Chapter 11 : Love and loathe
Bonjour et bonsoir mes petits lapins en chocolat.
J'espère que vous allez bien et que vous prenez soin de vous.
Je ne tiens pas la discussion plus longtemps je vous laisse avec ce chapitre. Préparer alors son tasse de café ou de thé et je vous souhaite une très bonne lecture.
Mrs Rogers
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Chapitre 11 : Love and Loathe
Dans la tour Stark, après un long moment de discussion sur leur angoisse à propose de leur fils, Tony et Steve s'étaient endormis dans les bras de l'un et de l'autre. C'était un geste anodin à vrai dire. Ils étaient juste épuisés de leur journée.
Steve avait enlacé son époux contre lui. Après presque six mois de veuvage, pensant qu'il était plus de ce monde, Steve l'avait enfin son mari contre lui et c'était la meilleure sensation au monde qui pouvait ressentir.
Tony avait sa tête contre l'épaule de Steve. Profitant de ce moment sans dispute entre eux. Depuis son retour, Tony dormait mal. Sa culpabilité le hantait trop pour pouvoir avoir un repos suffisant. Il s'en voulait d'avoir menti. Il avait brisé sa famille alors qu'il voulait juste les protéger. Il payait le prix désormais.
Alors que nos deux Avengers dormaient paisiblement, l'intelligence artificielle de la maison allait y mettre fin et réveilla son créateur.
— Patron, Peter est en train de faire une terreur nocturne.
Tony ouvrit les yeux et se découvrit alors dans les bras de son époux. Il esquissa un sourire à sa position.
— Merci Friday.
Il bougea légèrement, essayant de se dégager des bras de son époux sans faire le moindre de bruit pour le réveiller. Steve avait besoin de repos, il le savait, surtout avec les derniers mois qu'il avait vécu à cause de Peter.
Il regarda une dernière fois son mari et il mit alors la couverture trainant sur le canapé.
— Rendors-toi, Peter fait juste un cauchemar, lui dit doucement Tony en voyant qu'il faisait pour se réveiller.
Steve hocha la tête sans vraiment bouger.
L'homme de fer s'avança alors vers la chambre de son gamin. Quand il arriva dans la chambre, il vit un Peter se tordant comme si son cauchemar lui faisait mal physiquement. Cette vision lui fit mal à son coeur. Tony n'aimait pas le voir comme cela. Il n'aimait pas voir son fils avoir mal car c'était comme si on lui faisait mal personnellement.
Tony s'avança doucement vers le lit de son fils et le prit contre lui. Il le berça doucement comme il le faisait lorsqu'il était petit. Aux yeux de Tony, Peter restait un gamin. C'était son gamin, son bébé. Il passa alors sa main dans les cheveux de son fils qui étaient complètement humides de sueur.
— Chut, poussin. Je suis là. Papa est là.
Peter serra doucement le t-shirt de son père pendant qu'il dormait.
Tony continuait à le bercer contre lui du mieux qu'il pouvait. Peter tremblait toujours il n'arrivait pas à calmer son propre fils. Il se sentait tellement coupable, peut-être si il ne l'avait pas abandonné après la bataille contre Thanos Peter irait mieux.
— Pa', murmura le gamin. Pa', je veux pas y aller.
Le coeur de Tony se serra encore plus. Cette phrase lui rappelait trop de mauvais souvenir. Ce jour là, il avait perdu son fils. Il n'avait pas pu le sauver et cela lui avait déchiré le coeur.
— Chut, Peter. Je suis là. Tu vas nulle part.
Tony caressait ses cheveux frisés, continuant de le bercer. Il n'avait pas vu son fils comme ça depuis ses terreurs nocturnes qu'il avait eu lorsqu'il avait été adopté. Tony se souvenait comme si c'était hier, les nuits où Steve et lui se relayaient pour s'assurer qu'il fasse une nuit complète. Ce souvenir fit légèrement sourire le père de famille. Il se souvint alors de la berceuse que Steve chantait à son gamin pour l'endormir. Cette chanson était magique car cela calmait directement Peter.
Tony leva les yeux au ciel alors qu'il était déjà en train de fredonner l'air de la berceuse. Il avait dix-sept ans, c'était un adulte. Pourtant, le rhyme cardiaque de son fils se calmait petit à petit au rhyme de la musique. Il arrêtait de trembler petit à petit et Tony sourit satisfait et commençait à se rassurer. Ce n'était que un vilain cauchemar.
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Peter se réveilla le lendemain matin avec un sentiment d'apaisement. Il avait passé une mauvaise nuit comme chaque nuit depuis que son père était revenu. C'était comme si il était tellement en colère contre lui que sa haine se transformait en cauchemar.
Le jeune homme se redressa avec une douleur au crâne. Il connaissait ce genre de migraine. Il l'avait trop souvent eu malheureusement. Et puis les souvenirs souviennent petit à petit dans sa mémoire.
Peter se souvint donc la soirée hier. Il était rentrée complètement saoule, encore une fois, alors qu'il s'était promis de ne plus jamais boire. Il remémora la scène avec son père. Il avait envie de pleurer. Ce n'était pas lui. Cette colère ne lui ressemblait pas. Il avait frappé son propre père. Comment en était-il arrivé là ? Il comprenait alors son cauchemar. Revivre « sa mort » du snap. Il avait encore cette phrase dans la tête « je ne veux pas partir, Pa' » avant de s'effondrer dans les bras de son père. Ce souvenir était trop dure pour lui. Il était au bord des larmes. Qu'est-ce qui ne tournait pas rond chez lui.
Il posa son regard sur la place vide que occupait son père durant la nuit. Peter avait un vague souvenir de ses paroles, comme si son subconscient lui rappelait sans cesse qu'il avait mal agit hier soir. Tony n'était plus là mais il était là. Il essayait de le rassurer comme il le faisait quand il était petit.
C'est avec les mains tremblantes que Peter partit prendre une douche. Il avait un poids sur ses épaules. Oui, il s'en voulait de tout. Il aimerait faire comme si rien ne s'était passé. Comme si son père n'avait jamais menti sur sa mort. Comme si sa colère et sa rage n'étaient plus là en lui. Maintenant, il devait faire fasse à la culpabilité qui rongeait chaque partie de son corps. C'était trop dure pour lui.
Après avoir pris sa douche, le jeune homme alla se diriger vers la cuisine en espérant de ne pas croiser l'un de ses deux parents. Mais, ce n'était mal les connaître, car Peter savait qu'ils voudraient avoir une discussion avec lui.
En arrivant vers la cuisine, le jeune homme entendit alors ses parents parlaient. Ils étaient en train d'échanger sur la situation d'hier. Et pour la première fois depuis le retour de son père, ils n'étaient pas en train de se disputer.
— Il faut qu'on surveille, Peter.
— Steve, je sais. Le gamin a besoin de nous.
— Oui, mais pas seulement, Tony. Peter a besoin de plus. Il recommence à boire et bon sa réaction hier sur toi n'était pas la meilleure qu'il eut.
Peter eut un point au coeur. Il était vraiment un fils indigne. Il avait frappé son père et son autre père revivait les angoisses qu'il avait eu quand Peter avait sauté du pond.
Il s'avança doucement alors vers l'entrée de la cuisine pour que un de ses parents le vit.
Le jeune homme analysa la scène. Tony et Steve parlant à table. Aucune dispute, seule l'inquiétude se lisait sur leurs visages. D'un côté, ça lui faisait du bien que ses parents ne se disputent plus mais d'un autre il s'en voulait tellement de leur faire vivre ce genre d'angoisse.
— Viens, Pete, lui dit doucement Steve.
Le jeune héros s'avança alors encore plus. À la vue de l'oeil au beurre noir de son père, le jeune homme baissa la tête honteux. Il avait l'impression d'avoir cinq ans quand il faisait une bêtise d'enfant et que ses parents allaient le disputer. La culpabilité devenait trop présente. Il sentait ses larmes montaient mais il ne voulait pas pleurer.
— Pa', essaya de prononcer Peter. Je suis désolé pour hier.
Tony regarda son fils avec un doux sourire. Bien sûr, cela lui fendait le coeur de le voir dans cet état. Il préférait largement le voir joyeux comme à son habitude. Il se leva et prit son fils dans ses bras venant lui embrasser le front.
— Ce n'est pas de ta faute, Peter.
— Si, soupira Peter. Il y a une partie de moi qui voulait te frapper.
— Je ne peux pas t'en vouloir. Après tout ce que tu as vécu et ce que je t'ai fait vivre. Je m'aurais donné un poing dans la gueule aussi.
Peter ne put s'empêcher de sourire à la dernière phrase de son père. Pourtant, il serra son père. Il avait besoin de cette accolade, c'était presque vitale.
Steve les regardait sans rien dire mais cela lui faisait plaisir de les voir comme ça. C'était comme le bon vieux temps avant que les problèmes n'arrivent.
— Au moins, vous vous disputez plus avec papa, dit doucement le jeune homme sur un ton amusé.
— Tu n'avais pas besoin de frapper ton père pour ça, rit légèrement Steve.
— Alors vous voulez toujours divorcer ?
Tony ne dit rien. Bien sûr, Peter le savait. Son fils était intelligent après tout. Et surtout il avait son ouïs bien plus développée que la sienne, alors a dû les entendre se disputer.
— Pour l'instant, ton père et moi, on s'occupe de toi.
— Oui, Steve a raison. Il faut qu'on prenne soin de notre fiston car tu es notre seule préoccupation pour le moment.
— Je vais bien, soupira Peter. Oui, hier j'ai dérapé mais sinon ça va.
— Si tu n'étais pas mon fils je pourrais penser que tu nous mens là, sourit Tony amusé.
— Écoute, Pete, il faut que tu ailles mieux. Tony et moi pensons que ces voix, que tu entends, ne sont pas si anodines que ça.
Peter recula doucement regardant ses pères. Il le prenait donc pour un fou.
— Nous pensons que c'est Beck qui te contrôle et qui te mettent ces idées dans la tête, finit Steve.
— Donc je ne suis pas fou ?
— Peter, jamais on a dit ça, affirma Tony. Beck sait jouer sur ta corde sensible. Et malheureusement, cette corde c'est moi enfin ta rage contre moi.
Steve fit un signe à Peter de s'asseoir. Le jeune homme comprit qu'il voulait parler et que cette conversation était bien trop important pour le faire debout.
— Que c'est-il passé hier, Peter ?
— Rien, j'étais en patrouille et je devais rejoindre Wade mais ...
— Mais ?
— J'sais pas. Wade et moi, on s'est disputé et je sais pas la seule chose que je me souvienne c'était d'être rentré à la maison en colère et saoule. Je me rappelle pas d'être rentré dans le bar.
Steve posa son regard sur Tony. Il savait que à ce moment Peter avait besoin que Tony lui parle comme avant, comme il savait le faire.
— Beck a dû utiliser cette dispute comme point sensible, Peter. Mais tu es plus fort que ça. Et puis si ce garçon tient vraiment à toi, il comprendra. Regarde ton père et moi, j'en ai fait des conneries et on les a surmontées.
Peter sourit légèrement. Il ne savait pas si Wade tenait à lui après tout ils ne se connaissaient pas depuis très longtemps. Il lui avait sauvé la vie mais cette crise de jalousie d'hier, il ne la comprenait pas tellement.
— Je vais aller au lycée, dit doucement Peter. Je vais être en retard.
— Aller, file fiston.
Peter sourit à Tony avant de le prendre dans ses bras. Cela lui faisait du bien de retrouver son père.
Steve regarda son fils partir avec un doux sourire. Son fils qui grandissait bien trop vite à son goût.
Alors que Tony et lui étaient seuls, Steve vit son époux le regardait. Il voulait lui demander quelque chose. Il connaissait ce regard. Après vingt ans de vie commune, il le connaissait par coeur.
Le Captain sentit alors la main de l'homme prendre la sienne. Il ne réagissait presque pas. Il était bien sûr en colère avec tous ses mensonges mais comme Tony l'avait dit plus tôt, ils avaient surmonté tellement de choses ensemble.
— Quand on sera sûr que Peter sera en sécurité, il faudrait qu'on ait une discussion, Steve. Ne serait-ce si tu veux vraiment divorcer.
— Tony, tais-toi, soupira le blond.
Il attrapa doucement le t-shirt du brun et posa ses lèvres doucement contre celle de son époux. Comme ce simple geste l'avait manqué. Un simple baiser de l'homme qu'il aimait, c'était ce qui avait demandé depuis sa fausse mort. Ils s'étaient promis de vieillir ensemble et peut importe les idées qu'on pouvait croire, cet amour ne pouvait jamais s'éteindre. Même au bout de vingt ans et même après toutes les épreuves qu'ils avaient surmontées.
— Je ne te pardonne pas, avoua le Captain America. Mais je t'aime et comme tu l'as dit, tant que notre famille est en sécurité, on ira bien.
Tony sourit doucement aux paroles de son mari. Il avait raison, depuis qu'ils étaient devenu parents, leur force était le bien de Peter et leur lien. Ils se comprenaient et ils s'acceptaient comme ils étaient avec leurs qualités et leurs défauts. Mais avant tout, ils s'aimaient.
L'homme de fer vint alors déposer ses lèvres sur celle de son partenaire alors qu'ils s'enlaçaient doucement et tendrement.
— Et dire il y a vingts ans, j'avais envie de frapper ses dents parfaites.
— Et qu'est qui t'a fait changé d'avis, demanda la blonde même si il connaissait la réponse.
— Voyons, Captain, ton cul parfait.
« Le cul de l'Amérique » était le surnom qui le suivait un peu partout maintenant depuis que Tony avait fait la remarque pendant leur voyage dans le temps alors qu'ils étaient en mission pour ramener les pierres. Tony avait toujours fait ce genre de réflexions et bien sûr, Steve avait l'habitude et ça l'amusait même. Après tout, qui s'ennuierait avec un époux tel que Tony Rogers-Stark.
*****
Sur les toits, perché Peter regrettait le temps où le Queens était animé par le crime et les grands-mères demandaient de l'aide à traverser la rue. Le quartier était calme, même trop calme depuis que un nouveau héros est en ville. Mystério faisait son travail désormais. Il ne servait plus à rien dans le Queens.
Peter se sentait un peu seule. Il regardait au loin. L'horizon de la ville était qui était aussi calme. Peter regarda son téléphone, il n'avait aucun message de Wade. Il lui manquait énormément parfois il se demandait si il était vraiment amoureux de cet homme. La réponse était simple : oui. Bien sûr, qu'il était amoureux mais leur dispute de hier lui avait fait ouvrir les yeux. Wade était jaloux et il n'aimait pas la jalousie dans les couples.
— Peter, il va être l'heure de votre couvre feu, lui informa Karen.
Le jeune homme soupira doucement. Ce fameux couvre feu qu'il n'avait jamais enlevé car c'était son père qui lui avait instauré. Il n'avait jamais eu le courage de le retirer car c'était la dernière trace de son père qu'il lui restait de son père.
— Merci, Karen.
Le jeune Spider Man se tourna afin de partir pour rejoindre la tour dans Manhattan. Il se laissait se balancer de toile en toile, laissant le vent glacial lui chatouillait son visage. Il déplaça d'immeuble en immeuble de chaque quartier de New York. Il était vingt heure et la ville qui ne dort jamais était plongée dans l'obscurité seule les fars des voitures et les lampadaires de la ville donnaient la lumière qui sublimait la beauté de cette mégalopole. Il faisait froid, l'hiver était bien installé et il n'était pas prêt à laisser place a printemps.
Peter soupira. Il avait froid et puis il se rappela que son costume était fourni d'un chauffage. Oui, son père savait faire les costumes et il n'oubliait aucun détail.
Alors, qu'il était en train de dépasser un immeuble Peter vit alors une représentation de Iron Man. Les homages à son père étaient toujours présents, si seulement les gens savaient. Tony Rogers Stark était en vie. Iron Man était en vie. Et là, sa voix revenait petit à petit "Iron Man est en vie". "Il t'a menti Peter, Iron Man n'est pas mort."
****
C'était la fin de la soirée, Steve et Tony avaient passé leur journée l'un avec l'autre. Peter n'étant pas là, ils avaient leur journée à eux deux. Le couple était dans leur chambre, enlacé dans les bras de l'un et l'autre. C'était leur moment. Intime certes, mais à eux. Après toutes les disputes et les derniers évènements, ils le méritait.
Tony regardait son époux avec un doux sourire. Il avait faillit le perdre mais comme toujours il lui avait pardonné. Steve était bien trop bon et il le savait. Cependant l'Iron Man ne pouvait pas s'imaginer à un seul moment sa vie sans son époux, sans sa famille. C'était l'une des choses qui chérissait le plus. Sa famille.
— On devrait sortir, murmura Steve. Peter va bientôt rentrer.
Son souffle était chaud contre son cou. Cependant il ne bougea pas, le blond avait gardé sa tête enfouit contre le cou de son époux. Il était juste bien dans ses bras.
— On devrait s'habiller d'abord, dit doucement Tony avec un sourire en coin.
Steve rit légèrement et se redressa en regardant le brun qui était littéralement en train de le dévorer des yeux.
— La discrétion n'a jamais été ton fort à ce que je vois.
— Et c'est seulement que tu t'en rends compte ?
Ils éclatèrent de rire quand soudain les lumières s'éteignirent. Seule la lumière de la ville éclairait la chambre du couple.
— Friday, allume la lumière, ordonna Tony.
Aucune réponse.
Steve fronça les sourcils. Son instinct de soldat était en alerte. Steve s'habilla rapidement en même temps que Tony. Ils sortirent de la chambre.
— On devrait mettre nos costumes, tu ne crois pas ?
— Je suis sûr que c'est une panne de courant, Steve.
Tony était en train de se convaincre mais ce n'était pas bon. Friday répondait même si il avait une panne de courant. L'ascenseur de sorti était coupé, les fenêtres ne pouvaient pas s'ouvrir. Ils étaient confiné avec cette menace qui rodait autour d'eux.
Tony s'avança dans la pièce principale de la Tour. Il ne voyait presque rien mais heureusement que la tour était équipée de fenêtre et que les lumières de New York pouvait illuminer la place.
Soudain Tony sentit un bras qui se posait sur son épaule et le propulsait à l'autre bout de la pièce.
Steve sauta alors sur la silhouette noire qui allait s'en prendre à son époux pour une deuxième fois. Il comprit que c'était un homme. Qu'il était assez intelligent pour couper Friday car Tony ne pourrait pas faire appelle à son costume et devenir Iron Man. Steve essaya de le désarmer, l'homme avait un couteau. Cependant, il connaissait les mouvements de Steve. Il se sentait juste impuissant contre cette menace qui voulaient leurs morts.
— Tu aurais dû te renouveler dans tes mouvements, le vieux.
Steve s'arrêta soudain et se refroidit. Tony se redressa en regardant son époux et cet inconnu. La voix était la sienne. Cette voix appartenait à leur fils.
— Peter, qu'est-ce qui te prends ? Hurla Steve.
— Il faut que je le tue !
Peter lui lança une toile pour coller son père contre le mur. Il sauta alors sur Tony et lui mit des coups de poings dans la figure. Tony n'arrivait pas à se défendre. Il ne voulait pas faire mal à son propre fils. C'était inimaginable qu'il puisse ne serait-ce lui rendre l'appareil.
— Peter, arrête ! Ce n'est pas toi ! Lui cria Steve.
Peter était hors de lui. Il fallait qu'il le tue. Il fallait qu'il tue Iron Man.
— Iron man doit mourir.
— Pete, filston ... Je t'en prie, lui supplia alors Tony.
— Iron Man doit mourir, répéta alors encore et encore Peter.
Steve se détacha en arrachant la toile de son fils. Il fallait qu'il agissait au plus vite sinon il aurait perdu son époux pour de bon. Peter était contrôlé par Beck encore une fois. Mais il ne devait pas prendre de risque à essayer de le résonner. Car il n'avait pas à faire à son fils. Ce n'était pas lui. Il était un ennemi.
Lorsque le captain vit alors son propre fils réussir à reprendre le couteau qu'il avait, il ne pensa pas une seule seconde de plus. Il sauta entre les deux. Rien ne lui était important que sauver sa famille.
— Steve !
Quand Steve tomba par terre. Tony poussa fort son fils le plus loin possible de son mari. Il avait la larme du côté dans l'abdomen. Ce n'était pas bon, le sang coulaient. Il était blessé et cela n'envisageait rien de bon.
Peter eut un sentiment étrange quand il vit la flaque de sans sur le sol.
— Papa ... Non, ce n'est pas possible. Qui a fait ça ?
Tony était juste hors de lui. Bien sûr, il savait que ce n'était pas la faute de son fils mais l'irrationalité l'envahissait. Il était en colère contre son fils. Il était en colère contre lui-même.
Peter éclata en sanglot. Il venait de tuer son propre père. Il ne se souvenait pas de ce qu'il s'était passé mais il l'avait tué. Il s'enfuit alors par la fenêtre par où il était entré et partit loin. Il ne voulait pas revenir. C'était trop dure, il venait de tuer son propre père.
Tony le regarda partir en criant son nom. Il ne voulait pas qu'il parte. Tony soupira. Il fallait soigner son mari d'abord, il rattrapera son fils après. Il prit son téléphone et composa alors la base des Avengers. Tant pis pour sa couverture, la vie de son époux était en jeu.
— Rhodes ? Oui oui, c'est moi. Longue histoire. Ramène le jet et Bruce. Ne pose pas de question, hurla-t-il. Steve est blessé. Viens.
Il raccrocha et serra son époux dans ses bras en laissant ses larmes coulaient contre ses joues. Il avait perdu son fils à cause de Beck et Steve était blessé. La pire de ses peurs était arrivée. Beck avait détruit sa famille.
****
Et voilà les gens c'est la fin.
Je sais, je voulais faire un chapitre tout mignon et tout doux. Mais désolée je ne sais pas faire ça. Bon alors avec le confinement je pense que je serai un peu plus présente. J'essayerai d'écrire rapidement. Enfin j'essayerai.
D'ailleurs, pour ceux et celles qui s'ennuient pendant le confinement j'ai préparé un concours OS; vous pouvez y participer bien sûr. Ou si vous voulez seulement les lire et voter et bien vous êtes aussi les bienvenues. Sinon si vous ne savez pas quoi faire pendant ce long confinement sachez que j'ai deux fictions, une traduction et un recueil OS si vous voulez les lire.
En tout cas, je remercie encore et toujours ceux et celles qui votent, qui mettent des commentaires (mon roulé à la cannelle, carm-army, Elea etc ....). Grâce à vous, cette fiction a atteint les 1.6k et on est à plus de 2k commentaires. Merci ! Merci et merci ! Sérieusement sans vous je n'aurais pas continuer.
Surtout les gens restez chez vous hein. Et prenez soin de vous.
Mrs Rogers.
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