c'est moi...

J'étais en voiture, accomp de Mathilde, ma femme, et de Karla, ma fille.

Aujourd'hui c'était un jour très important pour moi. Le gouvernement allemand m'avait recruté pour que je gagne la mrdai d'or olympique et prouver au monde que les allemands ne sont pas des bons à rien.

J'étais motivé et d'excellente humeur.

Mathilde était très heureuse pour moi.

Mathilde : fais de ton mieux Klaus. Même si tu n'a pas la médaille d'or, je serai fière de toi.

Je lui souria.

Klaus : mais je vais avoir la médaille d'or ! Ça fait des années que je m'entraîne pour ça.

Karla : papa c'est le meilleur !

Je souria en entendant ma fille.

Arrivé, je parqua la voiture et attrapant mes affaires pour les jeux olympiques.

Mathilde enfilait une veste à Karla.

On se rendit tous les trois vers un télésiège qui allait m'amener plus haut dans la montagne pour que j'accède à la piste de saut.

Mathilde : on va déjà se mettre au pied de la pente avec les spectateurs.

Je souria.

Klaus : bien sûr. On se rejoint après ma prestation.

Mathilde s'éloigna en tenant la main de Karla qui me faisait au revoir avec un grand sourire.

Je lui dit un signe de la main en marchant vers le télésiège.

J'étais un peu stressé. Ce n'était que ma 2 ème fois aux jeux olympique et la première fois avait été catastrophique à cause de Elsa.

Mais c'était il y a 12 ans, je n'avais plus à m'inquiéter ! Tout allait bien de passer. Je ne me suis jamais rien cassé et ai pire je me planterai.

J'aurais honte certe mais heureusement je ne pleurait pas comme la dernière fois.

J'avais enfilé mes ski et je descendit du télésiège.

Mathilde m'avait préparé un sandwich pour avant mon saut, que je prenne des forces.

Je m'assit donc à un banc pour le commencer, mon tour n'étant que dans 20 minutes.

Je mangeais aillant une magnifique vue sur les alpes Suisse. C'était la première fois que je venais ici et c'était plutôt joli comme coin.

Je vis un homme assez baraque, dans une tenue noire venir vers moi.

Je l'ignora en continuant mon sandwich.

Il se mit en face de moi et me parla en anglais.

???: Bonjour ? Vous êtes bien Klaus Heissler ?

Klaus : Ja ?

J'étais encore un peu nul en anglais et je faisais donc de mon mieux.

Le fait qu'il connaissait mon nom ne m'importait peu. J'étais déjà un peu connu.

L'homme semblait dans la vingtaine.

Il s'assit à côté de moi.

???: J'aurais quelques conseils à vous demander...

Klaus: oh vous savez je ne suis pas très fort pour expliquer...

???: Vous pourriez me montrer quelques figures de ski ?

Je regarda l'heure et j'avais encore 10-15 minutes.

J'aucha les épaules en me levant.

Klaus : ok mais dans 10 minutes je dois vous laisser.

L'homme souria et parti dans une direction.

Je le suivit donc, mes skis Toujours au pieds.

Mais tout à coup, je me fis plaquer par deux hommes dans la même tenue que celui que j'avais suivit.

Sur l'un des hommes qui me maintenait, je pouvais voir un logo sur lequel était écrit CIA.

Pourquoi la CIA m'en voudrais ?!

Klaus : attendez ?! Quesqu'il ce passe !?

Un des hommes parla.

???: Arrêtes de bouger.

On me retira mon casque de ski pour m'enfiler un autre casque un peu bizarre.

Je me débattait comme je pouvais, Paniqué.

Pas Aujourd'hui ! Je vais pas être tué Aujourd'hui !!! Pas le jour le plus important de ma vie...

Ces gens étaient très entraîné alors j'avais extrêmement de peine à bouger.

L'un d'eux sorti une espèce de télécommande.

Il appuya dessus et je m'evanoui.

J'ouvrit mes yeux un peu plus tard. C'était un rêve ?

Et là je me sentais tremper. Je regarda autour de moi. Que de la neige. Je vis les hommes qui m'avaient capturé avec... Moi ???

J'étais debout et ils essayent d'enfiler à nouveau mon casque et j'avais l'air de ne pas vouloir.

Finalement, ils réussirent.

L'un d'eux me regarda.

???: Oh il est déjà réveillé ?

Il vint vers moi et il était très grand.

Je l'avoue, j'étais complètement déboussolé et effrayé. Je ne savais pas du tout ce qui m'arrivait.

L'homme sorti un bocal à poisson d'un de leurs sac.

J'étais dans une sorte de sachet.

L'homme m'attrapa assez violemment.

J'essayais de me débattre en vain.

Il me plongea dans le bocal à poisson.

Il me posa par terre le temps de récupérer des affaires.

Il avait posé le bocal prêt d'un miroir.

Je me regarda dans le miroir mais je ne voyais pas mon reflet. À la place, le reflet d'un poisson rouge.

Je recula et le poisson fit de même.

Je ne voulais pas le croire... J'étais un poisson !? Mais pourquoi !?

Je faisais tout pour retenir mes larmes mais cause du stress, je n'y arrivais pas.

Je regarda mes mains qui étaient maintenant des nageoires.

Comment c'était possible ! L'homme me repris. Les autres menaient mon corps humain à la pente.

Il glissa et s'éclata en bas de piste avant de se tirer dans le lac à côté.

Je voyais ma femme et ma fille dans l'incompréhension. Les hommes m'importaient avec eux.

Celui qui me tenait demanda à ses collègues,.

???: Qui gardes cet allemand ?

???: Toi Stan. Tu le tiens.

Stan: quoi !? Non mais j'en veux pas ! Francine est pas au courant je dois lui en parler d'abord.

???: Oh ça va c'est un poisson. C'est pas comme si c'était énormément de travail. De la bouffe et de l'eau et c'est bon.

L'homme nommé Stan soupira et me regarda avec haine. Quesque j'avais fait ?

J'appercu qu'il marchait à côté d'un point d'eau.

Aller Klaus... C'est maintenant où jamais...

Je bondis hors du bocal et les hommes furent extrêmement surpris.

J'étais dans l'eau. J'avais froid.

Je nageait donc de mon mieux pour essayer de rejoindre ma famille.

Je me fis emporter par le courant jusqu'à une rivière.

Je nageait de mon mieux à contre courant mais ce corps était beaucoup trop petit et faible et je me fis emporter.

La chute était gigantesque.

Je remuait mes nageoires comme si j'allais m'envoler.

Mon petit corps tomba dans l'eau au fond de la Rivière.

J'étais à moitié assommé.  Je nageait comme je pouvais. Mon dieu j'étais lent.

J'avais la haine. Pourquoi m'avoir fait ça !? Je cherchais du regard et de loin ou étaient ma femme et ma fille.

L'eau était très froide.

Je vis de loin Mathilde avec Karla dans les bras, parler à un agent de sécurité.

Ils étaient assez éloigné de l'eau.

Je pris une grande respiration et sauta dans la neige. Je me tira vers Mathilde espérant qu'elle allait me voir.

Karla elle, m'a vu mais pas reconnu... Ce qui est totalement normal.

Karla : maman regarde un poisson rigolo !

Elle me pointa.

Mathilde me regarda.

Mathilde : Karla c'est juste un poisson hors de l'eau.

Elle l'a posa.

Mathilde : va le remettre dans l'eau. Je cherche ton père.

J'étais très faible.

Karla m'attrapa et courru vers la rivière et me mis dedans.

Je repris mon souffle et Karla me tenait toujours.

Je m'accrocha à sa main.

Karla : aller poisson faut me lâcher. Faut aller revoir ta famille.

Je serra un peu plus la main de Karla.

Karla : maman ! Poisson veut pas me lâcher.

Mathilde soupira et arriva.

Karla tendit sa main à elle.

Mathilde m'attrapa par les côtes.

Je me remua.

Klaus : non Mathilde !

Elle se figea en m'entendant prononcer son nom.

Je serra sa main.

Klaus : Mathilde faut pas me laisser...

Mathilde : comment tu connais mon nom !? Et comment ça se fait que tu parles !?

Klaus : c'est Klaus ...

Elle manqua de s'étouffer.

Mathilde : c'est pas possible...

Klaus : si ! Écoutes... La haut il y a des gens qui m'ont capturé et il m'ont mis dans un poisson... Je t'en prie je veux pas qu'ils me rattrapent...

Mathilde : oh mon dieu...

Elle attrapa sa gourde et me plongea dedans.

Je pu enfin décompresser.

J'étais avec ma famille la CIA ne pouvait plus rien me faire.

Je me coucha au fond de mon bocal en soupirant.

Je restais posé.

J'avais les nageoires contre mon petit corps écailleux.

Karla était fascinée par moi, son "nouveau" papa.

Je remuait la queue.

Karla me caressait.

La mère se mit au volant et Karla s'assit à l'arrière, Klaus dans les bras.

Je souriait.

On rentra.

Sur le chemin, Mathilde acheta un grand aquarium pour moi.

Arrivé, elle le remplit d'eau et plongea l'allemand dedans.

Je me degourdissait les nageoires.

Karla : papa va jamais redevenir un humain ?

Mathilde : je ne pense pas...

Klaus soupira.

Klaus : ouai...

Je me senti commencer à pleurer.

Je posa mes nageoires sur les yeux en pleurant.

Mathilde : Klaus... Ne pleures pas... Tu es là avec nous...

Klaus : je veux pas être un poisson ! Je veux redevenir humain et rester au près de toi...

Je pleurais énormément.

Elle me pris dans les bras.

Je lui fit un câlin comme je pouvais.

Klaus : Je suis désolé... Tellement désolé d'être ce poisson...

Elle me caressait en me faisant des petits bisous.

Je souriait en remuant ma nageoire caudal.

Je léchouillait les doigts de ma femme.

Elle souria en me frottant le crâne.

Quelques temps passèrent.

J'avais eut extrêmement de peine à m'habituer à vivre dans un poisson.

Mais finalement je réussi à m'y habituer.

----fin----

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