Vengeance

!Attention, les âmes sensibles ne sont pas les bienvenus!

ATTENTION





Je m'avançais vers la table circulaire, qui avait la taille d'un humain allongé, et qui pouvait tourner sur lui même, le rendant spécial. Il n'y avait rien dessus, excepter quelque petits crochets, plus exactement dix crochets, et où sur cinq d'entre eux, une mini ceinture était placer.

Je la fit tourner, et avec joie je constata que le mécanisme n'était pas rouiller.

Dans un silence totale je me rendis vers le fond de la salle, pour remarquer qu'elle dormait encore. Tant mieux, j'aurai plus de faciliter à la porter, jusqu'à la table, et puis je pourrai profiter de l'effet de surprise, qui était avouons le, absolument magnifique à voir, quant elle ouvrira ses yeux.

Délicatement je la posait sur la table, je ne voudrais pas l'abîmer avant l'heure tout de même. Une quinzaine de minutes après avoir attaché, ses deux poignet, sa taille et ses jambes, avec les crochets présents sur la table, elle commençait à gesticuler. Je ne perdis pas de temps, et m'empara d'une lame de cutter, avant de me placer juste au niveau de sa tête, la main tenant la lame levée.

Plusieurs minutes s'écroulèrent avant qu'elle décide enfin d'ouvrir ses yeux. Elle me fixa durant une trentaine de secondes avant de les refermer. Tant mieux, elle croyait rêver, le spectacle allait être encore meilleur.

Sans trop tarder, certainement poussait par la curiosité, elle les rouvrit, et après quelques secondes d'incompréhension elle se mit à hurler, le spectacle pouvait commencer.

Sans lui adresse un mot, je me retournais vers l'étagère qui se situait à deux pas derrière moi, qu'elle ne devait certainement pas apercevoir, en cause de la lumière quasi inexistante, et pris de l'acide tout en posant la lame, et puis je me retourna pour lui faire fasse. Elle cria encore plus fort et essaya de se détacher de l'emprise des attaches, sauf qu'elle ne savait pas qu'ils étaient très résistant. La voir crier comme ça, me rejouai à un point que je ne pouvais pas empêcher mes lèvres de former un immense sourire. Je me retourna pour la deuxième fois vers l'étagère, et cette fois je pris de la javel. Elle continuait à crier, mais quant elle vu ce que j'avais dans la main, de l'incompréhension fit son apparition dans les profondeurs de ses yeux, mais ce n'était que de courte durée car elle compris vite mon intension, et elle gueula encore plus fortement.

Que c'était plaisant de la voir dans cet état, entrain de se tordre dans tous les sens, tout en braillant et en pleurant.

Quand je me tourna pour la troisième fois, je récupéra un marteau et un clou, et le brandi sous ses yeux de plus en plus effrayés. Elle hurlait encore plus fortement, mais sa vois commençait à se dégrader, tant mieux. Pour la quatrième et dernière fois je me retourna, et pris la boite à allumette et un petit flacon d'essence. Elle cria, lutta, de toute ses force, mais sa vois diminuait, pour finir en un crie muet.

Le premier round était à présent achevé.

Je repris la lame, et m'approcha dangereusement près d'elle, avec un sourire au coin. Elle essaya de criait, mais il ne lui restait plus rien de sa voix, qui enchantée mes oreilles il y a quelques minutes. Je posais l'objet tranchant au bort de la table, pour ensuite venir me placer au dessus d'elle, et lui couper le gros pull qu'elle portait. Elle était plutôt bien foutu, mais ce n'était pas son physique qui m'intéressais. Alors, avec une douceur exagéré, je me muni de la main droite, la lame. Elle ferma les yeux alors, je stoppais tout mouvement, je voulais voir la terreur dans ses yeux, sinon ça ne serait pas marrant. Lentement elle entrouvrit les yeux, et à ce moment j'effleura sa peau, sur sept centimètres, elle frissonna, en même temps que le rouge faisait son apparition sur ce trait, parfaitement droit.

Ses larmes coulèrent encore plus, je pris la parole, d'une voie joueuse et lui dis, qu'elle devait être habituée, à vu de l'état de ses avant-bras. Elle ne réagit pas vraiment, si on ne comptait pas le liquide salé qui avait doublé d'intensité.

Je me mis à rire, d'un rire mauvais, avant de repasser sur le trait avec plus de force, cette fois ci, le sang gicla réellement. Lourdement je me relevée, pour prendre avec une seringue un peu d'acide. Je me repositionna sur elle, et fit tombé une goute sur la plaie, qui saignait abondement. Elle hurla avec une telle puissance qu'on pu entendre le crie, même si il restait relativement faible.

Cette fois d'un bond je me leva et commença à la faire tourner très rapidement. Au bout de cinq minutes, je l'arrêta ses yeux bougeaient dans tous les sens.

Je pris une allumette, et après l'avoir allumée je l'appui sur son pied, nu. Tous ses traits se crispèrent, sa respiration n'était plus du tout régulière, c'était tellement beau à voir. Je répéta l'action de nombreuse fois, sur ses deux pieds,.

Je vis qu'elle s'affaiblissait beaucoup, elle ne réagissait presque plus, c'était moins drôle. Je lui donna quelques médicaments, et lui laissa vingt-sept minutes de repos où je la contemplais souffrir, c'était magnifique.

Je pris un morceaux de son pull sur lequel je mis trois goutes de javel, et je mis ce tissus sur sa bouche, et je commença à faire tourner la table de toute mes force, même si mes bras de jeûne femme n'étaient pas très musclés.

Au bout de quelques minutes j'arrêta, et pris dans mes mains le marteau et le clou.

Le marteau dans ma bouche, un clou dans ma main droite, et sa poignet dans ma main gauche. Je la regarda, et enfonça le clou dans sa main à l'aide du marteau, au bout de hurlements, et d'une dizaine de coup de marteau, le clou avait totalement traversé la paume de ma victime. Je recommença avec joie? l'autre main.

Toute force l'avait quittée, dans un murmure elle demanda, pourquoi. Alors je m'approcha d'elle et lui dis, je déteste ne pas comprendre, que j'accentua d'un clin d'œil. À la lueur de son regard, je savais qu'elle avait compris, qu'elle n'aurait pas du, mais c'était trop tard.

Je me leva et la laissa mourir lentement.

Fin du dernier round.


N'essayer pas de comprendre le sens premier du texte, ça m'étonnerai que vous la trouviez. Peut-être qu'une personne pourra comprendre à par moi, mais j'en doute, car pour cela elle devrait savoir qui je suis, et qu'elle soit dotée d'intelligence. Par contre vous pouvez partager vos hypothèses sur le texte comme sur ma personne, c'est avec plaisir que je les lirai, et que je donnerai des éventuelles indices.

N'hésitez pas à donner vos avis!

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