils avait besoin de lui et il avait besoin de son fils. Il voulait vraiment s'assurer qu'il aille mieux et participer à ses séances de rééducation était un moyen de le surveiller.

******

Une semaine plus tard, la santé de Peter commençait à aller mieux. Sa vue revenait petit à petit, le voile sombre commençait à disparaitre jours après jours. Il voyait toujours trouble et son équilibre n'était pas entièrement revenue. Tout le monde se concentrait sur ses progrès comme si il était un enfant qui apprenait à marcher, Peter était juste fatiguée. Son corps entier le brûlait. Ses membres s'engourdissaient à chaque mouvement qu'il entreprenait. Peter ne voyait aucune amélioration. Il voulait juste reprendre Spiderman et vivre sa vie qu'il avait avant l'opération.

Peter était à sa séance de kinésithérapie, faisant l'exercice pour ses jambes. Il devait faire des exercices de musculation pour l'aider à te maintenir ses jambes. Steve était à ses côtés, surveillant tous ses gestes pour voir si il ne faiblissait pas. Parfois, cela l'agaçait que Steve ne le lâchait pas du regard comme si à tout moment il pouvait tomber. Il avait juste envie d'oublier cette chirurgie et avancer et reprendre une vie normale.

— Et 10. Quel progrès 50kg, Pete.

Peter leva les yeux au ciel et descendit de la presse.

— Papa, je suis comme toi, j'ai une super force 50kg ce n'est rien.

— Peter, tu viens d'avoir une...

— Une opération, je sais, soupira-t-il longuement en s'asseyant dans son fauteuil.

— Pete, je te connais tu sais, ajouta-t-il en se mettant à côté de son fils. Tu es comme ton père pour cela, laisse le temps faire les choses. Bruce te l'a dit avec ton traitement cela peut prendre des semaines.

— Je sais mais je pensais pas que ça allait être dure. Les béquilles, les médocs et puis vos regards comme si j'étais un bébé qui va tomber.

— On veut juste que tu ailles bien, fiston.

Peter regarda son père d'un air dubitatif.

— Et peut-être qu'on est un peu trop protecteur.

— Un peu...

— Écoute, Peter, cette année a été un peu dure et te voir sur cette table, j'ai eu peur ... Donc, oui, venir ici avec toi, te surprotéger c'est ma manière de faire attention à toi.

Peter se rendit compte que ces épreuves il les avait vécues avec ses parents. Steve avait été là à son réveil à l'hôpital quand il avait sauté du ponts. Il était là dans chaque épreuve, chaque moment où Peter rentrait blessé de ses missions, quand il avait une peine de coeur. Ses parents étaient là.

— Je suis désolé, Papa, pour cette année.

— Peter, ce n'est pas ta faute.

— Peut-être mais cette année après Thanos ... Je me suis pas vraiment demandé comment tu allais, tu venais perdre Pa' ... Et moi, j'étais pas là pour toi. Et je suis désolé, ne pas avoir été présent.

— Ce n'est pas ton rôle, Pete. Ça c'est le rôle des parents. Tu es encore un gamin et ton père et moi serons là, le rassura-t-il en séchant un légère larme sur la joue de son fils. Tu es peut-être un Avenger mais tu restes mon fils et je serai là pour te protéger.

Peter se blottit contre son père avec un léger sourire.

Son père avait peut-être raison, ce n'était pas son rôle. Pourtant, il se sentait tellement coupable de ne pas été là et de leur avoir enduré toutes ses épreuves. Peter avait perdu sa famille quand il était jeune. Il ne se souvenait à peine ce que l'amour parental pouvait être et pourtant grâce à Steve et Tony, il avait appris la définition du mot famille. Tous les trois étaient une famille.

— J'ai fait un drôle de rêve quand ils m'ont opéré.

— Ah bon ? Tu veux en parler ? Demanda-t-il

— C'est juste j'ai rêvé d'avoir une vie normale, tu sais, avec papa et toi... J'ai même rêvé de grand-père qui pensait que j'étais une merde car je n'étais pas dans une école privée.

Il lui expliqua alors son rêve en entier où son père n'était pas Captain America et Iron Man, les Avengers étaient qu'un mythe. Une simple qu'il avait eu pendant un instant.

—Et tu souhaites cette vie ?

— Je sais pas, soupira-t-il, tu sais, j'aime être Spider-man, c'est ma vie mais parfois c'est un fardeau.

— Je comprends, fiston, je suis devenu Captain America, je ne pensais pas que ça allait être un job à plein temps. Je pensais sincèrement que après la guerre tout allait être fini mais j'avais tord.

— Et tu regrettes ?

— Parfois mais si je n'avais pas été Captain America je n'aurais jamais eu la chance d'avoir une famille.

Peter sourit à son père.

Il avait raison, comme toujours. Être un super-héros était un travail à plein temps, il était Spider man et Peter Rogers-Stark vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept. C'était un fardeau, un cadeau et il devait absolument vivre avec ces deux côtés de son identité.

— Dit, Papa, tu me donneras ton shield alors ? Dit-il avec une voix ironique.

— Après l'Iron-Spider, tu veux être Spider America ? Rit Steve.

— Et pourquoi pas. Vous avez été mes héros et surtout vous m'avez appris à dépasser mes peurs et être quelqu'un de bien. C'est normal que je veux que mes deux parents soient dans mon costume.

— Laisse-moi y réfléchir, d'accord ?

******

Le soir venu, Steve aida Peter à se mettre au lit. Il fallait l'aider dans les tâches quotidiennes, il fallait le doucher et surtout faire attention à ce qu'il ne tombe pas. Steve comprenait que Peter avait l'impression d'être un poids, il avait besoin d'aide pour n'importe quel mouvement.

Il entra dans le laboratoire de Tony et vit son mari penché sur son ordinateur en train de travailler, comme à son habitude. À la tête concentré, de son époux, il comprit qu'il travaillait sur quelque chose de nouveau.

Il s'avança vers lui et déposa un léger baiser sur sa joue.

— Sur quoi travailles-tu ?

— Sur EDITH. Comment va Peter ?

— Ça va. Il s'améliore de jours en jours, répondit-il d'une voix neutre.

Tony leva enfin les yeux vers son compagnon et fronça les sourcils. Rien que à sa voix, il comprit que Steve était contrarié par quelque chose. Son inquiétude allait être partagée.

— Steve ?

— C'est juste ce que m'a dit Peter, cela me contrarie.

— C'est-à-dire ?

— Pendant son opération, il a rêvé de ton père.

— De Howard ? Pourquoi ?

Steve lui expliqua ce que son fils lui avait raconté.

— Donc, il souhaite en mettre une à Howard ?

— Pas tout à fait, rit légèrement Steve.

— Et tu lui as répondu quoi ?

— Tony, je crois que notre fils aimerait juste une journée normale comme avant.

Tony acquiesça avec une inquiétude qui monta de plus en plus.

*****

Le lendemain matin, Peter fut réveillé son parrain, venu l'aider pour son levé et son petit déjeuner. Il prit ses médicaments comme toujours à contre coeur. Bruce essaya de lui faire la conversation comme à son habitude le matin mais Peter ne voulait rien entendre. Au fonds de lui même si il était libéré de l'entreprise de Beck; il en voulait à Bruce de l'avoir mis dans cet état.

Voyant que Peter ne l'écoutait pas, Bruce lui conseille d'aller prendre l'air sur la terrasse pour se changer les l'idées. À contre coeur, Peter s'en alla en fauteuil roulant vers l'extérieur. Il était du côté cours du complexe qui était beaucoup plus silencieuse. Sa vue ne lui permettant pas de faire quoique ce soit, il prit alors les audio que Ned lui avait envoyé pour qu'il rattrape ses cours. Ce n'était pas idyllique mais il devenait rattraper son retard scolaire. Il prit les écouteur et son téléphone.

— Tu devrais mettre des lunettes de soleil, Peter.

Le jeune homme leva la tête et distingua son père qui s'avançait vers lui. Il ne lui fallut pas longtemps pour reconnaitre son père, Tony, sa démarche était légendaire et puis sa voix était unique.

Tony lui tendit un étui.

— Tiens, comme ça ton père ne viendra pas te réprimander.

Peter ouvrit alors l'étui et força légèrement sur ses yeux pour déchiffrer que les lunettes de soleil appartenaient à son père.

— Mais, Pa' c'est les tiennes.

— Mets-les.

Peter sourit légèrement, un peu fière. Il mit alors les lunettes, cette paire qui volait de temps en temps à son père quand il était petit pour imiter son père, son mentor. Tony avait toujours été la représentation.

Lorsque ses lunettes furent sur son nez, tout s'alluma comme si un mini ordinateur portable était devant lui.

Bonjour, Peter.

— Karen ?

Il retira rapidement les lunettes et regarda son père.

— Où est Friday ?

— Je te donne EDITH, je t'ai mis Karen à la place d'une autre intelligence artificielle, je sais que tu es attaché à Karen.

— Merci, Pa', ça me touche.

Il prit son père dans les bras avec un grand sourire. Tony le serra contre lui

— Dis, Pete, l'année prochaine tu vas voir postuler pour les universités. Tu sais, on peut aller faire la visite en plus je connais des gens au MIT

— Pa', il n'y a pas que le MIT où je vais postuler.

— Bien sûr, répondit-il, on pourra les faire pendant notre voyage. Où veux-tu postuler ?

Peter réfléchit. Il est vrai qu'avant il était sûr d'aller au MIT pourtant depuis son rêve, il doutait. Peter n'était pas sûr qu'il irait là-bas, peut-être il n'avait juste pas le niveau puis il aimerait aussi faire son propre chemin. Son grand-père avait été au MIT, son père y était allé; alors pourquoi il devrait absolument y postuler ?

Peter soupira doucement. Il passa sa main sur son crâne rasé. Qu'allait-il faire ?

— Et si, je n'y vais pas ?

— Comment ça ? Demanda Tony perplexe.

— Je veux dire c'est ce que tout le monde attend de moi, non ? Que j'aille au MIT et que je travailles chez Stark Industry. J'ai l'impression que mon chemin est tracé.

— Hey, gamin, je ne t'ai jamais demandé ça.

— Je sais mais c'est ce qu'on attend de moi. Grand-père et toi êtes allé au MIT maintenant tout le monde s'y attend.

— Ton autre père a fait une école d'art avant la guerre, tu crois tes talents d'artiste peuvent t'ouvrir les portes ?

Peter regarda son père qui était en train littéralement se moquer de lui. Il le voyait il avait ses petites rides autour des yeux avec un grand sourire aux lèvres.

— Peter, ce que je veux dire, c'est tu fais ce que tu veux. Tu veux aller au MIT, vas-y; Harvard, et bah j'irai acheté un pull moi-même. Peter, peu importe ce que tu feras, je serai toujours fier de toi.

Peter esquissa un léger sourire.

— Tu crois que Grand-père m'aurait apprécié ? Je veux dire dans mon rêve, il était si froid, distant ...

— Je pense sincèrement que Howard aurait été moins exigeant avec toi qu'il a été avec moi.

— Et pourquoi ? Demanda Peter

— À ton âge, j'étais déjà diplômé et comme tu le sais, j'avais de gros problème d'alcool et de drogue. Howard a été sévère avec un gamin qui partait en couille. Toi, tu es tout le contraire, tu es respectueux, tu es un très bon élève.

— Pourtant cette année, j'ai pas été parfait ...

— Ça arrive même aux meilleurs, regarde ton père, lui, aussi il a eu des moments difficiles et pourtant personne ne dirait que Steve est quelqu'un de mauvais. Il est humain comme toi et moi.

Peter sourit légèrement.

Non, personne dirait que Steve était une personne mauvaise ou avec de mauvaise intentions. Son père avait raison, ils étaient humains avant être super-héros et avoir une image publique parfaitement modelée.

Steve entra sur la terrasse, son visage était légèrement embarrassé à la surprise de Peter qui ne s'attendait à la réaction de son père était plutôt inhabituel.

— Hey, Peter, tu as une visite.

— Qui ?

— Salut, Peter.

Et en entendant sa voix, il comprit la réaction de son père.

Harry.

Qu'est-ce qu'il faisait là ?

Peter fronça sur ses yeux et vit le jeune homme qui avait l'air autant gêné que tout le monde sur la terrasse.

— Bon, on va laisser les jeunes ensembles, déclara Tony en emmenant son époux loin de la terrasse.

Harry s'assit à ses côté.

— MJ m'a prévenu que tu avais eu une intervention, expliqua-t-il. Comment vas-tu ?

— D'après Bruce, je vais mieux de jours en jours.

— Peter, je te connais, comment tu te sens ?

Peter sourit légèrement. Il pouvait voir que le jeune homme le connaissait encore, il savait très bien qu'il n'osait pas dire ce qu'il ressentait vraiment. Harry savait très bien qu'il n'était pas honnête car il ne voulait pas inquiéter son entourage.

Peter prit une longue et profonde respiration.

— Ça va, je vais bien. Un fou m'a mit un micro dans ma tête pour me contrôler, j'ai failli tué mon père et après j'ai voulu mourir, encore. Tout va bien, dit-il la voix serrée à cause des sanglots qui montaient. Je viens de me faire opérer et j'ai eu une crise cardiaque à mon âge.

Harry le prit dans ses bras directement. Il le serra fort contre lui. Il savait que le rôle de Spiderman était dangereux, et il le savait très bien. Lorsqu'il était ensemble, ils avaient beaucoup de disputes à cause de son devoir.

Peter était blottit contre lui. À ce moment là, il ne voulait être nul part. Il avait toujours réussi à s'ouvrir à Harry, lui dire tout ce qu'il avait sur le coeur et surtout il le comprenait en un seul regard.

— Chut, Peter, rassura-t-il. Tu as survécu car tu es un battant. J'ai jamais croisé quelqu'un qui a un vie compliqué et qui se bat toujours autant.

Peter le regarda dans les yeux.

— Tu l'as dit toi-même, tu viens de faire une crise cardiaque et tu es encore là. Je pense vraiment tu te sous-estimes.

— Peut-être ... C'est juste cette année a été très compliqué... Revenir du snap, Thanos, la fausse mort de mon père... Et toi.

— Moi ?

— J'ai été horrible avec toi.

— Tu étais en deuil. Je ne peux pas t'en vouloir.

— Je pense pas que ça excuse ...

— Non, je n'ai pas dit que je t'excusais mais cela explique tout même ton comportement. Et puis, comment tu veux que je t'en veuille avec un crâne rasé comme ça.

Peter passa sa main sur sa tête en riant.

— Très drôle.

Harry posa sa main sur sa joue avec un léger sourire.

Peter eut un frison qui lui parcourut le corps entier. Il posa ses yeux dans ceux de son ex-petit ami. Il repensa alors à tout ce qui avait vécu avec lui, leur amitié puis l'amour qui avait évolué entre eux. Au début de leur relation, cela n'avait jamais été facile pour Harry car il n'était pas sûr de son orientation ou juste la possibilité d'être avec un homme.

Plongé dans ses pensées, il ne vit pas l'avancement des lèvres de Harry vers lui. Et dans une pensée un peu irrationnelle, Peter décida de prendre les devant et de l'embrasser.

Harry avait toujours été son premier amour, l'homme avec lequel il se voyait passer le reste de sa vie avec. Peter avait son coeur qui était rempli de bonheur par ce simple baiser. Alors pourquoi il culpabilisait de trahir Wade ?

— Gamin, oh pardon je voulais pas interrompre, dit Steve un peu gêné.

— Qu'est-ce qui a papa ...

— Je voulais savoir si Harry voulait rester ici ... New York n'étant pas la porte à côté.

— Euh, d'accord, accepta le jeune homme aussi embarrassé par la situation.

— Parfait, je vais mettre une assiette de plus alors.

Peter regarda son père partir puis il regarda son ami en explosant de rire.

— Dis-toi, heureusement que ce n'est pas mon autre père qui nous a chopé car je crois qu'on en aurait entendu parler pendant dans années.

***** 

Et voilà, la fin du chapitre :)

J'essaie de revenir avec le chapitre 18 rapidement pour que vous attendez pas trop longtemps. 

Merci à vous :)

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