Prologue

Le froid était  mordant cet hiver-là. Tout était recouverte de neige et d'une couche de glace qui rendait l'ascension de la Montagne extrêmement dangereuse. La Forêt, la Lande la Plage qui bordait la Mer et la Pinède étaient ensevelis sous la neige. Seule la cascade n'était pas congelé, son débit était trop puissant. Le vent soufflait des rafales de neige si puissante qu'un arbre aurait pu être déraciné. Pour les bêtes, qui habitent ces terres, s'aventurer trop loin de leur camp par un temps aussi glacial signifiait la mort.

À environ vingt longueurs de queue de loup du sol, se trouvait une grotte creusé dans le coeur de la montagne, par une ancienne rivière souterraine. L'éboulis, qui reliait le bord du Lac à la Grotte, était recouvert d'une fine couche de glace qui se transformait peu à peu en couche de givre jusqu'au rebord de la Grotte. À l'intérieur, il se dégageait une chaleur confortable qui faisait perler de petite goutte d'eau contre les parois rocheuse. Ces petites goûtes d'eau étaient le résultat de la condensation du souffle des bêtes qui avait élu domicile dans la Grotte. Les mammifères qui y vivaient arboraient une fourrure douce et épaisse conçu pour le froid digne des terres que les Bipèdes appellent «Alaska». La Grotte était divisée en plusieurs cavernes séparées par de petits ruisseaux. Ces ruisseaux étaient assez petits pour être traversé en un bon. Il y avait dix cavernes a l'intérieur de la Grotte. Du côté gauche, prêt de l'entré, se trouvait les deux tanières des Combattants. Ils remplissent le rôle de protecteur des Chasseurs à la chasse lorsqu'ils chassent l'oiseau de proie ou il protège la Grotte lorsqu'un ours attaque la Meute ou même lors d'une attaque d'une autre Meute. Plus vers le centre, il se trouvait les deux tanières des Chasseurs. Ce sont eux qui rapportent à manger à la Meute. Au centre se trouvait la tanière des Couveuses, les femelles pleines ou en train d'allaiter. À côté de la caverne des Couveuse, se trouvait la tanière du Chef-Soigneur. C'est lui qui soigne les blessés ou les malades et qui communique avec leurs ancêtres. Du côté droit du gîte de celui-ci, se trouvait les deux gîtes des Sages. Ils sont les plus âgés de la Meute. Puis, complètement à droite, le plus prêt de l'entrée, se trouvait les tanières des Novices. Ce sont les futurs Combattants et Chasseurs de la Meute. Ils doivent quo-habiter dans les mêmes gîtes malgré leurs entraînements différents. Il y a aussi un Lieutenants pour les Combattants et un autre pour les Chasseurs. Ils dorment dans les mêmes cavernes que les autres mais leur Couche se situe plus au centre pour profiter de plus de chaleur.

Dans la Meute, il est formellement interdit de se lier d'amour entre Combattant et Chasseur. Seule l'amitié est permise entre ses deux Fonctions.

Afin de différencier les futurs membres des deux Fonctions, leurs ancêtres avaient associé un début de nom à chacune des deux Fonctions. Les nouveau-nés Chasseurs prennent le nom de «Petit» suivis d'un qualificatif que nos parents nous choisissent à la naissance. Les nouveau-nés Combattants c'est la même chose, sauf qu'eux prennent le nom de «Gros» avant le qualificatif. À quatre cycles de lune, ils deviennent des Novices. Les futurs Chasseurs deviennent des «Nuage» suivis du même qualificatif qu'à notre naissance. Vis-vers-ça pour les Combattants mais eux ce sont des «Ciel». Puis, après des mois d'entraînement et une série d'évaluation, le Chef-Soigneur leur donne un nom complet sans aucun début prédéfini. Pour l'apprenti Chef-Soigneur s'est un peu la même chose sauf que lorsqu'il est bébé, il ne prend aucun début prédéfini. Une fois apprenti, celui-ci devient un «Ciel de Nuage». (On ne choisit pas sa Fonction. On nous l'imposait à la naissance selon nos caractéristiques physiques.) Les Chasseurs sont plus élancés, plus rapides et plus haut sur pattes. Les Combattants sont plus larges des épaules, plus musculeux et parfois plus petit. Généralement, lorsque les parents des nouveau-nés sont des Chasseurs, ceux-ci deviennent des Chasseurs à leur tour et vis-ver-ça pour les Combattants. J'ai déjà entendu parler les Sages, d'une Chasseuse qui avait donné naissance à une portée de Combattants et de Chasseurs. Pourtant son compagnon était aussi un Chasseurs. Aucune règle du Code de la Meute n'avait été enfreinte. C'est ce que l'on appelle dans la Meute, des erreurs de génétique. Il y a aussi un mélange plus rare. On dit qu'il est envoyé par les Esprit des Temps Révolus, afin de prévenir le Chef-Soigneur qu'il est temps pour lui de prendre un apprenti. Le louveteau, en question, doit avoir un mélange des caractéristiques physiques des deux Fonctions. Une fois son apprentissage terminer, le nouveau Chef-Soigneur prend le nom de «Conteur» suivit de son nom complet. (Ce qui donne toujours un nom très long.)

Il y a cinq Meute autour du Lac: La Meute de la Montagne, la Meute de la Forêt, la Meute du Lac, la Meute de la Lande et la Meute de la Mer. La Meute de la Montagne vit dans les montagnes bien-sûr! Ils se nourrissent de chèvre des montagnes et d'oiseau de proie. La Meute de la Forêt a pour territoire la partie la plus boisé du pourtour du Lac. Cette Meute-ci est réputée pour leur amour de la viande de cerf et leur pelage plus souvent brun et roux que gris. La Meute du Lac possède la partie de foret avec un grand nombre de ruisseaux qui traverse leur territoire. Cette Meute-ci a pour réputation d'être d'excellent nageur et de manger principalement du poisson. La Meute de la Lande a pour territoire toute la partie prairie et sans arbre du pourtour du Lac, avec une petite pinède qui s'arrête en plein milieu de leur terre. Ils mangent surtout des oiseaux et des lapins dans cette Meute. Finalement, la Meute de la Mer qui possède la plage et une petite forêt de pin remplis de marécage. La Meute de la Mer est considérée comme la Meute omnivore. Ils mangent des lézards et des grenouilles, qu'ils trouvent dans la pinède, des poissons et des crustacés qui se dépose sur la berge et parfois quelque oiseaux.

À chaque début de saisons, à la pleine lune, les cinq Meutes se réunissent dans un endroit que l'on appelle la Combe. Elle se trouve d'une moitié sur le territoire de la Meute de la Lande et de l'autre moitié sur le territoire de la Meute de la Mer. Celle-ci est creusée en étage assez large pour qu'un loup adulte puisse s'asseoir et ces étages font le tour de la Combe.  Les Chef-Soigneurs se réunissent au centre afin de raconter les anecdotes vécus durant la saison, les naissances, les morts, les baptêmes Novices, de Combattants ou Chasseurs et parfois un baptême de Chef-soigneur. Pour s'y rendre, il faut emprunter un passage d'une largeur d'environ cinq queues de loup, qui longeait le Lac.

Chapitre 1

Cela faisait plusieurs jours que la tempête voilait le Lac d'un voile blanc épais et glacé. Même s'il ne restait qu'un cycle de lune et demi avant la saison du Renouveau, l'enthousiaste des membres de ma Meute était sapé par l'ennui, la faim et le froid causé par la tempête qui faisait rage dehors. Les Chasseurs, qui ne rêvait que d'aller courir dans la roche de la Montagne au grand soleil, commençaient à perdre patience et les Combattants, qui essayaient de s'entraîner au combat dans un espace restreint sans grand succès, semblaient complètement découragés. Sans parler des Novices qui fixait le plafond en soupirant d'ennui. La seule chose qu'ils pouvaient entreprendre était leurs corvées envers les Sages; retirer leurs puces et remplacer leur litière avec le peu de mousse qui poussait dans la Grotte. Ce qui était nettement moins confortable que la plume d'Aigle et la fourrure de chèvre des montagnes. Qu'en t'aux Sages, ils passaient leur temps à dormir pour passer le temps, car il n'y avait plus de louveteau pour venir leur quémander des histoires sur les temps anciens. Un silence de mort régnait dans la Grotte sauf lorsqu'un Combattant ratait sa technique à cause du manque d'espace, on entendait un grognement de colère.

Tout à coup, le silence fut rompu par l'une des Couveuses. Une jeune louve au ventre bien rond à la fourrure noire comme la nuit et aux longues pattes, qui trahissant sa Fonctions, traversa la Grotte en trompe vers la tanière du Chef-Soigneur. L'antre de celui-ci était assez profond et s'ouvrait sur une petite clairière remplis de petit tas de remède et de cristaux luminescent. Au centre de cette même clairière se trouvait la Couche du meneur. Un loup tournait le dos à l'entrée de sa tanière et vérifiait si ses plantes étaient encore fraîches.

-Conteur d'Étoile au Firmament, Lac Argenté est entrain de mettre bas!»

La voix de la future mère était tremblante et trahissait son inquiétude. Sa respiration était saccadée à cause de la course qu'elle venait de faire. La distance n'était pas si grande, mais son ventre nuisait à ses mouvements et ses poumons.

Le vieux loup grisonnant à la fourrure brune se retourna et la regarda d'un regard illuminé par le bonheur. Son bonheur était plus que justifier. Cet événement redonnerait espoir et vivacité à la Meute.

-Enfin des nouveau-nés pour la Meute, s'exclama l'animal en se levant péniblement à cause de ses muscles raides dû à son vieil âge. Sa queue encore touffu bougeait de droite à gauche pour signifier sa joie.

Il prit quelque herbes dans sa gueule et parti à la suite de sa cadette. Les autres, qui avait entendu la nouvelle, étaient tous debout et les fixait impatiemment. Un loup en particulier les fixait. Un mâle haut sur patte et au museau fin faisait les cent pas devant ses camarades avant de s'arrêter pour regarder son chef d'un air inquiet. Le vieux loup grisonnant lui renvoya un regard remplis de sagesse et de calme, ce qui sembla apaiser son cadet. Puis, après une petite halte devant la tanière des Couveuse, Conteur d'Étoile au Firmament entra son ballot d'herbe dans la gueule.

Dans la caverne, qui servait de tanière au Couveuse, une louve au pelage argenté et blanc était couchée sur le flanc et haletait rapidement en poussant des couinements de douleur. Lorsqu'elle entendit des mouvements à l'entrée de la caverne, celle-ci releva la tête.

-Chef... faites quelque chose... c'est si douloureux, bafoua la bête entre deux couinements à fendre le coeur.

Le Chef-Soigneur, toujours aussi calme, vint s'asseoir au côté de Lac Argenté. Il vint déposer délicatement sa patte avant gauche sur le ventre de sa patiente. Son ventre était contracté au maximum. Le travail avait déjà commencé. Les petits seraient la bientôt au grand bonheur des loups de la Meute.

-Avez-vous pensez à des noms pour les petits? Demanda t'il d'un voix paisible, calme et roque à cause de l'âge.

La seule chose que la femelle réussit à dire fut un couinement et lança un regard paniqué vers son chef qui passa doucement sa queue sur son museau pour l'apaiser. Conteur d'Étoile au Firmament prit délicatement entre ses pattes de petite graine noires et les glissa prêt du museau de la femelle argenté.

-Prend ça... ces graines t'aideront a te calmer et calmer la douleur.

Une contraction prit de cour la femelle qui leva la tête, la gueule entre ouverte et cria de douleur. La peur s'empara de la Couveuse. Le meneur l'encouragea à prendre les remèdes et lui caressa la joue de sa pattes gauche.

Un autre couinement se fit entendre au fond de la caverne. La jeune louve noire était, à présent, assise dans son nid de plume et fixait la scène d'un air horrifié. Une nouvelle odeur de peur se fit sentir.

-Ne t'en fait pas Nuit Noire, tout se passera à merveille pour elle et pour toi aussi le moment venu, dit-il d'une voix posée comme s'il lisait dans ses pensées.

Cela ne sembla l'apaiser que pour quelque instant, car dès que Lac Argenté poussa un nouveau gémissement de douleur, les yeux de Nuit Noire se voilèrent de crainte. Le meneur se mit à masser le ventre de sa patiente et lui tendit de nouvelles herbes afin de lui donner des forces cette fois. Puis, au bout d'un instant qui ressembla à une éternité, un petit paquet visqueux tomba dans la Couche de plume. Le mâle à la fourrure brune grisâtre se pencha pour prendre le petit sac avant de le donner à la jeune mère. Celle-ci se mit à couper la poche avec ses dents doucement. Il l'aida à sortir le le louveteau de sa poche protectrice et la laissa, ensuite, le lécher pour qu'il respire et qu'il se réchauffe. La Couveuse au pelage noir s'approcha et félicita la jeune mère d'un coup de langue entre les oreilles. Cependant, le second louveteau de se fit pas plus attendre. Le ventre de la mère se contracta de nouveau et une vague de douleur la parcouru. Elle cria et le petit tomba dans la Couche comme le précédant. Le père des petits tentait d'entrer à chaque crie que la louve argenté lâchait, mais les autres le retenait à l'extérieur pour ne pas gêner le travail du vieux chef. Il s'en fut ainsi pour deux autres petits.

Lorsque la mise à bas fut terminé, Conteur d'Étoile au Firmament sorti du gîte et félicita le nouveau père. Une lueur étrangement satisfaite luisait dans le regard du vieil animal. Le jeune loup au museau fin ne se posa pas plus de question et entra à l'intérieur afin d'y découvrir ses nouveau-nés qui tétaient déjà leur mère. Elle semblait épuisée. Ses yeux était à demi clos et sa respiration était plus lente et faible Comme si elle dormait. Cependant, le bout de sa queue bougeant de droite à gauche prouvait qu'elle était très heureuse d'avoir enfin ses petits contre elle. Lorsque celle-ci vit entrer son compagnon, elle lui dit d'une voix faible emplis d'amour et de tendresse:

-Notre premier né est une magnifique petite femelle et nous avons aussi trois petits mâles.»

Le coeur du nouveau père s'emballa de bonheur. Le loup vint se coller tendrement à sa douce moitié en lui léchant la joue. Il tremblait de joie tellement il était heureux.

-Comment allons-nous les appeler?

-Je ne sais pas. Conteur d'Étoile au Firmament m'a dit qu'il reviendrait pour les examiner dès que je me serais reposé. Il semblait très heureux... plus que d'habitude. Enfin, bref... dit la louve avant de pousser un long bâillement dévoilant ses canines blanche. Elle posa sa tête sur le flanc de son compagnon qui s'était délicatement allonger prêt d'elle les pattes entre mêler au sienne de façon à protéger leur petit du froid. La louve argenté le contempla un instant avant de fermer les yeux. -Je t'aime Griffe Acéré...

Griffe Acéré lui lécha délicatement l'oreille avant de poser un regard tendre sur sa progéniture qui couinait en tétant leur mère. Ils semblaient si inoffensif et vulnérable. Son coeur chavira lorsqu'il pensa au danger que ses petits devraient affronter un jour.

-Ne t'en fait pas Griffe Acéré. Tout ce passera bien pour eux.

C'était la voix de Nuit Noire, au fond de la Caverne, roulée en boule dans sa Couche. Son gros ventre se soulevait à un rythme plus détendu.

-Je m'inquiéterai toujours pour eux... Tu crois que je ferais un bon père?

La louve noire poussa un petit rire délicat et calme avant de le regarder droit dans les yeux.
-Tu es déjà un bon père...

Elle baissa la tête, la déposa sur ses pattes avant et ferma les yeux.

Le père resta surpris au compliment de la louve noire. Il finit, quand même, par déposer sa tête sur le sol froid de la cavernes, puis, il s'endormit à son tour.

Tout à coup, le nouveau père fût réveillé par quelque chose qui lui grimpait dessus. Était-ce encore Pas de Fauve qui lui roulait dessus pendant son sommeil? Un grognement lui monta à la gorge. Un couinement affolé retenti d'un coup. Ce couinement était faible et aiguë. Il lui rappela qu'il était dans la caverne des Couveuses et que Lac Argenté avait eu leurs petits quelques heures plus tôt. Le mâle aux longues griffes leva la tête et découvrit sa première née sur son flanc. Elle avait encore les yeux fermés et devait chercher la tétine de sa mère. Le jeune mâle se mit à fondre devant cette petite boule de poil innocente. Du bout du museau, Griffe Acéré la guida vers ses frères et le ventre de sa mère. Il les aimait déjà tellement.

Il ne savait pas combien de temps il resta là à les contempler, tous les cinq. Ses protégés et ceux qu'il aimait le plus au monde.

Tout à coup l'odeur de son Chef-Soigneur lui parvenu. Le mâles gris charbonneux redressa la tête et hocha la tête avec respect en voyant le vieille animal entrer dans la pénombre de la Caverne.

-Viens j'ai quelque chose à t'annoncer, dit le vieux loup en se dirigeant déjà vers la grande Caverne Commune.

Son cadet sembla étonner et hésita à laisser sa famille. Il leur lança un dernier regard avant de se lever et de le suivre à pas feutrer comme les félins. Le Chasseur vint s'asseoir prêt de son chef devant la tanière de celui-ci. Les deux loups était assis bien droit en silence. Le soleil allait bientôt se lever. Le ciel étoilé palissait déjà. Personne ne parla avant un moment. Aucun bruit ne se fit entendre avant que les premiers combattant ne se lève pour aller faire la patrouille frontalière du matin. Le lieutenant fut le premier à sortir et salua les deux loups déjà présent, puis il se dirigea vers la tanière des Novices pour aller réveiller son apprentis Ciel de Chouette. C'était un imposant loup gris sombre au regard ambré très sévère, mais parfois une lueur plus douce flottait dans son regard. C'était le père de Griffe Acéré. Le jeune père portait un grand respect à son propre père. Ce matin là, le lieutenant semblait flotter et à peine toucher au sol. Surement dû au fait qu'il est maintenant grand-père. Ce dit le jeune Chasseur. La fierté lui transperçait le coeur a lui aussi.

-Ce que je veux t'annoncer concerne ta fille. Je te le dit à toi en premier, car je veux que Lac Argenté se repose et en même temps calmer ta curiosité. dit-il d'une voix neutre et posé qui fit sortir de ses pensé Griffe Acéré.

Le Chef-Soigneur prit une pause avant de continuer tout aussi calmement.

-Ta fille deviendra mon apprentie dans quatre cycles de lunes. Elle a une forte carrure pour une fille de Chasseurs et elle a vos longue patte élancé.

Le jeune loup aux yeux ambré resta bouche bée et son coeur rata un battement. Il n'était pas sûr d'avoir bien compris. Sa fille deviendra apprentie Chef-Soigneuse? Sa première née si inoffensive, celle qui l'avait réveiller en grippant sur lui un peu plus tôt, sa petite boule de poil grise, dirigera leur Meute un jour? Il n'en croyait pas ses oreilles et ne savait pas quoi répondre pour exprimer son mélange encore plus puissant de fierté et d'inquiétude qui tourbillonnait en lui.