Épisode 11 : Bon Baiser du Japon

13/06/2032, Shiradu.

Rousseau et Léo étaient en train de repousser certains assassins. Roxane et Clément firent de même.

Rousseau sortit son talkie-walkie.

Rousseau : *talkie-walkie* Cédric ! Répond !

Aucune réponse.

Rousseau : *talkie-walkie* CÉDRIC PUTAIN !

Yasushi : *talkie-walkie* Oui, vous êtes bien sur le répondeur de "Cédric", je ne suis pas disponible pour le moment car je suis décédé, oupsi, vous pouvez laisser un message après le bip et je vous rappellerai, pas.

Rousseau : *talkie-walkie* MERDE !

Yasushi : *talkie-walkie* Le message est enregistré.

Il raccrocha.

Rousseau : Putain...

Léo : Qu'est-ce qu'il se passe ?

Rousseau : Cédric est mort. Les assassins vont bientôt arriver.

Léo : *effrayé*

Rousseau : Reste pas planté là et va chercher une caisse.

Léo : O-Oui ! Tout de suite !

Il parti faire ce qui lui a été demandé.

Rousseau reçu un appel.

Rousseau : *talkie-walkie* Allô ?!

Roxane : *talkie-walkie* Rousseau ! Où êtes-vous ?! On se fait canarder !

Rousseau : *talkie-walkie* Désolé Mademoiselle Lacroix. Mais je dois m'en aller de ce pas !

Roxane : *talkie-walkie* QUOI ?!

Rousseau : *talkie-walkie* Désolé Roxane. Mais je n'ai pas le temps pour vous et Monsieur Dumont.

Roxane : *talkie-walkie* Rousseau ? ROUSSEAU ?!

Clément : Roxane ?

Roxane : *claque le talkie-walkie à terre* PUTAIN IL A RACCROCHÉ ! Je savais que j'aurais jamais dû suivre ce type !

Flashback !

POV Roxane :

Quand j'étais enfant, mon père nous battait moi et ma mère.

Pour n'importe quoi.

La bouffe n'est pas bonne.

Son verre de vin n'est pas servi.

Il a pas reçu sa paye...

Un jour ma mère s'est évanouie sous ses coups.

Ce jour-là, je me suis juré de le tuer.

Alors, en 2022...

POV Général :

Père : R-Roxane... *crache du sang*

Roxane : Je t'ai toujours dit de faire gaffe à ce que tu bois.

Père : Roxy... À ton propre père ?...

Roxane : Tu n'es pas mon père, tu n'en es pas digne.

Père : Et toi ? Tu te crois digne d'être ma fille ? Tu t'habilles comme une pute, à 17 piges ! T'as quitté l'école à 15 ans ! Ta mère aurait mieux fait de t'avort-

Elle le fit taire en l'embrochant la tête avec son talon aiguille.

Roxane : Adieu Lieutenant Pierre Lacroix. Flicaille de merde !

Plus tard, dans une ruelle sombre.

Roxane : *crise de stress* Je l'ai fait ! Je l'ai buté ! Qu'est-ce que va dire maman ?!

? : Un problème, jeune fille ?

Roxane : Q-Qui êtes-vous ? N'approchez pas ! V-Vous le regretterez !

Un trentenaire sortit de l'ombre.

Rousseau : *sourit* Oh mais je n'en doute pas.

Roxane : Bordel vous êtes qui ?!

Rousseau : Anthony Rousseau. Ancien militaire renvoyé. Désormais je dirige ma propre entreprise.

Roxane : Qu'est-ce que vous voulez que ça m'foute ?!

Rousseau : On a besoin de quelqu'un comme toi dans mon entreprise.

POV Roxane :

Il m'a ensuite expliqué en quoi consistait son entreprise.

Et je l'ai rejoint, pour pouvoir faire vivre ma mère.

Mais je détestais Rousseau. Lui et ses remarques sexiste et raciste.

Je l'ai suivi pendant dix ans. Ce fût je pense, ma plus grande erreur.

Fin du Flashback !

Clément : Roxane ? Roxane ?!

Roxane : *surprise* Q-Qu'est-ce qu'il se passe ?

Clément : Cédric est mort. Rousseau et Léo se sont barré. Personne ne peut les retenir.

Roxane : On fait quoi ?!

Clément : Vous vous pouvez fuir, moi je les retiens !

Roxane : Non !

Clément : Roxane c'est pas le moment ! Fuyez ! Vite !

Roxane : J-Je...

Clément : ALLEZ-Y !

Finalement, Roxane parti, écoutant son second.

Clément soupira avant de se retourner vers les assassins.

Clément : Ramenez-vous !

Clément commença à abattre 4 assassins.

Quand soudain, un homme avec un batte de base-ball cloutée débarqua derrière lui.

Clément : NON ! ATTEND-

L'homme le frappa au ventre, l'envoyant contre un mur.

Il s'évanouit, son ventre ouvert.

Roxane, déjà loin, regarda derrière elle, voyant Clément au sol.

Elle vit aussi l'homme lever sa batte, prêt à lui fracasser le crâne.

Roxane : CLÉMENT ! RÉVEILLE-TOI !

Mais trop tard, l'homme frappa de toute ses forces, lui explosant la tête.

Roxane, traumatisée, s'engouffra dans la forêt.

Taiyo l'avait vu partir de son œil.

Leiko : Taiyo ! T'es vivant !

Taiyo : Leiko ! Je suis heureux que tu n'es rien ! As-tu vue Hisoka ?

Leiko : Oui. Mais il est parti.

Taiyo : Koemi a fait de même.

De l'autre côté, sur un route, Rousseau abattu les assassins qui le poursuivies.

Il descendit une pente et courut jusqu'à une voiture, où Léo, était déjà au volant.

Il monta côté passager.

Rousseau : Vite démarre !

Léo : J'essaie !

Soudain, Hisoka glissa sur la pente, fusil à pompe à la main.

Rousseau l'aperçu.

Rousseau : LÉO ! BAISSE-TOI !

Hisoka appuya sur la gâchette, repeignant la voiture de sang et de débris de verre.

Rousseau s'était baissé à temps.

Il releva la tête pour apercevoir Léo, mort, la tête à moitié explosé.

Rousseau : BORDEL !

Il réussit à sortir de la voiture, évitant une deuxième balle, qui déglinga la portière.

Hisoka tenta de tirer, mais il n'avait plus de balles.

Hisoka : Merde !

Rousseau sortit de la voiture, tirant sur le japonais, sans succès.

Il commença à fuir en courant, Hisoka le poursuivant.

Hisoka : Tu n'iras pas bien loin le vieux !

Rousseau continua à courir, tournant la tête pour apercevoir Hisoka.

Rousseau : Putain ! Il court vite !

Il se retourna et aperçu avec stupeur, Koemi, fusil à pompe à la main, devant lui.

Rousseau : OH MERD-

Elle lui tira dessus au ventre, le propulsant quelques mètres plus loin.

Rousseau au sol, ne bougea plus.

Koemi : Ça fait mal de se prendre une balle, pas vrai ?!

Rousseau : J'ai un gilet par balle sale conne.

Il se prit un méchant coup de pied à la tête par Hisoka.

Hisoka : Dis-nous pour qui tu bosse.

Rousseau : C'est moi le patron.

Hisoka : Qui est le commanditaire ?

Rousseau : Vous pouvez toujours courir pour que je vous le dise.

Hisoka : Alors toi...

Koemi : Laisse-moi faire.

Elle se baissa.

Koemi : Dis-moi ? Le falzar par balle, ça existe ?

Rousseau : C'est quoi cette question conne ?

Koemi : *sourire* Juste pour savoir.

Elle sortit son revolver et pointa son canon au niveau de ses testicules.

Rousseau : *apeuré* Q-Qu'est-ce que tu fous ?!

Hisoka : *dubitatif* Eeeuh... Bel'Ange ?

Koemi : Tu m'as tiré dans le nichon à la décharge ? Je ne fais que te rendre la pareil.

Rousseau : T-Tu n'oserais pas !

Koemi : Elle appuya sur la gâchette.

Rousseau : AAAAAAAAAAARGH !

Même Hisoka eu mal, étant un homme, il ne pu qu'imaginer la douleur.

Koemi : Réponds à ma question ou je t'explose la deuxième ! Qui-est-ton-PUTAIN-DE COMMANDITAIRE !

Rousseau : *endolori* O...

Koemi : J'écoute ?

Rousseau : *endolori* Omoshi... Rokunai...

Hosoka/Koemi : PARDON ?!

Rousseau : *endolori* OMOSHI ROKUNAI !

Hisoka : *encore choqué* Allons prévenir les autres.

Koemi : Oui.

Rousseau : *rit,endolori* Il va vous détruire...

Elle lui explosa la deuxième.

Rousseau : AAAAAAAAAAARGH !

Hisoka : Putain Bel'Ange !

Elle se releva.

Koemi : Allons-y. Je pense que tout les mercenaires sont morts.

Hisoka : Et on fait quoi de lui ?

Ils se retournèrent vers le le quarantenaire encore au sol, se tenant le bas et se tortillant de douleur.

Rousseau : Sales... Bâtards de japonais !...

Ils se regardèrent, haussèrent les épaules avant de lui mettre, chacun, une balle dans la tête.

Ellipse.

Assassins : QUOOOOOOI ?!

Hisoka : Vous avez très bien entendu.

Koemi : Omoshi Rokunai est bien le commanditaire.

Koshiro : Mais oui je vois !

Hiroki : N-

Sadao : Ta gueule.

Koshiro : Ça fait sens ! Rokunai est notre patron à tous. Lorsqu'il nous envoyait en mission, c'était un piège, on croisait tout le temps des français.

Assassin 1 : L'aveugle a raison !

Assassin 2: On va se le faire ce bâtard !

Assassins : OUAIS !

Hisoka : TOUS AU MANOIR ROKUNAI !

Ellipse.

Ils arrivèrent en voiture, qu'ils avaient "empruntés" aux mercenaires, et se garèrent devant le portail.

Garde : EH ! Que faite vous ?!

Anzu : Ta gueule.

Elle lui tira dans la tête.

Ayaka appuya sur l'interphone.

Suki (secrétaire) : *apeurée* Eeeuh... O-Oui ?

Ayaka : Bonjour ma belle. On aimerait prendre rendez-vous avec Monsieur Rokunai. C'est urgent.

Anzu : On va lui arracher la gueule !

Koemi : En toute amitié.

La voix de l'interphone changea brusquement.

Omoshi : QUE FAITES-VOUS TOUS ICI ?! VOUS DEVRIEZ ÊTRE MORTS !

Koemi : On est assez difficile à tuer.

Anzu : Mais vous ce sera tout le contraire !

Omoshi : Putain de français ! Putain de Rousseau ! C'est lui qui vous a dit ça ?!

Yuji : En effet ! Tu veux lui faire un bisou ? Regarde !

Il sortit la tête décapitée de Rousseau d'un sac et le brandit devant la caméra.

Omoshi : OH MERDE !

Assassins : *dégoûtés*

Daichi : Depuis quand t'as ça sur toi ?

Yuji : T'occupes.

Miyoko : Beurk...

Omoshi : V-Vous n'arriverez jamais jusqu'à moi !

Ayaka : Oui oui c'est ça. Allez. Bisou.

Elle tira sur l'interphone.

Anzu : ON Y VAS !

Assassins : OUAAAAIS !

Koshiro ouvrit le portail cadenassé d'un coup de pied.

Les assassins entrèrent dans le manoir.

À suivre...

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Bonus : Top Secret !

-Koemi n'a pas beaucoup aimé l'endroit où Rousseau lui avait tiré dessus dans l'épisode 1.

-Yuji a décapité Rousseau juste avant de partir, car ce dernier était sur son chemin.

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Merci encore de suivre mon œuvre !

Ceci est l'avant dernier chapitre du Tome 2 !

À bientôt !

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