Accident

- Aie...

Que vient-il de se passer ? Je suis actuellement assise dans ma voiture, les mains crispées sur le volant. Je suis arrêtée à un endroit pas très normal. Je réalise enfin, accident. De légères gouttes de pluie tombent sur le pare-brise et quelqu'un m'ouvre la porte.

- Mademoiselle ! Tout va bien ? Vous n'êtes pas blessée ?

Je lève la tête vers la voix. Il est beau, des yeux bleus à m'en faire tourner la tête. Il se penche pour me détacher et s'arrête avant de me toucher.

- Mademoiselle ? Avez-vous mal quelque part ?

- Euh... Je ne sais pas.

Il m'aide à m'extirper de la voiture. Et commence à me palper le cou.

- Ne vous en faite pas, je suis infirmier.

- Ma.. ma mère, il faut que j'appelle ma mère.

Je me retourne pour attraper mon tel sur le support et j'appelle ma mère. Tout me revient en flash et je sens la crise d'angoisse monter. Ma mère hurle de me calmer tandis que l'infirmier me prend la main. Ce contact m'apaise et je raconte ce qu'il s'est passé.

- J'ai glissé à cause de la pluie et par réflexe, j'ai freiné et braqué ... Oui je sais maman j'aurai du tout lâcher .. Non, je crois que j'ai rien. Il y a un infirmer en face de moi. .. non, je roulais pas vite... Euh oui, la carte verte attend.

Ma mère appelle l'assurance et me met en double appel. Je raconte tandis que je vois des gens voir si tout va bien. L'un deux me demande le triangle que je sors après une bataille avec la porte. Le bel infirmier reste à mes côtés et gère un peu le contact avec autrui.

Il doit se passer bien 20 min le temps de tout voir. La plupart des gens est parti mais l'infirmier et un voisin font un peu la police en disant aux automobilistes de ralentir. J'appelle la dépanneuse et maintenant, je n'ai plus qu'à attendre.

La voiture est dans un sale état. Le montant droit du coffre est tout écrasé contre le mur. J'ai deux roues dans le fossé, les deux autres sur la route. On peut dire que j'ai garé ma voiture contre les rochers.

- Mademoiselle ? Je peux vous faire un bref examen ?

- Euh oui ? Si vous voulez. Mais je ne ressens aucune douleur.

- Vous êtes sous le coup de l'adrénaline. Il faudrait peut-être aller aux urgences. Car le choc restait violent.

- Comment je m'y rend...

- Je vous emmène. J'habite en ville. Je peux vous déposer au passage.

- Euh d'accord. On peut juste passer chez moi ? Que je récupère les contacts de la famille de mon propriétaire qui habite dans le coin ?

- Oui, bien sûr. Et prenez peut-être un sac de rechange. Si vous passez la nuit aux urgences.

- D'accord. Faut que je rappelle ma mère.

Je lui explique vite fait que l'infirmier propose de m'emmener à l'hôpital pour vérifier si tout va bien. Comme la  dépanneuse arrive, embarque la voiture et me demande des renseignements que je n'ai pas, je lui passe ma mère.

- Mademoiselle ? Vous habitez loin ?

- Je m'appelle Naka. Et non... J'étais à 500 m de la maison... Mais c'est la première fois que je prends ce virage sous la pluie. Je sais très bien que ma voiture glisse mais je n'ai pas été assez méfiante, dis-je en fondant en larme.

- Eh Naka calmez vous, murmure-t-il en passant la main sur mon dos.

Je me ressaisis alors que le dépanneur m'informe que ma voiture n'est pas assurée tout risque et qu'elle est irréparable en me rendant mon portable.

- Quel est votre nom ?, demandé-je à l'infirmier.

- Ah, je suis Arthur. Allez, montez, demain je suis en congé, je pourrai être votre chauffeur à la sortie de l'hôpital.

- Oh, c'est vraiment gentil. Mais je vais essayer de me débrouiller. En plus, demain, je travaille.

- D'accord,vous me direz.

Nous montons dans sa petite coccinelle, on passe vite fait chez moi et vous faisons le chemin inverse pour les urgences.

- Vous voulez que je reste avec vous ? Je connais bien l'endroit.

- Oh non.. Je ne voudrai pas vous déranger.

- Vous ne me dérangez pas.

Devant son sourire gentil et rassurant, je cède et le laisse m'emmener dans les bâtiments pour les différents examen.

Près de quatre heures après, nous sortons dans la fraicheur de la nuit.

- Merci de m'avoir accompagnée, dis-je en baillant, aie !

- Une entorse au cou n'est pas très agréable. Les pharmacies n'ouvrent pas avant 8H demain. J'ai un peu de réserve chez moi. Je dois avoir une minerve à votre taille.

Un peu désemparée, seule, perdue sans bagnole à 10km de chez moi, j'accepte l'invitation. C'est un jeune infirmier, je pense pas que ce soit un gros psychopathe.

Nous allons chez lui, c'est un petit studio avec un fauteuil, une cuisine et un lit caché derrière un paravent

- C'est pas grand mais je m'y sens bien, dit-il en ouvrant les placards pour me sortir un anti-douleur et une minerve. Tu peux prendre une douche bien chaude, la salle de bain est derrière cette porte. Je vais te prêter mon lit pour cette nuit.

Je m'apprêtais à ouvrir la bouche mais son regard me coupa toute  envie. J'obéis docilement et prit une bonne douche. Comme je pensais rentrer quand même chez moi, je n'ai pas pris de pyjama. Prise d'un coup de stress, je panique pendant quelques secondes avant de sortir la tête de la douche. Une serviette toute propre m'attendait sagement sur le lavabo. Je ne l'ai pas entendue entrer. Je m'enroule dedans et ouvre un tout petit peu la porte.

- Arthur ? Tu es là ?

- Où veux-tu que j'aille, Naka ?

- Haha, c'est rigolo. Hum, aurai-tu un pyjama à me filer ?

- Ah oui.

Il se lève de son fauteuil qui n'a pas l'air assez confortable pour dormir dedans et me sort un t-shirt assez long qui me sert de chemise de nuit.

- Merci.

Cinq minutes après, je libère la salle de bain pour qu'il puisse y aller  à son tour. En attenant, j'envoie un message à ma mère et je lui dis que je suis sortie de l'hôpital et que je dors chez l'infirmier qui m'a récupéré. Euh non, j'efface et lui dit que l'infirmier m'a ramené à la maison. Je ne veux pas lui faire un stress en plus en lui disant que je dors chez un garçon presque inconnu.  Je dis presque car on a discuté pendant cette attente. Il n'a que 22 ans et travaille comme infirmier libéral depuis peu. Je ricane. J'ai accepté de venir car ce garçon me plaît un peu et qu'on a le même âge. Lui aussi est célibataire.

Il est tout juste minuit quand il sort de la salle d'eau, les cheveux humides ramenés en arrière et torse nu.

- Ça va ?, me demande-t-il.

- Borf, ça pourrai aller mieux. J'arrive pas à me rendre compte que je suis sans voiture maintenant.

- Ton travail est loin d'ici ?

- Non, je peux m'y rendre à pied.

- Donne moi ton numéro si tu as besoin d'un chauffeur demain.

- C'est gentil de proposer.

Je lui épèle mon numéro et il m'appelle. On s'enregistre.

- Tu as faim ?

- Presque pas.

- Je vais me faire un sandwich, mange un peu, toi aussi.

Il me fait un petit jambon fromage, bien suffisant.

- Arthur. Tu va avoir mal de partout si tu dors sur ton soi-disant fauteuil. Le lit est assez grand pour nous deux.

- Tu es sûre que ça ne te dérange pas ?

- Non, j'ai l'habitude.. Enfin, j'avais.

- Je comprends.

Un silence s'installe jusqu'à qu'un sublime rôt me monte dans la gorge. Il ouvre de grand yeux surpris avant d'éclater de rire. Je le suis dans son rire et toutes mes vannes s'ouvrent. Je pleure de la peur que j'ai eu. Il vient s'assoir contre moi et pose une main réconfortante sur mon épaule.

- Pleure ma belle, ça fait du bien.

Je sanglote de plus belle et finit par me fourrer dans ses bras. Je ne sais plus trop ce qui se passe mais je le sens qu'il m'allonge et reste au près de moi. Sa présence finit par m'apaiser et je m'endors.

Des filets de lumière me réveille. Je suis toujours dans les bras d'Arthur, dos à lui. Je referme les yeux et essaye d'analyser mes douleurs. A part mon cou et mon épaule gauche, ça va. De mon bras de libre, j'attrape mon tel sur la table de nuit. Il est 6h du matin. Je fais un calcul vite fait et mais mon réveil une heure après. Je me retourne tout doucement et observe mon hôte. Une barbe brune nait sur son visage. Il est mignon.

- Je sais que tu m'observe..., souffle-t-il.

Je rougis instantanément et me cache sous la couette en apercevant son sourire craquant.

- Je.. Je me lève dans une heure pour ne pas être en retard, rendort toi.

- Mmhmm...

Il se retourne et je profite qu'il soit dos à moi pour me caler contre lui. Profiter de la chaleur humaine qui me manque tant depuis que j'ai quitté mon ex.

Je n'entends pas mon réveil mais je sens qu'il a disparu. J'ouvre un oeil et je le vois en train d'enfiler son caleçon dos à moi en pensant que je dors encore. Je bouge pour lui laisser de l'intimité mais mon cou m'en empêche.

- AIE !

Il jette un coup d'oeil sur moi.

- Salut, petite curieuse.

- Salut, petit pervers. Il est quelle heure ?

- 7h02. Tu n'es pas en retard, j'allais te réveiller après m'être habiller.

Je me lève tout doucement mais grimace quand même. Je choppe mes affaires et file dans la salle de bain.

- Tu déjeune quoi ?, demande-t-il à travers la porte.

J'ouvre .

- Pain, miel, thé ou il m'arrive de manger des pâtes dès le matin.

- Je n'ai pas de miel mais de la pâte à tartiner au chocolat. Thé vert ?

- Oui et ça me va aussi.

Nous déjeunons tranquillement.

- Tu veux que je t'accompagne au travail ?

- Si tu sais rejoindre le fast-food d'ici, tu peux me montrer le chemin.

- Okay, on en a pour 10minutes à descendre.

- Parfait.

Nous mangeons tranquillement et nous partons à 7h40. Il me porte mon sac car avec mon cou, je n'ai pas le droit de porter du lourd.

J'attends mes patrons devant l'arrière boutique tandis qu'Arthur est de l'autre côté de la route. Je leur explique le problème et leur donne mon certificat d'arrêt de travail pour 10 jours.

Sur le chemin du retour, ma mère m'appelle pour savoir ou j'en suis.  Je  lui explique que j'ai dormi chez Arthur en disant que c'est l'infirmier d'hier et que je suis passée à mon travail pour leur dire. Je dois appeler l'assurance pour réserver mon retour dans ma ville natale chez mes parents.

- J'espère qu'on se reverra Naka, me dit Arthur avant que je monte dans le taxi qui passe chez moi avant de me ramener chez mes parents.

- Je te donnerai des nouvelles. Je reviens dans 10 jours en espérant avoir trouver un appartement dans la ville et une voiture. Ça sera plus sur.

- Je peux t'héberger un temps, ne l'oublie pas.

- Je te dirai.

Je passe ma main sur sa joue et l'embrasse au coin des lèvres.

- On se reverra, je te le promets.

Il eut un sourire triste au moment où je fermais la porte du taxi.

Mon voyage de retour se passa bien. Ma mère me remonta les bretelles à cause de ma conduite, pas toujours prudente, pleura d'avoir perdue la voiture. Ma semaine chez moi fut tranquille entre ma recherche de voiture et d'appartement. Avec Arthur, on s'appelait quasiment tous les jours. Ma famille me prêta une voiture en attendant que je trouve la mienne.

Il était 19h l'avant dernier soir avant mon retour dans la ville où je travaillais. Mon téléphone sonna. C'était Arthur.

- Coucou Nak! J'ai une bonne nouvelle à t'annoncer, je t'ai trouvé un appart' grâce à mes propio' !

- Coucou, quoi ??

- Tu vois l'appart voisin au mien sur le palier et bien il était en travaux, enfin il l'est toujours mais dans deux semaines, il sera disponible. Je t'ai présenté à eux et ils veulent te rencontrer au plus tôt.

- Euh attend, le loyer combien ?

- Le même que le mien.

- okay j'en parle à mes parents et je te rappelle après.

- Ça marche ma belle. Tu sais, je te rappelle que ma proposition de colocation tient toujours et que les propio' sont d'accord.

- Oui oui.

Je descendis en parler à ma mère. Je devais juste avoir un garant et elle accepta.

- Allo, Arthur. C'est bon de mon côté.

- Tu reviens quand ?

- Dans deux jours.

- Dimanche ?

- Oui.

- Tu veux pas revenir demain ?

- Je suis pas sûr qu'ils acceptent de travailler le week-end et si je dois squatter chez toi en attendant, je veux pas te déranger trop longtemps.

- ça me fait plaisir d'accueillir une jolie fille comme toi.

- Coquin va. Je vais préparer mes affaires alors, tu me manque aussi.

J'ai beaucoup envie de le revoir. Je l'avoue. Je n'ai plus mal au cou et une présence masculine me fera du bien. J'ai parlé de ma rencontre à ma meilleure amie et elle me soutient à fond.

Plus la voiture me rapproche de lui, plus le stress monte. Ma libido aussi se réveille mais faut que je me contrôle. Je sais bien qu'on se tourne autour.

Je pose ma voiture sur le parking gratuit le plus proche de chez lui et lui dit que je suis arrivée. Il m'attend en bas de chez lui. Dès qu'il me voit, il vient me prendre mon sac, le poser et me prendre dans ses bras.

- Comment tu vas ?

- Bonjour à toi aussi, je vais bien. J'ai réussi à conduire, ça va.

- Tant mieux.

On monte

- Tu ne travaille pas aujourd'hui ?

- Si mais en fin d'après midi, je vais voir une vieille dame et j'ai déjà fais mon tour du matin.

- J'ai appelé le numéro que tu m'a donné, ce matin, il est convenu d'un rendez-vous lundi.

- Tu as tout les papiers?

- Oui, ne t'inquiète pas.

Je m'allonge en travers du lit, bien contente d'être arrivée en un seul morceau. Surprise, je sens un bisou sur la peau apparemment nue de mon ventre.

- Je sais que ce n'est pas raisonnable avec ton cou mais j'ai trop envie de toi.

Cette phrase enflamme mon corps et mon coeur.

- Alors viens, parce que je ressens la même chose. 

Un éclair de lubricité traverse son regard et il pose doucement ses lèvres sur les miennes. Il place une main de sureté derrière mon cou et passe à califourchon sur moi. Son odeur m'avait manquée. Mes mains se retrouvent très vite à caresser sa peau douce sous son haut qu'il enlève d'un geste gracieux. Ses doigts se perdent sur mes seins tandis que les miens descendent vers sa ceinture. Comme je suis en jupe, il n'y a que ma culotte qui me protège de son envie. Je gémis en le sentant contre moi.

Je le débarrasse de son jean tandis qu'il enlève mon pull. Redressé sur  ses genoux, il me passe en revue.

- J'ai envie de toi depuis que je t'ai vu dans mon t-shirt qui te rasait les fesses.

Je ricane.

- Pour ma part, j'ai envie de toi depuis que j'ai vu ton petit cul.

Il sourit et s'allonge pour me faire passer sur lui.

La couche fine de nos sous-vêtements ne bloque plus rien. Je me délecte d'être sur lui pour réveiller un peu plus mes sensations. Arthur fait doucement tomber mes bretelles de soutien-gorge et prends en main le galbe de mes seins avant de se redresser et de les couvrir de bisous.

Je laisse échapper un petit gémissement et je le sens se durcir contre moi. Il me détache le soutient-gorge et profite un instant du tombé de mes seins avant de fourrer son nez dedans.

Je caresse du bout des doigts sa tignasse désordonnée, amusée par sa réaction.

- Tu compte rester là longtemps ?

- Suis bien, c'est chaud et tout doux.

Je sens ses mains qui parcourt doucement mon dos du creux de mes reins à mon cou. Il relève la tête et m'embrasse avec une délicatesse adorable. Mais agaçante, mes doigts descendent sur sa nuque pour approfondir le baiser. On se dévore mutuellement.

Avec sa douceur d'infirmier, il passe sur moi pour enlever ma culotte et plonger son nez dans ma zone humide. Je ne peux réprimer un petit cri, sa langue trouve tout de suite mon clitoris. Mmh... Je me tortille telle une anguille car je le sens souffler sur ma fleur. Sensation inédite alors qu'il rajoute deux doigts. Un orgasme me prends des reins et descend dans mon ventre. Celui la est léger mais assez pour me secouer un peu. Les lèvres luisantes de mon envie, il se les lèche avec une sensualité à me déclencher un orgasme visuel. Je tâte et glisse la main dans son caleçon que j'essaye d'enlever. Il m'aide et se met debout face à moi, la verge tendue au plus.

Son regard m'incite à le prendre au fond de ma gorge alors je vais m'amuser un peu. Ma langue s'enroule autour de son sexe, mes lèvres se posent sur son bout qui perle sans jamais le prendre en bouche. J'arrive à lui extirper un soupir d'exaspération. Avec un rire coquin, ça y est, je décide de le prendre entièrement sans le prévenir. Il en pousse un hoquet de satisfaction qui m'excite on ne peut plus.

Mes doigts se plantent dans ses fesses pour lui faire faire ce que je veux. Un muscle se contracte en lui et je me retire vivement, je ne veux pas le finir maintenant. Il pousse un petit grognement du fond de la gorge.

Il sort de son tiroir un préservatif qu'il déroule avec une lenteur horrible sur sa verge, un sourire sadique au coin des lèvres. Il veut donc jouer à ça. Je me place face à lui, les jambes bien écartées et commence à me toucher en le regardant droit dans les yeux et en couinant. Il comprends mon jeu et se touche aussi à la même vitesse. Un orgasme me saisit, rapide, simple et efficace. Il ne me laisse pas le temps de me remettre que le voilà en moi, en m'arrachant un hoquet de surprise tant la sensation est forte.

Il se met à bouger doucement en moi en nous allongeant. Nos bouches sont collées mais très vite, je me détache pour pouvoir respirer, c'est trop intense, je ne peux m'empêcher de crier un peu. Je sens sa peau douce sous mes doigts et je sens les siens sur ma taille, il me tient pour aller encore plus fort. J'étouffe, comme je peux, mes cris dans son cou. Il m'achève d'un énième orgasme.

Nous nous embrassons encore et encore. Il se fait passer à cheval sur lui et me laisse m'empaler sur lui. C'est moi qui bouge, je soutiens un rythme rapide et cette fois, je vais durer mon orgasme beaucoup plus longtemps. Il me stoppe en m'attrapant les hanches avec un regard très intense. Il allait venir lui aussi.

Nous faisons une pause de quelques secondes avant de reprendre en levrette. Il profite que j'ai encore ma jupe pour l'attraper et me faire crier encore plus qu'avant. Je n'ai plus de souffle, plus de voix, elle se perds dans les aiguës. Nous jouissons ensemble.

Prenant garde à ne pas me faire mal, il se laisse tomber à moitié sur mon flan. Nos souffles sont erratiques. Nous nous sourions, épuisés mais heureux.

Finalement, j'ai gardé mon appartement que quelques mois car je vivais principalement chez lui les nuits. On décida de prendre un appartement plus grand vu qu'on réunissait nos loyers.

Cette rencontre fortuite vu la plus belle de ma vie. Nous eûmes deux enfants un grand garçon et une petite fille et on déménagea encore une fois dans une maison en banlieue et nous vécumes heureux jusqu'à la fin.



J'ai vraiment eu cet accident le mercredi 28 avril. Actuellement, j'ai mal au cou mais ce n'est pas grave car c'est une entorse. Malheureusement, je n'ai pas rencontré ce bel étalon. Je vais devoir attendre cet été pour emmener mon chéri avec moi dans mon futur appart'. j'ai hâte alors j'ai imaginé cette petite histoire.

J'espère qu'elle vous a plu car j'ai adoré l'écrire. Ma playlist pour l'écrire était ffxiv en Lofi et une compile des musiques de Nier: Automata et Nier:  Gesalt

Grosse bises et faites attention la route ça glisse surtout quand il pleut. On se méfie plus de la neige que de la pluie grossière erreur j'en ai fais les frais.

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