Niveau 3 : La Vie


Hum j'ai rien à dire sur ce chapitre -_- peut être ça va partir en couille ou peut être pas LA VIE nous réserve de drôle de surprise miaou

•••

Je le regarde de haut en bas, observant chaque petits détails de son corps, c'est un truc de l'espace ce gars... Un humain aussi beau ça existe pas. Je le voit me regarder, merde ne fais quoi ?! Je me lève en vitesse pour tenter d'aller lui serrer la main.

Mat : SALUT MOI C'EST MAAAAAAAAAA !!!!!

! BOUM !

Merde. Je me suis cassé la gueule. Me voilà à terre comme une grosse merde entre tous les garçons. . . Je daigne me retourner, et, je vois une main tendue vers moi... Je ferme les yeux et l'attrape. Je sent toute sa force me relever, me voilà maintenant à quelques centimètres de lui. . . J'ouvre mes yeux.

BORDEL !

C'est Jean qui m'a relevé HAAAA !

Jean : Ça va ?

Mat : ...maintenant non...

Je m'écarte rapidement de cette chose et me retourne vers Jules. Je le vois me regarder. Merde je fais quoi. Attends, c'est super chelou ce qui est entrain de se passer ?! On dirait un manga pour jeune adolescente...

Jules : Bienvenue en enfer, Mat.

Il s'en va en souriant... Waw... C'était trop intense...

Plus tard,

Ok ! Alors, la première activité de la journée est une randonnée en forêt. Génial !! C'est de l'ironie hein... J'ai jamais était friand de balade, surtout en forêt. Ça n'as aucun intérêt. Sauf cette fois... Doux jesus, le ptit cul de Jules marchant devant moi ça me rend... Tout chose...? Pourquoi j'ai dis ça moi...

Santiago : Mat, tu baves.

Mat : Ha !

Merde, je dois apprendre à contrôler ça moi. Soudain le groupe s'arrête.

Robert : Regardez les enfants, un troupeau de chèvres.

Des chèvres ?! On se met sur le côté pour laisser passer le berger et ses bêtes... je me colle à un tronc d'arbre.

Rasowski : Alles ist gut ?!

Mat : ...Quoi ?

Michel : Il te demande si ça va.

Mat : Oh... oui j'aime juste pas les chèvres...

Jean : T'inquiète elles vont pas te manger.

Bah oui bien sûr... Les chèvres, ça mange n'importe quoi... Attendez, MAIS JE SUIS N'IMPORTE QUOI !

Mat : (°ㅂ°)

Le troupeau passe, pour me détendre je ferme les yeux...

Pensée chelou

Mat : Merde merde merde !!

Je cours, je tente d'échapper au coups de feu. On tour de moi la jungle vietnamienne résonne. J'entends les avions, les bombardements, etc... je lutte pour survivre. Un hélico vient de poser devant moi. Un homme en sort, il est assez petit, brun.... NO !

Levi : Viens avec moi minouchka !

Mat : Minouchka ?

Il m'attrape par le bras et me tire abord de l'engin qui décolle.

Levi : On est sauvé...

Mat : Euh oui....

Pourquoi je sens que je vais encore me faire kikouner...  *soupire*

Il enlève ma veste de camouflage.

Mat : Eh euh tu fais quoi là ?!

Levi : Elle est pleine de sang.

Fiou, pour une fois. Tout semble se passer normalement. Je suis rassuré, mais d'un seul coup. Il me plaque sol. Haaaa il fout quoi ce con ?!!!!

Mat : HA QUOI ENCORE ?! JE SUIS TROP JEUNE !

Levi : Mais non laisse moi faire !

Mat : WAAA LAISSE MON T-SHIRT TRANQUILLE !!

Il essaye de me l'enlever pendant que... Merde pourquoi je me débat pas ?! Est ce que... j'aime ça ?!

Mat : MAIS QUI C'EST QUI CONDUIT ?!

Le pilote se retourne et me fait signe, Marco.

Mat : MARCO AIDE MOI !

Fin de cette pensée chelou.

Mat : A L'AIDE MARCO !!!

Une chèvre est entrain de tirer sur mon t-shirt. ELLE VEUT ME BOUFFER !!! Jules s'interpose alors, poussant sa tête.

Jules : Aller oust ! Dégage.

Elle se barre enfin. Dieu merci...

Mat : M- M- M- Merci. ( wtf c'était quoi mon bégaiement là)

Jules : De rien mais... euh... C'est qui Marco.. ?

Mat : heu... un ami décédé beaucoup trop tôt.

Jules : Oh..

La marche reprend.

Quelques heures plus tard.

Nous somme enfin arrivé au sommet. Ha euh merde. On a perdue Jean

[ PDV Jean ]

Seul au milieu des arbres,

Jean : Y a quelqu'un ?

[ Retour au PDV Mat ]

Ouais bon, on s'en fout. La fin de la forêt donnait vue sur un lac. Grand, qui reflétait le bleu du ciel. Je regarde tout le monde. On est sensé faire quoi bordel. Michel enlève alors son pantalon et se met à courir vers le lac. Les autres font de même.

Bande de sauvages !

Robert : Tu n'y vas pas ?

Mat : Non.

Robert : Je sais que c'est dur au début... Mais tu t'y feras... Avec le temps.

Est ce qu'il est pédé ? Non excusez mon langage, mais il a juste sa main sur mon cul là. Je m'écarte un peu parce que là ça devient très bizarre.

Jean : HA HA !! Vous êtes là !!!!

Robert : Jean ou étais tu ?!

Jean : Me suis perdue ! (il est essoufflé) Alors, comme je me les gelais, j'ai... j'ai décidé de faire un feu ! Mais j'ai attiré une meute de loups. Du coup ils m'ont emmené dans leur tanière, et m'ont élevé comme l'un des leurs.

Waw, délire... La nuit est tombée et nous somme rentré au camps. Après avoir mangé on est allé dans nos dortoirs respectifs. Les lits sont tous alignés, simple, sauf le lit superposé où dorment Pablo et Jean. Je me met sous la couette, et merde. Mon voisin de lit c'est Jules. Je le retourne côté mur en faisant style de dormir...

Les lumières s'éteignent. Bordel c'est qui qui ronfle comme un porc ?! Putain Jean, ça ne m'étonne pas. De là j'entends une petite voix m'appeler. Je me retourne...

Jules : Ça va ?

Mat : Euh... o..oui ?

Il commence à se marrer, pourquoi ?

Jules : Hehehe, c'est quoi ce doudou ?

HA MONSIEUR QUINCHY LE CANARD !!

Je le planque sous la couverture. Merde la honte.

Mat : C'EST RIEN !

Je me ré-retourne face au mur en position fœtal. Mazette ! La nuit va être longue...

~~~

Bruh

Eh voici.... QUINCHY LE CANARD !!

Jean, l'enfant loup : Forever beast's friend

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