je vais t'aider
La famille Smith était à table.
Ils discutaient ensemble en famille, laissant comme d'habitude Klaus de côté.
Le poisson s'en fichait, il sifflottait simplement dans son bocal.
Stan: bon Klaus tu vas la fermer ?
Klaus : quoi !? Mais j'ai rien dit !
Stan : tu sifflotte ça gêne notre conversation !
Klaus : alors laissez moi participer !
Stan: non ! Tu es chiant !
Klaus : je fais encore ce que je veux espèce d'imbecile !
Stan: tu vis sous mon toit alors tu respectes mes règles ! C'est comme ça !
Klaus : c'est toi qui me force à vivre ici ! Moi j'aimerais faire partie de votre famille ! Parce que une famille j'en avais déjà eine !!! Tu m'as retiré Mathilde und Karla !
Stan: et tu croyais que j'allais faire quoi ? Laisser un allemand de l'est né en 45 gagner une médaille d'or. Jamais !
Klaus : SALE RACISTE !
Stan: en attendant c'est pas mon pays qui a pris des gens innocent pour les tuer.
Klaus : JE SUIS PAS EIN NAZI SHEISSE !!! POURQUOI TOUT LE MONDE CROIS ÇA !!!!!!
Stan: parce que tu en es un !
Klaus senti des larmes couler. C'était toujours pareil. Depuis gamin tout le monde l'insultais de nazi car il était allemand et que ses parents était pour ce régime.
Klaus : de toute façon t'as toujours raison...
Stan: exactement !
l'Américain retourna avec sa famille.
Klaus soupira.
Il avait littéralement personnes.
Aux USA il avait des amis mais ils en avaient rien à foutre de lui. Il n'a pas de famille fréquentable et sa femme et sa fille doivent le haïr.
Pourtant il donnerai tout juste pour savoir comment elles vont.
Une fois le repas terminé, Steve et Hayley allèrent dans leur chambre.
Francine resta nettoyer la cuisine.
Roger alla regarder la télé au salon et Stan ce rendit à son bureau.
Klaus monta à l'étage pour voir ce que pouvaient bien faire d'intéressant la famille.
Steve dormait devant son ordinateur et Hayley discutait avec Jeff qui l'avait rejoint par la fenêtre.
Klaus alla vers le bureau de Stan.
Il entra sans que Stan ne le remarque.
Stan regardait une feuille un peu triste.
Il soupira et pensant qu'il était seul, il se mit à Pleurer.
Klaus : Stan ? Tu pleures !? C'est incroyable !
Stan le regarda énervé.
Stan: quesque tu fous ici poisscaï !
Il tappa du poing sur son bureau et la feuille s'envola et tomba devant lui.
Klaus la regarda.
C'était un dessin d'enfant.
Pas n'importe quel enfant. Un dessin de Stan petit.
C'était un dessin qu'il avait fait pour son père et la feuille était froissée.
Stan la lui arracha des nageoires.
Stan: pas touche sale bête.
Klaus : pourquoi tu pleures en regardant ça ?
Stan: c'est pas tes affaires ! Dégages et si tu dis ça à quelqu'un j'explose ta cervelle de minable.
Klaus : ton père t'a pas aimé ?
Stan: oui quesque ça peut te faire ?
Klaus : moi il pouvait pas aimer mes dessins... Je l'ai jamais connu...
Stan: normal il devait être déçu d'avoir mis au monde une merde comme toi et il c'est cassé.
Klaus : nein... Il est mort à la guerre.
Stan: oh...
Klaus : je sais que t'en a rien à faire... Mais je sais ce que c'est de vivre sans parents... Ma mère était alcoolique et ne s'occupait pas de moi... Donc... Si t'as Besoin de parler avec quelqu'un qui puisse te comprendre... Je suis là je suis un peu psychologue sa me ferais plaisir.
Il souria amicalement à Stan avant de sortir de la pièce.
Stan: attend... Sérieusement ? Tu me proposes ton aide ?!
Klaus : ... Ja...
Stan :...
Il s'assit en soupirant.
Stan : restes ça me rendra peut être moins énervé en,en parler... Mais le répétes à personne.
Klaus : bien sûr ! Secret professionnel !
Il ferma la porte.
Klaus était émerveillé. Il allait enfin pouvoir servir.
Stan : je suis minable...
Klaus : des fois... Ça aiderait que tu arrêtes de me rabaisser...
Stan : je me sent moins nul quand tu te sens nul.
Klaus : t'avais quel relation avec ton père ?
Stan : limite il ne me connaissais pas...
Klaus : und avec ta Mutter ?
Stan: elle était cool mais occupé avec ses petits ami qui de toute façon allait la décevoir.
Klaus : je comprends... La mienne est sortie avec un gars chiant. Il était méchant avec moi... Je m'en rendait pas compte avant...
Stan: moi ils étaient tous sympa mais je les aimait pas. Mon père avait déjà assez déçu maman elle avait pas besoin d'autres imbéciles !
Klaus : la mienne elle restait tout le temps devant la télé à boire de l'alcool. Finalement bha elle est morte et j'étais officiellement orphelins.
Stan : t'as été orphelins !?
Klaus : Ja... J'ai du aller vivre chez mein tante... À Düsseldorf.
Stan: ah ? Moi j'ai jamais été orphelins.
Klaus : t'allais à l'école ?
Stan : ouai
Klaus : moi là bas c'était la merde...
Stan: moi aussi. J'étais harcelé par Stellio Kontos, aucune fille voulais sortir avec moi et personne voulais être mon pote car j'étais sois disant ringard.
Klaus : moi parce que j'étais blond aux yeux bleu et que ma mère était nazi.
Stan: bha toi aussi.
Klaus : non ! Putin j'en ai rien à faire des juifs moi ! Le pote de Steve je le kiff bien en plus !
Stan: il est Juif ???
Klaus : bha ouai
Stan: alors non t'es pas nazi
Klaus : tu l'apprend après 30 ans -_-
Stan haussa les épaules.
Francine : Stan je vais me coucher !
Stan : j'arrive Francine !
Stan se leva et reposa Klaus au salon.
Klaus : c'était sympa de discuter.
Stan : ouai...
Klaus lui souria et Stan leva les yeux en l'air en rejoignant Francine.
Klaus était heureux d'avoir eut une discussion avec Stan.
Les jours passaient et Stan qui se confiait déjà souvent à Klaus, le faisait encore plus.
Lui et le poisson avaient pu créer un lien à partir de leurs souffrances passée.
Klaus était heureux que quelqu'un lui ai enfin tendu la main. Et surtout que ce soit Stan.
Les deux étaient assis côté à côté devant la télé.
Stan : j'ai toujours cru que t'étais un bon à rien.
Klaus : je sais. Moi je l'ai toujours un peu en travers de la gorge que tu m'aies transformé comme ça...
Stan: j'avais pas le choix... C'était l'une des mes premières missions je pouvais pas la rater...
Klaus soupira.
Klaus : j'aurais aimé pouvoir être là pour toi quand t'étais gamin. On en serait pas là. Tu serais plus heureux et moi je serai encore humain.
Stan haussa les épaules.
Stan : écoutes on va pas changer le passer.
Et là Klaus eut une idée. Il en savais maintenant énormément sur la vie de Stan, même l'endroit où l'Américain vivait.
Klaus : vous pouvez vraiment retourner dans le passé ?
Stan : bha ouai mais c'est dangeureux donc la CIA garde les bracelets de temps dans une sorte de caves de choses qu'on ne ressortira sûrement jamais.
Klaus : woaw.
Stan s'endormi finalement devant la télé, épuisé.
Klaus souria à son idée.
Il pris sa cane télescopique et les clés de voiture de Stan.
Le poisson conduisait jusqu'à la CIA.
Il allait tenter de retourner dans le passé mais cette fois, pas pour ne pas être kidnappé comme il l'avait déjà fait une fois.
Mais cette fois, pour jouer un rôle de père pour le jeune Stan. Peut être qu'en faisant ça, il allait Jamais connaître la souffrance.
Il aurait un ami et il verrai sa fille grandir.
Il arriva et sauta par la fenêtre.
Il chercha donc la "cave".
Le poisson trouva une porte.
Il réussit à se glisser dessous, après s'être mouillé et donc qui glissait.
Il réussit à allumer la lumière avec sa canne.
Il descendit des escaliers.
La cave était étonnamment bien rangée.
Il y avait juste beaucoup de poussière.
Chaques machines était étiquettée.
Et là il s'arrêta devant l'une des machines.
Des bracelets du temps.
Klaus souria.
Il attrapa un bracelet et l'enfila autour de son cou de poisson.
Stan était né en 1967 et son père l'avais abandonné à 8 ans, donc en 1975.
Il suffisait juste qu'il rencontre Stan vers ses 10 ans soit, en 1977. Il devra convaincre Mathilde d'aller vivre aux États-Unis .
Klaus enclencha la machine en fermant les yeux.
Il les ouvrit à nouveau en regardant autour de lui.
Il connaissait bien cette endroit. Il était dans son ancien appartement, à Hambourg.
Il se regarda et vit qu'il avait son corps humain.
Il réussit à convaincre Mathilde d'aller vivre aux États-Unis.
Bref, il réussi à trouver l'adresse de Stan enfants.
Le jeune garçon jouait dehors avec une poupée.
Sa mère arriva en lui arrachant la poupée des mains.
Betty: Stan les garçons ça joue pas aux poupées.
Stan : mais maman...
Betty : j'ai dit non! Et si tu brûle la maison comme la dernière fois quand tu n'as pas eut le droit à ton cupcake je vais te faire comprendre par la manière forte comment arrêter !
Stan baissa la tête et Betty jeta la poupée dans une poubelle et retournant dans la maison.
Stan s'assit en soupirant grattant le sol avec un bâton.
Klaus attrapa la poupée et alla vers Stan en la lui rendant.
Klaus : tiens je crois que ça t'appartient.
Il lui souria.
Stan la pris en reculant.
Stan: dégagez je veux pas de vos bonbons.
Klaus : quoi ? Ah non je vais pas te kidnapper petit. Je viens d'emménager ici et la dispute que t'as eut avec ta mère m'a interpellé. Je suis désolé si je t'ai fait peur.
Stan: oh... Merci quand même pour ma poupée mais maman risque de encore me la casser...
Il lui rentendi à l'allemand.
Stan: vous pouvez en prendre soin ? S'il vous plaît !
Klaus repris la poupée.
Klaus : euhm... Ja si tu veux.
Klaus repris la poupée.
Stan lui souria.
Betty le vit avec Klaus et sorti en interpelant Klaus.
Betty : hey quesque vous voulez à mon gosses ? Il a encore fait des bêtises ?
Klaus : oh non pas du tout il me demandait juste que je garde sa poupée.
Betty : oh ok. Stan t'es gentil avec le monsieur.
Stan: oui maman ! Arrêtes de me casser les pieds.
Klaus : t'as quel âge au fait ?
Stan: j'ai 10 ans.
Klaus : et tu joues aux poupées ?
Stan : ... Oui... J'ai pas d'autres amis... Tout le monde me trouve ringard... Pourtant j'essaie d'être sympa... Du moins je fais de mon mieux.
Klaus : je sais ce que c'est... Moi c'était pareil j'avais juste un ami.
Stan détourna le regard avec honte.
Stan: moi j'en ai pas... J'ai que mes poupées... En plus mon papa adoré il est parti à cause de moi...
Stan senti des larmes couler sur ses joues.
Klaus s'accroupit face au jeune garçon et lui essuya ses larmes.
Stan lui fit un câlin pour se calmer.
Stan: je vous dérange pas hein ...?
Klaus : non pas du tout.
Klaus souria.
Klaus : il doit bien y avoir une personne qui aime passer du temps avec toi.
Stan: mon grand père mais il est retourné vivre en Allemagne alors je le vois presque jamais... Vous vous voulez bien être mon papa ?
Klaus : oh euhm... Je serais jamais ton vrai père tu sais ...
Stan: je m'en fiche ! Je veux juste être avec quelqu'un qui m'apprécie !
Klaus souria un peu en frottant la tête du jeune garçon.
Klaus : bon ... Je dois retourner à la maison Stan.... Au fait, moi c'est Klaus. Klaus Heissler.
Stan fit au revoir de la main.
Stan: au revoir Klaus !
Klaus arriva à la maison et Mathilde cuisinait.
Mathilde : oh Klaus tu étais passé où ?
Klaus : je suis allé dire bonjour aux voisins d'en face.
Mathilde souria en servant une assiette à son mari.
Klaus souria et embrassa sa femme.
Bref, Stan avait des vacances scolaires alors il venait souvent chez Klaus, se sentant beaucoup plus apprécié ici que chez lui.
Klaus jouait aux cartes avec le jeune américain.
Mais l'enfant avait l'air inquiet.
Klaus : tu vas bien Stan ?
Stan haussa les épaules.
Stan: j'ai pas envie de retourner à l'école monsieur Klaus... Je suis bien moi ici...
Klaus : pourquoi tu veux pas retourner à l'école ? Tu vas apprendre pleins de choses c'est super non ?
Stan: oui... Mais Stellio Kontos vas encore me mettre la misère...
Klaus : Stellio Kontos ? Qui c'est ?
Stan: un camarade de classe baraque et grecque... À côté de lui je suis une brindille...
C'est vrai que Klaus, connaissant le Stan adulte, se disais qu'il était beaucoup moins musclé enfants.
Personne n'aurait pu se douter qu'il devienne aussi baraque.
Stan: il me ridiculise devant tout le monde... Il me frappe... Et c'est pas le seul...
Klaus ne savais pas vraiment quoi dire.
Klaus : ne te laisse pas faire.
Stan : mais comment ! Klaus je veux pas être séparé de toi... T'es tellement gentil avec moi...
Klaus : hey Stan... Je sais que tu vas passer outre ça. Je te fais confiance.
Il posa sa main sur l'épaule du jeune Stan.
Stan lui souria.
Klaus : bon files, ta maman vas te tirer les oreilles sinon.
Stan: ok ! Au revoir !
Il retourna donc chez lui.
Mathilde : Klaus ? Ça te dis que ce soir on aille au cinéma ensemble ?
Klaus : désolé je suis épuisé. Stan est plein d'énergie.
Mathilde soupira.
Mathilde : Klaus j'aimerais moi aussi profiter un peu de passer du temps avec toi. Pourquoi tu ne veux pas ?
Klaus : c'est pas contre toi ... Au contraire ! Si je ne le fait pas je vais avoir des problèmes et tu ne pourras plus jamais me voir...
Mathilde : et tu sors ça d'où ! Depuis qu'on vit ici t'es différents ! J'ai l'impression que quelque chose t'as changé ! Parles moi ! Je suis ta femme quand même !
Klaus : Mathilde... Je fais ça pour nous...
Mathilde : mais ça ne me satisfait pas !
Klaus : je peux pas t'expliquer...
Mathilde : pourquoi ? C'est confidentialité t'as des magouilles avec le FBI ? La CIA ? Ou je ne sais qui ???
Klaus : tu comprendras un jour !
Klaus alla se coucher.
Malheureusement elle ne pouvait pas comprendre... Elle n'a aucune idée du fait que Klaus sera kidnappé... Elle sait déjà pas qu'elle aura Karla un jour.
Klaus s'effondra en pleure.
Il avait peur de perdre Mathilde alors qu'il faisait tout ça pour justement rester auprès d'elle.
Quesqu'il devait faire ?... Comment faire pour satisfaire tout le monde.
Il était plus heureux à la même période quand il ne savait pas ce qui allait lui arriver...
Il essuya ses lames en se changeant et il se glissa sous sa couverture.
Mathilde le rejoignit un peu plus tard.
Son sommeil semblait si agité...
Elle voulait aider son mari mais il ne voulait apparemment pas être aidé... Que faire ?
Elle soupira et se coucha à ses côtés et le prenant contre elle pour le calmer.
Elle voyait des larmes couler sur les joues de l'allemand de l'Est.
Elle les essuya.
Mathilde : quesqu'il t'arrive Klaus...
Elle soupira et s'endormi.
Les mois passèrent.
Stan était très heureux depuis qu'il avait rencontré Klaus.
Mais Klaus devait aller s'entraîner en Suisse pour les jeux olympiques qui allaient arriver en 86.
Il devait retourner là bas pendant quelques temps.
Il expliqua à Stan.
Le jeune garçon serra Klaus contre lui.
Stan: non... Part pas... J'ai besoin de toi... T'es mon seul vrai ami.
Klaus senti son cœur de déchirer... C'était comme le jour où il a dût aller vivre chez sa tante et qu'il a serré Tom pour la dernière fois...
Il se mit à croupis devant lui en le serrant dans ses bras.
Klaus : hey t'en fais pas... Je reviendrai...
Stan : mais je veux pas que tu partes ! S'il te plaît restes...
Klaus : je peux pas Stan...
Stan: mais qui va me défendre contre les gens qui m'embêtent...?
Klaus : tu sauras te débrouiller par toi même...
Stan : prends moi avec toi...
Klaus : quoi ?
Stan: je veux que tu sois comme mon père mais en mieux ! Je veux être comme toi ! Je veux être grand, je veux être courageux et je veux être fort !
Klaus : Stan être moi c'est pas la joie...
Stan : bien sûr que oui ! S'il te plaît ! Je suis sur que maman sera d'accord !
Klaus détourna la tête au regard d'instance du jeune Stan.
Klaus : bien... On va demander à ma femme et à ta maman.
Stan : merci ! Merci !
Klaus alla donc voir Mathilde pour lui expliquer.
Mathilde : Klaus on est sencé être que nous deux...
Klaus : il a besoin d'un père... T'en fais pas il sera gentil je pense.
Mathilde : bon ok...
Klaus embrassa sa femme et alla avec Stan demander la permission à Betty Smith.
Elle accepta et prépara un sac d'affaires pour Stan et lui donna son passeport.
Betty : amuses toi bien Stan.
Stan souria à sa mère et parti donc en Suisse accompagné de Mathilde et Klaus.
Bref, les années passèrent.
Stan avait bien sûr rencontré Francine mais il n'avait jamais rejoint la CIA et donc Klaus pu profiter de Mathilde et de Karla toute sa vie, gardant une excellente relation avec Stan.
----fin----
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