Amour éternel

C'est avec des étoiles dans les yeux que je pense à toi.

Tu étais mon paradis, mes moments de joies, de bonheurs, mais je t'ai laissé.
Tu sais, les gens ne nous comprennent pas, même avant quant on ne faisait qu'un nous étions incompris.
Non tu n'as pas étais mon sang, mon oxygène, tu as étais ma Passion, tu coulais dans mes veines et moi je m'accrochais à toi et je restais en vie. J'aurais sûrement sombré, sans toi, avant même l'adolescence.
Mais tu étais là, dans mes veines, dans mon corps, dans ma vie. Tu faisais battre mon cœur quand il n'avait plus la force de me tenir en vie.
Les gens dirons que je suis folle, folle d'avoir passé toutes mes journées avec toi, à te courir derrière, à te prendre en plein fouet. Mais tu m'aidais, mes moments de libertés.
J'entendais ton nom et un sourire se dessinait sur mon visage attristé. La vie me revenait, et mes journées s'éclairaient.
Les gens quand ils ne vont pas bien se font du mal, ils crient, pleurent ou font couler leur sang, moi, pour oublier tout le reste, le malheur de la vie, la tristesse des moqueries, je passais mon temps avec toi. Ça ne s'arrêtait pas mais j'étais avec toi et quelques autres, sur un nuage, un peu rectangulaire, recouverte de poussière.

Puis, parce-que je suis une fille, on m'a obligé à te laisser, j'en ai encore les larmes. Les étoiles dans mes yeux que tu avais décroché dans les cieux, on disparus.

Je n'ai plus cette étincelle qui éclairait ma vie. Il n'y a plus que la dure froideur de celle-ci.
Tout n'étais pas mauvais quand on s'est séparé, parce-qu'on se recroisait, et cela me suffisait. Et puis, sans le vouloir je t'avais remplacé.
Mais maintenant, aujourd'hui tout redevient comme avant ; froid, morne et ennuyant.
Je te veux dans ma vie, mon cœur est détruit.
Quand je parle de toi, on rigole et on se moque de moi. Comment peut-on t'aimer, ils disent.
Mais je me souviens encore de mon cœur totalement déréglé, je me souviens encore de mes poumons enflammés, quand tu étais là, tout près de moi.
D'autres t'aiment aussi, mais eux, ce n'est pas de la passion, c'est de l'argent. Et ça m'horrifie de voir ça.
Je n'aime pas courir et pourtant pour toi je le fais.
Je t'aime. Je t'ai toujours aimé. Même si tu n'es pas vraiment vivant, même si tu n'est pas très bavard, pas très délicat, je t'aime. Je revois les rires des autres quand je parle de toi, avec ces étoiles et cette étincelle qui se réveille en moi.
Toi, ballon, ou de ton vrai non, football.




~01/05/18~

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