ATTENTION CE CHAPITRE CONTIENT DES SCÈNES DÉCONSEILLÉES POUR LES PLUS JEUNES

Julien

Elle me rend fou. J’ai envie d’elle à un point…. Ses jambes encerclent ma taille, je sens mon membre durcir contre elle. Ma langue franchit ses lèvres, ce qui la fait gémir. Je passe la porte de ma chambre, la ferme d’un coup de pied et plaque Lisa contre celle ci. Elle balance ses affaires dans la pièce et ses mains caressent  mes cheveux. Je quitte ses lèvres pour embrasser son cou.

Elle sent si bon...

-Tu aurais vraiment du mettre une jupe, dis je déçu.

-Ça aurait été trop facile, répond elle, amusée.

-Ne joue pas avec moi Lisa. Ce n’est pas un pantalon qui m’empêchera de te faire ce je t’ai réservé cette nuit.

Elle tressaille et ressert ses jambes pour mieux se coller à moi. Je l’éloigne de la porte et l’allonge en travers du lit et m’écarte pour la regarder. Ses yeux me sourient. Qu’elle est belle ! Je n’arrive toujours pas à croire qu’elle est avec moi et de ce que nous faisons.

Non seulement nous avons un écart d’âge important, c’est la meilleure amie de mon cousin, qui est sous ma responsabilité. Pour couronner le tout, elle est vierge. Il faut vraiment que Lisa lui parle, c’est devenue trop difficile pour moi de rester en retrait quand il est dans les parages .

Je lui prends les mains pour la redresser et lève ses bras afin de lui enlever son haut. Je reste bouche bée devant elle.

-Ce que tu vois te plais ?

-Plus que tu ne peux l’imaginer.

Elle rit devant ma réaction. Elle est inconsciente de ce qui se passe au fond de moi. Moi-même je ne comprends pas ce qu’il m’arrive. Je vois ses seins ronds et fermes dans un soutien gorge en dentelle noire avec un nœud en soie rose entre les deux monts. Je vais devoir me contenir si je veux prendre mon temps avec elle et ne pas la brusquer.

Je me redresse et retire rapidement mon polo et mon t-shirt. Je lève les yeux vers elle. Elle a le regard rempli de désir et se mordille la lèvre inférieure. Elle va me tuer si elle continue de me mater comme ça !

-Je reviens, je m’empresse de lui dire avant de foncer dans la salle de bain.

Je fais couler l'eau et m'en asperge un peu sur le visage. Il commence à faire très chaud... Je m’arrête un instant devant le reflet du miroir. A bout de souffle, j’aggripe le bord de la vasque en céramique, j’inspire fort et retourne dans la chambre. Je retrouve Lisa, adossée aux oreillers.

-Ferme les yeux, lui dis-je doucement en m’approchant d’elle.

-Quesque tu cache ?

-Fais moi confiance.

-Tu es bien mystérieux. ..

Je pose un genoux près d’elle.

-Et ce n’est que le début. Ferme les yeux.

Elle me regarde, essayant de savoir ce que je lui réserve, puis ferme les yeux, les mains posées sur son ventre.
Je m’approche d’elle tout doucement. Mes lèvres effleurent les siennes dans une lenteur délibérée. Elle ouvre inconsciemment la bouche et j’y glisse ma langue. Elle laisse échapper un gémissement et je scelle mes lèvres aux siennes.

Tout en jouant avec sa langue, je prends délicatement ses mains et les lève au dessus de sa tête. Je la sens se tendre immédiatement. Je recule pour la regarder et vois de l’incompréhension dans son regard. Je m’approche de son oreille.

-Fais moi confiance, on prendra notre temps, ne t’inquiètes pas, je lui chuchote.

Elle prend une grande inspiration pour se détendre puis hoche la tête.

-Ferme les yeux, je lui répète.

Quand ses paupières sont enfin fermées, je parsème des baisers sous son oreille.

- Laisse tes mains ici, dis je en enroulant ses doigts autour de la tête de lit.

Sa respiration s’accélère, il faut qu’elle se détende.

-Que tu es belle, Lisa.

Je l’embrasse dans le cou et descends jusqu’à la naissance de ses seins. Je sors un ruban de soie noir et le mets sur ses yeux.

-C’est nécessaire ? me demande t-elle.

-Je ne t’oblige à rien mais tu ne sais pas ce que tu rate, lui dis je en lui faisait un clin d’oeil.

Son regard s’agrandit,  j’ai piqué sa curiosité.

-Je ne te ferais que du bien, je te le promets, lui dis je en embrassant sa tempe.

-D’accord, me répond elle d’une voie presque inaudible.

Je souris, elle est tellement nerveuse. Elle n’a aucune idée de ce que j’ai prévu pour elle. Je place mes genoux de chaque côté de sa taille et prend son visage en coupe pour l’embrasser à nouveau. Nos langues s’entremêlent. Je cesse notre baiser et recule jusqu’à me retrouver au niveau de ses pieds. Je défais son pantalon au niveau de la taille, lui soulève légèrement les fesses et fais glisser le pantalon jusqu’à le lui enlever complètement. Quand je lui ai hôté son slim, j’ai senti sous mes doigts un ravissant string avec un nœud, similaire à celui qu’elle a entre les seins, juste au dessus de ses magnifiques fesses.  Elle ne doit pas  se sentir à l’aise, en sous vêtements, les mains au dessus de la tête, les yeux bandés, complètement à ma merci.  La voir comme ça me rend tellement dur…  je me lève.

-Où tu vas ? elle me demande.

-Je ne bouge pas d’ici, je lui réponds en débouclant ma ceinture et retirant mon jean.

Je la contemple un instant. Ses cheveux lâchés tombent en cascade au niveau de ses seins entourés de dentelle noire … j’ai envi d’elle. Lisa semble remarquer que je l’observe. Elle lève la tête vers moi comme pour me regarder. Cela a l’air de lui plaire car ses jambes se serrent sans qu’elle le décide, elle gémit. Ça l’excite. Je ne peux plus attendre. Je m’abaisse au niveau de ses pieds, en soulève un vers moi et embrasse délicatement sa cheville. Elle geint de plaisir et ma bouche remonte lentement le long de son mollet, puis s’attarde à l’intérieur de sa cuisse. Elle pense que je vais continuer sur son mont de Vénus mais je veux qu’elle me désire davantage.

Je contourne son sexe et remonte jusqu’à son nombril, puis je lèche du bout de ma langue le reste de son ventre pour plonger mon regard dans ses seins. J’embrasse le droit puis le gauche et viens lui faire un ravissant suçon sous la clavicule, afin qu’elle n’oublie notre première nuit ensemble. Elle soupire et je la sens impatiente de continuer. J’ondule mon corps contre le siens et elle ondule comme une vague contre moi. Je me frotte à elle mais je ne tiens plus, je m’écarte et baisse mon boxer, je m’approche d’elle pour glisser son string le long de ses jambes si douces. Je remonte le long de son corps en embrassant chaque centimètre de sa peau. Je passe rapidement la langue le long de son décolleté pour atteindre sa bouche que je dévore avidement pendant que je lui hôte son soutien gorge. Elle se frotte à moi doucement. Je prends son visage dans les mains pour pouvoir davantage enfoncer ma langue dans sa bouche. Elle dessert les jambes légèrement et j’en profite pour faufiler mon membre entre elles.

Je me frotte entre ses cuisses quand elle les ressert. Lisa lâche de grandes inspirations. Elle gémit de plus en plus fort et prononce difficilement mon prénom entre deux baisers. Je l’embrasse une dernière fois puis prends appui sur mon coude pour titiller son téton du bout de ma langue.

-Ho Julien….

Je souris. Je ne l’ai jamais vu aussi excitée.
Ma main droite quitte son visage pour glisser ma main entre ses cuisses, je bande comme un fou.

-Tu es toute mouillée ma puce…

-C’est grâce à toi Ju.

-Je suis ravis de te faire cet effet.

Du pouce, je décris de petits cercles sur son clitoris et elle se cambre de plaisir. Je sens sa peau devenir humide mais frissonner à chaque passage de mes doigts sur son corps. Elle est si réceptive. Sa respiration devient saccadée et elle geint de plus en plus fort. Je sens que son orgasme se rapproche mais je veux la frustrer un peu avant qu’elle n’atteigne le point de non retour pour que, quand elle jouisse, ses sensations soit décuplés.

-Pourquoi tu t’arrête ? me demande Lisa.

-Chut. Soit patiente ma puce.

-Julien quoi que tu fasse, ne t’arrête surtout pas.

-Tu es sur ? la taquinais-je.

-Ho oui je n’ai jamais été sûre de ma vie ! gémît-elle.

Je me retiens de rire et me replace entre ses jambes. Elle est tellement mouillée que je peux m’y faufiler facilement. Quand mon penis passe à l’entrée de son vagin, je me rends compte qu’elle est bouillante, je ne peut plus me retenir. J’accélère les vas et vient entre ses cuisses et m’appuie de plus en plus sur son clitoris.

-Ju… je voudrais te faire plaisir moi aussi. ..

L’entendre me dire ça me rend fou et je suis certain à présent que je ne pourrais plus m’arrêter.

-Tu ne sais pas à quel point tu me rend fou. Mais si tu veux me faire plaisir, tourne toi ma puce.

-Me tourner ?

-Oui.

Je mets mes mains sur ses hanches et la retourne afin de la positionner sur le ventre. Elle manque de s’étouffer avec le coussin et je me mets à rire dans ma barbe avant de lui mettre le visage sur le côté. Je ne manque pas de l’embrasser dans le cou pour la rassurer.

-On peut continuer ?

-Je meurs d’envie que tu poursuives ton investigation.

-Je vais m’y atteler avec le plus grand soin.

Je monte à califourchon sur son dos et commence à lui masser les épaules, puis parsème de baisers ses omoplates. Je la sens impatiente car elle se tortille sous moi.

Je fais glisser mon corps sur le siens, j’écarte ses fesses comme j’ai pu le faire avec les lèvres de son vagin. Elle se raidis.

-Détend toi, ma puce.

Je glisse mon penis dans la fente de son postérieur et commence à faire des vas et viens sans la pénétrer. En serrant ses fesses dans mes mains. Je me masturbe sur son arrière-train.

-Ohhhhh ! Dieu que c’est bon Lisa !

J’accélère mes mouvements sentant mon plaisir passer dans chaque cellule de mon corps. Mon sexe durcit entre les fesses de ma petite amie encore et encore. Afin que Lisa prenne aussi du plaisir,  je glisse ma mains sur son intimité et caresse à nouveau son clitoris.

Au bout quelques minutes, elle commence à trembler, sentant qu’elle est sur le point d’exploser je glisse un doigt dans son vagin, puis un deuxième. Elle ondule son corps pour me forcer à aller plus loin dans son sexe. Elle penche la tête en arrière, et semble au bord de l’orgasme. Je suis dans le même état.

-BBBZZZZZZ.

Je lève la tête vers la table de nuit et vois la lumière de l’écran de mon téléphone allumé. Je sens qu’on y est presque Lisa et moi, j’ignore l’appareil et me concentre sur la femme sublime qui lâche des cris de plus en plus fort à présent. 

Son vagin se contracte autour de mes doigts et je suis à deux doigts d’éjaculer sur elle.

-Ma puce … j’y suis presque. Viens avec moi… je lui chuchote dans l’oreille.

-Oui, oui,…. Julien encore, ne t’arrête pas !

Lisa explose sous mes assauts, quand son orgasme la dévore, mon foutre jaillit sur son dos et ses fesses magnifiques.

Je penche ma tête sur le côté et colle ma bouche sur ses lèvres pour étouffer nos derniers gémissements et je m’écroule à côté d’elle. Je lève le bras pour défaire ses doigts crispés sur la tête de lit et abaisse le ruban sur ses yeux. J’attrape un mouchoir pour nous essuyer, j’en profite pour encore la caresser. Une fois libre et propre, elle s’allonge entre mes bras et  ses doigts s’enfoncent dans mes cheveux. Ce geste si anodin m’apaise aussitôt.

-Je n’ai pas très compris ce que tu as fait. Mais c’était. .. wahouuu !

Je souris, baisse la tête et l’embrasse. Je pourrais passer ma vie à embrasser cette femme.

-BBBZZZZZZ

-Quesque c’est ? demande Lisa.

-Ho c’est mon téléphone.

Je me redresse pour le prendre et regarde l’écran. Je fronce les sourcils.

-C’est un message de Cam.

-Quesqu’il dit ?

-Apparement il est rentré.

-Pardon ?!

Je baisse les yeux et nos regards se croisent. Elle attend ma réponse. Je ne peux pas lui dire le contenu du message de Camille.  Elle va se sentir mal, et humiliée.

-Ju ?

-Il est rentré. Il nous a entendu, je lui dis avec un sourire en espérant qu’il l’apaise un minimum.

-Tu rigole ?!

Oui bah pour l’apaisement on repassera, Julien. ..
Lisa saute du lit et se rhabille tout en gromelant dans sa barbe, c’est incompréhensible. Elle me tourne le dos. Je m’approche d’elle et mets mes mains sur son ventre nu pour la coller contre mon torse pour essayer de la calmer.

-Ça va. Il ne sait pas que c’est toi.

-Comment tu le sais ?

-Il a dit que tu avais oublié ton sac en partant. Il le déposera chez toi demain.

-Quelle gourde !!

-Ce n’est rien… allez calme toi.

-Non non il faut que je rentre. Tu imagine sa tête si je le croise ici demain ? Ou même maintenant ?!

Lisa frise l’hystérie. Je la prends par les épaules, la fais pivoter pour me retrouver face à elle et rapproche mon visage du sien.

-Regarde moi. Tu vas te calmer.

-Je suis calme…

-Non ! je la coupe. Tu m’écoute.

-D’accord. ..

-Tu vas te calmer. Finir de t’habiller.  Tu enfile tes chaussures et tu m’attends ici. Je vais vérifier que Camille dort et quand je reviendrai je te ramène chez toi. Ça te va ?

-Oui.

Avant de partir je lui fais un bisous sur le bout du nez et sur ses lèvres en souriant. Je me dirige vers la porte de Cam. Je toque, une, deux fois. Pas de réponse.  J’ouvre doucement la porte et le vois endormi dans son lit. Parfait. Je fais demi tour et, voyant que Lisa est prête, attendant sur le lit quand je reviens, je m’habille en vitesse et lui fais signe pour qu’elle me suive à travers la maison. En passant devant son sac, posé au pied du porte manteau dans l’entrée, Lisa se baisse. Je l’arrête dans son geste en la prenant par la taille.

-Non, laisse le là, ma puce. Cam va trouver ça étrange. Je lui chuchote.
Elle hoche la tête puis j’ouvre la porte.

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Je me gare le long du trottoir, devant la maison de ses parents. Toute les lumières sont éteintes. Je me tourne vers elle en m’accoudant sur le dossier de son siège. Elle regarde sa maison, puis remarquant mon regard sur elle, tourne la tête.

-Merci de m’avoir ramener.

-Tu as passé une bonne soirée ? je lui demande en la fixant dans les yeux avec un petit sourire.

-Et bien… la première partie était assez … compliquée. Merci d’avoir assuré pour la deuxième.

-Assuré, hein.

Elle baisse la tête, les joues presque rouges. Je lui relève le menton d’une main.

-Ne soit jamais gênée ou embarrassée par ce que nous faisons ensemble. Tu comptes pour moi et je n’ai que de bonnes intentions envers toi.

Elle sourit et se faufile entre mes bras. Nous restons un moment, Lisa dans mes bras, sa tête contre mon cœur et la mienne posée sur la sienne, une main autour d’elle. J’embrasse ses cheveux et passe une main sous son pull. Lisa se raidit instantanément.

-Ta main est glacée ! !!

J’enlève ma main, elle s’écarte de moi si vite que j’éclate de rire.

-Tu te moque de moi ? me dit elle en essayant de garder son sérieux.

-Non. Non. Pas du tout.

-Menteur !

Elle fait mine de bouder. Lisa tourne la tête vers la vitre, je me penche sans bruit et écarte ses cheveux de sa nuque.

-Tu boude ?

Ne la voyant pas réagir, je pose mes lèvres sur sa nuque. Elle a immédiatement la chair de poule. Je continu jusqu’à sentir ses épaules se détendrent.

-Il commence à se faire tard. Tu devrais rentrer te coucher, je lui dis doucement.

-Mmm… tu as raison.

Elle se tourne vers moi et m’embrasse. Sa langue passe furtivement sur mes lèvres.

-Mmmmm sors de cette voiture maintenant. Je ne suis pas certain de pouvoir me retenir cette fois ci.

Elle s’esclaffe puis s’écarte.

-Ok je m’en vais.

Elle se retourne et pose sa main sur la poignée. Avant de l’ouvrir elle me regarde.

-Bonne nuit.

-Fais de beaux rêves, bébé, je lui répond en la regardant de manière suggestive.

Elle a saisit car elle lève les yeux au ciel, m’embrasse rapidement et sort de la voiture. J’attends qu’elle referme la porte de la maison avant de démarrer.