Meh...je sais pas...poème ?
C'est pas trop un poème mais bref.
Et puis bon hein, je suis pas poète XD je me prend pas au sérieux.
🤔 le sujet est pas marrant-marrant, j'espère quand même qu'on comprend ce que c'est.
Bref bref j'ai fait ça
Le poids, lourd, du couteau pèse
Et pèse comme les actes
Dans la main blanche.
L'éclat tranchant du couteau
Et les doigts rouges et tremblants
Coupent l'afflux
Du sang bleu dans les veines pliées.
Celui sagement dans les veines et pas
Celui qui glisse et ruissèle, sur la lumière agressive
S'accrochant à l'acier,
Comme les doigts accrochés au poignard.
Accrochés
Au poids,
Au poignard,
lourd de conséquences.
Et le poids encore du barrage de haine qui cède
La vague écarlate de violence,
Celle qui vient ronger le carrelage, blanc comme le laiteux de sa chair souple,
D'une conquête féroce,
Venir lécher les pieds de la femme.
La femme-ciel à la peau marbrée de rouge,
Aux nuages de bleu et de violet,
Qui dansent sur la peau attendrie,
Les chaires battues,
La délicatesse désarticulées
D'une épaule, d'un bras, d'un poignet
Trop fin, martyrisé, tordu
Qu'on a saisit avec la violence d'une jalousie froide.
L'âme silencieuse, gorgée de douceur égorgée.
Et les tissus soyeux de ses espoirs lacérés.
Et les bibelots délicats de ses rêves, balancés aux chiens,
L'innocence trop légère pour la pression,
Ne laissent ensuite que des tapis de tessons tranchants blessés blessant.
La lourde pression de ses doigts rudes quand il ne l'habille plus que
De poignes brusques et calleuses
Entre le velours complices des draps
Élimer sa pudeur vulnérable
Jusqu'à la corde, jusqu'à la corde qui claque
Qui casse, comme une pommette craque sous un poing.
La pression trop lourde, qui brise les barrages qu'elle érige.
La vague cramoisie et métallique
Épaisse, poisseuse,
Malsaine et malodorante,
La puante et lourde vague qui s'abat, et fait s'abattre le couteau,
D'un seul coup, c'est assez,
S'enfoncer la lame à travers les muscles,
S'y loger, forcer contre l'inutile résistance d'une peau en papier de verre.
D'un couteau aigüe de violence refoulé
Qui soudain s'abat et sort la violence hors de son coeur,
Comme un cri.
Elle crève l'amas de silence putride,
Et dérobe la vie
Pour enfin
Retrouver la sienne.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top