Épisode 1 : Bon Baiser de France
2 semaines c'était écoulé depuis le décès du jeune Nobu Satō.
Son frère de cœur et de bandana, Taiyo Shimizu, avait assisté à ses funérailles avec tout l'ensemble de l'orphelinat et Leiko pour l'épauler dans cette terrible épreuve.
Cela faisait donc 2 semaines que le jeune Taiyo se morfondait dans sa chambre d'orphelinat.
Ayant oublié la promesse qu'il avait fait à son meilleur ami :
Taiyo :
Ellipse.
07/06/2032, QG Mutō.
Osamu était dans son jardin, observant ses 4 nouveaux apprentis s'entraîner et qui formaient désormais à eux seul, la 4ème Génération des Mutō :
- Dani, un jeune garçon de 14 ans au cheveux courts et roux, avec des yeux bruns.
- Kazumi, une jeune fille de 14 ans au cheveux longs et blonds, avec des yeux bleus.
- Hichirou, un jeune garçon de 14 ans au cheveux très courts et noirs, avec des yeux bruns profond.
- Et Kai, un jeune garçon de 14 ans au cheveux courts et noirs, avec des yeux bruns.
Ils étaient plus normalement, mais le nombre à été grandement réduit depuis la Bataille de Katō il y a deux semaines, où seul 2 membres de la 3ème Génération était revenu en vie.
Osamu rentra à l'intérieur pour se servir un verre de saké.
Mais il entendit la sonnette de l'interphone.
Il regarda l'interphone et remarqua que c'était Leiko, en sang.
Il se dépêcha d'ouvrir et Leiko entra dans le QG.
Osamu : *inquiet* Leiko ! Ça va ?
Leiko : Ne t'inquiète pas. C'est pas le mien.
Il fut soulagé, mais remarqua tout de même que Leiko était extrêmement fatiguée.
Osamu : Dure journée, hein ?
Leiko : Oui... Mais je commence à m'y faire de buter des gens, tant qu'ils sont mauvais, ça ne me gêne pas plus que ça...
Osamu : Tu devrais essayer de prendre congé, ce n'est pas bien de trop travailler comme ça...
Leiko baissa la tête, depuis que Taiyo était en dépression, elle enchaînait le travail jour et nuit et ne se reposait que très peu, voir même pas du tout. En ce moment, elle enchaînait les nuits blanches...
Si elle faisait tout ça, c'était pour que Taiyo ne se fasse pas mal voir par leurs employeurs.
Elle enchaînait alors le travail de Taiyo, la fatigant énormément.
Leiko : Tu sais que je ne peux pas...
Osamu : Alors dans ce cas, il faut faire en sorte que Taiyo revienne.
Leiko : Très bien je vais aller le voir
Osamu : Non tu vas tout d'abord te reposer tu n'as même pas regardé ta tête tu as presque encore plus de rides que moi.
Leiko : *pouffe de rire* Tu as raison...
Elle donna alors le contrat à Osamu, afin qu'il puisse le valider et elle rentra chez elle, sachant qu'elle allait recevoir sa paye en fin de semaine.
Ellipse.
07/06/2032, Orphelinat de Injigo.
Les employés de l'orphelinat étaient inquiet.
Les enfants de l'orphelinat étaient inquiet.
Car Taiyo ne sortait plus de sa chambre. Il restait en pyjama (t-shirt, jogging) toute la journée et n'allait nulle part.
Nobu était mort.
Il était la raison pour laquelle il se battait.
Il était son meilleur ami.
Il était son frère.
Il toucha le bandana qui était posé sur son front, puis regarda le deuxième, posé sur sa table de chevet. Cela faisait 2 semaines qu'il n'était plus sur le front de son propriétaire.
Taiyo se mit à sangloter dans son lit.
Puis on toqua à sa porte.
Taiyo : Laissez-moi s'il vous plaît... Je veux être seul...
La porte s'ouvrit tout de même.
Taiyo : Je vous ai dit de-
Il se figea en voyant Leiko.
Elle portait ses vêtements qu'elle ne portait pas lorsqu'elle était une assassin, c'est-à-dire ; un jogging gris et une veste verte.
Elle semblait lavée aussi. Probablement le travail qui l'avait tâchée avant.
Elle avait moins de rides que d'habitude, elle semblait avoir dormi, probablement deux heures seulement.
En effet, "que d'habitude", car Leiko passais maintenant souvent à l'orphelinat pour voir comment Taiyo allait et aussi pour lui donner un peu de nourriture. C'était la seule chose dont Taiyo se nourrissait. La nourriture de Leiko était délicieuse, elle savait parfaitement bien cuisiner, un talent que lui avait refilé sa mère.
Elle s'asseya sur son lit.
Leiko : *inquiète* Ça va ?
Taiyo détourna le regard, il était toujours gêné que Leiko s'asseyait sur son lit et regardait sa chambre, alors que lui était en pyjama.
Leiko : Taiyo... réponds-moi s'il te plaît...
Il n'aimait pas entendre sa voix triste, elle qui normalement était toujours joyeuse.
Elle commença à lui caresser les cheveux, pour qu'il commence à la regarder et lui parler.
Bien que cela ne fasse juste rougir le jeune homme, qui se cacha dans sa couverture.
Et si je te donnais un petit peu de mes lasagnes que je t'ai apporté est-ce que tu me répondrais.
À l'entente de ces mots, il hocha un petit peu la tête, même s'il refusait de se nourrir, il devait avouer qu'il ne pouvait pas refuser sa nourriture à elle.
Il s'asseya et Leiko lui donna avec un sourire, un Tupperware avec des lasagnes.
Bien que froid il commença à manger.
Il vit Leiko le regarder manger, le gênant un petit peu.
Taiyo : C'est délicieux Leiko. Comme toujours.
La jeune fille rougit un petit peu.
Leiko : La cuisine, je tiens ça de ma mère. Au départ, quand j'étais petite, je voulais devenir cuisinière et ouvrir plein de restaurants sur l'île ! Mais bon... ça c'était avant...
Il continua à manger et Leiko décida de lui poser une question.
Leiko : Taiyo, c'est quand que tu reviens ?
Il c'était un petit peu attendu à cette question.
Taiyo : Je ne sais pas...
Ce que Tayo ne savais pas, c'était que Leiko travaillait à sa place.
Leiko : Tu veux faire quelque chose ? On peut jouer à un jeu vidéo si tu veux ? J'ai assez de temps à vrai dire.
Il jouait beaucoup aux jeux vidéos avec Nobu avant, mais face aux beaux yeux dorés de Leiko, il ne pû lui refuser.
Ils commencèrent alors à jouer à Street Fighter.
Leiko l'avait défoncé.
Ellipse.
07/06/2032, Décheterie de Injigo.
? : ARRÊTEZ ! DÉGAGEZ !
Hisoka : RAMÈNE-TOI ENCULÉ !
Koemi : Revenez Keisuke !
Keisuke Tachibana était un criminel recherché pour le meurtre d'une prostituée du quartier sud.
Ce dernier commença à courir en tirant, bien qu'il n'avait plus de balle, mais il fut pris au piège derrière un grillage.
Il commença à grimper, mais reçu une balle dans la jambe, livré par Hisoka.
Il tomba au sol en se tenant la jambe.
Keisuke : ARGH ! BÂTARD !
Hisoka rechargea son arme.
Hisoka : J'ai ton nom sur ma liste.
Keisuke : NON PITIÉ !
Koemi : *sourire* Bye-bye.
? : Hep-Hep-Hep ! C'est MA prime.
Hisoka et Koemi se retournèrent pour croiser Poker.
Koemi : Tiens ! Salut Poker !
Poker : *lui tire son chapeau* Bonsoir mademoiselle Hidaka.
Hisoka : Poker.
Poker : Koizumi.
Hisoka : Qu'est-ce que tu branles ici ?
Poker : Je suis là pour la prime qu'on m'a confié.
Hisoka : C'est pareil pour nous ! Et on était là avant !
Poker : Ah je suis désolé mais je peux pas laisser passer ça.
Il sortit ses cartes affûtées qu'il utilisait comme shurikens.
Poker : Laissez-moi m'en charger, vous savez très bien que je déteste quand on s'attaque aux femmes.
Koemi : Eeeeuh... les garçons ?
Hisoka/Poker : Oui ?
Koemi : Il se barre.
Les deux hommes se retournèrent pour voir le fugitif tentant de courir avec sa jambe en sang.
Alors que Hisoka pointa son arme vers l'homme et que Poker fit de même avec une de ses cartes, un coup de feu se fit entendre et l'homme tomba à terre avec une balle dans la tête.
Koemi : Qu'est-ce qui se passe ?
Poker : Qui a tiré ?
Hisoka : J'en sais rien moi !
Ils s'approchèrent du corps, mais Poker rattrapa Hisoka et Koemi et les mirent derrière un muret.
Hisoka : Qu'est-ce que tu fous ?
Poker : *chuchote* Tais-toi ! Regardez.
Il se retournèrent pour voir plusieurs personnes parler avec un accent bizarre, un accent européen.
Surtout un, il était assez grand aux yeux verts, avec des cheveux gris et il avait un léger accent, provenant probablement du nord de la France.
? : Il est mort. Un de moins ! Joli tir Cédric !
Un homme aux cheveux noirs mal coiffés, aux yeux verts et une barbe assez mal soignée sourit, c'était lui qui avait tiré avec l'aide de son sniper.
Cédric : Merci monsieur Rousseau.
Rousseau : J'ai quand même entendu plus qu'une voix, il doit y avoir encore du monde.
Cédric : Vous êtes sûr ?
Rousseau : On va fouiller. Escouade Alpha ! Allait fouiller !
Hisoka : *chuchote* Merde !
Koemi : *chuchote* On fait quoi ?
Poker : *chuchote* Je vais faire diversion d'un côté et vous vous allez partir et prévenir Mutō.
Koemi : *chuchote* Quoi ?!
Hisoka : *chuchote* T'es sûr ?
Poker : *chuchote* vous inquiétez pas j'ai encore quelques cartes dans ma manche. *clin d'œil*
Il commença à partir en faisant du bruit pour attirer les français.
Hisoka : *chuchote* Allez on y va.
Alors qu'ils commencèrent à partir, ils entendirent une arme se charger devant eux et virent Rousseau avec une mitraillette.
Koemi : Merde !
Hisoka : BEL'ANGE ! BAISSE TOI !
Hisoka se baissa pour éviter les balles qui fusèrent de partout.
Au moment où les tirs s'arrêtèrent, Hisoka tourna la tête pour voir Rousseau avec un sourire méchant et fier.
Hisoka : Pourquoi il sourit comme ça celui-là ?
Koemi : Hi...soka...
À l'entente de cette petite voix, qui n'était nulle autre que celle de son amie, il se tourna pour voir Koemi, se tenant la poitrine, blessée.
Hisoka : BEL'ANGE !
Il s'agenouilla à ses côtés et l'a prit dans ses bras, en posant sa main sur la blessure, qui n'arrêtait pas de saigner.
Koemi : *pleure* J'ai mal...
Hisoka : *retenant ses larmes* Ça va aller ! Je suis là !
Koemi : Hisoka...
Hisoka : *pleure* Je vais t'emmener à l'hôpital, d'accord ?!
Koemi : Je... t...
Elle commença à fermer ses yeux.
Hisoka : *pleure* BEL'ANGE !
Elle ferma ses yeux, le sang continua à couler de ses lèvres et de sa poitrine.
Hisoka : KOEMI !
À suivre...
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Bonus : Top secret !
-L'auteur n'a pas réussi à attendre et à donc sorti la suite.
-Leiko a commencé à se faire à la vie d'assassin.
-Taiyo a gardé le bandana de Nobu.
-Leiko rougit plus souvent aux compliment de Taiyo.
-Koemi est tombé dans les pommes.
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Bonjour/Bonsoir tout le monde ! J'espère que vous allez bien !
Oui je sais, j'ai pas attendu très longtemps pour sortir ce chapitre, mais je ne pouvais pas résister !
Et comme je l'ai dit dans le chapitre précédent, je préfère clairement ce tome au premier !
Il y aura beaucoup plus d'histoires, de personnages, d'information et d'action !
Merci encore !
Et bonne journée/soirée !
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