Chapitre 34


PDV de Hokori.

Nous arrivons Kyubi, moi et Madara dans une vallée.

-Madara : Cela ne sert à rien.

Kyubi tire, j'évite l'attaque que de peu. Je sens mon mode ermite qui part. Pas maintenant, j'arrive à le garder actif mais cela me fait souffrir dans tous les membres de mon corps. J'ai l'impression d'avoir été percuté par un ninja de kumo utilisant leur drôle de revêtement défensif de raiton.

-Madara : Alors on ne tient plus debout. Je vais venir t'achever.

Je n'ai pas dit mon dernier mot, tu as baissé ta garde Madara Uchiwa. Cela va te couter la vie.

J'ai une technique parfaite pour toi.

Je vais la faire maintenant.

Approche-toi, approche-toi, plus près, viens contemplez mon visage pour voir ta pseudo victoire.

-Madara : Tu es peut-être plutôt jolie en fait, cela ne serait peut-être pas plus mal de te garder en vie pour te baiser. Je suis sûr que cela foutra en rogne Tobirama de te voir te faire baiser devant lui. En plus j'ai besoin de quelque chose pour me vider les couilles.

Je suis par terre, quel propos blessant, je ne suis pas ce genre de personne.

-Madara : Regarde-moi pour que je puisse te lancer un genjutsu. De cette manière je te baise en attendant l'arrivée d'Hashirama et de Tobirama.

-Hokori : Eh bah bravo, tu es tombé encore plus bas que ce que je pensais, Izuna doit se retourner dans sa tombe en t'entendant parler comme cela.

Je me prends un violent coup de pied dans les côtes qui me fait voler un peu plus loin.

Je sens qu'une d'entre elle se brise sous la force du coup. Mon corps ne doit vraiment plus tenir, j'ai presque utilisé toute mes forces. Il ne me reste juste assez pour une dernière attaque.

La lame de crémation, une technique Katon extrêmement destructrice.

Je sens qu'il plante dans l'une de mes mains une lame pour que je ne puisse pas faire de mudras. Malheureusement pour toi, cette technique n'en nécessite pas.

Je le sens attraper mes cheveux.

Il soulève ma tête au-dessus du sol.

-Madara : Regarde-moi.

J'attrape sa cheville.

-Hokori : Katon, la lame crématoire.

Ma technique se déclenchant me brûlant au passage. Je sens que je passe l'arme à gauche.

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