Klaus Heissler

Tout de déroule en 1944.

???: T'es vraiment sur ?

???: Bien sûr Marika. Je veux me battre pour créer un pays meilleur pour notre enfant.

Marika : mais Klaus ! Imagines si tu meurt ! Je supporterai pas ton absence...

Klaus : ne t'en fais pas. Je suis fort ! Je reviendrai !

Marika sauta dans les bras de son mari en pleurant.

Klaus l'embrassa.

Klaus : je t'aime. Prends bien soins de notre enfant s'il né avant que je revienne.

Il attrapa son arme.

Marika ferma sa veste de guerre en lui souriant.

Marika: bonne chance. Je t'aime.

Klaus parti en saluant sa femme.

Il monta dans un camion avec pleins d'autres soldats.

Le camion s'éloignait de Berlin et Klaus voyait sa maison s'éloigner.

Il restait dans le camion, ne parlant à personne, pensant à sa famille en souriant.

Il était impatient d'élever son fils.

Un soldat lui tapota l'épaule en ricanant.

Le soldat : alors ? Toi tu dis rien ?

Klaus : Hum ? Désolé... Je pensais à ma femme.

L'allemand se fit incrusté dans la discussion.

Ils arrivèrent à une base de guerre.

Ils devaient combattre les soviétiques pour ne pas qu'ils rentrent en territoire allemand.

Klaus se battait.

Il avait déjà été blessé quelques fois mais jamais rien de grave.

Mais les soldats américains et Russes les avaient encerclé.

Un général américain : bien. On vous laisses le choix. Sois vous êtes prisonniers Russes et on vous livre. Sois vous êtes prisonniers américain et vous vous accrochez à nos tanks et on vous embarque.

Beaucoup essayèrent de fuir mais furent tué par les soldats américains.

Klaus était effrayé. Il choisit d'être prisonnier américain, les russes étant bien trop hard.

Il s'accrocha à un tank, ne voulant pas mourir.

Il du rester accrocher plusieurs heures avant d'être jeté dans une cellule par les soldats.

Klaus paniquait. Comment il allait rejoindre sa femme !?

Une nuit il n'arrivait pas à dormir.

Et il entendit un garde et un agent en costume noir parler ensemble.

L'agent : bha quoi ? On aurait juste besoin d'un des soldats pour nos expérience.

Le soldat : euhm... Vous avez le droit ?

L'agent : bien sûr. En plus on aura qu'à dire qu'il est mort à la guerre.

Le soldat leva les yeux en l'air.

PDV Klaus

L'agent et le soldat s'approchèrent de ma cellule.

Bon sang pourquoi j'ai arrêté de faire semblant d'être malade !

Le soldat ouvrit la cellule et me mis des menottes en me tendant à l'agent.

Le soldat : il vous va ?

L'agent : ouai tout le monde va.

Le soldat me poussa vers l'agent.

Je me fis mener à une voiture et assis derrière.

Je parlais un peu anglais alors je pouvais totalement parler avec les américains.

Klaus : euhm... Où est-ce qu'on va ?

L'agent ne me répondait pas.

Je me fis endormir finalement.

Je me réveilla dans une autre cellule, attaché.

Où est-ce que je suis ?

Un gars en blouse de scientifiques entra et m'injecta un truc bizarre.

Klaus : quesque vous me voulez ?

Le scientifique : oh tu parles anglais. On a besoin de toi pour une expérience très importante.

Klaus : je suis où ???

Le scientifique : à la CIA.

Klaus : CIA ? C'est quoi ?

Le scientifique : ce n'est pas encore officiellement crée. Bref. Quel est ton nom ? Qu'on puisse te nommer au lieu de t'appeler numéro 1.

Klaus : je m'appelle Klaus... Klaus Heissler...

Le scientifique : bien Klaus.

Klaus : quesque vous m'avez injecté... Je me sent bizarre...

Le scientifique : une substance faites pour notre expérience.

Klaus : et c'est quoi votre expérience ?

Le scientifique : tu le découvrira sûrement demain.

Le scientifique s'en alla en me laissant seul.

Je paniquait complètement.

Quesqu'ils me veulent !? Je veux rentrer chez moi... Je veux voir Marika... Je veux voir mon enfant...

Je m'endormi épuisé en pleurant.

Le lendemain, je me réveilla en entendant du bruit.

J'avais un énorme mal de tête et je me sentais complètement épuisé...

On me détacha et me posa dans une énorme machine.

Klaus : Je vous en prie... Lâchez... Moi...

Je n'arrivais pas à bouger énormément. Je me sentais bien trop épuisé.

On m'enferma dans la machine.

Je sentis une énorme douleur me traverser et je m'evanoui en entendant un énorme bruit.

J'ouvris mes yeux...

Combien de temps j'étais resté dans cet état ? Je ne sais pas...

Je me sentais... Étrange...

Les scientifiques me regardaient en semblant vraiment content.

Je sentis une nouvelle énorme douleur me traverser...

Bon sang mais quesqu'il se passe !?

J'avais l'impression de sentir de l'eau contre mon corps.

Un scientifique m'attrapa dans sa main.

Bon sang !? Pourquoi je fais la taille de sa main.

Je me sentais moins fatigué.

Klaus : quesqu'il m'arrive...?

Je tentais de me débattre.

Le scientifique me brandit au dessus de lui et je me sentais étouffer.

Le scientifique : on a enfin réussi !!!

Il me posa dans ce qui semblait être un bocal rempli d'eau.

Étonnamment, je réussi à reprendre mon souffle.

Klaus : bon sang ! Quesqu'il m'arrive !?

Les scientifique sortirent, sauf celui qui m'avait parlé en premier.

On me releva la tête.

Le scientifique : Klaus ?

Je haucha la tête paniqué.

Le scientifique: c'est parfait.

Il attrapa un miroir et le posa devant moi.

Dans le miroir je ne me voyais pas... Mais je voyais le reflet d'un petit poisson.

Un poisson au tâches blanches sur le corps...

Je recula paniqué en regardant mes mains.

J'avais des nageoires !?

Je me mis à hyperventiler en me mettant en boule contre une paroie, me mettant à pleurer.

Le scientifique posa une gamelle rempli d'eau et une rempli de nourriture à côté de mon bocal, avant de me laisser.

Je pleurais.

Je veux pas être un poisson... Je veux retourner chez moi... Quesqu'il m'arrive !? Je veux me réveiller !!!

Je vis deux scientifiques tirer mon corps humain au sol.

Mon corps semblait sans vie...

Je voulu m'approcher mais je n'arrivais pas à me déplacer.

Je réussis à remuer ma nouvelle queue de poisson mais je sentis une énorme douleur me traverser, me faisant hurler.

Deux scientifiques entrèrent.

Un scientifique : est ce que ça va Poisson ?

Klaus : j'ai mal!!! J'ai tellement maaaaaaal !!!!!!!!

Me tortillait dans tous les sens.

Un scientifique m'attrapa et me plaqua.

L'autre m'étudiait.

J'avais la tête dans un bol d'eau pour pouvoir respirer.

Les scientifiques faisaient que de répéter le fait que j'étais extrêmement important et qu'ils ne pouvaient pas me perdre.

Je souffrais tellement que je perdu connaissance.

J'ouvris mes yeux en frottant ma petite frimousse de poisson.

J'avais assez faim... Du moins... Je crois... Je savais pas du tout comment était constitué un poisson...

Je regarda la gamelle de nourriture....

Certe... Ça n'avait pas l'air très appétissant.

Je me hissa hors du bocal, m'éclatant dans la gamelle d'eau.

Je tira la gamelle vers moi en regardant le contenu.

Ça ressemblait à du pâté.

Je renifla en tapotant ma nageoire sur la nourriture un peu dégouté.

Un autre scientifiques entra et me vis regarder la nourriture dégouté.

Je le regarda également.

Klaus : donnez moi de la meilleure nourriture... Je vous en prie...

Le scientifique : c'est parfait pour toi. Tu vas mieux ?

Klaus : merci de t'inquiéter... Je ...

Le scientifique : hey ! Toi tu nous vouvoie.

Klaus : pourquoi ??? Toi tu me tutoie !

Le scientifique : car tu es un poisson le nazi.

Il enfonça ma tête dans le pâté.

Il remua bien ma tête dedans, de grosses douleurs traversant mon corps.

Klaus : pourquoi vous m'avez mis dans un vieux poisson !

Le scientifique : un vieux poisson ? On t'as mis exprès dans un poisson tout jeune et en excellente santé.

Klaus : c'est pas ce que je sent... J'ai mal dans tout mon corps...

Le scientifique : tiens ça c'est bizarre.

Il me lâcha et sorti.

Je remua la tête et me lava le visage.

Je mangea un peu de pâté... C'était répugnant...

Mais j'avais assez faim...

Les autres scientifiques entrèrent en discutant assez inquiet.

J'arrivais pas à distinguer ce qu'ils disaient mais j'entendais juste mon nom. Ils étaient assez paniqué.

Je commença à paniquer moi aussi...

J'avais aucune idée de comment c'était possible que je sois coincé dans ce poisson...

C'était pas naturel du tout...

Et vu comme ils paniquent je vais surement avoir énormément de problème...

Je pourrais jamais rencontrer mon enfant...

Je me serai battu pour rien...

On leva une de mes nageoires.

Je ne bougeait pas, vraiment inquiet...

Klaus : est ce qu'un jour je vais retrouver mon corps ?

Tous les scientifiques arrêtèrent de parler en me regardant.

Ils se mirent à rire.

Un scientifique : on a trop besoin de toi pour te rendre ton corps. En plus le poisson qui devait avoir ton corps n'a pas survécu. Ton corps est mort.

Klaus : même si je redevient pas moi... Est-ce qu'un jour je pourrais retourner en Allemagne auprès de ma femme ?

Un scientifique : bien sûr que non.

Je sentis des larmes couler sur mes joues de poisson.

Je voulais pas rester dans ce laboratoire pour toujours... Tout le monde devait penser que j'étais mort.

Et je ne pouvais rien faire... Déjà humain j'étais complètement maîtrisé.

Mais maintenant j'étais un poisson... Un stupide et petit poisson...

J'entendis juste un des scientifiques dire : on doit le maintenir en vie au maximum.

Je détestait ma nouvelle apparence.

Il passa plusieurs semaines où j'étais étudié dans tous les sens.

Plus les jours passèrent et plus je souffrais.

J'avais tous les jours de grosses douleurs traversant mon petit corps de poisson...

Personne ne comprenait ce qui me faisait ça.

Un an passa.

Mon enfant était déjà né... Moi j'étais coincé ici...

Quel nom Marika lui avait donné ? Est ce que c'est une fille ou un garçon...? À quoi mon enfant ressemblait...?

Je souffrais énormément...

Chaques mouvement que je faisais avec ce stupide corps me faisait souffrir...

Je passais donc mes journées couché dans un bol.

Je m'ennuyait... Tout ce que je faisais c'était manger et dormir.

Les scientifiques avaient réussi à mettre un autre humain dans un poisson avec plus de succès.

Lui ne souffrait pas du tout. Je lui avait parlé qu'un seul fois pour lui dire bonjour.

J'avais énormément grossi puisque je ne pouvais plus faire aucun mouvement...

Tout ce que je voulais, c'était qu'on m'euthanasie enfin...

Je n'allais jamais revoir ma femme et mon enfant... Alors à quoi bon...

Les scientifiques m'avaient complètement laissé de côté depuis l'arrivé de l'autre Poisson.

Ils faisaient juste que de me nourrir et de changer mon eau.

Pourquoi c'est moi le premier ! Pourquoi !!!

Klaus : je vous en prie... Tuez moi...

Les scientifiques : tu vas guérir. Continues de rester là sans bouger, ça va surement guérir.

Il posa l'autre personne poisson dans la même salle que moi et tous les scientifiques partirent.

Il réussi à se mettre dans un petit bol et s'approcha de moi.

Il me regarda amicalement.

Il lui tendu une nageoire.

???: Bonjour ? C'est la première fois que j'ai l'occasion de vous parler.

Il me souria.

???: moi c'est John ! Et vous ?

Je pris sa nageoire non sans douleur.

Klaus : je m'appelle Klaus...

John: et bien enchanté ! Pourquoi vous ne bougeait jamais ?

Klaus : je souffre trop quand je bouge... J'ai du chopper une maladie de poisson... Je suis épuisé... Ma femme me manque...

John: vous avez un fort accent allemand non ?

Klaus :... Ouai... Je viens d'Allemagne... J'ai été capturé par l'armée américaine... Et ils m'ont fouttu dans ce truc...

John: moi ils m'ont capturé quand je me promenait en forêt...

Klaus : je suis désolé pour vous...

John : au contraire... Ça me fait de la peine de vous voir autant blessé...

Klaus : vous pouvez me passer la nourriture ?...

John: euhm... Ok.

John attrapa un peu de nourriture dans une nageoire et la mis dans ma bouche.

Je mâchait calmement...

John me regardait en souriant.

Il se coucha à mes côtes.

Je m'endormi.

Les jours passèrent et maintenant, John restait tous les soirs dans la même salle que moi.

Je sais pas ce qu'il avait mais il aimait bien se coller à moi.

Je me sentais tellement mal...

Maintenant même sans bouger je souffrais.

J'étais énorme...

Un jour, John et moi étions seul.

J'essayais de dormir...

J'entendis John se mettre devant moi.

J'ouvris mes yeux en le regardant.

Il me sourit.

Klaus : ça va ?

John attrapa mes joues avec ses nageoires et m'embrassa.

Je le repoussa malgré mes douleurs énorme.

John recula me regardant triste.

Je me redressa énervé.

Klaus : quesqu'il t'as pris ! Tu es un homme ! Je suis un homme ! En plus je suis marié !

Je m'effondra en pleure, mes nageoires bien trop faibles pour tenir mon poids.

John: je suis désolé... Je pensais que vu qu'on était les deux seuls gentil l'un envers l'autre on aurait peut-être...

Klaus : je suis un homme !

John : oui je sais... C'est justement pour ça que...

Klaus : t'es malade ! Complètement malade !!!

John baissa la tête.

John: j'ai l'habitude... Désolé...

Il me laissa seul.

Klaus : John...?

John : oui ?...

Klaus : écoutes... Si tu m'aimes, je t'en prie... Euthanasie moi...

John: quoi !?

Klaus : je souffre... Je peux plus rien faire...

John: mais je vais pas te tuer!

Klaus : je t'en prie... Si tu m'aimes fais le...

John alla vers moi en me regardant avec pitié.

John: je peux pas t'aider ?

Klaus : ils ont essayé de me bourrer d'anti douleur ça fait rien...

John me fis un câlin en pleurant.

Je ne bougeait pas.

John soupira en me regardant.

John: tu... Tu es sur ?...

Klaus : oui...

John : et je fais comment ?

Klaus : pousses mon bol.

John: mais je vais pas t'assassiner !

Klaus : c'est pas un meurtre. Je te donne mon accord.

John posa ses nageoires sur mon corps.

John tremblait.

John: je veux pas...

Klaus : fais le !

John:...

Klaus : met toi devant moi.

John obéis.

Klaus : tu peux m'embrasser en me poussant si tu veux.

John: c'est encore pire ! Quesque tu ferais si ta femme te demander de la tuer !

Klaus : si elle me le suppliait parce qu'elle souffre le martyr, je le ferai.

Il posa ses nageoires sur mon dos.

Je le regardais en le suppliant de le faire.

John : je vais le faire... J'espère que tu iras mieux...

Je lui souria un peu.

Il me poussa d'un coup.

PDV extérieur

Klaus s'eclata par terre, le bol s'explosant.

John regrettait déjà.

Il vit Klaus fermer les yeux.

Le lendemain, les scientifiques attrapèrent simplement le cadavre de Klaus un peu dégouté qu'il soit mort.

John déprimait complément.

Les scientifiques avaient pensé à un accident de l'allemand mais John connaissait la vérité.

Il espérait juste que l'Allemand sois mieux dans l'endroit où il était.

Le père ne rencontra donc jamais son enfant.

Il ne pu même jamais savoir que son enfant était un garçon qui fut nommé à son nom en hommage à lui.

----fin----

Dans le média j'ai la version bêta de l'apparence poisson (direct quand il a été swap) humain de Klaus Senior (j'appellerai le père comme ça je pense xD pour au moins le distinguer de son fils)

Bref je suis vraiment fier de cette fic en vrai :)

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top