besoin d'attention
Plus les jours passaient et plus Klaus ressentait sa haine pour Stan grandir.
Chaques jours, il était insulté, méprisé et il avait l'impression de ne compter pour personne.
Et le jour où Stan bouscula son bocal, fut le coup de trop.
Stan : désolé Klaus. Tu es tellement petit et insignifiant que je ne t'ai pas vu.
Stan ricana.
Klaus : tu vas le regretter Stan.
Klaus prononça d'étranges mot dans une langue que Stan ne connaissais pas. Surement des insulte en allemand.
Le blanc des yeux du poisson furent totalement rempli par le bleu de ses pupilles.
Stan : Klaus ?
Les yeux de Klaus redevinrent normal et Stan senti tout son corps picoter.
Klaus : je te conseille de rester proche de l'eau.
Stan: pfffff t'es vraiment bizarre.
Stan alla à la cuisine sous le regard énervé de Klaus.
Pourquoi Stan était si cruel à son égard ? Quesqu'il lui avait fait ?
Klaus regarda la télé un petit moment et il entendit un hurlement de Stan.
L'homme était seul à la maison donc Klaus fut le seul à aller voir se qu'il se passait.
Il vit un gros poisson rouge agoniser par terre.
Klaus s'approcha intrigué et tapota de sa nageoire les écailles brillantes de ce gros poisson.
Le poisson poussa Klaus et se mit dans le bol avec lui pour reprendre son souffle.
Klaus le laissait faire.
Le poisson le regarda et Klaus reconnu son regard.
Klaus : Stan ?
Le poisson regarda sa nageoire et ensuite Klaus.
Le poisson : ou... Ouai...
Il se toucha un peu partout essayant de comprendre.
Klaus fit un grand un grand sourire.
Klaus : JE SUIS UN GÉNIE !!! J'AI FAIT DE LA MAGIE !
Stan : c'est à cause de toi que je suis comme ça !?
Il pointa son visage.
Klaus : tu vas enfin comprendre ce que c'est d'être un insignifiant poisson rouge de compagnie.
Klaus attrapa le crâne de Stan et l'ecrasa par terre.
Stan se débattait, ne voulant pas être dominé par Klaus.
Klaus : je suis supérieur à toi maintenant !
Stan vit le regard noir de Klaus.
Klaus : et maintenant tu vas devoir faire des choses avec moi.
Stan senti ses nouveaux muscles de poisson se raidir en regardant le large sourire de l'allemand.
Stan: qu... Quoi...?
Klaus tira Stan au bocal et alluma la télé sur un film allemand.
Klaus : tu vas passé un peu de temps avec moi !
Stan : euh...?
Klaus : et comme on va être proche, je vais t'appeller Bouboule vu que tu es un gros poisson. C'est ton nouveau surnom.
Stan: NON !
Klaus posa une nageoire sur la frimousse de Stan.
Stan le repoussa.
Stan: hors de question que je regarde ces idioties allemande ! Et encore plus si c'est avec toi !
Stan traîna son nouveau corps dans un bol et sorti du salon.
Klaus le regarda sortir avec un regard triste.
Il avait seulement besoin d'un peu d'amour.
Malheureusement, même en essayant de se rapprocher de Stan, c'était impossible.
Klaus se coucha au fond de son bocal en soupirant.
Stan de son côté, était dans un bol sur le ventre, devant son téléphone qui faisait maintenant sa taille.
Stan regardait son reflet dans l'écran éteint.
Il posa une nageoire sur sa joue qui était toute potelée et recouverte de petites écailles.
Il savait que ça ne servirait sûrement à rien mais il tenta de trouver des informations sur internet.
Il ne voulait pas rester cette chose à vie.
Il entendit le bruit d'un bol être poussé et de retourna en soupirant.
Klaus : tu veux de l'aide Bouboule ?
Stan: arrêtes de m'appeler comme ça imbécile !
Klaus : pourquoi tu me déteste tant ?
Stan: je hais qui je veux. Je suis sur que c'est de même pour toi.
Klaus : moi je ne te hais pas. J'aimerais faire partie de ta famille...
Stan:Pfffff t'es même pas américain.
Klaus : je sais comment te rendre ta forme humaine Stan.
Stan plissa les yeux à cette phrase.
Stan : me dit pas que tu m'as maudit !
Klaus : dans le mille. Le seul moyen pour toi de redevenir humain, c'est soit de trouver un artefact extrêmement précieux et rare, sois que la personne aillant jeté le sort, c'est à dire moi, l'annule.
Stan s'approcha de Klaus.
Son surpoids le rendait imposant face à l'allemand qui ne bronchait pas.
Stan: vas y alors !
Klaus posa une nageoire sur sa bouche pour lui dire de se taire.
Stan: tu as dit que tu ne me haïssait pas.
Klaus : effectivement je ne te hais pas. Je t'exécre.
Stan: c'est pas du jeu ça !
Klaus : LA FERME !!!
Les yeux de Klaus prirent une couleur noir.
Klaus : tu crois vraiment je t'apprécie ?
Stan : oui ? Sinon pourquoi tu voudrais passer du temps avec moi ?
Klaus : pourquoi ?
Il souria diaboliquement.
Klaus : ça fait 30 ans que je suis exclu socialement. Mon cerveau à figurativement fondu faisant que je veux du contact social même venant de la personne la plus horrible que j'ai rencontré.
Stan: tu abuses.
Klaus : non j'embelli même la réalité Stan. Tu m'a rendu fou. J'avais sûrement déjà quelques petits problèmes mentaux avant de te rencontré mais toi. Tu as réussi à casser mon cerveau.
Klaus leva une nageoire et Stan y remarqua des cicatrices.
Klaus : imagine toi, vivre heureux avec Francine et tes enfants et un jour, quelqu'un arrive et te kidnappe, te rendant dysphorique au plus haut point et cela pendant 30 ans !
Klaus repris une couleur d'yeux normal.
Klaus : imagine toi... Te sentir impuissant quoi que tu fasses... Te sentir seul contre le monde. N'avoir plus rien qui compte pour toi, autre que d'être aimé...... Et imagine toi, gâché toutes tes relations parce que tu as peur de les perdre...
Klaus senti des larmes de former au bord de ses joues.
Stan grogna et retourna devant internet.
Klaus ne ressentais même plus de haine. Seulement un sentiment déçu.
Mais pas déçu de Stan.
Déçu de lui même...
Klaus se retourna simplement.
Le lendemain, Francine rentra à la maison et Stan se précipita vers elle en remuant la nageoire caudal.
Stan: ma Francine !
Francine : euh...........
Stan: c'est Stan ! Klaus m'a transformé comme ça.
Francine : quoi!?
Stan: il refuse de me rendre mon apparence humaine !
Stan montra une photo sur son téléphone.
Stan: il faut que tu ailles me chercher ça à la CIA.
Klaus : HORS DE QUESTION !
Francine releva la tête de son mari, le regardant attentivement.
Francine : si c'est Klaus qui a fait ça, ça a bien marché.
Klaus sourit au petit compliments.
Stan: ouai c'est ridicule n'est-ce pas ? Alors ? Tu vas me chercher cet objet ?
Francine lui fit un bisou sur son petit crâne.
Francine : bien sûr j'y vais.
Klaus : HORS DE QUESTION !!!
Mais elle s'en alla.
Stan regarda Klaus avec fierté.
Klaus sauta sur Stan et de mit à l'étrangler.
Stan, par instinct de survie, se mit à se débattre et Klaus le frappait violemment, jusqu'au sang.
Francine entra un peu plus tard et vit Stan de faire tabasser.
Francine : KLAUS !
Klaus poussa Stan derrière lui pour ne pas qu'il ai accès à l'objet antidote.
Francine l'attrapa simplement par la queue en le posant dans le bocal.
Elle tendis l'objet à Stan.
Klaus les regardait les larmes aux yeux, se sentant impuissant.
Stan retrouva sa forme humaine.
Stan: AHAH ! JE SUIS MEILLEUR QUE TOI KLAUS !
Klaus était dos aux deux humains pendant que Stan ricanait.
Francine : Stan ? C'est normal ça ?
Elle pointa une sorte de liquide rouge qui se mélangeait à l'eau.
Stan retourna le bocal et il virent Klaus se mordre la nageoire au sang, cachant son visage à l'aide de son autre nageoire.
Stan : quel mauviette.
Francine vit Klaus mordre plus fort sa nageoire déjà bien abîmée, saignant de plus belle.
Francine : il a l'air dévasté par le fait que tu aies retrouvé ton apparence humaine.
Stan: ouai il doit être jaloux. Il doit comprendre que moi, on ne m'emmerde pas et que lui il restera ici pour toujours.
Francine sorti Klaus de l'eau pour lui bander la nageoire blessée.
Klaus ne retirait pas de son visage sa nageoire intacte.
Il refusait qu'on ne le voit.
Francine fini de lui bander la nageoire.
Klaus se collait bien à Francine afin d'avoir un peu de contact.
Stan : bon laisse cet imbécile.
Klaus remis la nageoire bandée dans la bouche, la mordant toujours aussi fort.
Francine : arrêtes voir de l'insulter Stan. Je crois qu'on devrait vraiment lui accorder plus d'attention. T'as vu l'état dans lequel est cette nageoire.
Stan soupira.
Stan: il a qu'à arrêté de se bouffer. Viens qu'on profite ensemble de ton retour. Klaus sait très bien de débrouiller seul.
Francine : hors de question Stan. Il a besoin de soins.
Klaus se blotti dans la main de Francine en tremblant par peur et manque d'eau.
Elle le posa dans un bol, lui retirant les nageoires du visage.
Klaus n'osais pas la regarder. Il détournait le regard avec honte.
Honte de n'être qu'un stupide crétin insignifiant que personne n'aime...
Il était épuisé.
Francine lui frotta le dessous du menton, lui faisant monter les larmes.
Klaus : dégages laisses moi !
Klaus la repoussa, tremblant.
Stan se dirigea vers la cuisine et Francine lui attrapa le bras en lui posant le poisson dans les mains.
Francine : aller t'as bien un truc gentil à lui dire. Au moins un petit compliments.
Stan reposa Klaus.
Stan: dégages la poisscaï tu vas pas encore me voler ma femme !
Francine soupira en suivant Stan dans la cuisine.
Klaus n'en pouvait plus il explosa le petit bol de Stan et attrapa un des bout de verre qu'il passa entre ses doigts afin de se faire saigner.
La douleur était la seule chose qui lui donnait encore l'impression d'être autre chose qu'un fantôme.
Il se coupait une grosse partie de la nageoire.
Le sang coulait à grosse goûtes sur le sol du salon.
Le sang fut bientôt mélangé aux larmes.
Il se sentais si nul.
Pourquoi avait-il accepté de suivre ce crétin de Stan.
Même mort il serait mieux.
Ses pupilles de rapticitrent et il approcha le bout de verre de son torse, regardant à travers la fenêtre.
Francine revint.
Francine : désolé pour Stan il...
Elle vit la flaque rouge devant Klaus et l'attrapa directement, lui retirant le bout de verre des nageoires.
Klaus se mit à pleurer.
Klaus : Non!!! Je t'en prie rends le moi ! Que je puisse enfin m'achever... Que je puisse... Enfin... Être en paix...
Francine : écoutes Klaus... Je suis désolée... C'est vrai qu'on a été des cons avec toi et je m'en rend compte maintenant... Mais fait pas ça c'est vraiment pas une bonne idée.
Klaus : de te façon à qui je vais manquer...?
Francine regarda le regard plein de larmes de son poisson de compagnie.
Elle serra contre elle pour qu'il se calme.
Francine : je vais faire de mon mieux pour que Stan arrêtes de te prendre de haute comme ça. Ok ?
Klaus ne répondit pas il fixait des yeux les bouts de verre recouvert de son stupide sang de poisson débile...
Elle le reposa gentiment dans le bol, ramassa les bouts de verres et le sang et alla voir Stan à la cuisine.
Francine : écoutes Stan. T'es pas obligé de l'aimer mais il a des sentiments. On a tendance à l'oublier mais il est humain.
Stan: ça fait 30 ans qu'il est un poisson il a plus rien d'humain.
Francine : t'es vraiment un égoïste. Fais toi même la bouffe ce soir je pars avec Steve, Hayley, Roger et Klaus. Toi tu vas rester là à réfléchir.
Le soir toute la famille sauf Stan mangeait à la pizzeria où ils allaient régler leurs problèmes de famille.
Francine expliqua la situation de Klaus en incitant tout le monde de faire un effort pour que le poisson se sente faire un minimum partie de la famille. Après tout il était déjà là avant que les enfants naissent.
Roger sorti de table.
Roger: hors de question s'il me fait chier je le bouffe et c'est fini. Je me casse !
Roger parti.
Klaus n'ecoutais rien. Il mangeait sa pizza taille enfant, lentement, se concentrant sur chaques mâchée, dos à tout le monde.
De toute façon même s'ils voulaient faire des efforts c'est tellement encré que dans 2 jours il sera à nouveau le bouc émissaire de la famille.
Francine : alors vous allez au moins faire un petit effort ?
Hayley : ouai je vais faire ce que je peux...
Steve : s'il fait pas l'imbécile.
Francine retourna Klaus qui avait de la sauce tomate autour de la bouche.
Francine : tu entends ? C'est déjà un bon début non ?
Klaus haussa simplement les épaules n'aillant pas écouté la moitié. Il n'avait aucun espoir.
Le lendemain arriva.
Klaus n'avait pas touché à un seul flocon. Il faisait en quelque sorte un tri dans ses souvenirs.
Il essayait de se concentré sur les petits moments de bonheur qu'il a eu avec les Smith mais il refusait directement le lien avec les mauvais souvenir.
Il entendit un doigt tapoter son bocal et regarda d'où sa venait.
C'était Steve qui avait deux manettes en mains.
Steve: mes amis veulent ou peuvent pas venir ici Aujourd'hui et j'ai envie d'avoir un deuxième joueur.
Il lui tendit une manette.
Steve: après je trouve un moyen pour que tu puisses y jouer mais si tu veux pas...
Klaus : je veux bien...
Il souria d'une voix légèrement tremblante. Certe il n'était pas le premier choix mais juste le fait que Steve ai pensé à lui était suffisant.
Ils passèrent 2 heures à jouer ensemble à un jeu, créant un nouveau personnage pour Klaus.
Le poisson l'avais crée pour que son avatar ressemble à lui quand il était encore un humain.
Klaus sourit de nostalgie en voyant son personnage lui ressemblant, sourire.
Bref, ils jouèrent un bon moment avant que Steve parti pour préparer un exposé.
Klaus avait réussi à mettre toutes ses pensée noires de côté, repensant à cette partie avec Steve.
Il passa toute sa soirée à revoir de vielles photos de lui quand il était encore un skieur.
Mais ce soir là, son sentiment de regret et de haine s'était un peu estompé.
Il regardait les photos repensant à sa femme. Il ne pleura pas cette fois.
Quelques jours passèrent.
Steve et Klaus avaient fait d'autres parties de jeux et regardé quelques série.
Hayley avait partagé avec lui des Space Cake et l'avait emmené à quelques manifestation.
Francine et lui cuisinaient un peu plus ensemble et il la regardait souvent faire la lessive.
Klaus souriait beaucoup plus mais tous ses moments de bonheur étaient toujours gâché par Stan.
Roger lui,n'en avait plus rien à faire de Klaus.
Stan refuser de laisser Klaus parler à table.
Mais Klaus, se sentant mieux, ne réagissait plus.
Aujourd'hui, Klaus parlait avec passion d'une nouvelle friandises qu'il avait goûté et qu'il trouvait degeulasse et chère.
L'histoire n'intéressait personnes mais Francine, Steve et Hayley faisaient l'effort de l'écouter et de faire semblant de s'y intéresser.
Stan: bon Klaus j'aimerais mourir autrement qu'en m'ennuyant avec ta stupide histoire interminable.
Klaus: mais laisses moi parler ! Peut-être que si tu me rendez un corps humain j'aurais des choses plus intéressantes à raconter !
Stan: pffff je préférerais encore me prendre un piano en pleine gueule.
Klaus : BHA TU LE MERITES !!!
Il se tourna vers les 3 personnes un minimum amicale avec lui.
Klaus : vous pensez pas !
Stan: pffff ils le pensent pas.
Les 3 ne dirent rien.
Stan: n'est-ce pas ?
Hayley : c'est vrai que des fois...
Stan : oh c'est bon si je peux même plus compter sur ma famille.
Stan sorti de la pièce avec son assiette pour aller devant la télé.
Klaus : j'abandonne il changera jamais...
Francine : j'en ai ras le cul de son comportement de gamin.
Francine se leva et alla voir Stan énervée.
Francine : bon Stan on a compris que tu n'aimes pas Klaus mais arrêtes voir de te comporter comme un enfant et vient faire tes excuses.
Stan: plutôt mourir.
Francine : pfffffff.
Stan alla dormir.
Le lendemain, il se réveilla et avait froid.
Il ouvrit les yeux et vit qu'il était dans une pièce sombre.
???: Tu es enfin réveillé. Parfait on va pouvoir commencer.
La personne ricana d'une voix que Stan ne connaissais pas.
Il était attaché à une espèce de table avec des objets tranchant à côté.
???: C'est très simple. Je vais te poser quelques questions et si tu y réponds correctement à au moins la moitié, je te libère. En revanche, si tu échoues, je te tuerait puisque tu préfères mourir que de me présenter tes excuses.
Stan : Klaus ?
???: Exactement. Il est bien mon modificateur de voix hein ?
Stan: Libérés moi crétin.
Klaus : ohhhh. Insultes ? Tu perds un point mon cher Stan.
Stan vit les yeux de Klaus le fixer, de l'autre côté de la pièce.
Klaus : le jeu n'a même pas encore commencé. Gardes ton sel pour la fin.
Il ricana sous le regard haineux de Stan.
Klaus : première question. En quel année je suis né ?
Stan: euh... Quesque j'en sais moi ! 19... 70 ?
Klaus : faux. Tu perds un point. Plus simple. Quel est le jour de mon anniversaire ?
Stan: j'en sais rien. Le 22 novembre ?
Klaus : j'ai demandé la mienne. Pas la tienne crétin. Tu perds un point.
Stan : LAISSES MOI PARTIR !
Klaus : quesque c'est mon nom de famille ?
Stan: Heissler.
Klaus : tu as au moins un point. Tu es moins un abrutis que je le pensais mais t'es haut dans le classement du con.
Stan: Hey!
Klaus : dans quel ville j'ai vécu avant mon kidnapping ?
Stan: Berlin. C'est la seule ville d'Allemagne que je connais c'est forcément...
Klaus: pfffff -1 points.
Inutile de continuer le massacre auditif. Commençons le physique !
Stan : JAMAIS JE TE LAISSERAI FAIRE !
Klaus arriva à la lumière, un grand sourire malsain dessiné sur son visage.
Klaus : pas si je t'y force.
Stan: arrêtes !!! Je t'en prie !!!
Klaus : pourquoi je te ferai cet honneur. Toi ? Quesque tu as fait pour moi ?
Stan réfléchis et regarda Klaus.
Stan: Je sais pas... Je suis stressé je... J'oublie tout...
Klaus : parce-que tu n'as rien fait pour moi.
Stan senti des larmes couler sur ses joues.
Stan : laisses moi dire au revoir à ma famille au moins...
Klaus : jamais. C'est ma famille maintenant.
Stan se débattait en pleurant.
Stan: Je suis désolé Klaus ! Je t'en prie ma famille a besoin de moi ! Je les aime !!! J'ai été un connard mais tu vas loin là ! Pitié !!!
Klaus : tu crois vraiment que j'ai de la pitié pour toi ?
Stan pleurait.
Stan: Pardon... Pardon ...
???: Je pense qu'il a compris. Il c'est excusé.
La lumière s'alluma et Francine, Steve et Hayley arrivèrent.
Stan : me dites pas que...
Steve : c'est une mise en scène.
Stan : KLAUS ESPÈCE DE...
Francine : c'était mon idée Stan. Klaus a juste suivi.
Klaus : je te demande pas plus qu'un peu de respect... Me laisser parler... Me laisser ressentir ou aimer... Le laisser vivre... Je suis pas parfait... Loin de là... Je fais souvent des bêtises et je me remet en question... Chaques matin je me réveille en essayant d'être quelqu'un de meilleur... J'espère qu'un jour tu y arriveras et que tu pourra me pardonner, qu'importe ce que j'ai pu faire sans m'en rendre compte...
Klaus s'en alla larmes aux yeux.
Les jours passèrent et Stan avait réfléchis aux paroles de Klaus.
Il avait essayé d'être moins cruel avec ce pauvre poisson qui avait eut de la peine à le pardonner au début mais qui a vite accepté.
Même Roger s'y était mis, voyant les efforts de tout le monde.
Klaus se sentais, depuis qu'il était ici, épanoui pour la première fois.
Il espérait que malgré les moments durs, il puisse être là pour sa famille et qu'eux seront la pour lui.
Après tout c'est ça une famille ?
----fin----
J'ai écrit au four et à mesure que les idée venaient dans ma tête.
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